Sakurai
Sakurai-shi 桜井市 | ||||
Vue sur Sakurai et la Yamato-gawa. On distingue à gauche l'imposant torii du sanctuaire Ōmiwa. | ||||
Administration | ||||
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Pays | Japon | |||
Région | Kansai | |||
Préfecture | Nara | |||
Maire | Akira Hasegawa | |||
Code postal | 〒633-8585 | |||
Démographie | ||||
Population | 59 767 hab. (novembre 2010) | |||
Densité | 604 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 34° 31′ 07″ nord, 135° 50′ 36″ est | |||
Superficie | 9 892 ha = 98,92 km2 | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Japon
Géolocalisation sur la carte : Japon
Géolocalisation sur la carte : préfecture de Nara
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Liens | ||||
Site web | site officiel | |||
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Sakurai (桜井市, Sakurai-shi ) est une ville située dans la préfecture de Nara au Japon.
Population et société
Démographie
En 2007, la ville comptait 59 767 habitants pour une densité de 604 personnes par km². La superficie totale est de 98,92 km2.
Monuments
Sakurai abrite le sanctuaire shinto Ōmiwa, traditionnellement considéré comme l'un des plus vieux sanctuaires shinto au Japon, dédié au kami du saké. Les vendeurs de saké à travers le Japon utilisent souvent comme talisman une boule en bois de sugi provenant de ce sanctuaire.
- Temples bouddhistes :
- Miwasanbyōdō-ji
- Hase-dera
- Asuka-dera
- Tachibana-dera
- Abe Monju-in
- Seirin-ji
- Sanctuaires shinto :
- Ōmiwa-jinja
- Tanzan-jinja
- Kasayamakō-jinja
- Tamatsuraè-jinja
- kofun :
- Hashihaka kofun
- Ruines de Makimoku
- Sakurai chausuyama kofun
Jumelage
Kofun de Hashihaka
Le 31 mai 2009, l'équipe de chercheurs du professeur Harunari du Musée national d'histoire japonaise de Sakura (Chiba) ont présenté lors du 75e meeting annuel de l'Association japonaise d'archéologie les résultats de leurs recherches, selon lesquels le kofun Hashihaka (箸墓 ) serait la tombe de la légendaire reine Himiko[1],[2].
Des objets dont la datation au carbone 14 concordent avec la date de la mort de la reine ont été découverts sur le site, cependant certains archéologues trouvent cette sépulture trop moderne pour être du IIIe siècle, ces découvertes restent donc sujet à caution[3]. Malheureusement, l'Agence impériale refuse l'excavation qui fournirait de nombreuses informations sur l'identité de la reine et sur la lignée des empereurs du Japon, descendant officiellement d'Amaterasu[3].
Notes et références
- Julian Ryall, « Tomb of legendary Japanese Queen Himiko found », sur Telegraph, (consulté le )
- « Research team believes Nara tomb may be that of 3rd century Queen Himiko », sur Mainichi Shinbun, (consulté le )
- Laura Chatenay-Rivauday, « En quête de la tombe de la reine japonaise Himiko », sur Aujourd'hui le Japon, (consulté le )