Charles Goybet
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Service historique de la Défense (GR 9 YD 89)[1] |
Charles Goybet, né le 1er décembre 1825 à Yenne et mort en 1910, était un général de division, inspecteur général du 2e arrondissement d’inspection permanente de cavalerie français. Il est grand officier de l'ordre de la Légion d'honneur.
Biographie
Enfant
Charles Louis Goybet nait à Yenne, le 3 décembre 1825[2],[3],[4].
Son père, Antoine Goybet, est issu d'une vieille famille de la bourgeoisie savoyarde du XIVe siècle, qui compte notamment dans ses rangs des châtelains de Yenne et des notaires royaux. Sa mère, Elisabeth, est issue de la famille Piollet[3]. Sa famille est alliée à la noblesse locale (Echalon, Gruel, Bavoz, Belly)[5]. Antoine Goybet (1787-1867) est un important propriétaire terrien[6]. Il est syndic de Yenne sous le régime sarde[2], avant d'en être maire et Conseiller d'arrondissement après la réunion à la France 1860[7]. Il partage sa vie entre le bourg d'Yenne et à son domaine de Volontaz. Il eut une nombreuse postérité[réf. nécessaire], dans laquelle se distinguent ses 4 fils (Charles, Pierre, Laurent et Alexis)[8].
Le général de brigade Henri Putz déclare à son propos « Son affection pour les siens se manifeste par la régularité de ses correspondances, la longueur de ses lettres, la franchise des sentiments exprimés, le souci de connaître les évènements familiaux »[réf. nécessaire].
Dans l’armée sarde
Charles Goybet intègre, à l'âge de douze ans, l'Académie royale militaire de Turin, le [2],[3],[9]. Il est le premier membre de la famille à embrasser une carrière militaire[2]. Il est promu à sa sortie de l'Académie (), alors qu'il est âgé de 22 ans, avec le grade de sous-lieutenant au régiment de Savoie-Cavalerie[3],[8],[10],[9], créé le [11].
En janvier 1845, il intègre le bataillon de chasseur francs, jusqu'en mai où il retourne dans le régiment de Savoie-Cavalerie[9]. En septembre 1848, il devient lieutenant[9].
Il participe aux campagnes de Lombardie, pour l'indépendance italienne, de 1848 à 1849, contre l'Autriche[3]. Il se distingue notamment lors de la bataille de Volta, le [3], obtenant ainsi une Mention honorable par décision royale[12].
Désigné comme aide de camp du général de division comte Trotti, à Chambéry, il l’accompagne en Crimée[13] (campagne de 1855 et 1856). Il se distingue au combat de Tchernaïa, depuis lequel il envoie un courrier à son père de Kamara, sur la Tchernaïa, située à une lieue de Balaklava[13].
« Kamara le 7 septembre 1855.
Mon cher Papa,
L'on a commencé à bombarder Sébastopol le 4 de ce mois, et au moment où je t"écris cela continue ; c'est un roulement continuel de coups de canons, comme on n'en a jamais entendu, et cela dure jour et nuit, de sorte qu'il faut avoir bien sommeil pour s'endormir avec un tintamarre semblable. De notre camp, nous avons été spectateurs pendant la nuit d'avant hier et d'hier d'un magnifique incendie, c'étaient deux vaisseaux russes qui ont été incendiés par les batteries; d'ici l'on ne pouvait pas voir les flammes, mais l'on voyait une lueur dans le ciel du côté de Sébastopol comme le lever de soleil et cela a duré toute la nuit. J'ai été hier dans l'après-midi voir Sébastopol, mais je n'ai pu beaucoup distinguer; il y avait du vent très fort et puis la fumée de la poudre empêchait de bien voir; mais ce que j'ai pu remarquer c'est que les Russes répondent très faiblement, la tour Malakof ne répond pas du tout; tous les parapets sont endommagés, et les français ont déjà poussé leurs travaux d'approche jusque dans le fossé, aussi j'espère bien que l'on la prendra, parce qu'une fois Malakof pris, l'on peut brûler tous les vaisseaux qui sont dans le port et couper la communication de Sébastopol, avec le reste des forts. Comme la ligne de défense des Russes est très étendue, l'on a adopté dans le bombardement une très bonne méthode qui consiste en ce que l'on commence à bombarder sur la droite et puis l'on cesse tout à coup; les Russes présument qu'on va donner l'assaut, alors ils massent des troupes dans les tranchées, alors on recommence à tirer et comme les tranchées sont pleines cela leur tue beaucoup de monde et l'on continue toute la journée de cette manière là et eux sont obligés de se tenir en garde parce qu'au moment où ils s'attendront le moins, on montera à l'assaut...Nous avons un climat très changeant et nous avons eu un vent chaud avec quelques gouttes de pluie, ce matin au contraire, c'est un vent très froid qui ressemble à nos vents froids du commencement de novembre; et tu peux voir à mon écriture qui se ressent de l'atmosphère froide. J'ai reçu hier une lettre de Laurent du 20 août, tu peux lui dire que j'ai parfaitement reçu sa lettre ainsi que la chartreuse; mais quand j'ai écrit, je ne l'avais pas encore reçue; ici c'est très facile de recevoir les lettres 8 à 10 jours plus tard de ce qu'on devrait les recevoir. Quant à la serge de Sardaigne que Laurent m'offre, cela me serait très utile mais si tu m'envoie le grand paletot que j'ai demandé, cela me suffira; il faudra aussi m'envoyer des bas de laine, mais Laurent m'a dit que la maman y travaille déjà; parce qu'il ne faut pas que l'on se fasse des illusions sur notre position, nous sommes presque certains de passer l'hiver ici; aussi les Français font des chemins de fer pour aller à leur campement et tu conçoit que si l'on devait s'embarquer, ce ne serait jamais notre armée qui serait la première. Laurent (son frère) m'a dépeint le triste état de nos vignes, c'est vraiment du malheur: Quand il n'y a pas de maladie, il faut que cette maudite tempête vienne encore s'en mêler; heureusement que les récoltes étaient presque toutes rentrées; il m'a donné aussi des nouvelles de notre machine à blé, il ne parle pas non plus d'Apollon et de la Saumette qui je crois se portent mieux que mes chevaux car la très mauvaise intendance militaire, qui pour notre malheur se trouve Crimée, les laisse deux ou trois jours sans leur donner d'avoine et se justifie en disant qu'ils n'en ont point. Imagine-toi que maintenant le temps est beau, la mer excellente, ils n'ont des provisions que pour la journée (quand ils en ont!) aussi cet hiver nos chevaux crèveront de faim; le foin qu'on leur donne est quelquefois si mauvais qu'ils ne veulent pas le manger quoiqu'ayant faim. Pour nous les distributions sont assez régulières, pourvu que cela continue ! mais ici tout le monde est d 'accord pour dire que notre intendance militaire est tout ce qu'il y a de plus mauvaise et pire que celle des Turcs.
Adieu mon cher papa, embrasse bien de ma part la Maman et dis lui qu'elle se tranquillise. Embrasse aussi Alexis, Pierre Laurent et Célina ainsi qu'Antoine, qui doit déjà être un beau garçon. Donne moi des nouvelles des démarches d'Alexis. Je t'embrasse de tout mon cœur et suis ton affectueux et respectueux fils Charles. »
— Lettre de Charles à son père, publiée par Henri Putz[14].
Il est promu capitaine le [9],[15]. Pour une période de quelques mois, d'août 1857 à septembre de l'année suivante, il se retire en raison d'une maladie[9]. À sa remise en service, il est nommé capitaine aux Chevaux légers d'Aoste[9],[3]. Il participe ainsi à la campagne de libération de l'Italie en 1859[3]. Il assiste aux combats mémorables de Palestro et de San Martino[3]. Sa conduite lui vaut d’être nommé major des lanciers de Florence[9] ou dit régiment de Florence-cavalerie[3], le [15],[8].
Le choix de la France
À la suite du plébiscite organisé en avril 1860, faisant suite au traité de Turin, où la question de la réunion du duché de Savoie à la France est posée, Charles Goybet opte, sous la pression de sa famille, pour la France[8]. Il est licencié de l'armée du Piémont le [9]. Il est alors âgé de 35 ans[8].
Il passe de l’armée sarde au service de son nouveau pays en étant promu le chef d’escadrons dans la cavalerie impériale[8],[16], au 4e Dragons de Lyon[9],[3]. Il est nommé lieutenant Colonel le [9],[3]. Le , alors en garnison à Lunéville, obtient les épaulettes de lieutenant-colonel à son régiment du 4e Dragons[5][réf. à confirmer].
Le , il reçoit la croix de chevalier de la Légion d’honneur[5][réf. à confirmer].
Guerre franco-prussienne de 1870
Il se trouve à Lille au moment de la déclaration de guerre à la Prusse, le . Il en part pour se rendre à la 2e brigade de la division de cavalerie du 3e Corps (Bazaine puis de Caen), et est un des premiers à la frontière. Il combat le 14 août à Borny, où son général de division est blessé. Il charge avec son glorieux 4e Dragon à Mars-la-Tour le 16. Il obtient la croix d'Officier de la Légion d'Honneur sur le champ de bataille[17], à Gravelotte[3], sur décision du Maréchal commandant l'armée du Rhin, en octobre 1870.[18]. Le 18, il combat à Saint-Privat. Il contribue à la défense de Metz, sauvant l'étendard de ce régiment. Lorsque plus tard, le 4e Dragons s'installe à Chambéry, le Général Goybet remet la précieuse relique au colonel de Chabot. Il est envoyé prisonnier en Allemagne d'octobre 1870 à mai 1871, ayant reçu le 19 octobre, quelques jours avant la capitulation de la ville, la croix d’officier de la Légion d’honneur[19],[20].
Inspecteur de la cavalerie française
De retour d’Allemagne, Charles Goybet réintègre son régiment. Il est promu colonel du 20e Dragons, le [9]. Il obtient son nouveau commandement à Provins, passant ensuite à Clermont-Ferrand, puis à Limoges à la 12ee brigade[5][réf. à confirmer].
Le , il est obtient le grade de général de brigade[9],[3]. À Épinal, il prend en main le commandement de la 1re brigade de chasseurs à cheval[9], avant d'intégrer à Fontainebleau, la 5e Division de Cavalerie[5],[19].
Le , il termine sa carrière comme général de division, inspecteur général du 2e arrondissement d’inspection permanente de cavalerie[9],[21].
Le temps des honneurs et de la retraite
Charles Goybet est promu commandeur de la Légion d’honneur le ,[22], divisionnaire en 1887[5][réf. à confirmer]. Il est ensuite élevé à la dignité de grand officier de la Légion d’honneur le [23].
Le général Goybet est placé dans le cadre de réserve le [24], après quarante-six ans de services, quatre campagnes et une citation[25].
Il prend sa retraite dans sa propriété de Volontaz qu'il aimait tant[réf. nécessaire].
Il meurt dans la nuit 8 au 9 février 1910, à 3h00, à Yenne[3],[26]. Il était officier de l’Instruction publique.
Famille Goybet
Frères de Charles Goybet
Pierre Luc Goybet est né le 23 mai 1828 et décède le 6 mars 1896. Il est avocat à la Cour et conseiller Général de Savoie. Il est monarchiste catholique, frère du général et du secrétaire général de la préfecture se présente aux élections législatives de 1876[27].
Les sentiments des familles conservatrices à l'égard de la commune sont dépeintes dans une lettre de Pierre à son frère Charles, le 15 mai 1871 :
« Lorsque tu nous as quitté, je ne pouvais prévoir que tu irais recommencer cette affreuse guerre. Heureusement tu n'es pas destiné à prendre part très directe au siège ou la cavalerie ne peut jouer un rôle principal. Cependant, si tu n'en cours pas tous les dangers, tu en as tous les ennuis et j'espère bien que tu les fais payer aux gredins qui tombent entre tes mains. Cette race de Parisiens n'inspire vraiment pas grand intérêt ; perversité en bas, ou légèreté en haut. C'est à désespérer de voir Paris se relever jamais. »
L'auteur ajoute une indication relative à l'atmosphère de la préfecture de Chambéry ou Laurent Goybet exerçait les fonctions de conseiller.
« Laurent s'est presque établi à Yenne fuyant la préfecture ou sa situation est toujours plus difficile, car le mouvement républicain est accentué à Chambéry par les nouvelles élections et emporte complètement notre préfet qui vogue à toute voile dans l'élément Parent et Pyton l'avoué qui est nommé Maire sur le choix ou plutôt l'injonction du conseil municipal dans lequel trône le fameux Michard et l'énergumène Carret, francs communards assistés de 6 à 8 individus d'une notoriété moindre mais d'égale valeur. »
— Lettre de Pierre à son frère Charles[28].
Laurent Goybet est né le 13 septembre 1833 et décède le 28 juin 1912. Il est conseiller de préfecture à Nice puis Grand Juge à Monaco, chevalier de la légion d'Honneur et des Saints-Maurice-et-Lazare, marié sans postérité[29].
Alexis Goybet est né le 30 septembre 1820 et baptisé le 9 octobre à Yenne, Conseiller à la Cour, il mourut à Chambéry le 29 novembre 1893. Il avait épousé en 1853 Céline Grange, 1830-1884 fille de François de Rose de la Haye du Coudray et eut 8 enfants.
Ta nomination a été un sujet de joie pour la famille. MM Grange, Besson et tes amis de Chambéry sont charmés de te voir passer en France avec le grade de Chef d'Escadron. C'est une belle place. Les lenteurs de la Chambre à quelque chose sont utiles et ce n'est pas nous qui avons à quereller les députés. Du reste, leurs regrets nous font honneur. Ils nous connaissent et nous estiment. " Nous avons ici une garnison des plus nombreuses, au moins 4000 hommes. On rencontre des soldats partout. Ces diables de Français pénètrent dans tous les coins. Ils parcourent la campagne en tous sens, fouillent tous les recoins; ce doivent être de bons fourrageurs. Le pays est tranquille bien que le commerce souffre. La frontière est encombrée de marchandises qui attendent que la douane disparaisse. On fait provision de sucre et on laisse les draps, les cotons, les cuirs, les fers ouvrés, etc, etc, M. Grange gagnera beaucoup pour ses fontes. Il en a des quantités dont il ne veut pas se défaire.
Nos appointements ont augmenté; pour moi, j'aurai plus de deux mille Francs et le rang de procureur impérial. Je ne sais si on maintiendra longtemps le bureau des pauvres; si on le supprime, Je pense ne pas y perdre.
Chambéry se prépare à fêter dignement la réunion à la France. On va faire de grandes illuminations, des bals et des repas publics. Déjà la ville regorge de Français et les Hôtels sont encombrés... à cause du vote de la Chambre qu'on attend ce soir.... Je pense bien que tu auras soin d'entrer en fonction et de te faire reconnaître promptement. On a dit que les militaires de tous les grades seront appelés immédiatement à revenir, aussi ne te mets pas en grand frais de costume. Tu gagnes joliment au change car les officiers français ont des chevaux fournis par l'Etat et choisis par eux. Les chefs d'Escadron sont les premiers servis.
Ps : Le télégramme apporte la nouvelle de l'adoption du traité par le parlement. M. Dullin vient d'être nommé officier de l'Ordre de de Saint Maurice et Président des Assises. Il me charge de te complimenter. Son idée était que tu opterais pour rester au service du Piemont parce que, avant peu, tu passerais Colonel, mais je ne te le conseille pas; dans l'armée française tu as des chances d'avancement. La guerre se prépare. Les officiers sardes de cavalerie ne porteront pas ombrage et tu es Français par la mère. Jules Récamier est au mieux avec le Général Forey qui a dîné chez lui à son passage pour la campagne d'Italie. Tu sais aussi que M. Baraguay d'Hlliers est très bien avec le gendre de M. Labatie. Adieu, mon cher ami, je te réserve une carte de France en relief pour que tu connaisses les plaines et les montagnes de notre nouvelle patrie... »
— Lettre d'Alexis à son frère Charles (Période de l'annexion de la Savoie par la France)[14].
Autres membres de la famille
Enfants de Jules Goybet, les neveux de Charles Goybet sont trois frères ayant embrassé la carrière militaire : le Général Victor Goybet qui a pour fils le Colonel Charles Goybet, le Capitaine de vaisseau Henri Goybet, le Général Mariano Goybet.
Le général Mariano Goybet eut pour fils le contre-amiral Pierre Goybet, ainsi qu’Adrien et Fréderic morts en valeureux soldats. Le fils de Pierre Goybet est le chef de bataillon Adrien Goybet qui permet à la famille de comporter une lignée consécutive de trois légionnaires au service de la Patrie[30],[31],[32],[33].
Voir aussi
Bibliographie
- Joseph René Clocher, « De la Savoie à la France, la destinée d'un grand militaire, le général de Division Charles Goybet », Le Bugey, no 97, , p. 123-146 ;
- Henri Putz, « Une éducation militaire sarde, Charles Goybet », Mémoires et Documents, vol. LXXXVIII (88), , p. 7 ;
- Henri Putz, « La vie à l'Académie royale militaire de Turin en 1838 », dans Congrès national des sociétés savantes, 85e Congrès national des sociétés savantes, Limoges, 1977, Paris, Imprimerie Nationale, , p. 135-142.
- Henri Putz, « Une éducation militaire sarde, Charles Goybet », (compte-rendu de Jacques Lovie, communication du 13 avril 1977)
- Henri Putz, De Chambéry à Sébastopol. Lettres de Charles Goybet, aide de camp savoyard, 1855-1856, Rouen, Imprimerie CRDP, , 75 p. ;
- Henri Putz, « L'option d'un officier savoyard », dans Congrès national des sociétés savantes, 85e Congrès national des sociétés savantes, Chambéry-Annecy, 1960, Paris, Imprimerie Nationale, , p. 197-213 ;
- Alfred Anthonioz (préface du général Jean-François Borson), Généraux savoyards, édition Atar, Genève, 1912, 292 pages ;
- Livre de famille de Mariano Goybet. Œuvre enluminée consultable aux archives départementales de la Savoie (cote IJ 288), rédaction 1898-1931, 200 pages enluminées numérotées sur parchemin, CD ROM consultables ;
- Théophile Lamathiere, Le Panthéon de la Légion d’honneur, E. Dentu, Paris, tome VIII, 1875-1911.
Articles connexes
Liens externes
- « Charles Goybet », base Léonore, ministère français de la Culture
- « Famille du Chevalier Goybet », sur goybet.e-monsite.com (consulté le )
- l'Honneur de servir
- Dossier Légion d'Honneur
- DOSSIER AHH famille Goybet
Notes et références
- ↑ « https://francearchives.fr/fr/file/ad46ac22be9df6a4d1dae40326de46d8a5cbd19d/FRSHD_PUB_00000355.pdf »
- Putz, 1977, p. 135.
- Michel Germain, Personnages illustres des Savoie, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-9156-8815-3).
- ↑ Hubert Heyriès, Les militaires savoyards et niçois entre deux patries, 1848-1871 : Approche d'histoire militaire comparée : armée française, armée piémontaise, armée italienne, vol. 30, Montpellier, UMR 5609 du CNRS, Université Paul-Valéry-Montpellier III, coll. « Études militaires », , 575 p. (ISBN 978-2-8426-9385-5), p. 36.
- goybet.e-monsite.com.
- ↑ Putz, 1961, p. 198.
- ↑ Annuaire du département de la Savoie, 1869, p. 150 (lire en ligne).
- Hubert Heyriès, Les militaires savoyards et niçois entre deux patries, 1848-1871 : Approche d'histoire militaire comparée : armée française, armée piémontaise, armée italienne, vol. 30, Montpellier, UMR 5609 du CNRS, Université Paul-Valéry-Montpellier III, coll. « Études militaires », , 575 p. (ISBN 978-2-8426-9385-5), p. 291.
- Base Léonore, p. État de Service (lire en ligne).
- ↑ Putz, 1977, p. 142.
- ↑ Comte Alexandre de Saluces, Histoire militaire du Piémont, 1818, p. 367.
- ↑ Hubert Heyriès, Les militaires savoyards et niçois entre deux patries, 1848-1871 : Approche d'histoire militaire comparée : armée française, armée piémontaise, armée italienne, vol. 30, Montpellier, UMR 5609 du CNRS, Université Paul-Valéry-Montpellier III, coll. « Études militaires », , 575 p. (ISBN 978-2-8426-9385-5), p. 130.
- Hubert Heyriès, Les militaires savoyards et niçois entre deux patries, 1848-1871 : Approche d'histoire militaire comparée : armée française, armée piémontaise, armée italienne, vol. 30, Montpellier, UMR 5609 du CNRS, Université Paul-Valéry-Montpellier III, coll. « Études militaires », , 575 p. (ISBN 978-2-8426-9385-5), p. 86, 109.
- Putz, 1975, p. [réf. incomplète].
- Putz, 1961, p. 197.
- ↑ Hubert Heyriès, Les militaires savoyards et niçois entre deux patries, 1848-1871 : Approche d'histoire militaire comparée : armée française, armée piémontaise, armée italienne, vol. 30, Montpellier, UMR 5609 du CNRS, Université Paul-Valéry-Montpellier III, coll. « Études militaires », , 575 p. (ISBN 978-2-8426-9385-5), p. 251.
- ↑ Base Léonore, p. Officier (lire en ligne).
- ↑ Compte-rendu de Jacques Lovie, 13 avril 1977, sur le livre de Henri Putz, Une éducation militaire Sarde.
- La gazette de l'île Barbe, n° 66, automne 2006 (« Le général Charles Goybet »)
- ↑ « Famille du Chevalier Goybet » sur le site personnel goybet.e-monsite.com.
- ↑ Hubert Heyriès, Les militaires savoyards et niçois entre deux patries, 1848-1871 : Approche d'histoire militaire comparée : armée française, armée piémontaise, armée italienne, vol. 30, Montpellier, UMR 5609 du CNRS, Université Paul-Valéry-Montpellier III, coll. « Études militaires », , 575 p. (ISBN 978-2-8426-9385-5), p. 447.
- ↑ Base Léonore, p. Commandeur (lire en ligne).
- ↑ Base Léonore, p. Grand Officier (lire en ligne).
- ↑ Base Léonore, p. Retraite (lire en ligne).
- ↑ Revue savoisienne, Académie florimontane, Annecy, Volumes 67 à 69, p. 133
- ↑ Base Léonore, p. Décès (lire en ligne).
- ↑ Jacques Lovie, La Savoie dans la vie française de 1860 à 1875, Paris, Presses Universitaires de France, , 632 p., p. 574.
- ↑ Jacques Lovie, La Savoie dans la vie française de 1860 à 1875, Paris, Presses Universitaires de France, , 632 p., p. 523.
- ↑ DOSSIER AHH famille Goybet
- ↑ [1]
- ↑ Bulletin AHH, n°29 Novembre 1987, Notice sur famille Goybet écrite par Monsieur Pierre Jaillard Président de l'héraldique de France Dossier AHH Famille Goybet.
- ↑ L'honneur de servir chapitre consacré à la famille Goybet Auteur Pierre Gentil secrétaire général des écrivains combattants mars 1998 Imprimerie des orphelins apprentis d'auteuil Paris
- ↑ Autour d'un centenaire « Soldats de Savoie sous le ciel lyonnais » par Martin Basse paru dans la presse en août 1959 (Une large part de l'article est consacré à la famille Goybet et sa tradition militaire).