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Virginie Calmels

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Virginie Calmels
Illustration.
Virginie Calmels en 2016.
Fonctions
Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine
En fonction depuis le
(8 ans, 10 mois et 10 jours)
Élection 13 décembre 2015
Président Alain Rousset
Groupe politique LR (présidente de 2016 à 2019)
Vice-présidente de Bordeaux Métropole
chargée des sites majeurs d'attractivité économique

(3 ans, 2 mois et 17 jours)
Président Alain Juppé
Prédécesseur Josy Reiffers
Première adjointe au maire de Bordeaux
chargée de l'économie, de l'emploi et de la croissance durable

(4 ans, 11 mois et 12 jours)
Élection 23 mars 2014
Maire Alain Juppé
Prédécesseur Hugues Martin
Successeur Fabien Robert
Première vice-présidente et vice-présidente déléguée des Républicains

(6 mois et 4 jours)
Avec Guillaume Peltier
Damien Abad
Président Laurent Wauquiez
Prédécesseur Laurent Wauquiez
Isabelle Le Callennec
Successeur Jean Leonetti
Biographie
Date de naissance (53 ans)
Lieu de naissance Talence (Gironde)
Nationalité française
Parti politique UMP puis LR
Conjoint Jérôme Chartier
Diplômée de Toulouse Business School
INSEAD
Profession chef d’entreprise
Religion catholicisme
Résidence Bordeaux

Virginie Calmels, née le à Talence (Gironde), est une chef d'entreprise et femme politique française.

Dirigeante des groupes de médias Canal+ et Endemol entre 1998 et 2014, elle devient première adjointe au maire de Bordeaux, Alain Juppé, vice-présidente de Bordeaux Métropole et présidente du groupe d'opposition de la région Nouvelle-Aquitaine. Elle décide de quitter la mairie de Bordeaux en même temps qu’Alain Juppé, en mars 2019, pour retourner dans le privé.

Entre 2017 et 2018, elle est première vice-présidente des Républicains et vice-présidente déléguée (« numéro 2 ») ; elle est limogée en raison de ses prises de positions contre Laurent Wauquiez.

Biographie

Études

Virginie Calmels fait ses études au lycée Marceau de Chartres puis intègre une classe préparatoire aux grandes écoles au lycée Claude-Bernard de Paris. Elle est diplômée de l'École supérieure de commerce de Toulouse[1] (promotion 1993), d'études supérieures comptables et financières (DESCF) en 1994, d'expertise comptable et commissariat aux comptes en 1998[2] ainsi que de l'Advanced Management Program (AMP) de l'Institut européen d'administration des affaires (Insead, promotion 2002).

Carrière professionnelle

Sa carrière débute en 1993 en tant qu'auditrice financière[3] puis comme directrice de mission au cabinet Salustro Reydel.

En 1998, elle rejoint NC Numericable (groupe Canal+)[réf. nécessaire] en qualité de directrice financière. En 1999, elle devient directrice administrative et financière de la start-up Skygate BV (hautes technologies satellitaires) montée à Amsterdam aux Pays-Bas par Christian Blanc[2].

En parallèle de ses activités, elle devient co-fondatrice et trésorière de l’association caritative Ares Coop (insertion) avant que cette dernière ne soit absorbée par l'association Ares. Elle en devient alors administratrice jusqu’en 2006[4].

De 2000 à 2002, elle est directrice financière de l'international et du développement du groupe Canal+, puis directrice financière de Canal+SA. En 2002, elle est nommée directrice générale adjointe puis co-directrice générale déléguée de la chaîne[2]. À Canal+ et à Numericable, elle mène deux plans sociaux, au nom de « l'efficacité et la compétitivité de l'entreprise »[5].

Elle rejoint en 2003 le groupe de production télévisuelle Endemol France en tant que directrice générale. Elle en devient présidente en 2007[6]. Le 11 mai 2012, au vu du taux de rentabilité d'Endemol France (le plus élevé des 31 pays du groupe), elle devient directrice générale d'Endemol Monde, tout en conservant ses fonctions de présidente d'Endemol France[réf. nécessaire].

En 2004, elle devient membre du Centre d’étude et de prospective stratégique (CEPS). Elle en sera administratrice à partir de 2009, puis vice-présidente en 2010 ; elle démissionne en 2015[réf. nécessaire]. Elle est nommée vice-présidente du Syndicat des producteurs et créateurs d'émissions de télévision (SPECT) à sa création, en 2004. Elle en démissionnera en janvier 2013[réf. nécessaire].

Depuis 2009, elle est administratrice de la société Iliad (Free). Elle est également administratrice d'Assystem[7] depuis mars 2016 et censeur de Technicolor[8] depuis juillet 2016, après en avoir été administratrice de 2014 à 2016.

En janvier 2013, elle est nommée le présidente du Conseil de Surveillance d’Euro Disney, dont elle était déjà membre depuis 2011[9], mandat dont elle a démissionné le 8 février 2017[10]. Le 18 janvier 2013, elle annonce sa décision de démissionner de ses fonctions de directrice générale d'Endemol Monde et de présidente d'Endemol France pour créer sa propre entreprise, Shower Company[11].

Elle acccède en à la présidence de Barnes France, filière du groupe immobilier de luxe Barnes dont elle devient co-actionnaire, et prend la tête des entités Barnes International et Barnes Hospitality[12]. «A la suite de dissensions majeures entre Virginie Calmels et les actionnaires», le groupe mettra fin aux fonctions de cette dernière apres seulement trois mois d'activité[13].

Parcours politique

À la suite des élections municipales de mars 2014, Virginie Calmels est élue aux côtés d'Alain Juppé première adjointe, chargée de l'économie, de l'emploi et de la croissance durable[14]. Elle est également vice-présidente de Bordeaux Métropole chargée des sites majeurs d'attractivité économique, depuis le 18 décembre 2015[15].

En vue des élections régionales de décembre 2015, elle est investie tête de liste d'Union de la droite et du centre dans la région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes[16]. À l'issue du second tour, le 13 décembre 2015, sa liste arrive en deuxième position derrière celle menée par le député socialiste Alain Rousset, président sortant de l'ancienne région Aquitaine. Elle est élue conseillère régionale et préside le groupe d'opposition « RépublicainsCPNT » au Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine.

Depuis mars 2016 elle est présidente de l'établissement public d'aménagement (EPA) Bordeaux-Euratlantique[17].

Elle est investie par Les Républicains pour les élections législatives de 2017 en Gironde mais a finalement fait savoir qu'elle ne serait pas candidate afin de se consacrer à la mairie de Bordeaux[18],[19].

Logo de DroiteLib.

En décembre 2016, elle crée son mouvement politique, DroiteLib, « un mouvement pro-Fillon et anti-Macron »[20]. Elle le lance officiellement depuis Bordeaux, le 25 janvier 2017, en présence de François Fillon et d'Alain Juppé[21]. Le 3 mars 2017, dans le cadre de l'affaire Fillon, elle appelle le candidat LR François Fillon à se retirer au profit d'Alain Juppé, sans toutefois démissionner de la campagne[22].  Elle appelle à une rencontre entre Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et François Fillon afin de sortir de la crise en estimant que François Fillon après le départ de Bruno Le Maire, de l’UDI et des juppéistes n’est plus en mesure de rassembler son camp[22]. Après le refus par Alain Juppé d’être le plan B le 6 mars, et au retour de l’UDI dans la campagne, elle poursuit finalement la campagne de François Fillon. Quelques semaines plus tard, elle participe ainsi à un meeting du candidat à Biarritz[23].

Début septembre 2017, elle annonce son ralliement à Laurent Wauquiez pour l'élection à la présidence du parti, qui a lieu les 10 et 17 décembre et forme avec lui un ticket pour la présidence des LR[24]. Cette décision est une surprise, dans la mesure où elle incarne un courant libéral[25] plus modéré. Elle assume ces différences de sensibilité mais estime : « Nous sommes complémentaires »[26].

Le Canard enchaîné rapporte qu'Alain Juppé aurait réagi vivement à cette défection, en déclarant en petit comité : « Virginie Calmels, c'est la logique Endemol. Ça lui rapporte, elle y va. Elle n'a pas de principes[27],[28]. » Cependant, ce dernier a démenti ces propos[29],[30]. En annonçant son alliance avec Laurent Wauquiez dans Le JDD, Virginie Calmels affirme : « Je le rejoins en restant ce que je suis. Je suis juppéiste. Je suis libérale. Et je l’assume. Mon tempérament et mon parcours prouvent que je ne suis pas dénaturable. Nos sensibilités diffèrent mais notre socle économique, régalien et éducatif est semblable. Avec lui, nous allons rassembler autour des axes forts : l’humanité, la liberté et la sécurité[31]. »

Commentant le ralliement d'Édouard Philippe à Emmanuel Macron, elle affirme son positionnement à droite, pointant que ceux qui ont rejoint En marche n'ont pas apporté avec eux des projets de la droite : « La hausse de la CSG n'était pas dans le programme d'Alain Juppé. La retraite à 65 ans, la fin des 35 heures, la suppression de l'ISF, la baisse de 100 milliards de la dépense publique et de 40 milliards des charges sociales, les quotas d'immigration, le rétablissement des peines plancher, la hausse des moyens pour l'armée, la police et la justice, etc. Tout cela était dans le programme d'Alain Juppé mais n'est pas dans celui d'Emmanuel Macron[31]. »

À la suite des propos du président de Sens commun dans le mensuel L'Incorrect, Virginie Calmels soutient une exclusion de son président, sans toutefois souhaiter l'exclusion du mouvement. Elle appelle à ce qu'une procédure de clarification à leur égard soit lancée, tout en rappelant : « Si Sens commun tend la main au FN, ils n’ont rien à faire dans notre famille politique[32]. »

Après la victoire de Laurent Wauquiez au congrès des Républicains de 2017, elle est nommée le 13 décembre de la même année première vice-présidente et vice-présidente déléguée des Républicains, devenant ainsi « numéro 2 » du parti[33]. Ses prises de position changeantes suscitent des interrogations et le départ de plusieurs de ses soutiens[34]. En juin 2018, dans une interview accordée au journal Le Parisien, Virginie Calmels critique la ligne politique prise par Laurent Wauquiez et lui reproche de ne pas assez « rassembler »[35]. elle est limogée de ses fonctions de vice-présidente des Républicains par Laurent Wauquiez, le 17 juin. Elle est remplacée par Jean Leonetti[36].

Proposé pour devenir membre du Conseil constitutionnel en février 2019, Alain Juppé démissionne de ses mandats électoraux et choisit pour lui succéder Nicolas Florian. Longtemps considérée comme sa dauphine, Virginie Calmels a vu ses relations avec le maire de Bordeaux se dégrader à la suite de son rapprochement avec Laurent Wauquiez[37]. Dans la foulée, elle annonce aux élus de la majorité municipale sa décision de démissionner de ses mandats électoraux[38].

Idéologie

Elle se définit comme une « libérale pragmatique »[5] et plaide pour une droite libérale, ferme en matière régalienne et qui restaure la méritocratie et l'ascenseur social[39],[25]. Hostile à tout rapprochement avec le FN, elle est contre la PMA et la GPA, mais favorable à l'adoption pour les couples homosexuels[5],[39].

Elle a déclaré ne pas avoir adhéré à la ligne de l'identité heureuse défendue par Alain Juppé pendant la primaire. À ce sujet, ce dernier déclarera a posteriori : « Virginie avait une vraie capacité d'anticipation et m'avait prévenu qu'“Ali Juppé” était sous-estimé dans la campagne. Ça me paraissait tellement loufoque qu'il y avait entre nous une divergence d'appréciation », en ajoutant que « peut-être que j'aurais dû être plus vigilant pour rectifier le tir sur l'identité heureuse »[25]. Selon elle, il y avait deux lignes chez les juppéistes, celle de l'identité heureuse portée par Gilles Boyer et Édouard Philippe, et celle à laquelle elle appartenait qui adhérait plus à l'ouvrage d'Alain Juppé Pour un État fort[25]. Elle afffirme ainsi : « Qui sait qu'Alain Juppé a mis dans son projet des quotas d'immigration, la restauration des peines planchers, la suppression de l'aide médicale d'État, le durcissement du regroupement familial, davantage de places de prison et de moyens pour la police et la justice ? Si seulement on avait plus parlé du projet Juppé pendant la primaire »[25].

Elle s'assume libérale, puise ses inspirations chez Frédéric Bastiat, et déclare : « Je fais plus confiance à des millions d’individus libres et responsables qu’à une poignée de dirigeants publics »[40].

Selon elle, le rôle de l'État « consiste à faire reculer la place de l’Etat pour qu’il se recentre sur la protection des libertés individuelles, la protection de la propriété, le droit à la sécurité »[40]. Elle souhaite cependant prouver que le libéralisme n'égale pas le capitalisme et ne consiste pas à défendre les riches au détriment des pauvres. Elle pense ainsi que « nous devons combattre les rentes et le capitalisme de connivence tout comme l’évasion fiscale, tant d’actions publiques qui faussent le marché et nuisent à une juste concurrence »[40].

Elle veut également réduire massivement les dépenses publiques et diminuer fortement le nombre de fonctionnaires en réinstaurant du management dans la fonction publique[40]. Elle plaide également pour plus de décentralisation[40].

Profondément favorable à l'Union européenne, elle plaide néanmoins pour une réforme en profondeur de l'UE et rejette la vision fédéraliste d'Emmanuel Macron : « Je ne veux pas d'une Europe qui se construise contre les États. » Elle propose une Europe des cercles, plaide pour une harmonisation fiscale à 20 %, d'un noyau dur d'États et de grands projets au niveau européen. Enfin, Virginie Calmels propose un « Buy European Act » qui réserverait certaines commandes publiques à des entreprises européennes, sur le modèle du « Buy American Act » aux États-Unis[41].

Famille et vie privée

Virginie Calmels est la fille de Jean-Marie Calmels, pied-noir d'Algérie, viticulteur ruiné lors de la guerre d'Algérie[42], administrateur de société, et de Paule Calmels, conseillère en audit social[43]. Elle a deux enfants, prénommés Fitzgerald et Pénélope, issus de son union avec François-David Cravenne[44], fils de Georges Cravenne.

Après avoir vécu en couple avec Christian Blanc pendant cinq ans[43], elle vit maritalement avec l'homme politique Jérôme Chartier[45],[46], soutien de François Fillon.

Décoration et prix

  • Chevalier de l’ordre national du Mérite (2008)Elle est alors l'une des plus jeunes femmes décorées de cette médaille[47].
  • Lauréate du Prix de la Femme d'Influence 2014, dans la catégorie Politique Espoir[48]

Ouvrage

Notes et références

  1. Ex-groupe ESC Toulouse et actuellement Toulouse Business School.
  2. a b et c Gaël Tchakaloff, « Portrait de Virginie Calmels », lenouveleconomiste.fr, 14 juin 2007.
  3. (fr) David Abiker, « Parlons Net reçoit Virginie Calmels, patronne d’Endemol » sur le site officiel de France Info, 15 mai 2009.
  4. « Virginie Calmels, ou comment une femme peut en cacher une autre », Le Nouvel Économiste,‎ (lire en ligne)
  5. a b et c Virginie Le Guay, « Virginie Calmels, première de cordée chez Wauquiez », Paris Match, semaine du 19 au 25 septembre 2017, page 40.
  6. (fr) Emmanuel Beretta, « Endemol : Virginie Calmels succède à Stéphane Courbit » sur le site officiel de l'hebdomadaire Le Point, 3 octobre 2007.
  7. « Communiqué de presse -Virginie Calmels rejoint le conseil d’administration d’Assystem »,
  8. « gouvernance technicolor », sur technicolor.com
  9. « Euro Disney : Virginie Calmels nommée présidente du conseil de surveillance », Capital.fr, 8 janvier 2013.
  10. Anthony Bondain, « Du mouvement chez Euro Disney après un début d'exercice morose », Boursier.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. Emmanuel Berretta, « Virginie Calmels démissionne d'Endemol », sur Le Point.fr,
  12. « Virginie Calmels prend la présidence d’un groupe immobilier de luxe », sur SudOuest.fr
  13. https://immobilier.lefigaro.fr/article/immobilier-trois-mois-apres-son-arrivee-virginie-calmels-quitte-barnes_d6b863ce-9649-11e9-bf4f-065c3bd6e928/
  14. « Virginie Calmels au côté d'Alain Juppé à Bordeaux », lesechos.fr, 12 mars 2014.
  15. « Le Journal des entreprises - Aquitaine - Virginie Calmels élue vice-présidente de Bordeaux Métropole », sur www.lejournaldesentreprises.com (consulté le )
  16. « Régionales : Virginie Calmels, proche d’Alain Juppé, investie par l'UMP », sur lemonde.fr,
  17. « Nouvelle gouvernance de Bordeaux Euratlantique | Bordeaux Euratlantique », sur www.bordeaux-euratlantique.fr (consulté le )
  18. « Virginie Calmels : "C'est lui qui souhaiterait que ce soit moi qui lui succède" », sudouest.fr, 28 juin 2016.
  19. Loick Guellec, « Bordeaux : après le retrait de Virginie Calmels, quels prétendants à droite pour les législatives ? », francebleu.fr, 3 décembre 2016.
  20. Sylvain Chazot, « Virginie Calmels, première adjointe d'Alain Juppé, lance son mouvement pro-Fillon et anti-Macron : DroiteLib », lelab.europe1.fr, 13 décembre 2016.
  21. Loick Guellec, « Bordeaux : Virginie Calmels lance ce mercredi le mouvement Droitelib avec François Fillon », France Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. a et b « Présidentielle : Virginie Calmels lâche François Fillon et plaide pour le retour d'Alain Juppé », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant, paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  23. « Biarritz : plus de 2500 personnes à la Halle Iraty pour François Fillon », larepubliquedespyrenees.fr, 24 mars 2017.
  24. Le Point, magazine, « LR : Virginie Calmels vice-présidente de Laurent Wauquiez s'il est élu », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. a b c d et e « “L'ambition heureuse” de Virginie Calmels », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Virginie Calmels : "Je rejoins Laurent Wauquiez" », atlantico.fr, 3 septembre 2017.
  27. « Les dents de Virginie », Le Canard enchaîné,‎ , p. 2
  28. « Alain Juppé patauge dans la Gironde », Le Canard enchaîné,‎ , p. 2.
  29. 6 Medias, « Juppé et Calmels "loin des saloperies" du "Canard enchaîné" », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. « Virginie Calmels et Alain Juppé : le dessous des cartes », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant, paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  31. a et b Le JDD, « La juppéiste Virginie Calmels au JDD : "Je rejoins Laurent Wauquiez" », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant, paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Virginie Calmels : “Si Sens commun tend la main au FN, ils n’ont rien à faire dans notre famille politique” », ladepeche.fr, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le ).
  33. « LR : Laurent Wauquiez dévoile son organigramme, Virginie Calmels numéro 2 », leparisien.fr,‎ 2017-12-13cet10:17:54+01:00 (lire en ligne, consulté le )
  34. http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/05/09/25001-20180509ARTFIG00333-decus-par-virginie-calmels-plusieurs-de-ses-jeunes-soutiens-claquent-la-porte.php
  35. « Virginie Calmels : «J’ai cru à la volonté de Laurent Wauquiez de rassembler» », leparisien.fr,‎ 2018-06-16cest20:58:43+02:00 (lire en ligne, consulté le )
  36. Communiqué de presse sur le fil Twitter officiel des Républicains.
  37. http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2019/02/15/25001-20190215ARTFIG00137-bordeaux-virginie-calmels-se-retire-de-la-vie-politique.php
  38. « Bordeaux : Virginie Calmels repart dans le privé, sa déclaration devant les élus de la majorité », sudouest.fr, 14 février 2019.
  39. a et b « Virginie Calmels : «J’aurais pu citer Ronald Reagan» », Libération.fr, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne, consulté le )
  40. a b c d et e « Virginie Calmels (DroiteLib’) : “À quand une France (vraiment) libérale ?” », L'Opinion,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Virginie Calmels : « Une Europe à plusieurs vitesses est aujourd'hui la solution la plus viable » », FIGARO,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. Béatrice Brasseur, « Virginie Calmels, la sprinteuse des élections régionales », sur lefigaro.fr, .
  43. a et b Guy Dutheil, « Virginie Calmels : la dame de fer de la télé », sur lemonde.fr, .
  44. « Bordeaux: Virginie Calmels au scanner », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. « Les bras droits de Fillon et Juppé, adversaires en politique, en couple à la ville », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  46. Jean-Jacques Allevi, « Bordeaux : Virginie Calmels au scanner », lexpress.fr, 13 juin 2016.
  47. « Virginie Calmels », sur Who's Who 2010 (consulté le ).
  48. Guillemette Faure, « Femmes de prix », sur lemonde.fr, .

Lien externe