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Ottrott

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Ottrott
Ottrott
Vue depuis le Mont Sainte-Odile, Ottrott s'étire autour de l'arborétum du Windeck. Au premier plan, les carrières d'Ottrott-Saint-Nabor.
Blason de Ottrott
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Rosheim
Maire
Mandat
Claude Deybach
2020-2026
Code postal 67530
Code commune 67368
Démographie
Gentilé Ottrottois(es) [1]
Population
municipale
1 555 hab. (2021 en évolution de +0,26 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 31″ nord, 7° 25′ 35″ est
Altitude Min. 230 m
Max. 1 052 m
Superficie 28,89 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bœrsch
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Molsheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Ottrott
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Ottrott
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Ottrott
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Ottrott
Liens
Site web www.ottrott.fr

Ottrott est une commune française, située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Ottrott est réputée pour son rouge d'Ottrott, un vin rouge qui se singularise dans la famille des cépages d'Alsace. La commune est connue aussi pour être l'étape habituelle des promeneurs en route vers le Champ du Feu à 20 km par la route et des marcheurs qui partent à l'ascension du mont Sainte-Odile à 4,4 km à travers la forêt.

Ses habitants sont appelés les Ottrottois (Ottrotter en alsacien).

Géographie

Ottrott est située sur la route des vins d'Alsace, à moins de 5 km à l'ouest de la ville d'Obernai et environ 30 km au sud-ouest de Strasbourg. C'est un village touristique situé au pied de l'Elsberg (700 m) et du mont Sainte-Odile (764 m).

Le territoire de la commune est principalement occupé par la forêt (2 500 ha). Il est bordé du côté du massif des Vosges par le mont Sainte-Odile et du côté de la plaine d'Alsace par la vallée de l'Ehn.

Le hameau de Klingenthal, qui s'étire au fond du vallon de l'Ehn, est rattaché à Ottrott, pour la partie du hameau située sur la rive droite de la rivière, et de la commune de Bœrsch pour la majeure partie située sur l'autre versant.

Le territoire communal s’étend sur un dénivelé important : 230 m en bordure de plaine - 1 050 m près du Champ du Feu.

Lieux-dits et écarts

  • Ottrott-le-Haut ;
  • Ottrott-le-Bas ;
  • Roedel, lieu-dit du ban d'Obernai, situé l'entrée est de la commune ;
  • Eichwaeldel (littéralement petite forêt de chênes), quartier résidentiel créé en 1974 entre Ottrott-le-Haut et Klingenthal ;
  • Klingenthal, annexe de la commune qui s'étire au nord-ouest dans la vallée de l'Ehn ;
  • Kupferhammer, lieu-dit, situé entre Ottrott et le Klingenthal ;
  • Mont Sainte-Odile, annexe de la commune située à 2,5 km à vol d'oiseau et à 764 mètres d'altitude, au sud-ouest d'Ottrott-le-Haut.

Communes limitrophes

Ottrott étant adossée au massif des Vosges, les communes à l'ouest sont des communes de montagne situées autour de 500 mètres d'altitude, alors qu'à l'est ce sont des communes de la plaine d'Alsace situées à une altitude d'environ 200 mètres. Les communes du canton de Rosheim apparaissent dans le tableau ci-dessous en gras.

Géologie

À la limite des communes d’Ottrott et de Saint-Nabor se situent les carrières d'Ottrott-Saint-Nabor dont on extrayait les roches pyroclastiques (porphyre).

Entre les granites du Champ du Feu, on rencontre une « bande médiane » constituée de formations volcaniques rapportées au Dévonien. Dans la carrière de la Katzmatt affleurent des tufs à lapilli et des laves sombres de type andésitique[2], carrière située dans le vallon du ruisseau de la Magel[Carte 1].

Urbanisme

Typologie

Ottrott est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bœrsch, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 4 468 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (91 %), zones urbanisées (3,6 %), cultures permanentes (2,6 %), prairies (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Détails de la façade de la mairie.

La première mention écrite date d'un document de l'an 1059, rédigé en latin, à la suite de l'ordonnance du roi Heinrich IV (roi et empereur germanique) envers l'évêque Hezel de Strasbourg, qui cite la « villa Otonis, quae dicitur Ottenroden ». Il semble donc qu'un certain chevalier Oton ou Otton s'était installé dans cette contrée alors sauvage et recouverte de forêts (« Rode » en langage haut allemand). D'autres[Lesquels ?] estiment que ce nom vient de Ot-Trott (cave ou cellier d'Oton). Selon une autre hypothèse[réf. nécessaire], Ottenroden signifierait « auf der roten Erde » (sur la terre rouge).

Niederottrott (1793), Ottrott-le-Bas (1801).

Histoire

Ottrott est née en 1858 de la fusion de deux anciennes communes : Ottrott-le-Bas et Ottrott-le-Haut[12]. En souvenir de cet évènement, la mairie, construite en 1861, porte sur sa façade les armoiries des deux communes primitives. Le premier conseil municipal est élu le , et le premier maire de la nouvelle commune est Théodore de Dartein.

Héraldique


Blason d'Ottrott

Les armes d'Ottrott se blasonnent ainsi :
« Parti : au premier d'argent au lion de gueules, au chef d'or, au second d'argent à l'arbre de sinople sommé de trois oiseaux de sable. »[13].

Les armoiries actuelles symbolisent la réunion des armes d'Ottrott-le-Bas et d'Ottrott-le-Haut qui fusionnèrent en .

Tourisme

Ottrott est située sur la route des vins d'Alsace[14] entre Obernai et Heiligenstein mais aussi sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle entre Bœrsch et le mont Sainte-Odile.

Ottrott est le point de départ de nombreux itinéraires pédestres balisés par le Club Vosgien vers le massif des Vosges avec parmi d'autres le sentier des chasseurs, le sentier des pèlerins et le sentier des merveilles.

Ottrott donne un aperçu de l'architecture alsacienne, de ses maisons à pans de bois, de son riche artisanat et de la gastronomie locale.

Politique et administration

Le conseil municipal de la commune d'Ottrott est actuellement constitué de 19 élus dont 4 adjoints[15].

Liste des maires successifs[16]
Période Identité Étiquette Qualité
1957 1965 Charles Thomsen    
1965 1989 Robert Ott   Conseiller général
1989 1995 Jean Schreiber    
1995 2008 François Schreiber   Entrepreneur
2008 En cours
(au 31 mai 2020)
Claude Deybach[17],[18]
Réélu pour le mandat 2020-2026
sans Salarié dans l'agro-alimentaire
Les données manquantes sont à compléter.

Ottrott fait partie de la communauté de communes des Portes de Rosheim qui regroupe les 9 communes du canton à savoir Bischoffsheim, Bœrsch, Grendelbruch, Griesheim-près-Molsheim, Mollkirch, Ottrott, Rosenwiller, Rosheim, Saint-Nabor.

Jumelages

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 1 555 habitants[Note 3], en évolution de +0,26 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7336868381 0091 0731 9531 8871 8981 877
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 8221 7761 8061 6921 6631 6641 7061 6051 548
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4161 4591 3711 2751 2141 1861 1831 1711 115
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0431 0741 1151 3031 5011 5131 6221 6491 567
2018 2021 - - - - - - -
1 5431 555-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'évolution démographique d'Ottrott suit le même profil que celui de la plupart des communes du canton, à savoir :

  • Une croissance de la population qui atteint son apogée entre 1840 et 1865, limitée par les conditions économiques de l'époque ;
  • De 1870 à 1910, une baisse liée à l'exode rural et à l'émigration des Alsaciens-Lorrains qui ont opté pour la France ;
  • De 1910 à 1921, on constate les ravages de la Première Guerre mondiale ;
  • De 1921 à 1936, stabilisation ;
  • En 1941, l'exode, les expulsions par les nazis et les victimes de la Deuxième Guerre mondiale font à nouveau baisser la population.
  • À partir de 1960 - année où la population atteint son niveau le plus bas avec environ 1 000 habitants - la croissance démographique reprend grâce au développement des voies de communication, des transports, de l'installation d'entreprises en zone rurale et la création successive de lotissements en 1969, 1971 et 1974.

Économie

Jusqu'au début du vingtième siècle, les activités de la commune sont restées traditionnelles.

En 1922, les Établissements Frédéric Jacquel de Neuviller-Natzwiller, fleuron de l'industrie textile de la vallée de la Bruche, créent un atelier de tissage à Ottrott, au lieu cadastré Bachscheid[24]. Le long bâtiment, au toit d'usine à sheds abritant l'atelier, compte une superficie de plus de 2 300 m2. Du fait de la crise du textile des années 1960, l'entreprise propriétaire du tissage fusionne dans un premier temps avec la société Sincotex, puis est reprise par le groupe textile Willot. L'atelier d'Ottrott est définitivement fermé en 1969, l'activité et les emplois étant partiellement transférés vers l'établissement de Dinsheim-sur-Bruche[25]. Les locaux existent toujours, situés derrière le Domaine des Naïades.

Dans les années 1960, la municipalité a renoncé à l'implantation d'activités industrielles afin de préserver son cadre rural exceptionnel et a fait le choix du tourisme en favorisant l'installation d'établissements hôteliers et de restaurants. Le tourisme est devenu le moteur de l'activité de la commune[19].

Services de proximité et activités

Services de proximité

Hôtels-restaurants, restaurants, alimentation supérette, boulanger, pâtissier-chocolatier, coiffeur, associations locales, banque mutualiste, La Poste, Les Naïades aquarium, office de tourisme, Ottrott Tennis Club, Foyer de Charité.

Activités

Couvreur-zingueur, pharmacien, BTP, électricien, chauffagiste, garagiste, menuisier, médecins généralises, dentiste, métallier, viticulteurs, taxi.

Cyclisme et éco-tourisme

La ville d'Ottrott est également le terminus de la voie verte Rosheim-Ottrott ouverte en 2019. Elle possède une station de gonflage pour les pneus de vélo ainsi que d'anciennes installations ferroviaires non loin de l'ancienne gare : quatre verrins, une grue de soulevage et une plateforme de pesée de wagons.

Vie locale

Les associations locales et la municipalité d'Ottrott organisent des événements tout au long de l'année :

  • Le Gala de la Confrérie et les Sangliers à la broche de la Confrérie de la Corne, confrérie bachique qui promeut le Rouge d'Ottrott ;
  • La Randonnée gourmande ottrottoise, pédestre et conviviale dans le village et ses environs (ASO) ;
  • La Course des Châteaux, circuits de course à pied de 5 et 10 km dans le village et le vignoble (CLDO) ;
  • Le Circuit des myrtilles, circuits cyclistes sur route et VTT en forêt (CLDO) ;
  • Ottrott en fête, toutes les années impaires (ACSO) ;
  • La commémoration de la fête nationale et la retraite aux flambeaux ;
  • Les soirées du Théâtre alsacien ;
  • Les aubades de la Musique municipale d'Ottrott ;
  • Les Visites guidées de l'Office de tourisme ;
  • ...

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

  • Armand Théodore de Dartein : officier, conseiller général, maire d'Ottrott, propriétaire du château du Windeck dont il aménagea le parc en arboretum (1799-1884).
  • Charles Greyenbühl : artiste peintre, graveur et imprimeur, élève de Charles Spindler à Saint-Léonard. Il publia des recueils de ses gravures sur bois portant sur divers sujets alsaciens. Il illustra en 1954 l'étude de Frédéric Koritké sur la manufacture d'armes de Klingenthal (né à Ottrott 27/1/1900, Rosheim 3/6/1962).
  • Louis Laurent-Atthalin : artiste auteur de 48 croquis remarquables sur Ottrott et ses environs initialement publiés dans Bleistiftsskizzen von Laurent Atthalin aus dem Jahre 1836 (1818-1893).
  • Famille Wertheimer : hommes d’affaires et financiers, propriétaires de la marque Chanel, originaires d’une lignée de bouchers, rabbins, et marchands de bétail d’Ottrott-le-Bas.

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. 48° 26′ 35″ N, 7° 22′ 45″ E.

Cartes

  1. « Carte géologique », sur Géoportail.
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Vosges. Guides géologiques. Cyrille Delangle. p. 238-239. (ISBN 978-2-916097-81-7).
  3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Unité urbaine 2020 de Bœrsch », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. Désiré Dalloz, Jurisprudence générale : Recueil périodique et critique de jurisprudence, de législation, et de doctrine en matière civile, commerciale et criminelle, administrative et de droit public, Paris, Bureau de la Jurisprudence, (lire en ligne), « Réunion de commune, Ottrott », p. 32.
  13. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
  14. cf. Vignoble d'Alsace
  15. Délibération du Conseil Municipal du 14 mars 2008
  16. Communication de la Commune d'Ottrott (2009)
  17. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  18. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  19. a et b Site de la commune d'Ottrott
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. "Jacquel" Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne no 18 1991 FSHAA Strasbourg (ISBN 2-85759-017-2).
  25. "Les Jacquel, dynastie de la vallée", DNA, édition de Molsheim du 13 juillet 2008
  26. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 55.
  27. « Lancaster NE164 », sur le site Aérostèles (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Bibliographie

  • Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d'Alsace, Strasbourg, la Nuée bleue, , 676 p. (ISBN 2-7165-0250-1)
  • Charles-Laurent Salch, Ottrott et Adrano, donjons palais d’Alsace et de Sicile, Strasbourg, Castrum Europe, Châteaux-forts d’Europe, (ISSN 1253-6008, lire en ligne)
  • Dominique Demenge, Au pays de sainte Odile Louis Laurent-Atthalin, Strasbourg, Editions Coprur, , 96 p. (ISBN 978-2-84208-168-3)
  • Communauté de Communes du Canton de Rosheim : D'un millénaire à l'autre, le Canton de Rosheim, Strasbourg, ID l'éd., , 80 p. (ISBN 2-913302-32-7)
  • Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace, Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, 1983-2007 (ISBN 978-2-85759-005-7 et 2-85759-005-9)
    49 volumes
  • Philippe Dollinger, Histoire de l'Alsace, , 528 p. (ISBN 2-7089-1661-0)
  • Francis Mantz, Le mur païen du Mont Sainte Odile, Strasbourg,
  • René Dinkel, L'Encyclopédie du patrimoine (Monuments historiques, Patrimoine bâti et naturel : Protection, restauration, réglementation : Doctrines : Techniques : Pratiques), Paris, éditions Les Encyclopédies du patrimoine, , 1512 p. (ISBN 2-911200-00-4)
    La conservation intégrée : Le site du Mont Sainte Odile à Ottrott : La technique de fixation des assises du mur païen, par Daniel Gaymard, architecte en chef des monuments historiques (pp. 164-165)
  • D'r Ottrotter Revue municipale d'information, Ottrott, Commission communication - Information (ISSN 1268-4430)
    Parution trimestrielle
  • Bœrsch, Klingenthal, Saint-Léonard lieux d'histoire, vol. 2ème édition, Strasbourg, Société d'histoire, , 88 p. (ISBN 978-2-913302-65-5 et 2-913302-65-3)
  • Danielle Fèvre, Ottrott : château de bois, château de pierre, XIe et XIIe siècle, Centre d'archéologie médiévale, , 99 p. (ISSN 0992-8014, lire en ligne)
    num. 15
  • Autour du Mont-Sainte-Odile : le mur païen
  • Les possessions en Alsace avant la Guerre de Trente Ans. 3.1.2 Le bailliage de Schirmeck , Ottrott - 3.2 L'ordre de la chevalerie impériale du Bas-Rhin (unterelsässische Reichsritterschaft)