Aller au contenu

Saint-Amand-les-Eaux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 18 août 2016 à 15:54 et modifiée en dernier par 80.15.15.142 (discuter). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Saint-Amand-les-Eaux
Saint-Amand-les-Eaux
L'Échevinage.
Blason de Saint-Amand-les-Eaux
Blason
Saint-Amand-les-Eaux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire
Mandat
Alain Bocquet (PCF)
2014-2020
Code postal 59230
Code commune 59526
Démographie
Gentilé Amandinois
Population
municipale
16 654 hab. (2014)
Densité 493 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 26′ 55″ nord, 3° 25′ 41″ est
Altitude Min. 14 m
Max. 39 m
Superficie 33,81 km2
Élections
Départementales Saint-Amand-les-Eaux
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Amand-les-Eaux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Amand-les-Eaux
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Saint-Amand-les-Eaux
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte administrative du Nord
Saint-Amand-les-Eaux
Liens
Site web saint-amand-les-eaux.fr

Saint-Amand-les-Eaux (prononcé [sɛ̃.ta.mɑ̃ lɛ.zo]) est une commune française située dans le département du Nord, en région Nord-Pas-de-Calais. Saint-Amand-les-Eaux et la Scarpe marquent la limite Est de la Flandre française.

Géographie

Le site de Saint-Amand-les-Eaux correspond à de petites collines sableuses à proximité de la confluence de la Scarpe et du Décours. Principale ville de la Plaine de la Scarpe, elle est située à environ 10 km au nord-ouest de Valenciennes (chef-lieu d’arrondissement), à environ 35 km au sud-est de Lille (chef-lieu de département et de région) et à environ 20 km au sud de Tournai (province de Hainaut, Belgique).

Saint-Amand-les-Eaux se trouve quasiment au cœur du Parc naturel régional Scarpe-Escaut, qui regroupe 48 communes (43 000 hectares et 162 000 habitants) et s’est associé avec le Parc naturel des Plaines de l'Escaut (province de Hainaut, Belgique), en un Parc naturel transfrontalier du Hainaut.

La Maison du Parc naturel régional Scarpe-Escaut, siège social, est située à Saint-Amand-les-Eaux.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Saint-Amand-les-Eaux
Lecelles Nivelle Bruille-Saint-Amand
Rosult Saint-Amand-les-Eaux
Millonfosse Hasnon Raismes

Toponymie

Monsaterium Elnonense Sancti Amandi. Elnonensis urbs, abatia. Helno, Villa Helnonis. Amandopolis in pabula. Divi Amandi oppidium. Saint Amand-en Pévèle. Elnon libre [1].
St-Amands-a/d-Skarpe en flamand[2].

Dénominations

Selon le site Web de la ville, Saint-Amand, outre le nom d'Elnon[3], datant de l’époque mérovingienne, a également porté le nom de Saint-Amand-en-Pévèle (du latin in pabula, signifiant « dans un pays de pâturages »), sans précision quant à l’époque de cette dénomination ni à sa durée exacte. On trouve l'inscription Sancti Amandi in Pabula sur le blason de la ville. Durant la période révolutionnaire, à la demande des autorités et par décret du 25 vendémiaire an II - 16 octobre 1793), comme beaucoup de communes de France dont le nom tient alors d'une connotation d'ancienne noblesse ou religieuse, Saint-Amand prend le nom de Elnon-libre.

Malte-Brun, dans la France illustrée (1882) lui donne le nom de Saint-Amand, tout en mentionnant déjà l’existence d’une dénomination alternative Saint-Amand-les-Eaux.

La commune a officiellement pris le nom de Saint-Amand-les-Eaux le 16 mai 1962, à la suite d’un décret du 10 mai précédent paru au Journal officiel le 15 mai.

Histoire

Section tirée de la France illustrée, tome III, de Victor Adolphe Malte-Brun (1882)

Antiquité

  • La Fontaine Bouillon[4]

La remise en service de la source thermale en 1697 provoqua la découverte d'un site antique. On observa la présence de nombreuses pièces de bois et de plus de deux cents statues du même matériau, longues de plus de trois mètres. Elles étaient placées sur des lits de planches et certaines représentaient des guerriers casqués armés de lances ou des personnages en robes longues. On y trouvait des monnaies de César, Auguste, Néron, Vespasien et Trajan. Un chemin assurait un accès au lieu, qui semble avoir été un sanctuaire de source orné d'ex-voto en bois, comparable aux bois sculptés des sources de la Seine ou à la source des Roches à Chamalières. Des statuettes de Pan, Cupidon et Mercure ainsi qu'un autel en bronze orné de Romulus et Rémus et diverses monnaies antiques furent découverts en 1743.

  • Vicus Helena[5]

En 448, un corps de soldats romains où se trouvait le futur empereur Majorien défit des Francs réunis à un mariage, dans ce qui fut appelé la bataille du Vicus Helena. L'événement fut rapporté par Sidoine Apollinaire[6]. Certains historiens le situent à Elnon, sur la base de l'analyse des déplacements des Francs sur l'axe Tournai/Cambrai et d'une confusion entre Helena et Elnona (Elnon) de la part de Sidoine Apollinaire.

Haut Moyen Âge

Au VIIe siècle de notre ère, ce n’était qu’un village connu sous le nom d’Elnon. Dagobert, ce roi mérovingien grand ami du clergé, en fit don à saint Amand. Celui-ci, pour conquérir à la foi chrétienne les peuplades encore éparses [Note 1] dans les vastes forêts de la Flandre, y fonda un monastère ; il en fut le premier abbé et lui donna son nom. Ainsi fut formée, du village et du monastère, la petite ville de Saint-Amand. L’abbaye ne tarda pas à devenir importante, et, sous la dynastie carolingienne [Note 2], son école monastique jouissait d’une grande réputation et était fréquentée par un grand nombre de jeunes gens qui venaient de bien loin y apprendre la lecture, la grammaire et l’écriture.

Sa célébrité lui avait valu de grandes richesses ; mais, en 880, les Normands envahisseurs, sous la conduite de leur roi Bigier et d’un autre chef fameux nommé Hasting, se répandirent le long des rives de la Scarpe et de l’Escaut. À leur approche, on transporta dans l’église de Sainte-Marie de Douai, pour le soustraire à la profanation, le corps de saint Amand. Ce corps de l’un des premiers et des plus célèbres apôtres de la Belgique était l’objet d’une profonde vénération ; les peuples attachaient un grand prix à le conserver, surtout depuis que l’abbé Lanthaire en avait fait la levée en l’année 840, c’est-à-dire cent cinquante ans après l’inhumation du saint, et qu’on l’avait trouvé entièrement conservé, ce que la piété des fidèles attribuait à un miracle. Les Normands pillèrent et incendièrent l’abbaye ; le roi Louis III accourut, mais trop tard, à la défense du pays, poursuivit les pillards, les atteignit près de Saucourt-en-Vimeu et les battit.

Moyen Âge

L'abbaye baroque de Saint-Amand

Le monastère de Saint-Amand sortit bientôt de ses ruines ; la munificence des rois et des barons, le défrichement qu’opérèrent les religieux et les serfs lui rendirent bientôt les richesses qu’il avait perdues, et sa prospérité était devenue si grande, que les abbés reconnaissants furent des premiers à accorder aux habitants du bourg de Saint-Amand des lois et des franchises communales. En 1340, au commencement de la guerre de Cent ans, le comte Jean de Hainaut [Note 3], allié des Anglais, mit le feu à l’abbaye et à la ville, après en avoir massacré tous les habitants alliés du roi de France, pour se venger des bourgeois et de la garnison qui avaient dévasté sa bonne ville d’Hasnon.

En 1477, la ville s’étant déclarée prématurément, à la mort de Charles le Téméraire, pour Louis XI, la duchesse Marie de Bourgogne la fit investir et saccager. Devenue française, le prince de Ligne s’en empara, en 1521, au nom de l’heureux rival de François Ier, l’empereur Charles-Quint ; les Français s’en rendirent maîtres de nouveau sous Louis XIII ; enfin, en 1667, elle fut définitivement cédée à la France par le traité d’Utrecht [Note 4].

Époque moderne

En 1793, Dumouriez, après avoir évacué le territoire belge, établit son quartier général à Saint-Amand ; il y fit arrêter les commissaires que la Convention lui avait envoyés. C’est de là aussi qu’il partit pour passer à l’ennemi et ternir par cette inconcevable trahison les glorieux lauriers de Valmy.

Durant la Première Guerre mondiale, le 24 août 1914, l'arrivée des Allemands entraîne le départ d'habitants réfugiés notamment dans les Alpes-Maritimes[7].

Son abbaye, reconstruite au milieu du XVIIe siècle, subsista jusqu’à la Révolution ; l’église avait été en partie rebâtie en 1634 ; le voyageur en admire encore aujourd’hui la tour élancée, qui sert d’horloge publique, de beffroi et de musée. Elle est construite en grès et en pierre blanche, sculptée de la base au faîte ; sa hauteur est d’environ 100 mètres, et l’on arrive au sommet par un étroit escalier de 450 marches.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Alain Bocquet en 2014.
Liste des maires successifs[8].
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Jules Sirot    
1919 1943 Ernest Couteaux    
1945 1947 Alfred Lemaitre PCF  
1947 mai 1953 Paul Manouvrier SFIO  
mai 1953 juin 1995 Georges Donnez SFIO puis PDS Avocat
juin 1995 En cours
(au 8 novembre 2014)
Alain Bocquet PCF Éducateur spécialisé
Député (1978[9] → )
Président de la CA Porte du Hainaut (2000 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[10]

Instances judiciaires et administratives

La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Jumelages

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[12],[Note 5].

En 2014, la commune comptait 16 654 habitants, en évolution de −0,47 % par rapport à 2009 (Nord : +1,23 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
8 0398 1788 5168 7348 9569 1189 4539 5279 520
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
10 21010 36910 57410 71611 18412 18712 04313 03813 705
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
14 45414 82813 39414 80914 72014 76214 21814 71816 674
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2014 -
17 17016 69216 19916 77617 17516 59016 73416 654-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Saint-Amand-les-Eaux en 2007 en pourcentage[15].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ans ou +
1,4 
5,5 
75 à 89 ans
11,9 
11,5 
60 à 74 ans
12,6 
21,1 
45 à 59 ans
18,8 
20,4 
30 à 44 ans
20,6 
21,8 
15 à 29 ans
18,4 
19,6 
0 à 14 ans
16,2 
Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[16].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ans ou +
0,7 
4,6 
75 à 89 ans
8,2 
10,4 
60 à 74 ans
11,9 
19,8 
45 à 59 ans
19,5 
21,0 
30 à 44 ans
19,9 
22,5 
15 à 29 ans
20,9 
21,5 
0 à 14 ans
18,9 

Sports

  • En 2013, le club de tennis masculin est champion des Interclubs DN1A (deuxième division nationale), et a joué les Interclubs 2014 au plus haut niveau.
  • Handball : l'équipe Seniors féminine joue en Nationale 1, et l'équipe Seniors masculine en championnat régional.
  • La ville a également terminé en 1re place du jeu télévisé Intervilles, en 2013.

Économie

Économie au XVIIIe siècle

Économie en 1882

forges et laminoirs - aciérie -- St Amand les Eaux

Malte-Brun relevait, en 1882, dans l’article de la France illustrée consacré à Saint-Amand, une aciérie, des sucreries, une fabrique de clous, une fabrique de bonneterie de laine et de coton, une fabrique de chaînes-câbles, une manufacture de porcelaine, des tanneries, des distilleries, des moulins, des savonneries et des fabriques d’huile.

Il relevait également un commerce de chanvre, de bois de construction et de charbon.

Pour terminer, il citait, sur le territoire de la commune, une forêt domaniale de « 3 400 hectares », soit plus que la superficie actuelle de la commune. Peut-être cette superficie incluait-elle des sections forestières implantées sur les territoires d'une ou plusieurs autres communes ?

Économie en 1935

Il existait également en 1935 une usine de fabrication de moteurs Aubier&Dunne 540 cmc, deux temps, deux cylindres, refroidissement par air dont un type spécial pour les avions Pou-du-ciel.

Économie en 1964

Un célèbre dictionnaire encyclopédique citait, en 1964 :

La faïencerie de Saint-Amand avait été fondée aux alentours de 1740 par Pierre Joseph Fauquez, qui venait de Tournai. La marque de fabrique des faïences de Saint-Amand est symbolisée par un entrelacement complexe des initiales du nom du fondateur et de celui de la ville (P. F. et S. A.).

Le casino de Saint-Amand.

Économie en 2006

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Martin.

Lieux d'origine civile

Lieux d'origine catholique

Saint-Amand est pourvu de nombreux lieux catholiques ou d'origine catholique.

Les thermes de Saint-Amand

Établissement thermal et minéral, qui a valu à la ville la deuxième partie de nom. On y compte quatre sources : la Fontaine-Bouillon, le Pavillon-Ruiné, la Petite-Fontaine et la Fontaine de l’Évêque-d’Arras.

Outre les eaux de source, la station est également renommée pour ses bains de boue à l'odeur sulfureuse.

  • En 50 av. J.-C. les vertus des sources étaient déjà connues des Romains, qui avaient bâti des thermes sur le site. Négligées puis abandonnées durant le Moyen Âge, les sources furent « redécouvertes » par le maréchal de Boufflers, qui fit exécuter d’importants travaux de réfection et de captage des eaux.
  • En 1689 Jean Racine fit un éloge des eaux thermales de Saint-Amand en ces termes : « J'espère que nous pourrons nous trouver lui et moi à Saint-Amand le printemps prochain; car on a en tête que ces eaux-là me sont très bonnes aussi bien qu'à lui. M. de Cavoie s'en est trouvé à merveille et on me demande qu'il ne s'est jamais porté si bien qu'il fait et qu'il a repris, non seulement sa santé, mais même toute sa gaieté »[17].
  • Au XVIIe siècle elle est déclarée « eau miraculeuse ».
  • 1927 : mise en bouteille.
  • 1971 : mise en bouteille PVC.
  • 1991 : jumelage avec la ville thermale italienne de Tivoli en raison de leur activité thermale bimillénaire mise en place par les Romains.

Il a été question d'exploitation géothermique de la nappe, ce qui pourrait éventuellement interférer avec les autres usages de l'eau. L'eau peut être légèrement radioactive à certaines profondeurs[18]

Personnalités liées à la commune

« Le moulin blanc ».

Héraldique

Armes de Saint-Amand-les-Eaux

Les armes de la commune de Saint-Amand-les-Eaux se blasonnent ainsi :
De sinople, à l'épée haute d'argent garnie d'or accostée de deux fleurs de lys du même[19]

Pour approfondir

Bibliographie

  • René Fruit, la Croissance économique du pays de Saint-Amand (Nord), 1668-1914. Paris : Armand Colin, 1963. 455 pages. (Ouvrage lié à l'École pratique des hautes études. VIe section. Centre d'études économiques. Études et mémoires no 55)
  • Anne-Marie Dervaux, Saint-Amand-les-Eaux. Saint-Cyr-sur-Loire : Éditions A. Sutton, coll. « Mémoire en images », 2004. 128 pages.
  • Hervé Leroy, Saint-Amand-les-Eaux, l'élan des rêves. Photographes : Jean-Pierre Duplan, Delphine Lermite, Eric Le Brun. Préface : Patrick Besson. Éditions Light Motiv (59110 La Madeleine), coll. « Passages en ville », 2012. 136 pages.

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes

  1. Vision chrétienne des choses
  2. Dynastie carolingienne
  3. Malte-Brun semble faire une confusion ici
  4. Malte-Brun fait une grossière confusion : le retour de la ville à la couronne française a été fait par le traité d'Aix-la-Chapelle (en 1668).
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

  1. Page 429 - Statistique archéologique du Département du Nord - seconde partie - 1867- Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris - archive du Harvard College Library - numérisé par Google Books.
  2. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  3. Du nom de la petite rivière Elnon qui conflue avec le Décours
  4. Roland Delmaire, Germaine Leman-Delerive, Claude Seillier, Patrick Thollard, Carte archéologique de la Gaule, 59. Nord, (ISBN 2-87754-048-0 et 978-2-87754-048-3), 526 - Saint-Amand-les-Eaux, p. 381-382.
  5. Roland Delmaire, Germaine Leman-Delerive, Claude Seillier, Patrick Thollard, Carte archéologique de la Gaule, 59. Nord, (ISBN 2-87754-048-0 et 978-2-87754-048-3), p. 74
  6. Sidoine Apollinaire, Carmina, V, 212 sq
  7. Archives départementales des Alpes-Maritimes, E dépôt Valbonne E 21/151
  8. « Les maires de Saint-Amand-les-Eaux », sur http://www.francegenweb.org (consulté le )
  9. « M. Alain Bocquet », sur http://www.assemblee-nationale.fr (consulté le )
  10. « Comme en 2008, Alain Bocquet ne laisse que des miettes à ses concurrents avec ses 75 % », L'Observateur du Valenciennois, no 706,‎ , p. 11.
  11. http://www.irvineharbour.com/History/tabid/276/Default.aspx
  12. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
  13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  15. « Évolution et structure de la population à Saint-Amand-les-Eaux en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  16. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  17. source Voix du Nord du 25/04/2008
  18. Gérard Dassonville ; d'exploitation des ressources géothermales à St Amand-les-Eaux (Nord) ; Journal français d'hydrologie (Eur. j. water qual.) Volume 13, Numéro 1, 1982, Pages 23 à33 ; DOI: 10.1051/water/19821301023, en ligne : 09 novembre 2010
  19. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59526