Saint-Amand-les-Eaux
Saint-Amand-les-Eaux | |
L'Échevinage. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Hauts-de-France |
Département | Nord |
Arrondissement | Valenciennes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut |
Maire Mandat |
Alain Bocquet (PCF) 2014-2020 |
Code postal | 59230 |
Code commune | 59526 |
Démographie | |
Gentilé | Amandinois |
Population municipale |
16 654 hab. (2014) |
Densité | 493 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 26′ 55″ nord, 3° 25′ 41″ est |
Altitude | Min. 14 m Max. 39 m |
Superficie | 33,81 km2 |
Élections | |
Départementales | Saint-Amand-les-Eaux |
Localisation | |
Liens | |
Site web | saint-amand-les-eaux.fr |
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Saint-Amand-les-Eaux (prononcé [sɛ̃.t‿a.mɑ̃ lɛ.z‿o]) est une commune française située dans le département du Nord, en région Nord-Pas-de-Calais. Saint-Amand-les-Eaux et la Scarpe marquent la limite Est de la Flandre française.
Géographie
Le site de Saint-Amand-les-Eaux correspond à de petites collines sableuses à proximité de la confluence de la Scarpe et du Décours. Principale ville de la Plaine de la Scarpe, elle est située à environ 10 km au nord-ouest de Valenciennes (chef-lieu d’arrondissement), à environ 35 km au sud-est de Lille (chef-lieu de département et de région) et à environ 20 km au sud de Tournai (province de Hainaut, Belgique).
Saint-Amand-les-Eaux se trouve quasiment au cœur du Parc naturel régional Scarpe-Escaut, qui regroupe 48 communes (43 000 hectares et 162 000 habitants) et s’est associé avec le Parc naturel des Plaines de l'Escaut (province de Hainaut, Belgique), en un Parc naturel transfrontalier du Hainaut.
La Maison du Parc naturel régional Scarpe-Escaut, siège social, est située à Saint-Amand-les-Eaux.
Communes limitrophes
Toponymie
Monsaterium Elnonense Sancti Amandi. Elnonensis urbs, abatia. Helno, Villa Helnonis. Amandopolis in pabula. Divi Amandi oppidium. Saint Amand-en Pévèle. Elnon libre [1].
St-Amands-a/d-Skarpe en flamand[2].
Dénominations
Selon le site Web de la ville, Saint-Amand, outre le nom d'Elnon[3], datant de l’époque mérovingienne, a également porté le nom de Saint-Amand-en-Pévèle (du latin in pabula, signifiant « dans un pays de pâturages »), sans précision quant à l’époque de cette dénomination ni à sa durée exacte. On trouve l'inscription Sancti Amandi in Pabula sur le blason de la ville. Durant la période révolutionnaire, à la demande des autorités et par décret du 25 vendémiaire an II - 16 octobre 1793), comme beaucoup de communes de France dont le nom tient alors d'une connotation d'ancienne noblesse ou religieuse, Saint-Amand prend le nom de Elnon-libre.
Malte-Brun, dans la France illustrée (1882) lui donne le nom de Saint-Amand, tout en mentionnant déjà l’existence d’une dénomination alternative Saint-Amand-les-Eaux.
La commune a officiellement pris le nom de Saint-Amand-les-Eaux le 16 mai 1962, à la suite d’un décret du 10 mai précédent paru au Journal officiel le 15 mai.
Histoire
Section tirée de la France illustrée, tome III, de Victor Adolphe Malte-Brun (1882)
Antiquité
- La Fontaine Bouillon[4]
La remise en service de la source thermale en 1697 provoqua la découverte d'un site antique. On observa la présence de nombreuses pièces de bois et de plus de deux cents statues du même matériau, longues de plus de trois mètres. Elles étaient placées sur des lits de planches et certaines représentaient des guerriers casqués armés de lances ou des personnages en robes longues. On y trouvait des monnaies de César, Auguste, Néron, Vespasien et Trajan. Un chemin assurait un accès au lieu, qui semble avoir été un sanctuaire de source orné d'ex-voto en bois, comparable aux bois sculptés des sources de la Seine ou à la source des Roches à Chamalières. Des statuettes de Pan, Cupidon et Mercure ainsi qu'un autel en bronze orné de Romulus et Rémus et diverses monnaies antiques furent découverts en 1743.
- Vicus Helena[5]
En 448, un corps de soldats romains où se trouvait le futur empereur Majorien défit des Francs réunis à un mariage, dans ce qui fut appelé la bataille du Vicus Helena. L'événement fut rapporté par Sidoine Apollinaire[6]. Certains historiens le situent à Elnon, sur la base de l'analyse des déplacements des Francs sur l'axe Tournai/Cambrai et d'une confusion entre Helena et Elnona (Elnon) de la part de Sidoine Apollinaire.
Haut Moyen Âge
Au VIIe siècle de notre ère, ce n’était qu’un village connu sous le nom d’Elnon. Dagobert, ce roi mérovingien grand ami du clergé, en fit don à saint Amand. Celui-ci, pour conquérir à la foi chrétienne les peuplades encore éparses [Note 1] dans les vastes forêts de la Flandre, y fonda un monastère ; il en fut le premier abbé et lui donna son nom. Ainsi fut formée, du village et du monastère, la petite ville de Saint-Amand. L’abbaye ne tarda pas à devenir importante, et, sous la dynastie carolingienne [Note 2], son école monastique jouissait d’une grande réputation et était fréquentée par un grand nombre de jeunes gens qui venaient de bien loin y apprendre la lecture, la grammaire et l’écriture.
Sa célébrité lui avait valu de grandes richesses ; mais, en 880, les Normands envahisseurs, sous la conduite de leur roi Bigier et d’un autre chef fameux nommé Hasting, se répandirent le long des rives de la Scarpe et de l’Escaut. À leur approche, on transporta dans l’église de Sainte-Marie de Douai, pour le soustraire à la profanation, le corps de saint Amand. Ce corps de l’un des premiers et des plus célèbres apôtres de la Belgique était l’objet d’une profonde vénération ; les peuples attachaient un grand prix à le conserver, surtout depuis que l’abbé Lanthaire en avait fait la levée en l’année 840, c’est-à-dire cent cinquante ans après l’inhumation du saint, et qu’on l’avait trouvé entièrement conservé, ce que la piété des fidèles attribuait à un miracle. Les Normands pillèrent et incendièrent l’abbaye ; le roi Louis III accourut, mais trop tard, à la défense du pays, poursuivit les pillards, les atteignit près de Saucourt-en-Vimeu et les battit.
Moyen Âge
Le monastère de Saint-Amand sortit bientôt de ses ruines ; la munificence des rois et des barons, le défrichement qu’opérèrent les religieux et les serfs lui rendirent bientôt les richesses qu’il avait perdues, et sa prospérité était devenue si grande, que les abbés reconnaissants furent des premiers à accorder aux habitants du bourg de Saint-Amand des lois et des franchises communales. En 1340, au commencement de la guerre de Cent ans, le comte Jean de Hainaut [Note 3], allié des Anglais, mit le feu à l’abbaye et à la ville, après en avoir massacré tous les habitants alliés du roi de France, pour se venger des bourgeois et de la garnison qui avaient dévasté sa bonne ville d’Hasnon.
En 1477, la ville s’étant déclarée prématurément, à la mort de Charles le Téméraire, pour Louis XI, la duchesse Marie de Bourgogne la fit investir et saccager. Devenue française, le prince de Ligne s’en empara, en 1521, au nom de l’heureux rival de François Ier, l’empereur Charles-Quint ; les Français s’en rendirent maîtres de nouveau sous Louis XIII ; enfin, en 1667, elle fut définitivement cédée à la France par le traité d’Utrecht [Note 4].
Époque moderne
En 1793, Dumouriez, après avoir évacué le territoire belge, établit son quartier général à Saint-Amand ; il y fit arrêter les commissaires que la Convention lui avait envoyés. C’est de là aussi qu’il partit pour passer à l’ennemi et ternir par cette inconcevable trahison les glorieux lauriers de Valmy.
Durant la Première Guerre mondiale, le 24 août 1914, l'arrivée des Allemands entraîne le départ d'habitants réfugiés notamment dans les Alpes-Maritimes[7].
Son abbaye, reconstruite au milieu du XVIIe siècle, subsista jusqu’à la Révolution ; l’église avait été en partie rebâtie en 1634 ; le voyageur en admire encore aujourd’hui la tour élancée, qui sert d’horloge publique, de beffroi et de musée. Elle est construite en grès et en pierre blanche, sculptée de la base au faîte ; sa hauteur est d’environ 100 mètres, et l’on arrive au sommet par un étroit escalier de 450 marches.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Jumelages
- Andernach (Allemagne) depuis 1959
- Dimona (Israël) depuis 1966
- Tivoli (Italie) depuis 2001
- Irvine (Écosse) (Écosse)[11]
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[12],[Note 5].
En 2014, la commune comptait 16 654 habitants, en évolution de −0,47 % par rapport à 2009 (Nord : +1,23 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Pyramide des âges
Sports
- En 2008, les clubs de basket-ball féminin de Saint-Amand-les-Eaux (Union Saint-Amand Porte du Hainaut) et Valenciennes (USVO) fusionnent pour former le Hainaut Basket. Après le désistement de Valenciennes, le nom de la ville thermale est inclus dans le nom du club. Il évolue pour la saison 2013 – 2014 en LFB après avoir été relégué puis repêché, à la suite des problèmes financiers d'Aix-en-Provence et Perpignan. Rebaptisé Saint-Amand Hainaut Basket, le club termine en neuvième position.
- En 2013, le club de tennis masculin est champion des Interclubs DN1A (deuxième division nationale), et a joué les Interclubs 2014 au plus haut niveau.
- Handball : l'équipe Seniors féminine joue en Nationale 1, et l'équipe Seniors masculine en championnat régional.
- Les championnats de France de cyclisme sur route 2012 (épreuves élites messieurs, amateurs et dames) ont eu lieu dans la ville.
- La ville a également terminé en 1re place du jeu télévisé Intervilles, en 2013.
Économie
Économie au XVIIIe siècle
- À partir de 1705, la céramique de Saint-Amand-les-Eaux.
Économie en 1882
Malte-Brun relevait, en 1882, dans l’article de la France illustrée consacré à Saint-Amand, une aciérie, des sucreries, une fabrique de clous, une fabrique de bonneterie de laine et de coton, une fabrique de chaînes-câbles, une manufacture de porcelaine, des tanneries, des distilleries, des moulins, des savonneries et des fabriques d’huile.
Il relevait également un commerce de chanvre, de bois de construction et de charbon.
Pour terminer, il citait, sur le territoire de la commune, une forêt domaniale de « 3 400 hectares », soit plus que la superficie actuelle de la commune. Peut-être cette superficie incluait-elle des sections forestières implantées sur les territoires d'une ou plusieurs autres communes ?
Économie en 1935
Il existait également en 1935 une usine de fabrication de moteurs Aubier&Dunne 540 cmc, deux temps, deux cylindres, refroidissement par air dont un type spécial pour les avions Pou-du-ciel.
Économie en 1964
Un célèbre dictionnaire encyclopédique citait, en 1964 :
- industrie métallurgiques (laminage, tréfilage, chaudronnerie, chaînes d’ancre, galvanisation, moteurs) ;
- industrie textile (bonneterie) ;
- fabrique de céramiques et faïencerie ;
- tannerie.
La faïencerie de Saint-Amand avait été fondée aux alentours de 1740 par Pierre Joseph Fauquez, qui venait de Tournai. La marque de fabrique des faïences de Saint-Amand est symbolisée par un entrelacement complexe des initiales du nom du fondateur et de celui de la ville (P. F. et S. A.).
Économie en 2006
- Industrie agroalimentaire (eau minérale Saint-Amand, brasserie de Saint-Amand) ;
- Industrie pharmaceutique (GlaxoSmithKline) ;
- Le casino, nommé Pasino (groupe Partouche) ;
- L'équipementier Delos Industries (racheté par le fonds d'investissement Green Recovery, qui l'a revendu en août 2007 à ABRF).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Lieux d'origine civile
- Brasserie Bouchart (milieu du XIXe siècle - début XXe siècle) ;
- Hôtel de ville ;
- Gare de Saint-Amand-les-Eaux ;
- Thermes de Saint-Amand-les-Eaux
- Théâtre municipal.
- La Tour Abbatiale
- Echevinage
Lieux d'origine catholique
Saint-Amand est pourvu de nombreux lieux catholiques ou d'origine catholique.
- La ville est dotée de l'abbaye d'Elnon, maintenant démantelée, mais dont il reste le prieuré (ou échevinage) et la tour de l’ancienne église abbatiale (classée aux Monuments historiques depuis 1846) actuellement musée consacré à l'art de la céramique et à l'art religieux ;
- Abbaye de Notre-Dame-de-la-Paix ;
- Église paroissiale Saint-Martin, reconstruite en 1783 ;
- Église paroissiale Sainte-Thérèse ;
- Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.
Établissement thermal et minéral, qui a valu à la ville la deuxième partie de nom. On y compte quatre sources : la Fontaine-Bouillon, le Pavillon-Ruiné, la Petite-Fontaine et la Fontaine de l’Évêque-d’Arras.
Outre les eaux de source, la station est également renommée pour ses bains de boue à l'odeur sulfureuse.
- En 50 av. J.-C. les vertus des sources étaient déjà connues des Romains, qui avaient bâti des thermes sur le site. Négligées puis abandonnées durant le Moyen Âge, les sources furent « redécouvertes » par le maréchal de Boufflers, qui fit exécuter d’importants travaux de réfection et de captage des eaux.
- En 1689 Jean Racine fit un éloge des eaux thermales de Saint-Amand en ces termes : « J'espère que nous pourrons nous trouver lui et moi à Saint-Amand le printemps prochain; car on a en tête que ces eaux-là me sont très bonnes aussi bien qu'à lui. M. de Cavoie s'en est trouvé à merveille et on me demande qu'il ne s'est jamais porté si bien qu'il fait et qu'il a repris, non seulement sa santé, mais même toute sa gaieté »[17].
- Au XVIIe siècle elle est déclarée « eau miraculeuse ».
- 1927 : mise en bouteille.
- 1971 : mise en bouteille PVC.
- 1991 : jumelage avec la ville thermale italienne de Tivoli en raison de leur activité thermale bimillénaire mise en place par les Romains.
Il a été question d'exploitation géothermique de la nappe, ce qui pourrait éventuellement interférer avec les autres usages de l'eau. L'eau peut être légèrement radioactive à certaines profondeurs[18]
Personnalités liées à la commune
- Saint Amand, mort en 679 à Saint-Amand.
- Jean Second (1511-1536), poète néolatin décédé à Saint-Amand, où il est enterré.
- Alexandre Dubois, prêtre jansénisant.
- Pierre Joseph Fauquez, (+1741) dans la commune, échevin de la ville et créateur de la faïencerie Fauquez, à Saint-Amand en 1718. Inhumé à Tournai.
- Casimir Davaine (1812-1882), né à Saint-Amand-les-Eaux, médecin.
- Louise Nicolle (1847-1889), née a Saint-Amand-les-Eaux, créatrice d'un patronage pour les jeunes filles indigentes.
- Henri-Edmond Canonne (1867-1961), né à Saint-Amand-les-Eaux, pharmacien français et collectionneur d'art, inventeur de la pastille Valda.
- Georges Raviart (1875-1956), médecin spécialisé dans les affections psychiatriques.
- Louise de Bettignies (1880-1918), résistante.
- Georges Donnez (1922-2001), avocat, maire (1953-1995), conseiller général (1958-2001), député (1973-1978), parlementaire européen (1979-1989) socialiste, puis PSD (réformateur, centriste puis UDF), homme politique connu du grand public par sa participation à l'émission de télévision Intervilles.
- Pierre Lorthioir (1937-2010), artiste-peintre, né à Saint-Amand-les-Eaux.
- Jacques Guiot (1945-), coureur cycliste, né à Saint-Amand-les-Eaux.
- Christian Edziré Déquesnes (1956-), chanteur, revuiste et poète français d'expression picarde, vit à Saint-Amand.
- Cécile Nowak (1967-), judokate.
Héraldique
Les armes de la commune de Saint-Amand-les-Eaux se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
Bibliographie
- René Fruit, la Croissance économique du pays de Saint-Amand (Nord), 1668-1914. Paris : Armand Colin, 1963. 455 pages. (Ouvrage lié à l'École pratique des hautes études. VIe section. Centre d'études économiques. Études et mémoires no 55)
- Anne-Marie Dervaux, Saint-Amand-les-Eaux. Saint-Cyr-sur-Loire : Éditions A. Sutton, coll. « Mémoire en images », 2004. 128 pages.
- Hervé Leroy, Saint-Amand-les-Eaux, l'élan des rêves. Photographes : Jean-Pierre Duplan, Delphine Lermite, Eric Le Brun. Préface : Patrick Besson. Éditions Light Motiv (59110 La Madeleine), coll. « Passages en ville », 2012. 136 pages.
Articles connexes
- Liste des communes du Nord
- Flandre française
- Bassin versant de l'Escaut
- Armorial des communes du Nord
- Musée municipal de la tour abbatiale de Saint-Amand-les-Eaux
- Céramique de Saint-Amand-les-Eaux
- Gare de Saint-Amand-les-Eaux
- Tramway de Valenciennes
- Géants du Nord
- Saint-Amand PH (basket-ball féminin - LFB)
Liens externes
- Site de la mairie
- Site du parc naturel régional Scarpe-Escaut
- Saint-Amand-les-Eaux sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Vision chrétienne des choses
- Dynastie carolingienne
- Malte-Brun semble faire une confusion ici
- Malte-Brun fait une grossière confusion : le retour de la ville à la couronne française a été fait par le traité d'Aix-la-Chapelle (en 1668).
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Page 429 - Statistique archéologique du Département du Nord - seconde partie - 1867- Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris - archive du Harvard College Library - numérisé par Google Books.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Du nom de la petite rivière Elnon qui conflue avec le Décours
- Roland Delmaire, Germaine Leman-Delerive, Claude Seillier, Patrick Thollard, Carte archéologique de la Gaule, 59. Nord, (ISBN 2-87754-048-0 et 978-2-87754-048-3), 526 - Saint-Amand-les-Eaux, p. 381-382.
- Roland Delmaire, Germaine Leman-Delerive, Claude Seillier, Patrick Thollard, Carte archéologique de la Gaule, 59. Nord, (ISBN 2-87754-048-0 et 978-2-87754-048-3), p. 74
- Sidoine Apollinaire, Carmina, V, 212 sq
- Archives départementales des Alpes-Maritimes, E dépôt Valbonne E 21/151
- « Les maires de Saint-Amand-les-Eaux », sur http://www.francegenweb.org (consulté le )
- « M. Alain Bocquet », sur http://www.assemblee-nationale.fr (consulté le )
- « Comme en 2008, Alain Bocquet ne laisse que des miettes à ses concurrents avec ses 75 % », L'Observateur du Valenciennois, no 706, , p. 11.
- http://www.irvineharbour.com/History/tabid/276/Default.aspx
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Évolution et structure de la population à Saint-Amand-les-Eaux en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- source Voix du Nord du 25/04/2008
- Gérard Dassonville ; d'exploitation des ressources géothermales à St Amand-les-Eaux (Nord) ; Journal français d'hydrologie (Eur. j. water qual.) Volume 13, Numéro 1, 1982, Pages 23 à33 ; DOI: 10.1051/water/19821301023, en ligne : 09 novembre 2010
- http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59526