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Pyrale du buis

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Cydalima perspectalis

La Pyrale du buis (Cydalima perspectalis) est une espèce de lépidoptères de la famille des Crambidae, originaire d'Extrême-Orient. Introduite accidentellement en Europe dans les années 2000, elle y est rapidement devenue invasive.

Son imago est un papillon nocturne, attiré par la lumière, qu'on peut voir tournoyer autour de réverbères[1], mais qu'on ne voit voler de jour que s'il a été effarouché. Sa chenille ne semble consommer que des feuilles de buis, et l'invasion de l'espèce provoque de lourds dégâts dans les populations européennes de buis, ornementales comme sauvages. L'espèce figure depuis 2008 sur la liste d'alerte de l'Organisation européenne et méditerranéenne pour la protection des plantes[2] (OEPP, 2007).

En France, son introduction accidentelle a été repérée en 2008 en Alsace[3], mais le nombre d'individus laisse penser qu'elle date de 2005 au moins. En une décennie, elle a conquis l'intégralité du pays[4].

À l'été 2017, la Belgique fait aussi face à une invasion. Les régions de Bruxelles et des Brabants flamand et wallon sont particulièrement touchées, les buis de nombreux jardins étant ravagés par l'insecte. L'espèce aurait été introduite accidentellement dans le pays via des végétaux importés d'Asie[5].

Description

Chenille : elle est reconnaissable à sa tête noire luisante et son corps vert clair, strié longitudinalement de vert foncé (couleur courgette). On notera la présence de verrues noires et de longs poils blancs isolés (cette chenille n'est cependant pas urticante). Les fausses pattes abdominales sont au nombre de 10.

Chrysalide : la nymphe mesure 21 mm de long, d'abord de couleur principalement verte, brunissant ensuite. Elle est protégée par un cocon de feuilles et de soie.

Papillon : l'imago a une envergure moyenne de 36 mm avec un maximum de 44 mm. Les ailes sont d'un blanc nacré, bordées d'une bande brun terne avec des irisations dorées et violacées, ce qui le différencie de toutes les espèces autochtones européennes. Une « forme brune », mélanique et plus rare, existe également, avec les ailes entièrement brunies à l'exception d'un croissant de lune blanchâtre sur le bord antérieur de l'aile supérieure. Il n'y a pas de différence extérieure marquée entre les deux sexes.

Confusions possibles

L'imago peut évoquer de loin la Marginée (Lomaspilis marginata), mais cette dernière est plus petite, et les dessins des ailes sont différents.

Les chenilles de la Piéride du chou ressemblent à celle de la Pyrale du buis, mais elles ne mangent pas de buis.

Biologie

Plante-hôte

Pyrale du buis sur un buisson de buis.

Les chenilles se nourrissent exclusivement de buis (Buxus), dont elles consomment les feuilles et l'écorce. Elles ont plus précisément été observées en Europe sur Buxus sempervirens (Buis commun), sur la variété horticole rotundifolia de ce dernier (Buis à feuilles rondes), ainsi que sur Buxus colchica (Buis de Colchide ou du Caucase)[réf. souhaitée].

En l'absence de prédateurs, les chenilles peuvent provoquer des dégâts très importants pouvant aller jusqu'à la défoliation totale de leurs plantes-hôtes. Elles tissent des toiles autour des plants infestés et laissent sur le sol de nombreuses déjections vert foncé.

Des tests ont été réalisés pour vérifier si ces chenilles étaient susceptibles de s'attaquer à des espèces proches du buis (fusain, figuier et houx), car en Chine, selon la littérature disponible, on le trouve aussi parfois sur le houx à feuilles pourpres (Ilex purpurea), le fusain du Japon (Euonymus japonicus) et le fusain ailé (Euonymus alatus). Il semblerait toutefois qu'à ce jour en Europe ces espèces ne soient pas attaquées par cette pyrale[6].

Cycles

Nymphe de la pyrale du buis.

Les adultes sont exclusivement nocturnes. En Europe occidentale, l’espèce semble produire deux à trois générations par an.

  • L'hivernage se fait sous forme de jeunes chenilles, dans des cocons de feuilles et de soie, situés à l'intérieur du feuillage des plants infestés.
  • La première génération des papillons prend son envol en juin.
  • La ponte des œufs en groupe se fait sur la face inférieure des feuilles.
  • Les œufs donnent naissance aux chenilles.
  • Les chenilles au dernier stade mesurent 35 à 40 mm de long. Elles se transforment alors en nymphes.
  • La nymphose dure environ un mois (pendue par la queue, tête vers le bas, généralement dans un cocon tissé entre les feuilles).
  • Les papillons en sortent deux à trois semaines après.
  • La dernière génération passe l’hiver en l’état de jeunes chenilles logées dans des cocons.

Dès mars, elles quittent leurs cocons et recommencent à s’alimenter sur les feuilles.

Prédateurs et régulateurs naturels

Frelon asiatique en recherche de larves de pyrale du buis sur un buisson de buis infesté.
  • Dans les zones d'origine (Asie) une régulation naturelle s'est mise en place puisque l'espèce n'y est pas aussi invasive que dans les régions d'importation récente. En Europe, l'espèce se montre beaucoup plus invasive et dévastatrice du fait de la rareté des prédateurs ou régulateurs naturels. Néanmoins, une prédation par Vespa velutina (frelon asiatique) est observée dans les zones où cette dernière espèce, elle aussi importée d'Asie, s'est implantée avant Cydalima perspectalis. L'implantation de Vespa velutina se propageant à partir du sud-ouest de la France vers le nord de proche en proche, c'est dans le sud-ouest que cette prédation est la mieux observée. Vespa velutina prélève plutôt des larves au stade précoce ; cependant, en cas de raréfaction de larves directement disponibles, il est capable de cisailler leurs cachettes de feuille et soie mêlées, pour en extraire les occupants (observé sur des larves mais pas des chrysalides).
Prédation répétée de pyrales du buis par un groupe de moineaux domestiques
  • Le moineau domestique en période de nourrissage peut consommer de manière répétée cette chenille, si le buis a été peigné ce qui casse les filaments de soie et facilite la prédation (les Ponts de Cé mai 2015).
  • La mésange bleue aussi peut s'attaquer aux buis infestés pendant le nourrissage des jeunes oisillons (Saint-Nazaire-les-Eymes, Isère, mai 2015)
  • Prédation par des sceliphron observée dans le sud de la Corrèze à l'été 2017.

Répartition géographique

En Asie

Ce papillon est originaire d'Extrême-Orient (Chine, Japon, Corée, Inde et Extrême-Orient russe).

En Europe

La première apparition de ce papillon en Europe est signalée en 2006 à Weil-am-Rhein (Bade-Wurtemberg), dans la zone dite des trois frontières (Allemagne, Suisse, France).

En 2008, cette pyrale est repérée à Saint-Louis (Haut-Rhin).

Elle est ensuite repérée dans de nombreuses communes de la plaine d'Alsace y compris dans le Bas-Rhin.

Les premières observations en Suisse (canton de Bâle) datent de 2007. Puis jusqu'au canton de Vaud et au Tessin).

En 2012, on la signale aussi aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne et en Autriche[7]. Elle est présente en Provence[Interprétation personnelle ?].

En 2013, elle est présente en Languedoc, en Aquitaine, en Île-de-France, en Rhône-Alpes et en Auvergne. Elle est présente dans pratiquement toute la France dès 2014, et en 2017 sa présence est attestée dans l'intégralité des départements métropolitains[4].

À l'été 2017, on observe en Belgique nombre de spécimens dans l'agglomération bruxelloise. Cette présence serait plus ancienne, en effet les jardiniers de Schaerbeek (commune bruxelloise) affirment lutter contre la pyrale du buis depuis 2014. Les premières apparitions en Belgique remonteraient à 2010. Des premiers articles sur le sujet commencent à apparaître dans la presse[8]. Certains disent que la Belgique a commencé à être infestée par Zaventem avant de s'étendre au Brabant Wallon puis de se propager vers l'Ouest vers le Brabant Flamand toujours en banlieue de Bruxelles[9]. Vingt mètres de buis peuvent être ravagés en quinze jours. Ramener la haie d'une hauteur de 30 cm à 20 cm dès l'apparition de rares premières chenilles n'aura servi à rien. Trois semaines plus tard les chenilles de 3 à 4 cm sont innombrables (1 000 par mètre carré) et les œufs encore bien davantage. Le pays ferait face à une invasion[5]. La Wallonie serait maintenant atteinte également[10].

Systématique

L'espèce Cydalima perspectalis[11] a été décrite par l’entomologiste britannique Francis Walker en 1859, sous le nom initial de Phakellura perspectalis.

Synonymes

  • Phakellura perspectalis Walker, 1859 Protonyme
  • Glyphodes perspectalis
  • Diaphania perspectalis
  • Palpita perspectalis
  • Neoglyphodes perspectalis
  • Phacellura advenalis Lederer, 1863
  • Glyphodes albifuscalis Hampson, 1899

Lutte contre la pyrale du buis

[style à revoir]

Mont de la Charvaz (Savoie) un an après le passage de la Pyrale du buis.

Ce ravageur a réussi son implantation en France, à l'instar d'autres insectes comme la coccinelle asiatique et la chrysomèle du maïs, introduits récemment par l'accroissement des échanges mondiaux. En huit ans, il a colonisé 86 départements de métropole[12].

Sa prolifération est rapide grâce notamment à plusieurs cycles annuels, au printemps d'abord, avec une seconde émergence en juin ou en juillet, puis une troisième en septembre ; l'absence de prédateurs naturels et le peu de moyens de lutte font qu'il est très difficile de s'en débarrasser une fois l'insecte implanté ; elle pourrait en outre profiter du dérèglement climatique et de ses hivers doux. Les régions les plus touchées sont notamment la petite couronne parisienne, l'Alsace, la périphérie de Bordeaux, la vallée du Rhône (Savoie, Ain, Isère, Drôme), le Jura et à partir de 2016 la Bretagne-Sud et les Pays de la Loire[12].

Réunion de papillons Cydalima perspectalis autour d'un lampadaire.

Les adultes sont surtout repérés autour des lampadaires et luminaires ; la pollution lumineuse pourrait donc les attirer. Mais des plants provenant de zones indemnes de pollution lumineuse ont aussi été contaminés par des œufs et des chenilles. « En décembre 2008, un autre foyer a été localisé à Steinbourg, où une dizaine de jeunes chenilles dans leur hibernarium (logette individuelle constituée de soie blanche tissée entre deux feuilles) ont été trouvées sur un buis. Ce foyer est donc distant de plus de 30 km de celui de Strasbourg ; il correspond à un petit plant de buis acheté à l'automne à Kehl » fait remarquer la société entomologique de Mulhouse[1].

Le buis sauvage est naturellement plus fréquent dans le Sud de la France qu'en Alsace et Lorraine[1].

Guêpe attaquant la pyrale - Photo du 01/08/2017 - Yvelines.

À ce jour, cet insecte invasif n'est pas naturellement régulé en Europe par les prédateurs et parasitoïdes qui se trouvent dans les milieux naturels[1]. Après observation, il semble qu'une variété de guêpes à longues pattes s'en nourrit largement[réf. nécessaire]. À noter toutefois que des chenilles sont écrasées au sol, et quelques heures plus tard, tous les restes de chenilles ont disparu. Sur le buis, la tête seule demeure.

Lorsque les chenilles sont en faible nombre, on peut procéder à une lutte mécanique par simple prélèvement, les chenilles n'étant pas urticantes. Elles doivent être détruites ou écrasées. Les chenilles se laissent attraper facilement, parfois elles s'échappent dès la perception d'un mouvement aux alentours en se laissant tomber. Cette lutte mécanique est fastidieuse et ne garantit pas une élimination physique totale. Comptez dix heures de travail pour prélever 1 000 chenilles, les œufs visibles semblent se compter par milliers.

La lutte microbiologique est aujourd'hui un moyen de lutte efficace en utilisant Bacillus thuringiensis[13],[14].

Néanmoins, les successions de générations (de 2 à 3, voire 4) au cours d'une année font que les traitements doivent être répétés, sinon le résultat final sera à nouveau la défoliation totale de l'arbuste.

Une fois les chenilles éliminées (mécaniquement ou par traitement), de nouvelles feuilles apparaissent progressivement même sur des plants très affectés. Veiller cependant, en période de sécheresse, à irriguer ces plants défoliés.

La lutte chimique est également possible : on pulvérise un insecticide chimique homologué à base de pyréthrinoïdes, mais son effet ne sera pas supérieur au Bacillus thuringiensis , et son impact sur l'environnement n'est pas toujours contrôlable. Ce type de traitement demande plus de précautions, car il est nocif pour les abeilles et doit être appliqué à l'intérieur des rameaux et sous les feuilles où les chenilles se cachent fréquemment.

La lutte physique consiste à pulvériser les feuilles et les tiges avec un produit nommé D-Green. [2]. Initialement utilisé pour éliminer, sans insecticide / biocide, les recouvrements verdâtres sur le bois et la pierre. Ce produit qui contient des matières minérales, sauvera les tiges et les feuilles du prédateur. En effet, tiges et feuilles ne seront plus comestibles pour la pyrale. Les tests sont concluants. Deux à trois pulvérisations s'imposeront endéans 2 à 4 semaines. Ensuite peigné le buis. Les feuilles repousseront. Ce produit ne contient aucune substance toxique pour les insectes, oiseaux, ...

Le piégeage des papillons avec une bassine d'eau mélangée à du liquide vaisselle et éclairée pendant la nuit est actuellement testée et semble produire des résultats encourageants[15]. Une autre technique récemment éprouvée consiste à piéger les papillons à l’aide d’une simple lampe halogène (débarrassée des protections éventuelles de l’ampoule) posée sur une terrasse pendant la nuit. Les papillons viennent simplement se brûler sur la lampe. On veille à positionner la lampe avec un angle de 45 degrés pour que les papillons morts ne s’accumulent pas sur l’ampoule. Cette lutte qui parait non sélective l’est en fait à près de 100% en zone infestée : l’espèce largement dominante étant la pyrale, la concentration d’individus autour de la lampe attire d’autres pyrales et éloigne les autres espèces, du fait probablement des doses massives de phéromones émises par ce regroupement simultané de centaines d’individus. Ce dispositif simple testé en août 2018 en Ariège, en zone fortement infestée (buis défoliés totalement sur des centaines d’hectares de montagne en quelques semaines), permet la destruction de plusieurs milliers de papillons par nuit. Le pic de piégeage est constaté entre 22h30 et 1heure du matin, l’arrivée des papillons se faisant de manière exponentielle. Le dispositif peut être amélioré en dirigeant la lumière vers un parasol blanc qui forme ainsi, vu du ciel un énorme point lumineux susceptible d’attirer les individus de très loin. Compte tenu des métamorphoses quotidiennes il faut répéter le piègeage chaque soir pour ne pas laisser le temps aux papillons de s’accoupler et de pondre. En prolongeant le piégeage sur septembre on peut espérer épuiser le réservoir de larves et limiter le nombre d’individus en début d’hiver.[réf. nécessaire]

Recherches en cours :

Piège à phéromones.

La lutte biologique par lâchers de parasites oophages et le piégeage phéromonal sont en phase de test (Projet SaveBuxus).

Projet SaveBuxus 2014-2018[16] : un programme national pour mettre au point et évaluer les solutions de biocontrôle contre la pyrale du buis (Cydalima perspectalis) et les maladies du dépérissement du buis (Cylindrocladium buxicola, Volutella buxi).

L'Astredhor[17] et Plante & Cité[18] coordonnent le programme SaveBuxus qui vise à apporter des solutions concrètes permettant de lutter efficacement contre ces bioagresseurs. Dès 2014, des travaux de recherche appliquée et des expérimentations ont été mis en œuvre par les stations expérimentales de l’Astredhor (GIE Fleurs et Plante du Sud-Ouest, Arexhor Seine-Manche, Arexhor Grand-Est, Arexhor Centre), l'Unité expérimentale Entomologie et Forêt Méditerranéenne[19] de l'INRA PACA (équipes d’Avignon et du laboratoire Biocontrôle[20] d’Antibes), l'entreprise Koppert France, leader du biocontrôle en espaces verts est actuellement l'unique partenaire privé du programme au sein de ce consortium. En 2014, le programme SaveBuxus bénéficie du soutien financier de l'interprofession Val'hor, de l'ONEMA dans le cadre d'Ecophyto et de FranceAgriMer.

En cas de défoliation totale et de mortalité du buis, les plants largement infestés peuvent être arrachés et brûlés (ou broyés en fines lamelles) ou soigneusement enterrés, mais ne doivent surtout pas être compostés à l'air libre en l'état. Par contre, ils peuvent être compostés après broyage, en recouvrant suffisamment les broyats pour éviter que d'éventuelles chrysalides en cours de mue puissent laisser échapper le papillon adulte[21].

Notes et références

  1. a b c et d BRUA C. (SAE-SEM) : La Pyrale du Buis Cydalima perspectalis présence d'une nouvelle espèce envahissante en France et en Alsace. http://www.sae.fr.vu page : http://sites.estvideo.net/sae/pyrale_du_buis.html consulté le 2012-09-24.La pyrale du buis Cydalima perspectalis ; Présence d'une nouvelle espèce envahissante en France et en Alsace, voir "Historique de son introduction :"
  2. Organisation européenne et méditerranéenne pour la protection des plantes (OEPP) : portail
  3. champyves.fr
  4. a et b Lépi'Net
  5. a et b [1]
  6. http://sites.estvideo.net/sae/pyrale_du_buis.html
  7. http://www.jardinsuisse.ch/fileadmin/user_upload/download-center/10-HR_01-2011.pdf
  8. Violaine Jadoul et R.A.(st.), « Les pyrales du buis, le calvaire des jardiniers », Le Soir,‎
  9. TV : RTL Info 13h25 le samedi 29 juillet 2017
  10. JT de la Première TV (RTBF) ce lundi 7 août 2017 à 13h29 et à 20h36 que l'on peut retrouver sur www.auvio.be
  11. Mally, R. & M. Nuss, 2010: Phylogeny and nomenclature of the box tree moth, Cydalima perspectalis (Walker, 1859) comb. n., which was recently introduced into Europe (Lepidoptera: Pyraloidea: Crambidae: Spilomelinae). European Journal of Entomology 107 (3): 393-400
  12. a et b Van Eeckhout L (2016), article intitulé La pyrale, parasite du buis, prolifère en France, publié dans le journal Le Monde du 2 septembre 2016.
  13. [(in Chinese)] (en) Li SG, Lin HF, Yin CD, Chen SR, Zhang L, Wang PL, Xu TZ, « Biology and microbial control of box tree caterpillar, Diaphania perspectalis (Walker) », Forest. Ins., vol. 6,‎ , p. 584–587
  14. (en) Wan H, Haye T, Kenis M, Nacambo S, Xu H, Zhang F, Li H., « Biology and natural enemies of Cydalima perspectalis in Asia: Is there biological control potential in Europe? », Journal of Applied Entomology, vol. 138, no 10,‎ , p. 715-22. (DOI 10.1111/jen.12132)
  15. « > De l'eau et du liquide vaisselle pour éradiquer la pyrale du buis ? », sur Le Bien public, (consulté le ).
  16. http://www.paca.inra.fr/entomologie_foret_med/Generalites/Actualites/Programme-Save-Buxus
  17. http://www.astredhor.fr/
  18. http://www.plante-et-cite.fr/
  19. http://www.paca.inra.fr/entomologie_foret_med
  20. http://www.paca.inra.fr/entomologie_foret_med/Insectes-ravageurs-et-protection-durable/Laboratoire-Biocontrole
  21. http://www.saintgermainbouclesdeseine.fr/actualites/fiche/pyrale-du-buis-jetez-vos-vegetaux-contamines-dans-la-poubelle-grise/?cHash=ed0c70c5a4741ecfa77f7160556c28b7

Annexes

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Articles connexes

Liens externes