Forces armées togolaises
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Depuis 1961, les Forces armées du Togo comprennent l'armée de terre togolaise, la marine togolaise, l'armée de l'air togolaise et la Gendarmerie nationale togolaise.
Lors de son indépendance, ce pays disposait de 152 militaires regroupés dans la « compagnie autonome du Dahomey ». En 1964, les Forces armées togolaises ont été créées. En 2009, elles totalisent environ 11 000 personnes dont moins de 200 femmes qui peuvent s'engager depuis 1998[1]. Le budget de la défense en 2015 est équivalent à 71 millions de dollars.
En « refondation » (une politique de défense axée sur une organisation territoriale en deux régions militaires et de gendarmerie et la création d'unités majoritairement motorisées) depuis 2014, les FAT participent aux opérations extérieures tout en assurant leur mission de « défense de l'intégrité nationale ».
L'armée togolaise a été formée par l'administration coloniale sur des critères culturels et ethniques. Ainsi les premiers soldats étaient originaires du nord du pays en raison de leur culture guerrière.
En 2024, le général Dimini Allaharé est nommé chef d’état-major des forces du pays. Il remplace le général Djato Tassounti . Auparavant il coordonnait l’Autorité de sûreté de l’aéroport international Gnassingbé Eyadéma de Lomé (ASAIGE)[2].
Armée de Terre
[modifier | modifier le code]Véhicules terrestres
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Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Interview du général de brigade aérienne Ayeva, CEMG », sur Frères d'armes, (consulté le ).
- « Au Togo, un nouveau patron pour l’armée », sur JeuneAfrique.com (consulté le ).
- (en) The Military Balance 2023, Routledge Taylor & Francis Group, , 508 p. (ISBN 978-1-032-50895-5), p. 484
- « Togolese Army » [archive du ], www.armyrecognition.com (consulté le ).
- « Arms Trade Register » [archive du ], SIPRI (consulté le ).
- « Trade Registers », Armstrade.sipri.org (consulté le ).
- (en) Guy Martin, « Togo operating Mbombe and Mamba APCs » , sur defenceweb.co.za, .