Vierge noire
Les Vierges noires sont des effigies de la Vierge Marie qui appartiennent à l’iconographie du Moyen Âge européen. Elles tirent leur nom de leur couleur sombre, souvent limitée au visage et aux mains. La plupart d'entre elles sont des sculptures produites entre le XIe et le XVe siècle, mais parfois aussi des icônes de style byzantin des XIIIe et XIVe siècles. On trouve parmi elles de nombreuses Vierges à l’enfant. La majorité des 450 à 500 recensées se rencontrent dans le bassin méditerranéen occidental, domaine de l'art roman, avec une concentration importante dans le sud de la France où on en compte 180. La Vierge noire de Częstochowa est, par sa localisation, un exemple atypique. Bien que des musées en conservent, la plupart des Vierges noires sont placées dans des églises et certaines suscitent des pèlerinages importants.
Historique
Les Vierges noires romanes ont inspiré de nombreuses imitations ultérieures. À côté des Vierges, il existe en France une autre sainte noire, sainte Sarah, patronne des gitans, Roms, chez qui elle est connue comme Sara e Kali (Sarah la noire). Sa statue se trouve dans la crypte de l'église des Saintes-Maries de la Mer en France (13). On trouve bien sûr des Vierges noires dans les régions du monde où vivent des populations à peau sombre, bien que leur couleur ait alors une signification clairement différente de celle des Vierges européennes.
apportée par les polognais en Haiti en 1802 aujourd'hui elle se nomme Notre Dame du Perpetuel Secours
Selon l’Église catholique, il n’existe aucun fondement théologique à la couleur de ces Vierges. On a voulu l'expliquer après coup par un passage du Cantique des cantiques (1 :5) : « Nigra sum, sed formosa » : « Je suis noire mais belle. »
L’explication traditionnellement avancée jusqu’au milieu du XXe siècle était, pour les statues, le choix du matériau (ébène, acajou ou bois local), ou des dépôts de suie provenant des bougies votives. Dans le cas des icônes, le noircissement serait dû à une altération des pigments, hypothèse qui ne fait pas l’unanimité. D’autre part, même si leur couleur ne provient pas à l’origine d’un choix délibéré, elle semble être devenue un élément important de leur identité, comme en témoignent les allusions au Cantique des cantiques mentionnées plus haut, et le fait que certaines aient été délibérément repeintes en noir lors de tentatives de restauration ou aient inspiré d'autres œuvres qui en ont repris la couleur.
C’est à partir des années 1950, avec l’avancée des études en matière de religions comparées, que des chercheurs ont envisagé que leur teinte sombre ait été voulue dès l’origine. Des rapprochements ont été faits avec les déesses des anciens cultes polythéistes d'Europe occidentale que la romanisation, suivie de la christianisation, avaient fait disparaître, en particulier les déesses-mères, confortés par la présence de sanctuaires dédiés à la mère de Dieu sur les lieux d’anciens cultes païens (Cybèle, Diane etc..). Benko et Chiavola Birnbaum ont remarqué la ressemblance entre la Vierge à l’enfant et les représentations d’Isis portant Horus datant de l’Égypte ptolémaïque. Des psychologues comme Gustafson et Begg, s’appuyant sur C. Jung, pensent y avoir reconnu un archétype maternel, ou bien un aspect chtonien et psychopompe. Laissant de côté la question des origines premières de la couleur, Monique Scheer a mis en évidence les différents symbolismes liés à la Vierge noire selon les lieux et les époques.
D'après Fulcanelli, « Jadis, les chambres souterraines des temples servaient de demeure aux statues d’Isis, lesquelles devinrent, lors de l’introduction du christianisme en Gaule, ces Vierges noires que le peuple, de nos jours, entoure d’une vénération toute particulière. Leur symbolisme est d’ailleurs identique ; les une et les autres montrent, sur leur soubassement, la fameuse inscription : Virgini parituræ ; à la Vierge qui doit enfanter. Ch. Bigarne[1], nous parle de plusieurs statues d’Isis désignées sous le même vocable. « Déjà, (...) le savant Elias Schadius avait signalé, dans son livre De dictis Germanicis, une inscription analogue : Isidi, seu Virgini ex qua filius proditurus est (A Isis, ou à la Vierge de qui le Fils prendra naissance). Ces icônes n’auraient donc point le sens chrétien qu’on leur prête, du moins exotériquement. Isis, avant la conception, c’est, dit Bigarne, dans la théogonie astronomique, l’attribut de la Vierge que plusieurs monuments, bien antérieurs au christianisme, désignent sous le nom de Virgo paritura, c'est-à-dire la terre avant sa fécondation, et que les rayons du soleil vont bientôt animer. C’est aussi la mère des dieux, comme l’atteste une pierre de Die : Matri Deum Magnæ ideæ. » (...) Un détail encore, utile pour l’hermétiste. Dans le cérémonial prescrit pour les processions de Vierges noires, on ne brûlait que des cierges de couleur verte.
Quant aux statuettes d’Isis, — nous parlons de celles qui échappèrent à la christianisation, — elles sont plus rares encore que les Vierges noires. Peut-être conviendrait-il d’en rechercher la cause dans la haute antiquité de ces icônes. Witkowski[2] en signale une que logeait la Cathédrale Saint-Étienne de Metz. « Cette figure en pierre d’Isis, écrit l’auteur, mesurant 0 m. 43 de haut sur 0 m. 29 de large, provenait du vieux cloître. La saillie de ce haut relief était de 0 m. 18 ; il représentait un buste nu de femme, mais si maigre que, pour nous servir d’une expression imagée de l’abbé Brantôme, « elle ne pouvoit rien monstrer que le bastiment » ; sa tête était couverte d’un voile. Deux mamelles sèches pendaient à sa poitrine comme celles des Dianes d’Ephèse. La peau était colorée en rouge, et la draperie qui contournait la taille en noir… Une statue analogue existait à Saint-Germain-des-Prés et à Saint-Etienne de Lyon.»[3]
Vierges noires romanes célèbres
Vierge noire de la cathédrale de Chartres
Selon Fulcanelli, « La cathédrale de Chartres est la mieux partagée sous ce rapport ; elle en possède deux, l’une désignée sous le vocable expressif de Notre-Dame-sous-Terre, dans la crypte, est assise sur un trône dont le socle porte l’inscription déjà relevée : Virgini parituræ ; l’autre, extérieure, appelée Notre-Dame-du-Pilier, occupe le centre d’une niche remplie d’ex voto sous forme de cœurs embrasés. Cette dernière, nous dit Witkowski, est l’objet de la dévotion d’un grand nombre de pèlerins. Primitivement, ajoute cet auteur, la colonne de pierre qui lui sert de support était “cavée” des coups de ses fougueux adorateurs, comme le pied de saint Pierre, à Rome, ou le genou d’Hercule que les païens adoraient en Sicile ; mais, pour la préserver des baisers trop ardents, elle fut entourée d’une boiserie en 1831. Avec sa Vierge souterraine, Chartres passe pour être le plus ancien de tous les pèlerinages. Ce n’était d’abord qu’une antique statuette d’Isis sculptée avant Jésus-Christ, ainsi que le racontent d’anciennes chroniques locales. Toutefois, notre image actuelle ne date que de l’extrême fin du XVIIIe siècle, celle de la déesse Isis ayant été détruite, à une époque inconnue, et remplacée par une statue de bois, tenant son Enfant assis sur les genoux, laquelle fut brûlée en 1793. »[4]
Vierge noire de Notre-Dame du Puy-en-Velay
Elle mesurait environ 72 cm, taillée probablement dans du cèdre et recouverte d’une toile marouflée.
Brûlée à la Révolution le 08 juin 1794, ses membres ne sont pas apparents et elle affecte la figure d’un triangle, par sa robe qui la ceint au col et s’évase sans un pli jusqu’au pied. L’étoffe en est décorée de ceps de vigne et d’épis de blé, — allégoriques du pain et du vin eucharistiques —, et laisse passer, au niveau de l’ombilic, la tête de l’Enfant, aussi somptueusement couronnée que celle de sa mère[5].
La statue actuelle est une copie exposée sur le Maître-Autel dans la cathédrale romane du Puy-en-Velay. Elle est portée en procession le 15 Août, Fête de l'Assomption qui, chaque année, rassemble des milliers de personnes.
Vierge noire de Rocamadour
But d’un pèlerinage fameux, déjà fréquenté l’an 1166, la Vierge noire de Rocamadour est une madone miraculeuse dont la tradition fait remonter l’origine au juif Zachée, chef des publicains de Jéricho, et qui domine l’autel de la chapelle de la Vierge construite en 1479.
C’est une statuette de bois, noircie par le temps, enveloppée dans une robe de lamelles d’argent qui en consolide les débris vermoulus. D'après Fulcanelli, « la célébrité de Rocamadour remonte au légendaire ermite, saint Amateur ou Amadour, lequel sculpta en bois une statuette de la Vierge à laquelle de nombreux miracles furent attribués. On raconte qu’Amateur était le pseudonyme du publicain Zachée, converti par Jésus-Christ ; venu en Gaule, il aurait propagé le culte de la Vierge. Celui-ci est fort ancien à Rocamadour ; cependant, la grande vogue du pèlerinage ne date que du XIIe siècle. »[6]
Notre-Dame de Vassivière à Besse-et-Saint-Anastaise
Située dans le Puy-de-Dôme, cette statue est portée en procession le 2 juillet jusqu'au Sanctuaire de Vassivière situé à 7 kilomètres du village. Elle y passe l'été et redescend le premier dimanche de septembre qui suit la Saint Mathieu ce retour s'appelle La dévalade.
Vierge noire à Paris
Camille Flammarion[7] parle d’une statue analogue qu’il vit dans les caves de l’Observatoire, le , deux siècles après la première observation thermométrique qui y fut faite en 1671.
- « Le colossal édifice de Louis XIV, écrit-il, qui élève la balustrade de sa terrasse à vingt-huit mètres au-dessus du sol, descend au-dessous en des fondations qui ont la même profondeur : vingt-huit mètres. A l’angle de l’une des galeries souterraines, on remarque une statuette de la Vierge, placée là cette même année 1671, et que des vers gravés à ses pieds invoquent sous le nom de Nostre-Dame de dessous terre. »
Cette Vierge parisienne peu connue, paraît être une réplique de celle de Chartres, la benoiste Dame souterraine[8]. Plus tard, Eugène Canseliet confirmera cette observation[9]. En 1705, l’urbaniste français De Lamare dressa le plan de la ville de Paris et y mentionna des temples d’Isis en lieu et place de l’abbaye de Saint-Germain-des-Près et de la Cathédrale de Notre-Dame. Ce fait fut encore confirmé par le père Jean du Breul qui dans son ouvrage Théatres des antiquités de Paris publié en 1639 dit ceci : « Au lieu où le roi Childebert fit construire à l’église de Saint-Vincent, à présent dite de Saint-Germain-des-Près et à laquelle il donna son fief d’Issy, la commune opinion est qu’il y avait un temple d’Isis, femme d’Osiris »[10].
Autres Vierges noires romanes
- Vierge noire de la Basilique-cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Privat de Mende
- Vierge noire de Vézelay
- Vierge noire de Toulouse, dont il ne subsiste qu'une copie.
- Vierge noire de Lenne
- Ancienne Vierge noire de Dijon[11]
- Vierge noire de Notre-Dame de Liesse (Picardie)
- Vierge noire de la basilique Notre-Dame de la Délivrande à Douvres-la-Délivrande (Calvados)
- Vierge noire de la cathédrale de Laon (Aisne)
- Vierge noire de Myans (Savoie)
- Vierge noire de Montserrat (Espagne)
- Vierge noire de la basilique de Hal (Belgique)
- Vierge noire de Tindari (Italie), découverte en 1990
- Vierge noire d’Oropa, Piémont
- Vierge noire de la Rivière des Pluies, à la Réunion
- Notre-Dame des Ermites, à Einsiedeln, en Suisse
Autres Vierges noires
Europe
Allemagne
- Gnadenkapelle à Altötting (Bavière).
- Karmeliterkirche St. Joseph à Beilstein (Mosel) (Rhénanie-Palatinat).
- St. Maria in der Kupfergasse à Cologne (Rhénanie-du-Nord-Westphalie).
- Wallfahrtskirche St. Johannes Baptist à Hirschberg an der Bergstraße (Bade-Wurtemberg).
- Kapelle Schwarze Madonna à Remagen (Rhénanie-Palatinat).
- Wallfahrtskirche Mariä Himmelfahrt à Ludwigshafen-Oggersheim (Rhénanie-Palatinat).
- Cathédrale Saint-Pierre de Ratisbonne à Ratisbonne (Bavière).
- Schlosskirche St. Marien à l'Île de Mainau (Bade-Wurtemberg).
- Einsiedelner Kapelle à Rastatt (Bade-Wurtemberg).
- St. Johannes, Kreuzberg à Wipperfürth (Rhénanie-du-Nord-Westphalie).
- Wuppertal-Beyenburg (Rhénanie-du-Nord-Westphalie).
Autriche
- Basilique Maria Loretto Burgenland.
- Schwarze Madonna von Unterfrauenhaid à Mariä-Himmelfahrt-Kirche (Unterfrauenhaid) Burgenland.
- Schloss Maria-Loretto à Klagenfurt (Carinthie (Land)).
- Pfarrkirche St. Katharina à Langenzersdorf (Basse-Autriche).
- Loreto - Pfarrkirchen (Haute-Autriche).
- Maria Hohenburg am Lurnfeld à Lendorf-Möllbrücke (Haute-Autriche).
- Loretokapelle im Stift à Lambach (Haute-Autriche).
Belgique
- Eglise Sainte-Catherine à Bruxelles.
- Outremeuse à Liège.
- Onze-Lieve-Vrouw van Regula (Moeder van Regula van Spaignen) à Bruges.
- Eglise Notre-Dame des Récollets à Verviers.
Croatie
- Donji Kraljevec, Comitat de Međimurje.
- Marija Bistrica.
Espagne
- Notre-Dame de Watkin à Coria (Province de Cáceres).
- Atocha à Madrid (Communauté de Madrid).
- Notre-Dame de Guadalupe au Monastère royal de Santa María de Guadalupe à Guadalupe (Province de Cáceres).
- Notre-Dame de la Cabezza à Andújar (Province de Jaén).
- Basílica de la Virgen de la Encina à Ponferrada (Province de León).
- Nuestra Señora de la Merced (Notre-Dame de la Pitié) à Jerez de la Frontera (Province de Cadix).
- Virgen de los milagros (Vierge aux miracles) à El Puerto de Santa María (Province de Cadix).
- Vierge de Montserrat (Province de Barcelone). Son nom vernaculaire est la Moreneta.
- Virgen de la Peña de Francia à Salamanque (Province de Salamanque).
- Virgen de la Regla à Chipiona (Province de Cadix).
- Notre-Dame de Torreciudad (Province de Huesca).
- Virgen Morena (Vierge sombre), statue de la Esclavitud de Nuestra Señora del Sagrario dans la Cathédrale Sainte-Marie de Tolède (Province de Tolède).
- Monastère de Lluch (Majorque).
- Nuestra-Señora de Candelaria à Tenerife (Îles Canaries). NS de Candelaria est la patronne des Iles Canaries.
France
- Havre (Seine-Maritime), statue monumentale située près de l'abbaye de Graville, érigée après la guerre contre la Prusse.
- Camp d'Idron à Pau avec une stèle érigée en 1942 par des prisonniers polonais.
- Saint-Sauveur d'Aix à Aix-en-Provence[12].
- Notre-Dame d'Huveaune, XVIe siècle, église de Saint-Giniez à Marseille (8 arrdt).
- Trelly (50)
- Notre-Dame-de-Confession, abbaye de Saint-Victor de Marseille (7 arrdt). Beau spécimen de statuaire ancienne, souple, large et grasse. Cette figure, pleine de noblesse, tient un sceptre de la main droite et a le front ceint d’une couronne à triple fleuron[13].
- Avioth dans la Meuse.
- Seyssel en Haute-Savoie.
- Notre-Dame des Voirons en Haute-Savoie.
- Guingamp dans les Côtes-d'Armor, qui serait une copie, elle même restaurée après la Révolution, d'une vierge noire du XIIe siècle.
- Eglise Saint-Blaise, à Vichy en Auvergne. Vénérée « de toute ancienneté », ainsi que le disait Antoine Gravier, prêtre communaliste au XVIIe siècle. Les archéologues datent cette sculpture du XIVe siècle, et comme l’église Saint-Blaise, où elle est déposée, ne fut construite, dans ses parties les plus anciennes, qu’au XVe siècle, l’abbé Allot, qui nous signale cette statue, pense qu’elle figurait autrefois dans la chapelle Saint-Nicolas, fondée en 1372 par Guillaume de Hames[14].
- Eglise de Guéodet, nommée encore Notre-Dame-de-la-Cité, à Quimper.
- Colline de Vaison-la-Romaine.
- Chapelle des Dunes à Dunkerque.
- Basilique Fourvière à Lyon.
- Myans en Savoie.
Irlande
- Notre-Dame de Dublin.
Italie
- Notre-Dame de Tyndaris (Sicile).
- Mont Sacré d'Oropa (Piémont).
- Notre-Dame de Crea à (Casale Monferrato) (Piémont).
- Basilique Santa Maria della Salute de Venise dite la "Mesopanditissa", Sec XI à Venise (Vénétie).
- Madonna di Canneto à Settefrati (Latium).
- "La Madonna del Soccorso" à San Severo (Pouilles).
- Madonna di Viggiano (Basilicate).
- Madonna di Castelmonte à Prepotto (Frioul-Vénétie julienne).
Lituanie
Luxembourg
- Esch, ou Madone noire d'Esch-sur-Sûre.
- Eglise Saint-Jean de Luxembourg-Grund.
Malte
- Hamrun, qui serait une copie ancienne (antérieure à 1630) de la Vierge d’Atocha.
Pologne
- Sanctuaire de Jasna Góra à Częstochowa.
Portugal
République tchèque
- Maison cubiste de la rue Celetná, "A la Mère de Dieu noire" (dům "U Černé Matky Božý") à Prague.
- Colline sacrée de Příbram.
Russie
- Cathédrale Saint-Basile-le-Bienheureux de Moscou à Kazan.
- Theotokos de Saint-Théodore.
Suisse
- Notre Dame de la forêt obscure, Abbaye d'Einsiedeln, Einsiedeln (Canton de Schwytz)
- Notre Dame de la Pierre, Abbaye de Notre-Dame-de-la-Pierre, Metzerlen-Mariastein (Canton de Soleure)
- Santa Maria Loretana, Sonogno (Valle Verzasca, Canton du Tessin)
- Église catholique Saint-François d'Assise Uetikon-le-Lac (Canton de Zurich)
- Notre Dame de la Vérité, Chapelle noire, Ascona (Canton du Tessin) (env. 16e siècle)
- Sainte Marie de Loreto, Église Sainte Marie de Loreto, Lugano (Canton du Tessin)
Turquie
Afrique
Afrique du Sud
- Eglise Regina Mundi de Rockville-Soweto à Johannesburg (Province du Gauteng).
Algérie
Sénégal
Amériques
Bolivie
Brésil
Chili
- Virgen Morena à Andacollo (Province de Elqui).
Costa Rica
- Basilique Nuestra Señora de los Ángeles (Notre-Dame des Anges) à Cartago.
Cuba
- Virgen de la Caridad del Cobre à Santiago de Cuba.
Etats-Unis
- Black Madonna Shrine dans le Missouri.
- National Shrine of Our Lady of Czestochowa dans les environs de Doylestown (Pennsylvanie).
- Cathédrale Saint-Jean le Divin (St. John the Divine) à New York (État de New York).
Haïti
- Notre Dame du Perpetuel Secours en [Haiti]
Mexique
- Basilique Notre-Dame de Guadalupe au Mexique.
Trinité-et-Tobago
- La Divina Pastora à Siparia.
Asie
Philippines
- Nuestra Señora de la Paz y Buen Viaje de Antipolo à Antipolo (Province de Rizal).
- Nuestra Señora de Guia, Ermita, à Manille.
- Nuestra Señora de Guadalupe (Caceres) de Loboc, Bohol
- Nuestra Señora de la Regla of Lapu-Lapu (Opon), Cebu
Notes et références
- Ch. Bigarne, Considérations sur le Culte d’Isis chez les Eduens. Beaune, 1862.
- G. J. Witkowski, L’Art profane à l’Eglise. France. Paris, Schemit, 1908, p. 26.
- Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, p.22-23
- Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, op. cit.
- Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, op. cit.
- Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, op. cit.
- Camille Flammarion, L’Atmosphère. Paris, Hachette, 1888, p. 362.
- Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, op. cit.
- "Une vierge noire sous l'Observatoire de Paris" sur Rhedae Magazine
- "Paris a-t-elle un lien historique ?" sur africamaat.com
- Vierge noire de Dijon
- Copie en pierre d'une vierge noire qui aurait disparu en 1521
- Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, op. cit.
- Fulcanelli, Le Mystère des Cathédrales, op. cit.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Hani, La Vierge noire et le mystère marial , Maisnie Tredaniel (1 Fév 1995) (ISBN 2857077238)
- Sophie Cassagnes-Brouquet, Jean-Pierre Cassagnes, Vierges noires, Editions du Rouergue (8 Mar 2000) (ISBN 2841562239)
- Jacques de Bascher, La Vierge noire de Paris, Tequi (1980), (ISBN 2852444186)
Articles connexes
- Sara la noire
- Saintes-Maries-de-la-Mer
- Effigie de Marie (culte marial)
- (es) catégorie:effigie de Marie (Wikipédia en espagnol)
- Maison À la Vierge noire de Prague