Fernandel
Nom de naissance | Fernand Joseph Désiré Contandin |
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Naissance |
Marseille (France) |
Nationalité | Français |
Décès |
(à 67 ans) Paris (France) |
Profession |
Chanteur acteur réalisateur humoriste |
Films notables | voir filmographie |
Fernand Joseph Désiré Contandin, dit Fernandel[1], est un acteur, humoriste, chanteur et réalisateur français né le à Marseille et mort le à Paris.
Issu du music-hall, il fut durant plusieurs décennies l'une des plus grandes stars du cinéma français, véritable champion du box-office qui attira plus de 200 millions de spectateurs dans les salles. Comique emblématique du cinéma d'avant et d'après-guerre, beaucoup de ses films sont devenus des classiques, comme Le Schpountz, L'Auberge rouge, Ali Baba et les Quarante voleurs ou La Cuisine au beurre, au même titre que plusieurs de ses personnages, à l'image de Don Camillo. Il a également brillé dans les compositions plus dramatiques notamment dans La Vache et le Prisonnier, Naïs ou Heureux qui comme Ulysse.
Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que Félicie aussi, Ignace ou Le Tango corse. Reconnaissable grâce à sa fameuse « gueule de cheval » comme il se plaisait à le dire lui-même, il acquit une popularité telle en France et dans le monde que le général de Gaulle déclara qu'il était le seul Français à être aussi célèbre que lui[2]. Son succès ne s'est jamais démenti. Marcel Pagnol dit aussi de lui : « Il a été l'un des plus grands et des plus célèbres acteurs de notre temps et l'on ne peut le comparer qu'à Charlie Chaplin. »
Il est le père du chanteur comédien Franck Fernandel, et le grand-père de l'écrivain Vincent Fernandel. Son frère était également comédien sous le pseudonyme de Fransined.
Biographie
Jeunesse
Fernand Joseph Désiré Contandin naît au 70, boulevard Chave à Marseille[3]. Son père, Denis Contandin, comptable mais aussi comédien-chanteur amateur sous le pseudonyme de Sined (anacyclique de Denis), et sa mère Désirée Bédouin, également comédienne amatrice, remarquent rapidement le talent du jeune Fernand. Celui-ci suit souvent son père lors des concerts qu'il organise dans la banlieue marseillaise en montant sur les planches. C'est à l'occasion d'un concours pour petits chanteurs amateurs qu'il remporte le premier prix des enfants prodiges au théâtre du Châtelet de Marseille[4].
Fernandel a deux frères, Auguste-Marcel, son aîné de 6 ans (avec lequel il se produira un temps sous les noms de Marcel et Fernand Sined), et Francis dit Fransined plus jeune que lui de 11 ans, ainsi qu'une sœur.
À sa sortie de l'école, le père de Fernand le place à la Société marseillaise de crédit dont il ne tarde pas à se faire congédier[réf. nécessaire]. Il enchaîne ensuite les petits boulots alimentaires, portant des sacs de sucre dans le port de Marseille (il tient une semaine), travaillant dans une maison de tissus et dans de nombreuses banques[5], mais sa passion du tour de chant et son caractère volage ne lui permettent pas de s'assurer une situation stable[6].
En parallèle, il fait le comique troupier dans des noces et banquets, et sur les scènes des cafés-concerts de Marseille ( Les Variétés, Le Palais de cristal, Le Grand Casino, L'Eldorado, l'Alcazar[7]), où il surprend par son profil chevalin. Andrex, comédien et ami de l'acteur, raconte à son propos :
Il fréquente de plus en plus assidûment, Henriette. D'ailleurs, lorsqu'il vient voir sa fiancée, Mme Manse la voisine, l'interpelle par : "Vé ! Voilà le Fernand d'Elle !". Il prend d'ailleurs ce pseudo pour apparaître sur la scène de l'Edorado et partage son temps entre spectacles et travaux alimentaires. Désireux d'épouser Henriette (chose faite le 4 Avril 1925), il accepte une place à la savonnerie du Fer-à-cheval qu'il gardera jusqu'au printemps 1925 et son incorporation sous les drapeaux. D'abord à Grenoble, puis à Marseille, son service militaire se déroule plutôt bien puisqu'il habite le soir chez lui.
Sa fille aînée, Josette, voit le jour le 19 Avril 1926, 3 semaines avant que Fernandel ne soit libéré de ses obligations militaires et qu'il ne retrouve une place à la savonnerie. Sa première chance, il la doit à Louis Valette, le directeur de l'Odéon, qui l'engage en remplacement de la vedette parisienne qui a été conspuée par le public. On retrouve alors le tourlourou Fernandel qui triomphe avec un répertoire dont Polin et son beau-frère sont les auteurs. C'est un triomphe auquel assiste, par hasard, le directeur français de la Paramount, Jean Faraud. Celui-ci propose à l'artiste un contrat pour se produire dans les salles Paramount pour animer les entractes. Il débute le 19 Mars 1927 à Bordeaux (où il retrouve son camarade d'école, Andrex), puis enchaîne avec Toulouse, Nice, Lille, Paris a la joie de le découvrir à Bobino en Décembre pour 12 minutes par représentation !
En octobre 1926, Fernandel commence à chanter en première partie de programme au cinéma Odéon de Marseille, lequel fait partie du circuit Paramount. Son répertoire comporte des succès d'Ouvrard (C'est beau la nature), de Polin (Elle a de la barbe) et quelques créations, dont deux chansons écrites par Jean Manse. Il est alors repéré par le directeur des établissements Paramount, qui le fait engager pour l'ensemble du circuit de ces cinémas[8].
Débuts parisiens
Le , il monte à Paris et se produit à Bobino. Devant le succès de cette prestation, il signe dès le lendemain un contrat de dix-neuf semaines pour le circuit des cinémas Pathé de Paris. Malgré la mort de son père le , il poursuit sa carrière de comique à Paris. Installé dans un modeste hôtel de Ménilmontant, rue Pelleport, il débute à l'Élysée-Palace de Vichy. C'est là qu'Henri Varna, directeur du Casino de Paris et du théâtre Mogador le voit et l'engage pour la revue d'hiver du concert Mayol, revue déshabillée à succès de l'époque réunissant le tout-Paris. Fernandel et Parisys y interprètent trois sketches intercalés entre les numéros de danse. Le réalisateur Marc Allégret qui y assiste est frappé par le physique et la personnalité de Fernandel ; il décide de lui offrir le rôle d'un groom dans le film qu'il prépare avec Sacha Guitry Le Blanc et le Noir[3]. 1930 marque ainsi le début de la carrière cinématographique de Fernandel.
L'année suivante en 1931 Jean Renoir lui offre un rôle plus important aux côtés de Michel Simon dans On purge bébéd'après la pièce de Georges Feydeau. Cette même année, il « croise » Jean Gabin dans le film Cœur de lilas et dans le film Paris Béguin . L'année suivante, il est pour la première fois la vedette d'un film Le Rosier de madame Husson de Dominique Bernard-Deschamps d'après une nouvelle de Guy de Maupassant.
Vedettariat
Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque, Un de la légion et François Ier (1936), Josette (1937, film dans lequel joue à ses côtés sa fille aînée), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz (1938), La Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951).
Les succès cinématographiques n'empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en film par la suite. Certaines des chansons qui y sont interprétées deviennent des « tubes », comme Ignace, Simplet ou Félicie aussi.
En 1937, il publie ses premiers mémoires en feuilletons qui s'arrachent dans le quotidien communiste Ce soir[9].
En 1939, à la suite de la déclaration de guerre à l'Allemagne, il est mobilisé pendant la « drôle de guerre » à Marseille dans le 15e escadron du train des équipages, caserne d'Aurelles. Il est cantonné dans la cour de son unité après avoir provoqué une émeute lors de son premier tour de garde[10], puis démobilisé à la suite de la signature de l'armistice. Il a entre temps enregistré Francine (1939), chanson très engagée contre la propagande allemande.
Don Camillo
Ses films des années 1940 seront peu marquants, essentiellement tournés pour la Continental-Films[11],[12]. Comme nombre d'artistes sous l'Occupation, il continue de chanter dans des cabarets, se fait applaudir au Grand Casino et au Casino des Fleurs de Vichy et fredonne sur Radio Paris[13],[14]. Dans les années 1950, il retrouve le succès grâce à des films comme L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara, Ali Baba et les Quarante voleurs (1954) de Jacques Becker ainsi que La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil tourné en 1959.
Mais c'est surtout la série des Don Camillo, tirés de l'œuvre de Giovannino Guareschi dans laquelle le curé et le maire communiste d'un petit village italien se livrent à une lutte d'influence feutrée et dont son interprétation bon enfant, en ces temps de guerre froide, assoit sa notoriété. Il en tourne six films : Le Petit Monde de don Camillo (1951) et Le Retour de don Camillo (1953) de Julien Duvivier, puis, avec d'autres réalisateurs, La Grande Bagarre de don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les Contestataires, qu'il commence en 1970 mais ne pourra achever en raison d'un cancer qui va l'emporter l'année suivante.
Entretemps, un Fernandel de cire en Don Camillo dans son confessionnal avait été hébergé en bonne place au Musée Grévin
Le 18 janvier 1953 alors qu'il était à Rome avec sa fille Jeanine, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape ».
Autres activités
Réalisateur de trois de ses films (Simplet en 1942, Adrien en 1943 et sur un scénario de Sacha Guitry : Adhémar ou le Jouet de la fatalité en 1951), il fonde en 1963 avec Jean Gabin la société de production Gafer[15]. Leur première production sera L'Âge ingrat de Gilles Grangier.
Fernandel a également remporté un grand succès avec les enregistrements discographiques des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet (La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de maître Cornille, etc.); Grand prix du disque de l'académie Charles-Cros.
Décès
Fernandel est atteint d'un cancer, mais sa famille lui cache la gravité de son état jusqu'à la fin. Le 26 février 1971, épuisé par son cancer généralisé, il meurt dans son lit d'un arrêt cardiaque, dans son somptueux appartement tout en marbre au 44 de l'avenue Foch à Paris[16]. Il est inhumé au cimetière de Passy[1].
Il était propriétaire d'une villa à Carry-le-Rouet et d'une vaste demeure à Marseille, « Les Mille Roses » sur l'avenue des Trois-Lucs[17].
Vie privée
Le , à 22 ans, il épouse Henriette Félicie Manse (1902-1984), la sœur de son ami, le parolier Jean Manse[1]. Ils auront trois enfants : Josette en 1926, Janine en 1930 et Franck en 1935. C'est à la mère d'Henriette que fut attribuée l'origine de son pseudonyme « Fernandel », celle-ci, voyant le jeune Fernand si empressé auprès de sa fille dit en riant : « Fernand d'elle... », phrase qui fit immédiatement mouche et fut adoptée par le comédien pour en faire son nom de scène[3]. Cependant il est aussi probable que Fernandel vienne directement du provençal, qui signifie « petit Fernand ». Il effectue son service militaire un mois après son mariage. Affecté au 93e régiment d'artillerie de montagne de Grenoble, il est libéré le 29 avril 1926.
Les journaux à sensation, généralement friands de scandales autour des célébrités, ne débusquèrent jamais d'anomalie sur la vie privée de Fernandel. À tel point que l'un d'entre eux titra un jour "La femme cachée de Fernandel" dans un beau geste d'autodérision, cette femme étant bien entendu... la sienne, que jamais il ne mettait tapageusement en avant. Jean Gabin s'exprime dans une de ses dernières interviews sur la solidité morale de Fernandel dans tous les domaines, y compris amitié et affaires, qu'il cite avec admiration[18].
Filmographie
Avec Louis de Funès, Bourvil et Jean Gabin, Fernandel fait partie des acteurs français ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs dans les salles : environ 202 millions entre 1945 et 1970[19]. Ses films ayant eu la plus grosse audience sont :
- 1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : 12,79 millions d'entrées
- 1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : 8,84 millions d'entrées
- 1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : 7,42 millions d'entrées
- 1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier avec Bourvil : 6,39 millions d'entrées
Box-office France
Liste des 62 films avec Fernandel ayant attiré au moins 1 million de spectateurs en France depuis 1945 (la liste ne prend pas en compte ses multiples succès millionnaires d'avant 1945).
Sources : Filmographie de Fernandel 1 et Filmographie de Fernandel 2 pour le nombre d'entrées de chaque film, et jpbox-office.com, Bilan annuel pour le n°1 du box-office annuel.
Discographie
Distinctions
- 1914 : Second au concours Comœdia de la chanson organisé au théâtre du Châtelet de Marseille (devenu Capitole) derrière un certain Larquet, mais lui permettant néanmoins de débuter au cabaret du Palais de cristal
- 1949 : Grand prix du rire pour On demande un assassin
- 1952 : Ruban d'argent du meilleur acteur étranger dans un film italien décerné par le syndicat des critiques cinématographiques italiens
- 1952 : Victoire du meilleur acteur pour Le Petit Monde de don Camillo
- 1953 : chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur (introduit par Marcel Pagnol)
- 1953 : chevalier dans l'ordre national du Mérite
- 1953 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
- 1954 : médaille de l'acteur le plus populaire en Belgique (puis 9 Oscars de la popularité en Belgique wallonne)
- 1954 : Léopard d'or au Festival de Locarno 1954 grâce à ses six rôles dans Le Mouton à cinq pattes
- 1957 : citoyen d'honneur de la ville de Cassino (Italie)
- 1960 : chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres
- 1960 : Oscar européen de la popularité
- 1964 : prix Georges-Courteline de l'humour remis par son colauréat Bourvil
- 1964 : prix Orange de l'acteur le plus coopératif de l'année par la presse
- 1964 : Orphée d'or du disque lyrique pour Mam'zelle Nitouche
- 1967 (7 décembre) : Invité du général de Gaulle au palais de l'Élysée pour une réception officielle en compagnie d'autres artistes français.
- 1968 : Intronisation au Grand Conseil des vins de Bordeaux
- 1968 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin
- 1970 : prix remis lors de la Nuit du cinéma par Claude Dauphin
Citations
- Fernandel : « Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. » (cité par Raymond Castans, Fernandel m'a raconté, 1976)
- Fernandel à propos de son personnage de don Camillo : « Si je l'ai aimé ? Pensez donc ! J'avais Dieu comme partenaire. »[20]
- Marcel Pagnol à propos de Fernandel : « Il possède le don de faire rire des êtres qui ont tant de raisons de pleurer. »
- Sacha Guitry : « Moi on m'admire, vous on vous aime. »[21]
- Charles de Gaulle à son propos, l'ayant invité le au Palais de l'Élysée devant un parterre de notables : « C'est le seul Français qui soit dans le monde plus célèbre que moi ! »
Notes et références
- (fr) Biographie sur fernandel.online.fr
- Le général de Gaulle présentant Fernandel lors d'une réception au palais de l'Élysée le 3 mai 1968. Source : Jacques Lorcey, Fernandel, Éditions Ramsay 1990, ISBN 2859568808, p.126.
- Biographie accompagnant Les Disques d'or de Fernandel
- Jacques Lorcey, Fernandel, Éditions Ramsay, , p. 28
- Fernandel, saute-ruisseau à la BNC - Notice biographique dans Source d'Histoire de BNP Paribas
- Jacques Lorcey, op. cité, p.21
- Fernandel et le music hall marseillais (INA)
- Fernandel
- André Ughetto, « Fernandel », émission La Marche de l'Histoire sur France Inter 7 septembre 2012
- Valeurs actuelles n°3783, p. 77.
- Le Cinéma français sous l'occupation sur diplomatie.gouv.fr
- L'Occupation sans relâche, documentaire d'Yves Riou en 2010
- Aurélie Moreau, « Entre ambivalence et opportunisme », sur La Libre Belgique,
- Jacques Lorcey, op. cité, p. 51
- (fr) « Fernandel, biographie et filmographie », sur encinematheque.net (consulté le )
- Jacques Lorcey, op. cité, p. 115
- Jacques Lorcey, op. cité, p. 43
- Gabin parle de Fernandel
- Box office de Fernandel entre 1945 et 1970 sur jpbox-office.com
- Archine INA Fernandel "Don Camillo, le rôle de ma vie"
- J.-J. Jelot-Blanc, Fernandel : Quand le cinéma parlait provençal (1981)
Annexes
Documentaires
- 1991 : André Halimi, Fernandel, de père en fils : Fernandel raconté par son fils, 25'
- 1996 : Jacques Pessis, Fernandel, 90'
- 2004 : Fernandel raconté par Franck et Vincent Fernandel, interviewés par Patrick Plessis, 60' (TVOR/Médiaset/StudioCanal)
Bibliographie
- Les Merveilleuses aventures de Fernandel, Laurel et Hardy, etc., éd. SEINE, 1946 (bande dessinée brochée)
- Carlo Rim, Fernandel, coll. Masques et Visages, Calmann-Levy, 1952
- Jacques Lorcey, Fernandel, Anthologie du cinéma, l'Avant-Scène, Paris, 1973
- Raymond Castans, Fernandel m'a raconté, Éditions de la Table ronde, 1976
- J.-J. Jelot-Blanc, Fernandel : Quand le cinéma parlait provençal, éd. Alain Lefeuvre, 1981 (ISBN 2-902639-62-7)
- Jacques Lorcey, Fernandel, PAC, Paris, 1981.
- Jacques Lorcey, Fernandel, coll. « Ramsay cinéma », Ramsay, Paris, 1990 (ISBN 2-85956-880-8)
- Frédéric Valmont, Fernandel : Le Rire de la canebière, Didier Carpentier, 2009
- André Ughetto, Fernandel : Le Rire aux larmes, Hoëbecke, 2012
Liens externes
- Ouvrages de référence sur fernandel.online.fr
- Personnalité provençale du XXe siècle
- Comique troupier
- Acteur français
- Chanteur français du XXe siècle
- Réalisateur français
- Humoriste français
- Narrateur de livre audio
- Artiste de la maison de disques Odéon
- Nom de scène
- Chevalier de la Légion d'honneur
- Chevalier de l'ordre national du Mérite
- Chevalier des Arts et des Lettres
- Personnalité liée à Marseille
- Mononyme
- Naissance en mai 1903
- Naissance à Marseille
- Décès en février 1971
- Décès à 67 ans
- Décès à Paris
- Personnalité enterrée au cimetière de Passy
- Mort d'un cancer du poumon