Georges Bruley des Varannes
Georges Prudent Marie Bruley des Varannes | ||||||||
Biographie | ||||||||
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Nom de naissance | Georges Prudent Marie Bruley | |||||||
Naissance | Montigné-le-Brillant (France) |
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Père | Georges-Prudent Bruley | |||||||
Ordination sacerdotale | ||||||||
Décès | (à 78 ans) Toulon (France) |
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Évêque de l'Église catholique | ||||||||
Ordination épiscopale | par Mgr Albert Nègre | |||||||
Archevêque titulaire de Claudiopolis-en-Honoriade (de) | ||||||||
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Évêque de Monaco | ||||||||
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Gratia et pax a Deo (Rom.7). | ||||||||
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
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Georges Bruley des Varannes, né le au château de Vauraimbault à Montigné-le-Brillant, en Mayenne, mort à Toulon le , est un évêque catholique français, évêque de Monaco de 1920 à 1924.
Biographie
[modifier | modifier le code]Membre de la famille Bruley, famille établie en Champagne au XVIe siècle, il est né au château de Vauraimbault, et est le fils de Georges-Prudent Bruley[1], procureur impérial à Mayenne[2], et de son épouse Aline, née Hubert[3].
Formation
[modifier | modifier le code]Il effectue ses études au Lycée de Laval, puis au Collège Stanislas. Il entre au Séminaire des Missions étrangères en 1886. Il y reçoit les ordres mineurs en 1887, puis le diaconat en 1889. Il devient prêtre en 1889.
Prêtre
[modifier | modifier le code]Il est aumônier militaire à partir de 1889, il est en Chine, au Japon. Après son arrivée au Japon, il consacre quelques mois à l'étude de la langue japonaise. Il étudie les coutumes du Japon. Il est à Matsumoto jusqu'en 1892. Il rejoint le diocèse de Tours, où il est chanoine du chapitre de Saint-Martin de Tours.
Il est aumônier au corps expéditionnaire lors de l'expédition de Madagascar en 1895, il est chevalier de la Légion d'honneur le . Il est aumônier de la Marine de 1896 à 1907. Aumônier militaire à l'ambulance du 36e corps d'armée, pendant la Première Guerre mondiale, il est fait officier de la Légion d'honneur le [4].
Évêque
[modifier | modifier le code]Protonotaire apostolique en 1918, il devient évêque de Monaco en 1920. Démissionnaire en 1924, il est nommé archevêque in partibus de Claudiopolis-en-Honoriade (de). Il passe ses dernières années à Toulon[5].
Armoiries
[modifier | modifier le code]D'argent au chevron d'azur accompagné de 2 grenades de gueules, feuillées et tigées de sinople en chef et d'un fer de lance de gueules futé de sable en pointe[6].
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le Japon d'aujourd'hui, journal intime d'un missionnaire apostolique au Japon septentrional, Tours, Mame, 1892.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressource relative à la religion :
- Ressource relative à la vie publique :
Notes et références
[modifier | modifier le code]- On trouve parmi ses ascendants! Prudent-Jean Bruley, et Prudent Bruley.
- Il sera aussi Maire de Montigné.
- Elle est la fille de Théophile Hubert, médecin en chef des hospices de Laval, chevalier de la Légion d'Honneur.
- « Officier de la Légion d'honneur », base Léonore, ministère français de la Culture
- Une biographie de Georges Bruley des Varannes sur le site web des Missions étrangères de Paris.
- Armorial des Prélats français du XIXè siècle par le Comte de Saint Saud. Paris. H. Dragon, 1924.
- Évêque ou archevêque de Monaco
- Évêque français d'un diocèse étranger
- Évêque catholique français du XXe siècle
- Personnalité des Missions étrangères de Paris
- Naissance en septembre 1864
- Aumônier militaire français du XIXe siècle
- Élève du collège Stanislas de Paris
- Élève du lycée Ambroise-Paré
- Décès en mai 1943
- Décès à 78 ans
- Naissance dans la Mayenne
- Officier de la Légion d'honneur promu en 1915
- Décès à Toulon
- Chanoine du XIXe siècle