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Bonchamp-lès-Laval

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Bonchamp-lès-Laval
Bonchamp-lès-Laval
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Laval
Intercommunalité Laval Agglomération
Maire
Mandat
Gwénaël Poisson
2020-2026
Code postal 53960
Code commune 53034
Démographie
Gentilé Bonchampois
Population
municipale
6 211 hab. (2021 en évolution de +5,27 % par rapport à 2015)
Densité 226 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 27″ nord, 0° 42′ 05″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 113 m
Superficie 27,51 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Bonchamp-lès-Laval
(ville isolée)
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonchamp-lès-Laval
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bonchamp-lès-Laval
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Bonchamp-lès-Laval
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Bonchamp-lès-Laval
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Bonchamp-lès-Laval
Liens
Site web www.mairie-bonchampleslaval.fr

Bonchamp-lès-Laval est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région des Pays de la Loire, peuplée de 6 211 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

Géographie

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Deux axes de circulation routière traversent Bonchamp d'est en ouest :

  • l'autoroute A81 (dont les aires de service de Laval-Bonchamp et Laval-le-Coudray sont sur le territoire communal),
  • la D 57. Un carrefour giratoire remplace les feux tricolores depuis l'été 2008.

Hydrographie

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La Jouanne est un des deux cours d'eau de la commune. Pêcheurs et promeneurs fréquentent cette petite rivière, là où il est bon de pêcher, notamment à partir du moulin de Pochard.

Le ruisseau du Quartier se trouve à l'ouest, à la limite de la ville de Laval.

Communes limitrophes

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Bonchamp est limitrophe à l'est de Laval.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Argentré à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 780,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ARGENTRE (53) - alt : 107m, lat : 48°05'40"N, lon : 0°39'07"O
Records établis sur la période du 01-06-1971 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 1,8 3,5 5,1 8,5 11,4 12,9 12,9 10,3 8,2 4,7 2,5 7
Température moyenne (°C) 5,3 5,7 8,2 10,6 14 17,2 19 19,1 16,1 12,5 8,2 5,6 11,8
Température maximale moyenne (°C) 8,3 9,6 12,9 16,1 19,6 23 25,2 25,3 21,9 16,8 11,7 8,7 16,6
Record de froid (°C)
date du record
−16
08.01.1985
−14,5
10.02.1991
−11,3
01.03.05
−4,5
12.04.1986
−2
05.05.1979
1,2
01.06.06
4,5
12.07.00
3
29.08.1989
1,5
19.09.07
−4,5
30.10.1997
−8
23.11.1993
−10,6
29.12.05
−16
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
13.01.1993
20
27.02.19
23,5
20.03.05
27,4
15.04.15
31,5
27.05.05
37,5
26.06.1976
38,7
23.07.19
39,5
10.08.03
35
14.09.20
28
03.10.11
21,5
07.11.15
16,9
16.12.1989
39,5
2003
Précipitations (mm) 78,5 60 56,1 56,3 58,4 53,1 51,2 52,2 65,4 80,1 78,9 90,5 780,7
Source : « Fiche 53007001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Bonchamp-lès-Laval est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bonchamp-lès-Laval[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (39,5 %), terres arables (30,3 %), zones urbanisées (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Bonchamps-lès-Laval, de Malo Campo au XIe siècle, de Bono Campo en 1241 : constatant le changement d'épithète (bon remplaçant mauvais), Albert Dauzat et Charles Rostaing évoquent deux hypothèses. Il pourrait être dû à un affranchissement de taxes féodales ou à un euphémisme destiné à conjurer le mauvais sort[15],[16].

Le gentilé est Bonchampois.

De Malo Campo à Bonchamp-lès-Laval

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L'étude des documents d'archives montre que la commune n'a pas toujours porté le même nom et qu'elle aurait même pu s'appeler autrement à partir de la fin du XIXe siècle.

Les premières traces écrites remontent au XIe siècle, et relèvent une curieuse transformation du nom latin de malo en bono.

Mais c'est une mésaventure militaire qui décide du sort de l'appellation de la commune, comme le décrit cette déclaration de Gaultier de Vaucenay, maire de Bonchamp, lors de la séance de conseil municipal du  :

« Messieurs : vous vous souvenez que le 21 septembre dernier, des préparatifs avaient été faits dans la commune de Bonchamp, par le cantonnement de deux escadrons de cavalerie, et que ces préparatifs avaient été inutiles par suite d'une confusion amenée par la ressemblance de nom de notre commune avec celle de Bouchamps (près de Craon) à qui auraient dû parvenir les instructions arrivées ici par erreur.

Pour arriver à éviter le retour de pareille confusion, je vous invite à adresser aux autorités civiles et militaires une demande tendant à ajouter aux noms de ces deux communes une qualification distinctive sur les pièces officielles, annuaires et cartes. On pourrait pour notre commune dire : Bonchamp-du-Maine ou Bonchamp-lès-Laval, et pour Bouchamps (près Craon), Bouchamps d'Anjou ou Bouchamps-de-Craon. »

Le conseil municipal donna un avis favorable à cette demande de modification de nom. Et c'est par un décret du que Bonchamp prit son nom actuel : Bonchamp-lès-Laval et que la commune voisine de Craon devint « Bouchamps-lès-Craon »[17].

Les métiers des Bonchampois à la fin du XIXe siècle

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Nombre de personnes occupant les différentes professions vers 1899 (ces chiffres englobent les patrons et les employés)[18].

Tous les autres habitants de la commune travaillent alors dans l'agriculture. Sur cent dix exploitations, seulement sept cultivateurs sont propriétaires. Les autres sont métayers ou fermiers, occupant deux cent vingt ouvriers agricoles et une cinquantaine de servantes.

  • Charpentiers : 6
  • Maçons : 8
  • Maréchaux, fabricants de faux : 18
  • Charrons : 10
  • Cordonniers : 2
  • Tisserands : 8
  • Boulanger : 1
  • Épiciers : 3
  • Débitants : 10

Le chemin de fer

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Bonchamp était desservi par la ligne de chemin de fer départemental reliant Laval à Saint-Jean-sur-Erve. Cette ligne fut ouverte à l'exploitation le 8 mai 1900. À partir du 8 novembre 1934, le service fut transféré sur route. En 1935, seuls vingt-quatre trains spéciaux circulèrent sur la ligne qui fut définitivement fermé le 1er mai 1935.

En 1902, la gare de Bonchamp avait accueilli 11 168 voyageurs. La halte de Barbé, située dans la commune, avait accueilli 1 752 voyageurs cette même année[19].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1855 1862 Gaultier de Vaucenay    
1862 1866 Bodereau    
1866 1884 Charles Denis Vincent    
1884 1890 Gaultier de Vaucenay    
1890 1903 Charles Denis Vincent    
1903 1924 Duchemin de Vaubernier    
1924 1936 Dulong de Rosnay    
1936 1945 Georges Pouteau    
1945 1951 Louis Mongason    
1951 mars 1973
(démission)
Henri Gendron    
mars 1973[20] mars 2008 Henri Houdouin RPR puis UMP Exploitant agricole, conseiller général (1994 → 2005), député de la 1re circonscription (1995 → 1997 puis 2005 → 2007)
mars 2008[21] mars 2014 Pierre-Yves Mardelé DVD Cadre supérieur de la Poste retraité
mars 2014[22] En cours Gwénaël Poisson[23] DVD Enseignant puis retraité, conseiller départemental (depuis 2015)

D'après l'abbé Angot, Gaultier de Vaucenay aurait été révoqué de sa fonction de maire en novembre 1908 pour « maintien du crucifix dans les classes »[24].

Le conseil municipal est composé de vingt-neuf membres dont le maire et huit adjoints[23].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 6 211 habitants[Note 4], en évolution de +5,27 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2358731 2191 1441 1671 2271 2751 2831 290
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2911 2621 2521 1521 1821 1461 1021 032959
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
939949914788745780788839831
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8151 3872 2353 4443 8324 7935 2325 3815 842
2015 2020 2021 - - - - - -
5 9006 1876 211------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les statistiques officielles concernant la population des communes sont d'apparition assez récente, puisqu'elles datent de moins de deux siècles. Cependant, l'étude des documents anciens tels que les registres d'état-civil nous permettent de nous faire une idée de l'état de la population pour les périodes antérieures.

C'est ainsi que différents historiens ont pu établir les relevés suivants :

  • Moyenne des naissances de 1601 à 1610 : 38.
  • Pour la période allant de 1610 à 1640, on estime la population à environ 1 000 habitants. L'étude de la natalité et de la mortalité fait ressortir un excédent annuel moyen de 16 personnes. Seules trois années ont un solde négatif, caractéristique des périodes d'épidémies. L'année 1639 est remarquable à ce titre, puisqu'on relève deux fois plus de décès que de naissances.
  • Moyenne des naissances de 1701 à 1710 : 54.
  • 240 feux en 1697.
  • 1 006 habitants imposés par le sel, 51 pauvres et 10 exempts en 1776.
  • 1 026 habitants imposés par le sel, 44 pauvres, 13 exempts en 1780.
  • 900 communiants en 1780.
  • 971 imposés, 26 pauvres et 12 exempts en 1786.

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Activité et manifestations

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Bonchamp-lès-laval est équipée depuis 1996 d'une salle appelée « les Angenoises » qui accueille la médiathèque de la ville et une salle de spectacle de 750 places assises. Elle peut aussi accueillir jusqu'à 1 000 personnes debout.

L'Entente sportive de Bonchamp fait évoluer trois équipes en ligue du Maine et une autre en divisions de district[29].

L'ESB Jazzline permet la pratique de la danse modern jazz, du fitness, de la zumba et du step[30], avec notamment un gala de danse organisé tous les ans au mois de juin.

En 1960, André-Francis Bigeon, éleveur de trotteurs, achète le domaine de Barbés et y installe son écurie[31]. Les chevaux au complément de nom Barbés[31] s'illustrent sur les hippodromes, notamment à Vincennes. Ses fils Jean-Luc et Christian lui ont succédé[31].

Borne placée devant la mairie, symbolisant le jumelage avec Diedorf (Bavière).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La chapelle de la Cassine.

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Bibliographie

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  • Jacques Naveau, Les mondes ruraux de l’Ouest de la France au Moyen Âge, Presses universitaires de Rennes, (lire en ligne), « De Malus Campus à Bonchamp », p. 45-60

Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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« Bonchamp-lès-Laval », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (lire en ligne)

Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 454
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bonchamp-lès-Laval et Argentré », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Argentré », sur la commune d'Argentré - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Argentré », sur la commune d'Argentré - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Bonchamp-lès-Laval », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bonchamp-lès-Laval ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Laval », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  16. Jacques Naveau 2024.
  17. Dictionnaire de l'abbé Angot - Tome 1, et Archives Départementales de la Mayenne : E-dépôt 24 1 D 5
  18. Archives départementales de la Mayenne (Ms 80.1 - Monographie communale par H. Guittier, instituteur public)
  19. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
  20. « Réactions à la disparition d'Henri Houdouin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  21. « Pierre-Yves Mardelé a été élu maire vendredi soir », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. « Gwénaël Poisson a été élu maire par le conseil municipal », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. a et b Réélection 2020 : « Municipales. Gwénaël Poisson élu maire à Bonchamp-lès-Laval », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. Dictionnaire de l'abbé Angot - Tomes 1 et 4 (XVIe et XIXe siècles) ; mairie de Bonchamp (XXe siècle)
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Site officiel de la Ligue du Maine – » (consulté le ).
  30. « Inscriptions ESB jazzline »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. a b et c Jean-Pierre Reynaldo, Le Trotteur français : histoire des courses au trot en France des origines à nos jours, Panazol, Éditions Lavauzelle, , 427 p. (ISBN 978-2-7025-1638-6), p. 249-250
  32. « Chapelle de la Cassine », notice no PA00109471, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.