Hô Chi Minh
Hồ Chí Minh | ||
Fonctions | ||
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Président de la République démocratique du Viêt Nam | ||
– (24 ans) |
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Prédécesseur | Bảo Đại (empereur du Viêt Nam) | |
Successeur | Tôn Đức Thắng | |
Président du Parti des travailleurs du Viêt Nam | ||
– (18 ans, 6 mois et 14 jours) |
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Prédécesseur | Poste créé | |
Successeur | Poste supprimé | |
Secrétaire général du Parti des travailleurs du Viêt Nam | ||
Prédécesseur | Trường Chinh | |
Successeur | Lê Duẩn | |
Chef du gouvernement de la République démocratique du Viêt Nam | ||
– (10 ans et 18 jours) |
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Prédécesseur | Trần Trọng Kim (Premier ministre de l'empire du Viêt Nam) | |
Successeur | Phạm Văn Đồng | |
Biographie | ||
Nom de naissance | Nguyễn Sinh Cung | |
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Hoàng Trù, Province de Nghệ An (Protectorat d'Annam, Indochine française) | |
Date de décès | (à 79 ans) | |
Lieu de décès | Hanoï (Nord Viêt Nam) | |
Sépulture | Mausolée de Hô Chi Minh à Hanoï | |
Nationalité | vietnamienne française |
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Parti politique | SFIO PCF Parti des travailleurs du Viêt Nam |
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Présidents de la République démocratique du Viêt Nam |
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Hô Chi Minh (du vietnamien Hồ Chí Minh Écouter), pseudonyme de Nguyễn Sinh Cung , puis également connu sous le nom de Nguyễn Tất Thành (grandes espérances), puis Nguyễn Ái Quốc (le patriote) ou encore « l'oncle Hô », est né le à Hoàng Trù, (Province de Nghệ An) et mort le , à Hanoï. Militant communiste et homme d'État vietnamien, il est le fondateur de l'actuel Parti communiste vietnamien et de la République démocratique du Viêt Nam.
En 1975, Saïgon, la ville la plus peuplée du Viêt Nam, est rebaptisée Hô-Chi-Minh-Ville (Thành Phố Hồ Chí Minh) en son hommage.
Biographie
Enfance et jeunesse
Hồ Chí Minh grandit dans le petit village de Kim Liên où vivait son père (Nguyễn Sinh Huy alias Sinh Sắc, 1863-1929), à 14 km à l'ouest de la ville de Vinh, district de Nam Đàn dans le nord de l'Annam (actuelle province de Nghệ An, Viêt Nam). Il est le dernier né d'une fratrie de 3 membres, sa sœur Thị Thanh naît en 1884 et son frère Sinh Khiêm en 1888 ; sa mère s'appelle Hoàng Thị Loan (1868-1901)[1].
Le père de Hồ Chí Minh, très tôt orphelin, doit travailler en même temps qu'étudier ; brillant étudiant, il obtient un doctorat en lettres (phó bảng), soit la plus haute distinction académique vietnamienne, en 1901. Il se marie avec la fille de son professeur et devient enseignant lui-même[1]. Après avoir refusé à de multiples reprises toute nomination comme haut fonctionnaire dans l'administration impériale, comme c'est la norme pour le titulaire d'un phó bảng, il devient en mai 1906 mandarin sous la pression des autorités françaises, au sein du Protectorat d'Annam[2]. Il n'aime pas cette fonction qu'il considère « pire que l'esclavage » et, refusant de coopérer avec les Français, il est renvoyé[3]. Selon les historiens vietnamiens communistes et les archives coloniales françaises, il est dégradé de sa fonction par le nouveau pouvoir colonial, et sombre progressivement dans une dépression. Selon une autre version, il aurait été destitué pour abus de pouvoir après le décès d'une influente figure locale à la suite des 100 coups de bâton infligés pour une infraction[4]. Quoi qu'il en soit il quitte l'administration coloniale. Le père se retire alors dans un village, où il officie comme médecin traditionnel jusqu'à sa mort[5]. La déchéance de son père à la suite de cette injustice coloniale a très fortement marqué le jeune Hô Chi Minh.
Ce dernier fait d'abord ses études à Huế, à l'école Quốc Học (littéralement « école nationale » en vietnamien) fondée par le père de Ngô Đình Diệm. À sa sortie, il pratique différents métiers comme artisan, instituteur, etc. Il se rapproche de nationalistes comme Phan Đình Phùng, Phan Châu Trinh, Phan Bội Châu et Hoàng Hoa Thám [6], tous inspirés du mouvement Cần vương. Sa participation à une manifestation de paysans en 1908, dont il s'improvise le porte-parole, lui vaut d'être exclu de l'école dès le lendemain, et attire une certaine attention de la part des autorités françaises. Jusqu'en 1911, il voyage dans les trois kỳ (Annam, Tonkin, Cochinchine), perfectionnant sa connaissance du Viêt Nam.
Sa vie en Occident
De 1911 à 1917, il voyage autour du monde, visitant les cinq continents. Il voyage en travaillant sur des bateaux comme cuisinier. Il quitte Saïgon le embarqué comme aide-cuisinier sur un bateau des Chargeurs réunis[7]. Il débarque au mois de décembre 1911 au port de Marseille à bord de l’Amiral de Latouche-Tréville. Il travaille au Havre comme jardinier, puis à Londres il déblaie la neige, il est groom, peintre, etc. Il se rapproche du mouvement nationaliste irlandais. De retour à Paris en passant par Londres, il commence à militer, participer à des réunions publiques, écrire des articles et distribuer des tracts anti-coloniaux. Il se lie à la gauche française, aux rédactions du Populaire ou de La Vie ouvrière.. Il se rapproche aussi d'autres émigrés vietnamiens, nationalistes comme lui, qui veulent s'émanciper de la France : Phan Châu Trinh qui l'initie au métier de retoucheur de photos[7], Nguyễn Thế Truyền, un ingénieur, Phan Văn Trường, un avocat et Nguyễn An Ninh, un écrivain journaliste[7]. Ensemble ils sont connus comme « les cinq dragons » ; le chef du groupe est Phan Châu Trinh, leurs idéaux sont ceux de la Révolution française. Il écrit des articles avec eux ; ils publient sous le pseudonyme de « Nguyễn Ở Pháp » (« Nguyễn en France »)[8]. Leurs amis français les convainquent de changer leur pseudonyme, qui devient « Nguyễn Ái Quốc » (« Nguyễn le patriote ») jusqu'en 1920. Il décide de conserver ce pseudonyme par la suite.
Il écrit des pièces de théâtre, comme Le dragon de bambou, et un ouvrage anticolonialiste, Le Procès de la colonisation française[9].
À la fin de la guerre, en 1919, il envoie aux dirigeants occidentaux (Wilson, Clemenceau, Lloyd George) une Pétition du peuple vietnamien pour plus de droits et de libertés en Indochine, pour l'autodétermination, pétition publiée le 18 juin par le quotidien communiste français L'Humanité[10]. Il est déçu par le traité de Versailles qui n'applique pas le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes aux colonies.
Vivant à Paris, il est contemporain de la guerre du Rif. Cette guerre anti-coloniale est décrite et analysée dans un colloque international tenu, en 1971, à Paris, où un message de Hồ Chí Minh définissait Abdelkrim comme le précurseur de la stratégie de la guerre de guérilla anti-coloniale[réf. nécessaire].
Son adhésion au communisme
Il adhère à la SFIO en 1919. Il écrit dans L'Humanité, La Vie ouvrière et Le Libertaire. Au congrès de Tours du , il soutient la motion léniniste comme la majorité des membres du parti. C'est un proche de Cachin et il fait partie des membres-fondateurs de la SFIC ; il se fait remarquer par son intervention sur les colonies.
À partir de 1922 avec Nguyễn Thế Truyền, il fait partie de l'Union intercoloniale, une émanation du PCF qui publie Le Paria. Il s'y lie d'amitiés avec Jean Ralaimongo et Max Clainville-Bloncourt (frère d'Elie Bloncourt)[11].
Au mois de mai 1923, deux militants communistes de second plan en France sont invités à Moscou pour juin par Dmitri Manouilsky : Nguyễn Ái Quốc (il est maintenant connu sous son pseudonyme) et Jean Cremet. Il est remarqué et apprécié comme le spécialiste de l'Asie ; il est nommé vice-président de l'Internationale paysanne, le Krestintern[11]. Il suit la formation du Komintern, qui l'envoie en Chine pour former les bases d'une organisation révolutionnaire indochinoise. Arrivé à Canton en novembre 1924[12], il y recrute de nombreux Indochinois exilés (dont des nationalistes) et il y fonde en 1925 le Thanh Niên (Jeunesse Révolutionnaire du Viêt Nam) dont les meilleurs élèves sont envoyés à Moscou[11]. Il épouse en octobre 1926 une élève sage-femme chinoise et catholique, Tăng Tuyết Minh (曾 雪 明)[13]. En avril 1927 à la suite du coup d'État de Tchang Kaï-chek à Shanghai, il rompt son alliance avec les nationalistes, et, en mai, menacé d'arrestation, il fuit à Hong-Kong puis Moscou[14].
De 1928 à 1930, il est envoyé au Siam et en Malaisie pour réorganiser les partis communistes locaux.
À Hong-Kong, en février 1930, avec l'aide de Mao, il fonde le Parti communiste indochinois (PCI) pour inclure le Cambodge et le Laos. Il est arrêté par les Anglais et expulsé. De 1934 à 1937 il est de retour à Moscou, mais ne se voit confier aucune responsabilité : ses propos et son attitude pro-nationalisme inquiètent. En 1935 il ne fait même pas partie de la délégation du PCI au congrès du Komintern, il est en disgrâce. On le renvoie comme délégué du Komintern en Chine en 1938 où il sert de commissaire politique pour la 8° armée communiste basée dans le Guanxi. Jusqu'en 1941, il y renoue des liens avec les nationalistes vietnamiens exilés dans la région. Il s'installe dans les grottes de Pac Bo, à la frontière vietnamienne[8]. Il rencontre Võ Nguyên Giáp et Phạm Văn Đồng.
En février 1941, après la défaite française face à l'Allemagne, il prend la tête d'un groupe d'hommes pour gagner le Tonkin[15]. Il prend le nom de « Hô Chi Minh » (« puits de lumière ») et fonde, en juin[15], la Ligue pour l'Indépendance du Viêt Nam (Việt Nam Độc lập Đồng minh Hội ou sa contraction en « Viêt Minh »), laquelle combat à la fois les occupants japonais et les colonisateurs français.
En 1942, il rejoint la Chine pour obtenir l'appui du maréchal nationaliste de Chine méridionale, Tchiang Fa Kwei[8], qui le fait cependant arrêter. Il le libère au bout d'un an de prison en Chine en 1943. Hô Chi Minh quitte la zone frontalière de Pac Bo en octobre 1944 pour s'installer plus en avant au Tonkin, dans les escarpements calcaires de Thaï Nguyên. En décembre 1944, Hô Chi Minh crée une « brigade de propagande armée pour la libération du Viet-nam », embryon de l'armée de libération, confiée à Giap.
Ses hommes ayant trouvé dans la jungle un aviateur américain abattu, Hô Chi Minh se rend avec celui-ci à l'antenne de l'Office of Strategic Services en Indochine et obtient des services de renseignement américains argent, armes et munitions, ainsi que l'appui de plusieurs équipes du Détachement 101 qui seront parachutées dans la jungle avec des opérateurs radios et des entraîneurs pour ses guérilleros en 1945[16],[17].
La proclamation de l'indépendance et la guerre
Libéré, Hồ Chí Minh poursuit sa lutte avec la Révolution d'août.
En 1945, il proclame la République démocratique du Viêt Nam à Hanoï et l'indépendance du pays le 2 septembre sur la place Ba Dinh. Une Assemblée constituante est élue le .
Après l'échec des négociations avec Jean Sainteny, le Viêt-Minh, mené par Giap, continue la lutte armée contre la France et la jeune République du Viet Nam. Aidé par le grand frère chinois, Giap mène une guérilla contre les postes français, en particulier au nord. La métropole se désintéresse peu à peu d'un conflit mené à des milliers de kilomètres de Paris, alors que ses soldats continuent de mourir pour le Viet Nam non communiste. Le 7 mai 1954, à la bataille de Diên Biên Phu, malgré la résistance acharnée des défenseurs, le Viêt-Minh obtient la reddition du camp retranché français, alors que les accords de Genève sont en train d'être négociés, après une guerre de huit ans.
Partition du Viêt Nam
Peu après commencent les négociations de paix sur l'Indochine qui ont mené aux Accords de Genève. Le Vietminh est représenté par son ministre des Affaires étrangères Pham Van Dong. La conclusion des pourparlers est accélérée par le chef du gouvernement français Pierre Mendès France et les Accords sont signés le 21 juillet 1954. Le Viêt Nam se trouve divisé en deux États de part et d'autre du 17e parallèle :
- le nord est sous le contrôle du Viet Minh et de l'Armée populaire vietnamienne ;
- le sud, où le Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient s'est replié et où un gouvernement nationaliste s'installe.
Guerre du Viêt Nam
Hồ Chí Minh continue la lutte pour la réunification du pays face à Ngô Dinh Diêm qui dirige la République du Viêt Nam du Sud, à la suite d'un coup d'État avec le soutien des Américains qui a forcé l'empereur Bao Dai à abdiquer.
Dès 1960, Hồ Chí Minh et les siens soutiennent la création du Front national de libération du Sud Viêt Nam (FNL), bientôt surnommé « Viêt Công » (contraction de « Viet Nam cong san », ou « communistes vietnamiens » en français) par les Américains et les Sud-Vietnamiens. Le FNL est approvisionné en hommes, en armes et en matériel par la République démocratique du Viêt Nam du Nord durant la guerre du Viêt Nam.
Décès
Hồ Chí Minh meurt le , alors que le conflit fait toujours rage au Viêt Nam. D'après la romancière et dissidente politique vietnamienne Dương Thu Hương, il se serait donné la mort en arrachant ses perfusions, choisissant ainsi le jour de sa mort. Celle-ci est officiellement annoncée comme ayant eu lieu le pour ne pas ternir la fête nationale de l'indépendance du .
Hồ Chí Minh voulait que ses cendres soient répandues au-dessus du pays, du nord au sud. Pourtant, ses héritiers décidèrent de l'embaumer comme Lénine, contre sa volonté, ceci en attendant que la réunification se fasse. Ses cendres n'ont finalement jamais été dispersées et son corps embaumé repose toujours dans son mausolée à Hanoï sur la place Ba Dinh.
Culte de la personnalité
Hô Chi Minh fait l'objet d'un culte de la personnalité[18],[19]. À l'instar de dirigeants de Lénine, Mao ou Kim Jong-il, son corps est embaumé et placé dans un mausolée, le mausolée de Hô Chi Minh, lequel devient un lieu de pèlerinage.
Après la réunification, la ville de Saïgon est rebaptisée de son nom : « Hô-Chi-Minh-Ville ».
Œuvres
- En juin 1919, il publie un manifeste sur les Revendications du peuple annamite.
- Le Procès de la colonisation française, 1925 ; réédité chez Le Temps des cerises (éditions), 2012 (ISBN 978-2-8410-9935-1).
- Journal de prison : poèmes, poèmes écrits de 1942 à 1943 lors de sa détention.
Notes et références
- Mai Ly Quang, pp. 6-7.
- (en) William J. Duiker, Ho Chi Minh : A Life, New York, Hachette Books, , 692 p. (ISBN 978-0-7868-6387-7), p. 27.
- Mai Ly Quang, p. 6.
- (en) William J. Duiker, Ho Chi Minh : A Life, 2000 (ISBN 978-0-7868-6387-7), p. 41.
- (en) Mai Ly Quang, The man who made a nation, Hanoi, The Gioi Publishers, , 246 p., p. 6-7
- Mai Ly Quang, p. 8.
- Pierre Brocheux, « L'homme qui devint Ho Chi Minh », dans Indochine Vietnam : colonisation guerres et communisme, Les collections de L'histoire no 23 (janvier février mars 2004), p. 32.
- Jean Lacouture, « Notre guerre d'Indochine : Hô Chi Minh à l'affût », Historia, no 24 hors série, , p. 28-33
- Nguyễn Ái Quốc, Le procès de la colonisation française – Première série : Mœurs coloniales, Paris, Librairie du travail, 1924, 123 pages [présentation en ligne].
- Mai Ly Quang, p. 16.
- Pierre Brocheux, « L'homme qui devint Ho Chi Minh », in Les Collections de L'Histoire no 23 - Indochine Vietnam : Colonisation, guerres et communisme, avril-juin 2004, p. 33.
- Trần Gia Phụng, « Ông Hồ mấy vợ? (I) » (Did Hồ Marry?), DCVOnline.net, 13 septembre 2006. Toronto.
- (en) Pierre Brocheux, Ho Chi Minh: A Biography, Cambridge University Press, 2007 (ISBN 978-0-5218-5062-9), pp. 39-40 [lire en ligne].
- Pierre Brocheux, « L'homme qui devint Ho Chi Minh », in Les Collections de L'Histoire no 23 - Indochine Vietnam : Colonisation, guerres et communisme, avril-juin 2004, pp. 33-34.
- Pierre Brocheux, « L'homme qui devint Ho Chi Minh », in Les Collections de L'Histoire no 23 - Indochine Vietnam : Colonisation, guerres et communisme, avril-juin 2004, p. 35.
- Hồ Chí Minh, Claude Dulong-Sainteny, 22 septembre 2003, Académie des sciences morales et politiques
- Office Of Strategic Studies en Indochine : L'OSS au service d'Hô Chi Minh - Francis Agostini [PDF] (voir archive).
- Le Vietnam : le cauchemar derrière la carte postale - Merle Teigneux, AgoraVox, 17 avril 2012.
- Mémoires d'Indochine : culte de la personnalité - ENS de Lyon/Sciences Po Lyon, 26 septembre 2018.
Annexes
Bibliographie
- Pierre Brocheux, Hô Chi Minh, du révolutionnaire à l'icône, Payot, collection « Biographie », 2003 .
- Daniel Hémery, Ho Chi Minh : De l'Indochine au Viêt Nam, Gallimard, collection Découvertes Gallimard / Histoire, 1re partie, no 97, 2002.
- (en) Mai Ly Quang, The man who made a nation, Hanoï, The Gioi Publishers, 7e édition, 1999.
- Philippe Franchini, Les mensonges de la guerre d'Indochine, Perrin, 2005 (ISBN 2-262-02345-X).
- Jean Lacouture, Hô Chi Minh, Éditions du Seuil, 1967.
- Léo Figuères, en collaboration avec Charles Fourniau, Hô Chi Minh, notre camarade, Paris, Les Éditions sociales, 1970.
Articles connexes
Liens externes
- Communiste vietnamien
- Histoire du Viêt Nam
- Leader indépendantiste
- Personnalité politique vietnamienne
- Dirigeant d'un État communiste
- Personnalité de la guerre d'Indochine
- Personnalité vietnamienne de la guerre du Viêt Nam
- Nom de guerre
- Naissance au Viêt Nam
- Naissance en mai 1890
- Décès en septembre 1969
- Décès à 79 ans
- Décès à Hanoï
- Personnalité ayant donné son nom à une ville
- Personnalité de la guerre froide