Hugo Boss (IMOCA, 2015)
Guyot Environnement Water Family FRA 09 | ||
Hugo Boss au départ du Vendée Globe 2016-2017 | ||
Symbole de classe | ||
Autres noms | • Hugo Boss (2015-2018) • 11th Hour Racing (2019-2021) • 11th Hour Racing-Alaka'i (2021) • Guyot Environnement-Team Europe (janvier-juillet 2023) |
|
---|---|---|
Type | voilier monocoque | |
Classe | Imoca | |
Fonction | course au large | |
Gréement | sloop | |
Histoire | ||
Architecte | Verdier-VPLP | |
Chantier naval | Green Marine (Hythe) | |
Fabrication | fibre de carbone, matériaux composites, acier, fibre de verre, kevlar | |
Design | prototype | |
Lancement | ||
Équipage | ||
Équipage | un, deux ou quatre marins | |
Caractéristiques techniques | ||
Longueur | 20,82 m (60 pieds) | |
Longueur de coque | 18,28 m (60 pieds) | |
Longueur flottaison | 18,28 m (60 pieds) | |
Maître-bau | 5,50 m[1] | |
Tirant d'eau | 4,50 m | |
Déplacement | 7,8 t | |
Appendice | quille basculante, foils, double safrans suspendus | |
Lest | 3,1 t | |
Hauteur de mât | 27,5 m | |
Voilure | 340 m2 au près 570 m2 au portant[1] |
|
Propulsion | voile | |
Vitesse | 38,5 nœuds () | |
Carrière | ||
Propriétaire | Benjamin Dutreux[2] | |
Armateur | équipe 11th Hour Racing (2019-2021) | |
Pavillon | • britannique (2015-2019) • américain (2019-2021) • français (depuis 2022) |
|
Port d'attache | • Portsmouth (2015-2019) • Concarneau (de juin 2019 à décembre 2021)[3] • Brest (depuis 2022) |
|
modifier |
Hugo Boss, sixième du nom, est un voilier monocoque de la classe Imoca, destiné à la course au large. Plan VPLP-Verdier, c'est un des premiers Imoca à foils. Il est mis à l'eau le pour Alex Thomson. Il devient ensuite 11th Hour Racing, skippé par Charlie Enright ; 11th Hour Racing-Alaka'i, skippé par Justine Mettraux et Simon Fisher ; Guyot Environnement-Water Family, skippé par Benjamin Dutreux ; et Guyot Environnement-Team Europe, skippé par Benjamin Dutreux et Robert Stanjek.
Dans le Vendée Globe 2016-2017, barré par Thomson, il montre de redoutables dispositions, jusqu'à ce qu'il soit handicapé par la casse d'un foil. Il termine 2e. Dans la Route du Rhum 2018, il affiche une nette supériorité du premier au dernier jour. Mais un recours au moteur pour se déséchouer vaut à Thomson une pénalité de 24 heures, qui le relègue à la 3e place.
Hugo Boss bat deux records de distance parcourue en 24 heures en monocoque : en solitaire en 2017, record qui tient toujours en 2023 ; et en 60 pieds, en équipage, en 2018.
Caractéristiques et développement
Le sixième Hugo Boss est conçu par les architectes Guillaume Verdier et VPLP, comme tous les autres Imoca de la génération 2015 : Safran II[4], Banque populaire VIII, Gitana 16, StMichel-Virbac, et Vento di Sardegna. Ce sont les premiers Imoca dotés de foils. Ces deux appendices rétractables remplacent les dérives asymétriques, dont ils sont une évolution. Ils permettent de soulever la coque aux allures portantes afin de réduire la traînée et augmenter la vitesse[5]. Hugo Boss est donc conçu pour être efficace aux allures portantes et tirer un maximum de profit des foils[6].
Il est construit au chantier Green Marine à Hythe, dans le Hampshire. Il est mis à l'eau le [7].
Performances
- Les 18 et , pendant le Vendée Globe, Alex Thomson parcourt 535,34 milles en 24 heures. C'est 0,86 mille de plus que le record détenu par François Gabart, mais il faut une différence de plus d'un mille pour être homologué[8],[9].
- Les et , toujours pendant le Vendée Globe, Hugo Boss établit un record de distance parcourue en 24 heures en monocoque et en solitaire : 536,81 milles, soit une vitesse moyenne de 22,36 nœuds. Record homologué par le WSSRC[10]. Ce record tient toujours en 2023[11].
- En , lors d'un entraînement au large des côtes du Portugal, Hugo Boss réalise une pointe à 33,2 nœuds[12].
- Les et , skippé par Alex Thomson, Hugo Boss bat le record de distance parcourue en 24 heures en monocoque de 60 pieds et en équipage, en parcourant 539,71 milles, soit une vitesse moyenne de 22,49 nœuds[13]. Record homologué par le WSSRC[14].
- Durant la Route du Rhum 2018, dans la soirée du , Thomson annonce que Hugo Boss vient de battre son record « personnel » : 38,5 nœuds[15].
Historique
Hugo Boss, sixième du nom, barré par Alex Thomson
Transat Jacques-Vabre 2015
Le , barré par Alex Thomson et Guillermo Altadill (en), Hugo Boss prend le départ de la Transat Jacques-Vabre. Deux jours plus tard, des problèmes de structure sont détectés. Le 28,Thomson et Altadill décident de faire route vers La Corogne, tout en procédant à des réparations d'urgence. Le 31, dans le deuxième coup de vent de la course, Hugo Boss est à la cape, lorsqu'il est retourné par une déferlante et démâte. Une voie d'eau se déclare. Le , le bateau menaçant de couler, les deux marins sont hélitreuillés par la marine espagnole à 82 milles des côtes[16] Le , Hugo Boss est remorqué jusqu'à La Corogne[17].
Le , Thomson prend le départ de la Transat New York-Vendée-Les Sables-d'Olonne. Il termine 3e[18].
Vendée Globe 2016-2017
Le , il est au départ du Vendée Globe. C'est la première édition où les Imoca sont équipés de foils. À l'approche des îles du Cap-Vert, Thomson prend la tête[19]. Le , il établit un temps de référence sur la distance Les Sables-équateur[20]. Dans le contournement de l'anticyclone de Sainte-Hélène, il choisit une route ouest, assez longue, mais lui offrant un meilleur angle[21]. Les 18 et , Hugo Boss parcourt 535,34 milles en 24 heures[22]. Le 19, il a 134 milles d'avance sur le Banque populaire VIII d'Armel Le Cléac'h (2e)[23],[24]. Hugo Boss semble bien parti pour dominer la course. C'est alors qu'une collision avec un OFNI endommage le foil tribord[25]. Celui-ci ne peut être rétracté entièrement, et le moignon ralentit le bateau[26].
Le , tribord amures, c'est-à-dire sur son foil valide, Hugo Boss établit un nouveau temps de référence à la longitude du cap de Bonne-Espérance[27],[22]. Il précède alors Banque populaire de 103 milles. Mais, trois jours plus tard, Le Cléac'h passe en tête : bâbord amures, Banque populaire va en moyenne 1,8 nœud plus vite que Hugo Boss[28]. Le , tribord amures, Thomson passe en tête[29]. Le 3, Le Cléac'h le dépasse. Nettement handicapé bâbord amures par la perte de son foil tribord, Thomson va rester 2e jusqu'à la fin de la course. Le , les deux bateaux sont ralentis dans une zone de transition. Thomson peine à s'extraire des calmes. Devant faire du près sans foil tribord, il dérive[30]. Le , son retard sur Le Cléac'h atteint 820 milles.
En remontant l'Atlantique sud, il bénéficie de conditions favorables et, le 30, revient à 29 milles de Banque populaire. Le , tribord amures, il bat le record de distance parcourue en 24 heures[8],[31]. Malgré cela, il ne peut rattraper son rival. La fin de course s'effectue bâbord amures. Le , Hugo Boss termine 2e, seize heures après Banque populaire[32].
Nouveau record sur 24 heures
En août 2017, dans la Fastnet Race, barré par Thomson et Nicholas O'Leary, Hugo Boss termine 8e sur 9 Imoca[33]. En octobre, il est 22e sur 104 en IRC dans la Middle Sea Race (en)[34].
Du 19 au 20 juillet 2018, skippé par Thomson lors d'un convoyage de New York à Gosport, Hugo Boss bat le record de distance parcourue en 24 heures, en 60 pieds et en équipage[13],[14].
Route du Rhum 2018
Le , barré par Thomson, Hugo Boss est au départ de la Route du Rhum. Dès le premier jour, il prend la tête. Il va la conserver jusqu'au bout. Il tente une option nord[35], ce qui signifie chemin plus court, mais vent soutenu et mer forte. Les routages donnent la route nord gagnante sans prendre en compte l'état de la mer, qui empêche de suivre la cadence estimée[36].
Dans la nuit du 6 au , Thomson abandonne cette route nord. Il n'a cure de perdre une partie de son avance (plus de 90 milles)[37], il table sur la vitesse au portant de Hugo Boss : elle lui permettra de faire la différence dans l'alizé[38]. Il descend plein sud. Dans la soirée, Hugo Boss bat son record « personnel » de vitesse : 38,5 nœuds[15]. Conservant la première place, il recroise avec le SMA de Paul Meilhat (2e).
Dans l'alizé, son avance sur SMA ne cesse de grandir : 92 milles le [39], 197 milles le 13[40], 211 milles le 14[41].
Hugo Boss « écrase la concurrence[42] ». Le , à 67 milles de l'arrivée, il a 231 milles d'avance sur SMA. Thomson décide de s'accorder un moment de sommeil avant d'entamer le tour de la Guadeloupe. Sa montre-alarme ne le réveille pas. Hugo Boss se dirige à 19 nœuds vers le nord de Grande-Terre[43]. Il talonne. Thomson se dégage au moteur. Il remet à la voile[44]. Hugo Boss franchit la ligne d'arrivée 1er sur 20 Imoca[45]. Le jury lui inflige une pénalité de 24 heures pour avoir eu recours à son moteur. Il descend à la 3e place[46].
11th Hour Racing, barré par Charlie Enright
En , on apprend que Hugo Boss a été racheté par l'équipe des Américains Charlie Enright et Mark Towill. Il devient 11th Hour Racing, du nom du sponsor principal de l'équipe[47]. Enright et Pascal Bidégorry terminent 4es de la Transat Jacques-Vabre 2019[48].
En mai et juin 2021, skippé par Charlie Enright, 11th Hour Racing participe à la course en équipage The Ocean Race Europe. Il va terminer 2e des Imoca[49].
Entre deux étapes de la course, il est vendu à Benjamin Dutreux, qui ne le réceptionnera que quelques mois plus tard, après la Transat Jacques-Vabre[2].
11th Hour Racing-Alaka'i, barré par Justine Mettraux et Simon Fisher
En attendant, l'équipe 11th Hour Racing confie le bateau à la Suissesse Justine Mettraux et au Britannique Simon Fisher pour un programme en double dans le deuxième semestre de l'année : Fastnet Race, Défi Azimut et Transat Jacques-Vabre[50]. En août, Mettraux et Fisher terminent 3es des Imoca dans la Fastnet Race[51].
Le , un nouveau 11th Hour Racing est mis à l'eau. Le , pour distinguer les deux bateaux, celui de 2015 est baptisé 11th Hour Racing-Alaka'i et celui de 2021 11th Hour Racing-Mālama[52]. Le , Mettraux et Fisher, sur 11th Hour Racing-Alaka'i, terminent 2es des 48 heures du Défi Azimut[53].
Lors de la Transat Jacques-Vabre 2021, le bateau démâte le 10 novembre alors que le duo Mettraux-Fisher pointe à la 7e place[54]. Après avoir vainement tenté de remonter le mât, les deux navigateurs doivent se résoudre à abandonner mât, voiles et gréement pour éviter des dégâts supplémentaires sur la coque et les foils[55].
Guyot Environnement-Water Family, barré par Benjamin Dutreux
Le bateau est transporté vers Les Sables-d'Olonne, où Benjamin Dutreux a installé son projet[56]. Il y arrive le [57].
Ayant acheté ce bateau, Benjamin Dutreux trouve, en mars, un nouveau partenaire : l'entreprise brestoise Guyot Environnement, engagée dans la voile depuis neuf ans, qui va le soutenir jusqu'en juin 2025. Benjamin Dutreux reste ambassadeur de l'association Water Family[56]. Entièrement vérifié[42], le bateau gagne en poids et en ergonomie. Il reçoit des foils de dernière génération (2021)[58] et un nouveau mât. Il est remis à l'eau le [56], sous le nom de Guyot Environnement-Water Family. Son nouveau port d'attache est Brest[59].
En mai 2022, Guyot Environnement-Water Family termine 6e sur 24 dans la Bermudes 1000 Race[60].
En juin 2022, il termine 11e sur 25 dans la Vendée-Arctique-Les Sables-d'Olonne[61].
En septembre 2022, dans les 48 Heures équipage[62] du Défi Azimut, il termine 2e sur 4[63]. En novembre de la même année, dans la Route du Rhum, il termine 8e sur 38 Imoca[64].
A la suite pendant l'hivers 2022-2023 le bateau participe, en équipage mais toujours avec Benjamin Dutreux comme skipper à l'Ocean Race. Après notamment une avarie sur une étape il termine à la 5e position sur 5 bateaux engagés.
Guyot Environnement-Team Europe, skippé par Benjamin Dutreux et Robert Stanjek
Le , le bateau prend le départ de The Ocean Race 2022-2023, sous le nom de Guyot Environnement-Team Europe. Dutreux est skipper. L'Allemand Robert Stanjek, qui apporte une partie du budget et de l'équipage, est co-skipper[65].
Le , trois jours après le départ de la troisième étape Le Cap-Itajaí, Guyot Environnement est victime d'une rupture du sandwich de la coque. Il est contraint de faire demi-tour[66]. Au Cap, on remplace l'âme en nid-d'abeilles de la structure sandwich par de la mousse[67]. Le bateau en effet a été construit en 2015, c'est-à-dire à une époque où l'on utilisait encore le nid-d'abeilles en fond de coque[68]. Depuis l'adoption des grands foils, le tossage répété (le slamming) provoque du délaminage[69]. Des renforcements de fond de coque ont été alors préconisés. Mais, estime Quentin Lucet, architecte et ingénieur chez VPLP, ces recommandations n'ont pas toutes été suivies à l'époque où le bateau s'appelait 11th Hour Racing, « et, à la vente, la consigne a dû se perdre en route[68] ». La réparation prend une dizaine de jours, ce qui contraint Guyot Environnement à se retirer de l'étape, et à gagner Itajaí en traversant l'Atlantique pour être à temps au départ de la quatrième étape[67].
Palmarès
2015-2019. Hugo Boss — Alex Thomson
- 2015. Abandon dans la Transat Jacques-Vabre, en double avec Guillermo Altadill (en). Problèmes structurels.
- 2016. 3e sur 14 de la Transat New York-Vendée, en 9 jours, 21 heures, 3 minutes et 33 secondes[18].
- 2017. 2e du Vendée Globe, en 74 jours 19 heures 35 minutes 15 secondes.
- 2018. 3e de la Route du Rhum - Destination Guadeloupe, en classe IMOCA, en 12 jours, 23 heures, 10 minutes et 58 secondes (dont 24 h de pénalité pour utilisation du moteur) ; 8e au classement général.
2019-2021. 11th Hour Racing — Charlie Enright et Pascal Bidégorry
- 2019 :
- 3e du Défi Azimut.
- 4e de la Transat Jacques-Vabre avec Charlie Enright et Pascal Bidégorry. Arrivé 5e, après Advens for Cybersecurity qu'une pénalité de deux heures a rétrogradé en 5e place[48].
- 2021. 2e des Imoca dans The Ocean Race Europe, mené par Charlie Enright[49].
2021. 11th Hour Racing-Alaka'i — Justine Mettraux et Simon Fisher
- 3e des Imoca dans la Fastnet Race, mené par Justine Mettraux et Simon Fisher[51].
- 2e des 48 heures du Défi Azimut, mené par Justine Mettraux et Simon Fisher[53].
- Abandon sur démâtage au 3e jour de la Transat Jacques-Vabre avec Justine Mettraux et Simon Fisher.
2022. Guyot Environnement-Water Family — Benjamin Dutreux
- 6e sur 24 dans la Guyader Bermudes 1000 Race[60].
- 11e sur 25 dans la Vendée-Arctique-Les Sables-d'Olonne[61].
- 2e sur 4[63] dans les 48 Heures équipage[62] du Défi Azimut.
- 8e sur 38 Imoca dans la Route du Rhum[64].
Notes et références
- « 11th Hour Racing », sur imoca.org (consulté le 17 septembre 2019).
- Mélina Nicolleau, « Imoca. Le Vendéen Benjamin Dutreux a trouvé sa nouvelle monture avec 11th Hour Racing », sur ouest-france.fr, 13 juillet 2021 (consulté le 25 septembre 2021).
- « 11th Hour Racing », sur transatjacquesvabre.org, 2019 (consulté le 17 septembre 2019).
- « Mise à l'eau de Safran, premier Imoca nouvelle génération », sur francetvinfo.fr, .
- Guillaume Loisy, « La voile succombe à l’appel du ciel », Le Figaro, (lire en ligne).
- Dominic Bourgeois, « Seb Josse : “Chaque foil fonctionne différemment…“ », Voiles et Voiliers, (lire en ligne).
- « A36 GBR 99 », sur histoiredeshalfs.com, novembre 2022 (consulté le 20 février 2023).
- Le record de distance parcourue en 24 heures en monocoque et en solitaire établi par François Gabart dans le précédent Vendée Globe, les 9 et , sur Macif, est de 534,48 milles, ce qui représente une moyenne de 22,27 nœuds. (en) « 24 Hour Distance », sur sailspeedrecords.com, 2016 (consulté le 16 janvier 2017).
- « Alex Thomson bat le record sur 24 heures détenu par François Gabart », sur actualites-nautiques.com, 20 novembre 2016 (consulté le 18 janvier 2017).
- (en) John Reed, « WSSR Newsletter No 280. Hugo Boss. 24 Hour Record », sur sailspeedrecords.com, 23 janvier 2017 (consulté le 23 juin 2022).
- (en) « 24 Hour Distance », sur sailspeedrecords.com, 2022 (consulté le 10 mars 2023).
- « Belles images d’Hugo Boss », sur courseaularge.com, (consulté le ).
- (en) Sarah Taylor, « British Skipper Alex Thomson breaks 24 hour distance record », sur sail-world.com, 25 octobre 2018 (consulté le 10 mars 2023).
- (en) John Reed, « WSSR Newsletter No 307. Hugo Boss. 60 ft Monohull 24 hour record », sur sailspeedrecords.com, 24 octobre 2018 (consulté le 23 février 2023).
- « Il y a François qui se barre et les autres… », sur courseaularge.com, 8 novembre 2018 (consulté le 8 novembre 2018).
- Loïc Le Bras, « Un lourd bilan ! » sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 2 novembre 2015 (consulté le 21 février 2023).
- Bruno Ménard, « Hugo Boss est sauvé ! » sur vendeeglobe.org, 3 novembre 2015 (consulté le 21 février 2023).
- « New York-Vendée 2016 », sur imoca.org (consulté le 21 février 2023).
- Christian Dumart, « L'accélération du Cap-Vert pour Hugo Boss », sur vendeeglobe.org, 13 novembre 2016 (consulté le 13 novembre 2016).
- « Alex Thomson en éclaireur à l'équateur », sur vendeeglobe.org, 15 novembre 2016 (consulté le 15 novembre 2016).
- Christian Dumard, Bernard Sacré, « Un Pot au noir qui n'en finit pas et bien choisir sa trajectoire dans le sud », sur vendeeglobe.org, 17 novembre 2016 (consulté le 17 novembre 2016).
- Carpentier et Sorlot 2017, p. 30.
- Classement du 19 novembre 2016, à 9 heures (heure française).
- « Historique des classements », sur vendeeglobe.org.
- « Avarie de foil à bord d'Hugo Boss », sur vendeeglobe.org, 19 novembre 2016 (consulté le 19 novembre 2016).
- Bruno Ménard, « Alex Thomson résiste », sur vendeeglobe.org, 21 novembre 2016 (consulté le 21 novembre 2016).
- « La fusée Hugo Boss pulvérise le chrono à Bonne-Espérance », sur vendeeglobe.org, 24 novembre 2016 (consulté le 24 novembre 2016).
- Bruno Ménard, « Avantage Le Cléac'h », sur vendeeglobe.org, 28 novembre 2016 (consulté le 28 novembre 2016).
- Olivia Maincent, « The boss is back », sur vendeeglobe.org, (consulté le ).
- Olivia Maincent, « 40e jour de solitude », sur vendeeglobe.org, 16 décembre 2016 (consulté le 16 décembre 2016). — Le foil a deux fonctions. Il soulage la coque, en lien avec la quille pendulaire : ce premier rôle est tenu par son coude, l'elbow. Et il empêche le bateau de dériver aux allures de près : ce deuxième rôle est tenu par son extrémité verticale, le tip. « Foils ou pas foils sur le Vendée », sur courseaularge.com, 18 octobre 2016 (consulté le 5 décembre 2016).
- (en) John Reed, « WSSR Newsletter No 280. Hugo Boss. 24 Hour Record », sur sailspeedrecords.com, 23 janvier 2017 (consulté le 24 janvier 2017).
- « Alex Thomson a franchi la ligne d'arrivée du Vendée Globe aux Sables d'Olonne », sur lequipe.fr, 20 janvier 2017 (consulté le 20 janvier 2017).
- « Classement de la Rolex Fastnet Race 2017 », sur imoca.org, 8 août 2017 (consulté le 23 février 2023).
- (en) « Results » sur rolexmiddlesearace.com (consulté le 23 février 2023).
- Jacques Guyader, « Alex Thomson ose l'Atlantique par la face nord », sur ouest-france.fr, 5 novembre 2018 (consulté le 5 novembre 2018).
- Michel Desjoyeaux, « Alex Thomson sera dur à aller chercher », sur ouest-france.fr, 10 novembre 2018 (consulté le 10 novembre 2018).
- Pierre-Marie Bourguinat, « Toujours en tête, Thomson esquive », sur routedurhum.com, 7 novembre 2018 (consulté le 8 novembre 2018).
- « J’ai confiance en mon bateau et sa vitesse au portant et c’est là-dessus que va se jouer la course. » Alex Thomson, . Cité par Pierre-Marie Bourguinat, « Hugo Boss taille patron », sur routedurhum.com, 10 novembre 2018 (consulté le 10 novembre 2018).
- « Imoca - classement », sur tracking-rhum.georacing.com, 11 novembre 2018 à 23 h 45 (consulté le 26 février 2023).
- « Imoca - classement », sur tracking-rhum.georacing.com, déjà cité, 13 novembre 2018 à 23 h 30 (consulté le 26 février 2023).
- « Imoca - classement », sur tracking-rhum.georacing.com, déjà cité, 14 novembre 2018 à 23 h 44 (consulté le 26 février 2023.
- « Guyot environnement-Team Europe », sur imoca.org (consulté le 20 février 2023).
- Jean-Louis Le Touzet, « Alex Thomson, victime d’une panne de réveil, lâche la victoire promise », sur lemonde.fr, 16 novembre 2018 (consulté le 18 novembre 2018).
- « En tête de la course, Alex Thomson a percuté une falaise ! » sur ouest-france.fr, 16 novembre 2016 (consulté le 16 novembre 2016).
- Le décalage Guadeloupe-métropole est de cinq heures. Il est 8 h 10 à l'heure de Guadeloupe.
- « Alex Thomson, premier à couper la ligne en IMOCA... mais avec une pénalité ! », sur figaronautisme.meteoconsult.fr, 16 novembre 2018 (consulté le 16 novembre 2018).
- Dominic Bourgeois, « Imoca. Pascal Bidégorry analyse « un gain énorme avec les nouveaux foils », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 13 septembre 2019 (consulté le 17 septembre 2019). — « Charlie Enright & Mark Towill tournés vers une troisième course autour du monde avec 11th Hour Racing », sur imoca.org, 4 septembre 2019 (consulté le 17 septembre 2019).
- « Pénalisé de deux heures, Advens for Cybersecurity perd une place au classement », sur transatjacquesvabre.org, 12 novembre 2019 (consulté le 20 novembre 2019).
- « The Ocean Race Europe - 2021 », sur imoca.org, (consulté le 25 septembre 2021).
- Olivier Bourbon, « Justine Mettraux, nouvelle venue en Imoca : « Je pense au Vendée Globe 2024 », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 2 février 2021 (consulté le 23 septembre 2021).
- (en) « 2021 Rolex Fastnet Race - IMOCA 60 - Finish », sur rolexfastnetrace.com, 23 août 2021 (consulté le 25 septembre 2021).
- (en) « Today was a big day for the team: our beautiful boats were named in a ceremony in Concarneau, France », sur 11thhourracing.org, 13 septembre 2021 (consulté le 23 septembre 2021).
- « Classements », sur defi-azimut.net (consulté le 25 septembre 2021).
- Jacques GUYADER, « Transat Jacques Vabre. Démâtage de 11 th Hour 1, de Justine Mettraux et Simon Fisher », sur ouest-france.fr,
- « 11th Hour Racing Team Alaka'i abandonne la Transat Jacques-Vabre », sur transatjacquesvabre.org, 11 novembre 2021 (consulté le 7 janvier 2022).
- Aline Merret, « Guyot Environnement embarque avec Benjamin Dutreux en Imoca pour trois ans », sur letelegramme.fr, 31 mars 2022 (consulté le 20 février 2023).
- Brendan Martineau, « Le nouveau monocoque de Benjamin Dutreux est arrivé aux Sables-d'Olonne », sur actu.fr, 10 février 2022 (consulté le 24 février 2022).
- Bruno Poirier, « Benjamin Dutreux met le cap sur la performance avec Guyot Environnement », sur ouest-france.fr, 31 mars 2022 (consulté le 25 février 2023).
- « L’Imoca Guyot-Environnement est arrivé à Brest, son port d’attache (vidéo) », sur letelegramme.fr, 3 mai 2022 (consulté le 20 février 2023).
- « Les enseignements de la Guyader Bermudes 1000 Race 2022 », sur imoca.org (consulté le 25 février 2023).
- « Vendée-Arctique 2022 », sur imoca.org (consulté le 25 février 2023).
- Le Défi Azimut, à Lorient, en septembre, permet aux Imoca de se tester avant la grande épreuve de fin d'année : les années impaires, les 48 Heures se courent en double pour préparer la Transat Jacques-Vabre, et les années paires elles se courent en solo pour préparer le Vendée Globe ou la Route du Rhum. En 2022, les organisateurs proposent deux parcours : équipage et solo, offrant le choix aux bateaux préparant The Ocean Race, course en équipage.
- « Classements », sur defi-azimut.net (consulté le 25 février 2023).
- « Route du Rhum 2022. Les vainqueurs et classements classe par classe », sur letelegramme.fr, 30 novembre 2022 (consulté le 25 février 2023).
- Jacques Guyader, « The Ocean Race. Qui sont les skippers et qui sont leurs équipiers sur ce tour du monde ? » sur ouest-france.fr, 4 janvier 2023 (consulté le 25 février 2023).
- « Problème de coque sur Guyot Environnement qui suspend la course et rentre à Cape Town », sur courseaularge.com, (consulté le 7 mars 2023).
- Philippe Eliès, « The Ocean Race. Benjamin Dutreux : « Notre challenge est d’être prêts pour le départ de la 4e étape », sur letelegramme.fr, 8 mars 2023 (consulté le 12 avril 2023).
- « The Ocean Race : les enseignements d’une troisième étape XXL », sur tipandshaft.com, 10 avril 2023 (consulté le 11 avril 2023).
- « Route du Rhum 2022. Quels progrès dans le domaine de la sécurité en 4 ans ? », sur bdi.fr, 5 octobre 2022 (consulté le 11 avril 2023).
Liens externes
Articles connexes
- Hugo Boss (IMOCA, 2019), septième Imoca du nom
- 60 pieds IMOCA
- Transat Jacques-Vabre
- Vendée Globe
- Route du Rhum