Aller au contenu

Corbenay

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est la version actuelle de cette page, en date du 27 août 2024 à 15:39 et modifiée en dernier par Roland45-Bot (discuter | contributions). L'URL présente est un lien permanent vers cette version.
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Corbenay
Corbenay
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Corbenay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Comté
(siège)
Maire
Mandat
Gabriel Hamman
2022-2026
Code postal 70320
Code commune 70171
Démographie
Population
municipale
1 251 hab. (2021 en évolution de −3,47 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 30″ nord, 6° 19′ 33″ est
Altitude Min. 246 m
Max. 331 m
Superficie 15,73 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Luxeuil-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Loup-sur-Semouse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Corbenay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Corbenay
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Voir sur la carte topographique de la Haute-Saône
Corbenay
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Corbenay
Liens
Site web http://www.corbenay.fr/

Corbenay est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants s'appellent les Corbinusiens.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aillevillers », sur la commune d'Aillevillers-et-Lyaumont à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 175,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −23,5 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Corbenay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 41 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,9 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), prairies (13,1 %), zones urbanisées (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), eaux continentales[Note 3] (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 618, alors qu'il était de 589 en 2014 et de 576 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 88,3 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 9,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Corbenay en 2019 en comparaison avec celle de la Haute-Saône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) inférieure à celle du département (6,2 %) et e à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (68,1 % en 2014), contre 68,7 % pour la Haute-Saône et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Corbenay en 2019.
Typologie Corbenay[I 2] Haute-Saône[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 88,3 82,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,3 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 9,4 10,9 8,2

Le nom du village est mentionné pour la première fois en 1293 dans un acte de la Seigneurie de Faucogney.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le 14 juin 1940, bombardement de la Gare d'Aillevillers, causant 23 victimes.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.

Elle se trouve depuis 1801 dans le canton de Saint-Loup-sur-Semouse. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, son territoire s'est agrandi, passant de 13 à 23 communes[12].

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du val de Semouse, créée le 20 décembre 2001.

Dans le cadre des prescriptions du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé en décembre 2011 par le préfet de Haute-Saône, et qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes des belles sources, de la communauté de communes Saône et Coney et de la communauté de communes du val de Semouse[13], la commune est membre depuis le de la communauté de communes de la Haute Comté.

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires successifs[14]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? 1793 Jean Baptiste Bardot    
1793 1809 Augustin Guyon    
1809 1810 Nicolas Chardin   maire par intérim
1810 1815 Jean Baptiste Bardot    
1815 1815 Nicolas Chardin    
1815 1820 Fortunat Bigey    
1820 1831 François Bigey    
1831 1831 Nicolas Roussel   maire par intérim
1831 1836 Nicolas Roussel    
1836 1840 Felix Caland    
1840 1843 Nicolas Bigey    
1843 1848 Felix Caland    
1848 1865 Joseph Faivre    
1865 1870 Nicolas Bigey    
1870 1871 Pierre Alexis Devoille    
1871 1880 Felix Caland    
1881 1887 Jean-Baptiste Poirot    
1888 1901 Jean Baptiste Henri Bernardin    
1902 ? Jules Simon    
Les données manquantes sont à compléter.
janvier 1966 mars 1983 Jean-Jacques Beucler   Officier de carrière puis industriel.
Secrétaire d’État aux Anciens Combattants (1977 → 1978)
Député de la Haute-Saône (2e circ.) (1968 → 1981)
Conseiller général de Faucogney-et-la-Mer (1976 → 1983)
mars 1983 mars 2001 Louis Bigey    
mars 2001 mars 2008 Angel Damioli    
mars 2008 mai 2020 Georges Bardot   Retraité du ministère des affaires étrangères
Vice-président de la CC de la Haute Comté (2014 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[15],[16]
mai 2020[17] 2022[18] Maguy Courtoy   Démissionnaire
mars 2022[19] En cours
(au 13 septembre 2022)
Gabriel Hamman    

Démographie

[modifier | modifier le code]

En 2021, la commune de Corbenay comptait 1251 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7147728559121 0151 0211 0191 1131 125
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9511 0451 0921 0561 1111 0941 1101 1141 162
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1111 1341 1501 0401 0351 0491 0079541 037
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0751 1571 2411 4181 3771 3921 3421 3271 300
2018 2021 - - - - - - -
1 2751 251-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Société Métallurgique de Corbenay (SMC) : fondée en 1870, elle est spécialisée dans les techniques de fabrication de pièces métalliques (découpage, emboutissage, pliage, soudures) et propose des produits propres destinés à la quincaillerie du bâtiment. Elle emploie une vingtaine de personnes environ[21].
  • Py constructeur : créé en 1977[22].
  • Compagnie Française du Panneau (Groupe Parisot) : créé en 1969, elle est spécialisée dans la fabrique de panneaux de bois, elle emploie 200 personnes[23].
  • Transports Clot : entreprise spécialisée dans le transport, affrettement, distribution et logistique qui s'est implanté sur la commune en 2016.
  • Eurocooler : fabrication de système de refroidissement pour transformateurs électriques.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église.

Consacrée le 21 octobre 1779, l'église est reconstruite au XIXe siècle et restaurée en 1995. Saint Laurent, diacre martyrisé en 258 à Rome, est le patron de l'église, le vitrail central derrière le maître-autel le représente sur le gril où il a été brulé. De chaque côté du chœur se trouve une statue représentant à gauche saint Laurent, patron de l'église, et saint Étienne à droite, patron de l'église de Fougerolles.

L'église renferme :

  • la chaire sculptée style Louis XV ;
  • le calvaire de pierre du XVe siècle dans la chapelle des fonts baptismaux ;
  • une statue de la Vierge à l'enfant du XIVe siècle qui est la première statue à droite ;
  • le nouvel autel et le lieu de parole datent de 2003.

La chapelle

[modifier | modifier le code]
  • située « en bas du village » comme il est dit dans la commune, la rue Henri-Duhaut allant descendent de l'église à la chapelle ;
  • Notre-Dame-d'Espérance ;
  • elle fait partie des chapelles de l'unité pastorale de Fougerolles visitée lors du mois de mai lors des traditionnelles prières à Marie.
  • reconstruite en 1913.

La salle d'asile

[modifier | modifier le code]
  • construite au XIXe siècle.
  • ancienne école maternelle.
  • Située à côté de l'église.

Les fontaines lavoirs

[modifier | modifier le code]
  • Dateraient d'un projet d'installation dans les années 1860.

Le monument aux morts

[modifier | modifier le code]
  • il fut inauguré le 21 août 1920.
  • Situé en face de la mairie, devant l'ancienne école primaire.

L'ancienne école primaire

[modifier | modifier le code]
  • Bâtiment situé face à la mairie, derrière l'église.
  • Réceptionnée le 25 juin 1860, le bâtiment actuel fut construit en lieu et place du précédent bâtiment faisant office d'école de 1825 à 1860.
  • Occupera sa fonction d'école primaire jusqu'en 2010, où le nouveau groupe scolaire de la commune sera inauguré.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Corbenay Blason
Parti de sinople et de pourpre, au cyclamor câblé sur lequel sont passants à l’intérieur trois lièvres réunis en abîme par les oreilles, chacun ayant une oreille en commun avec le précédent et le suivant, les trois oreilles formant un triangle renversé, le tout d’argent brochant sur la partition.
Devise
Varius sed unus (Divers mais unis).
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  • Plaine-Haute, Côtes-d'Armor (France) depuis le 23 avril 2011.

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Corbenay ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Corbenay » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Corbenay - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Corbenay - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Haute-Saône » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Corbenay et Aillevillers-et-Lyaumont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Aillevillers », sur la commune d'Aillevillers-et-Lyaumont - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Aillevillers », sur la commune d'Aillevillers-et-Lyaumont - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  13. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5-6.
  14. « Les maires de Corbenay », sur francegenweb.org (consulté le ).
  15. « Georges Bardot est candidat à sa succession », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  16. « Corbenay : Georges Bardot à la mairie », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  17. « Le nouveau conseil municipal formé autour de Maguy Courtoy, maire », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  18. « Maguy Courtoy, maire, démissionne », Les affiches de Hautes-Saône,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Gabriel Hamman, nouveau maire », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Société Métallurgique de Corbenay, « Site officiel » (consulté le ).
  22. Py Constructeur, « Site officiel ».
  23. Didier PESENTI, « Compagnie Française du Panneau - Accueil », sur cfp.fr (consulté le ).