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Léon Van Dievoet

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Léon Van Dievoet
Léon van Dievoet sur sa moto Saroléa à Blankenberghe en 1934.
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Alain Van Dievoet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Léon Van Dievoet () est un architecte[1], artiste-peintre, graveur et dessinateur[2] belge, chevalier des ordres de Léopold et de la Couronne.

Il est l'auteur de nombreux dessins de lieux bruxellois désormais détruits[1] qui ont été qualifiés de « mine d'informations pour tous ceux qui s'intéressent au Bruxelles d'antan »[3].

Léon Van Dievoet, est né à Ixelles le 5 juillet 1907 au 91, rue Souveraine, domicile de ses parents Gabriel Van Dievoet (1875-1934) et Alice Demets (1878-1945), et de ses grands-parents Léon Van Dievoet (1838-1908) et Hermine Straatman (1838-1917).

La classe d'architecture à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles en avril 1927 (Léon Van Dievoet au centre).
Le professeur Joseph Van Neck, à gauche, avec ses étudiants à l'Académie. Avec de gauche à droite : Léon van Dievoet, Axel Lemesre[4], Jacques De Vos[5], Jacques Donnay[6], juin 1935.

Son père Gabriel Van Dievoet, ancien élève de l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles, était un décorateur et sgraffitiste Art nouveau réputé et son oncle Henri Van Dievoet un architecte connu de son temps, sans oublier son grand-oncle Joseph Poelaert[7] ni le souvenir de l'arrière-arrière-grand-oncle le sculpteur Pierre Van Dievoet[8] un des créateurs de la Grand-Place de Bruxelles. Dans cet entourage familial, il développa lui aussi très jeune le goût pour l'architecture, le dessin et la musique, et après une scolarité à l'Athénée royal d'Ixelles et des cours privés de violon auprès du professeur Henri Voogt[9], instrument — un Aldric de 1826 — qu'il pratiqua toute sa vie, il s'inscrivit le 1er octobre 1922 à l'école d'architecture de l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles, où il se forma d'abord dans l'atelier Horta où il obtint le diplôme d'architecte A.R.B.A.B, promotion 1929 (immatriculé B.860)[10],[11].

Son frère cadet René Van Dievoet[12] (1908-1978), opta quant à lui pour la sculpture, et s'inscrivit également à l'Académie royale des beaux-arts où il se forma dans l'atelier d'Égide Rombaux, puis à l'Académie de Saint-Gilles, auprès de Léandre Grandmoulin.

Léon Van Dievoet durant ses vacances ou son temps libre fait également des stages de dessinateur chez plusieurs architectes renommés[13], chez Jules Reuter[14], architecte et décorateur, durant les années 1924-1925, chez Georges Hobé[15], quatre mois en 1925 et du 1er juin au 31 juillet 1928, et, en 1928-1929, chez Joseph Van Neck qui avait été lui-même stagiaire chez son oncle Henri Van Dievoet.

Léon Van Dievoet et Lismonde, en uniforme, Porte de Namur à Bruxelles, le 30 mars 1929.

Entre-temps il fut appelé sous les armes comme artilleur à la 6e batterie d'Infanterie du 1er régiment de carabiniers le 15 octobre 1927 et fut démobilisé par réforme le 3 novembre 1928, des suites d'une blessure en service[16].

Après l'obtention de son diplôme d'architecte A.R.B.A.B. il commence rapidement à exercer l'art de bâtir[17] et construit notamment pour le compte du "Comptoir National des Matériaux[18]" du 1er juillet 1929 jusqu'à l'année 1934 plusieurs imposants immeubles à appartements. Il interrompt alors brièvement sa carrière pour obtenir le nouveau type de diplôme légal et reprend sa formation à l'école d'architecture de l'Académie Royale des Beaux-Arts dans l'atelier Van Neck[19] où il reçoit son nouveau diplôme de fin d'études avec distinction le 9 juillet 1935.

Dans les années trente, carnets de croquis, boîte à dessiner et appareil photo en bandoulière, il parcourt, bien souvent avec Lismonde[20], en vélo ou à moto, la campagne flamande et en rapporte sa provende de dessins de lieux pittoresques et de clichés pris sur le vif. En 1932 il voyage en moto avec Lismonde à travers la Hollande, visitant Amsterdam et Schéveningue[21].

Léon Van Dievoet s'intéresse alors à la pensée de Pythagore qu'il étudie avec son ami Jean Mallinger, avocat et auteur de plusieurs ouvrages sur le maître de Samos.

Léon Van Dievoet fut nommé expert près les tribunaux ainsi que professeur des constructions civiles, architecture et dessin agréé par le Ministère de l'Instruction Publique et il enseigna du 1er octobre 1937 au 8 juin 1947 à l'Institut d'études polytechniques.

Portrait de Léon van Dievoet par le peintre hongrois Ladislas Nagy, avril 1933.

L'école d'architecture de l'Académie royale des Beaux-Arts, reprenant une tradition remontant à sa fondation en 1711, était située dans les mêmes bâtiments que les écoles de peinture, de sculpture et d'arts décoratifs, ce qui permettait aux étudiants en architecture de baigner, comme au temps de la Renaissance, dans une atmosphère artistique leur permettant de ne pas devenir de simples et froids techniciens de l'art de bâtir. Ils faisaient également ainsi connaissance avec les sculpteurs et les décorateurs qui pourront orner leur constructions. Il était d'ailleurs normal alors qu'un architecte, comme ce fut toujours le cas, exerce avec brio l'art du dessin.

Pratiquant lui-même le dessin et la peinture, Léon Van Dievoet se lia ainsi d'amitié avec plusieurs peintres et sculpteurs, comme les peintres Ladislas Nagy[22] et Jules Lismonde qui resta un grand ami[23], les peintresses Marguerite Antoine[24] et Goda Isgour, sœur de l'architecte Isia Isgour, ou le sculpteur namurois Carlo Lambert, qui eut le triste privilège de tomber au champ d'honneur le 10 mai 1940, premier jour de l'invasion allemande, et dont l'épouse Éva Fontaine, continuera le combat dans la Résistance, en devenant agent de liaison à Bruxelles d'Eugen Fried dit Clément, puis membre des partisans armés[25]

La vie littéraire

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Groupe à Namur (27 juillet 1930) : de gauche à droite : le poète Jean Groffier, un inconnu, l'architecte Léon Van Dievoet et le sculpteur Carlo Lambert regardant le ciel.

Il participe aussi avec son ami l'écrivain protestant Jean Groffier à la vie littéraire bruxelloise et prend part aux activités du groupe gravitant autour des revues[26] La momie chante[27] et Tribune[28] que Jean Groffier venait de fonder en 1933.

On y rencontrait Lismonde, auquel Jean Groffier avait consacré un article élogieux et prometteur dans le Tribune[29] de septembre 1934, la romancière Marie de Vivier, autrice de L'Homme pointu (allusion à André Baillon), la poétesse, graveuse et tisserande Féridah Guarini[30], le sculpteur Carlo Lambert, le peintre et compositeur Jean De Bremaeker[31], l'avocat Raoul Vandendriessche, promoteur de la paix par le droit, le compositeur Gaston Knosp, l'avocat Jean Mallinger qui y publia une série d'articles sur le « Culte du Soleil en Orient[32] », Iwan Paul Collette, auteur d'articles sur l'héraldique[33], le poète Pierre Vandendries, les peintres Didier Groffier, Marcel Hastir[34] et Raoul Labarre, le romancier René Charles Oppitz[35] dit J. J. Marine et d'autres hommes de lettres et artistes de l'entre-deux-guerres.

« Opus 15 décembre 1936 », lento, composition pour violon solo par Léon Van Dievoet.

Léon Van Dievoet n'oublie pas non plus la musique, compose pour le violon[36] et discute de l'art musical avec son ami le musicien, compositeur, théoricien de la musique, peintre, aquarelliste et écrivain Jean De Bremaeker, rédacteur en chef de La Revue musicale belge[37], désireux de réformer l'écriture musicale[38], et qui, après avoir épousé une brésilienne, s'expatria au Brésil à Rio de Janeiro où il mourut le 19 mars 2002.

À la fin des années 30, il fait partie en tant que violoniste du "Groupe Instrumental Hrdina", sous la direction du violoncelliste, compositeur et chef d'orchestre Willy Dortu[39], formé de musiciens amateurs et auquel participaient : violons : R. de Bisschop ; H. Hellinckx ; L. Herszkowicz ; L. Logie ; L. Périlleux ; Mlles S. Pirson ; J. Soubre ; Léon Van Dievoet ; M. Viroux. Altos : E. Deuse ; M. Everard ; W. Hsü ; M. Kenès ; Cellos : A. Bastin ; C. Lovens ; Mlle J. Périlleux ; A. Vita. Contrebasse : M. Deuse ; Piano : Mme J. Périlleux. Flûtes : André Périlleux[40] ; L. Gallet. Clarinette : M. Van Veld. Hautbois : J. Périlleux. Basson : F. Pieters. Trombone : E. Deuse.

Un des derniers concerts de ce groupe eut lieu à Wavre Notre-Dame, le 19 juin 1938 à l'Institut des Dames Ursulines[41].

Après guerre, en 1953, Willy Dortu tenta de reconstituer un orchestre l' « Orchestre de chambre Willy Dortu » dont Léon Van Dievoet assure le secrétariat et l'aide à recruter des musiciens amateurs. Ce « groupement instrumental, dont le but initial est l'étude des œuvres classiques, s'adresse aux amateurs, et particulièrement aux jeunes musiciens(nes) ayant déjà une formation sérieuse, et qui souhaite la parfaire »[42].

La fondation de la S.A.D.Br.

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Le 22 août 1935, Léon Van Dievoet et ses confrères Marcel Mueller[43], Alfred Ledent (1906 - 1996)[44], Jean Delsaux[45], se réunisent à la Maison des Artistes à la Grand-Place de Bruxelles, pour y discuter du programme des études d'architecte et pour mettre sur pied une association défendant le diplôme d'architecte, ils fondent ainsi la S.A.D.Br.[46]. Le 14 janvier 1936, la première assemblée générale a lieu au Café de l'Horloge et Léon Van Dievoet est élu vice-président de la S.A.D.Br.[46]. La première action de l'association fut de faire promulguer une loi pour réserver l'exercice de la profession d'architecte aux titulaires du diplôme légal et le 4 juin 1937 Léon Van Dievoet, Jean Delsaux, et Marcel Mueller, furent reçus par M. Gruslin, chef de cabinet du ministre de l'Instruction publique, pour un échange de vue concernant le projet de loi de protection du titre d'architecte[47].

L'architecte Léon van Dievoet (1907-1993) et son épouse Madeleine Vande Weyer (1916-2000).

Léon Van Dievoet est également nommé conseiller de la « Ligue pour la défense du titre et de la fonction d'architecte[48] » qui poursuit ce même objectif, et devient administrateur du « Syndicat national des architectes de Belgique[49] ».

Vie familiale

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En 1943, Léon Van Dievoet épouse Madeleine Vande Weyer (1916-2000) qui lui donnera deux fils, Marc Van Dievoet (1946-2012) et Alain Van Dievoet (1948- ).

Quelques constructions

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  • 1931 : immeuble à appartements avenue du Roi.
  • 1932 : surhaussement[50] pour Monsieur Van Keymeulen, à Saint-Gilles, rue de Savoie, 21 d'une maison de rapport d'inspiration néoclassique construite en 1897.
  • 1932 : immeuble à appartement au 187a rue de la Victoire à l'angle de la rue des Tirailleurs, pour le compte du « Comptoir national des Matériaux ».
  • 1932 : immeuble à appartements boulevard Van Haelen.
  • 1946 : atelier pour Monsieur Crabbé, industriel, à Keerbergen.
  • 1946 : bungalow Maurice Durdut, rue Langeveld à Uccle.
  • 1955 : Transformations à la propriété de Monsieur L. De Wals, avec studio-atelier d'artiste, pour sa fille la peintre Yvone De Wals, 27, avenue des Rogations à Woluwe-Saint-Lambert.
  • 1956 : Transformations, exhausement des annexes et bibliothèque pour la propriété de Monsieur Camille Tihon, archiviste général du Royaume, rue Monrose, 58 à Schaerbeek.

Brevet d'invention

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Par arrêté ministériel du 31 juillet 1945, Léon Van Dievoet obtint le brevet d'invention n° 459.069 pour un système d'« éléments en béton ou en tous autres matériaux agglomérés pour constructions préconstruites[51] ».

Sélection d'œuvres

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Expositions

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  • 1963 : Exposition au Musée Charlier[53].
  • 1969 : Province de Brabant. Exposition d'art 1969. Palais des Congrès du 28 septembre au 12 octobre : n° 81 "Chemin à Grimbergen"[54].
  • 1969 : Exposition au Musée Charlier[55] : "La robe jaune", "Fleurs", "La Lecture", dessins à l'encre de Chine.
  • 1971 : Exposition au Musée Charlier : "aquarelle, château de Dilbeek", "chemin à Grimbergen", et "église d'Oostduinkerke[56]".
  • 2013 : "Maison Lismonde", Les amis de Lismonde[57], exposition du 9 juin au 14 juillet 2013, plusieurs œuvres de Léon van Dievoet.
  • 2021 : "Maison Lismonde", Échanges. Lismonde et ses amis artistes[58], exposition-hommage à l'occasion des 20 ans de la disparition de Lismonde, du 11 avril au 5 septembre 2021, œuvres de Léon van Dievoet, portraits et photographies.
  • 2023 : Léon van Dievoet, architecte, La Maison Lismonde et autres paysages, exposition du 15 janvier 2023 au 12 mars 2023 à La Maison Lismonde, Linkebeek, Belgique.

Musées et collections publiques

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Vue sur les tours de Saint-Rombaut à Malines, 1934.
Les trois maisons Saint-Joseph, le Diable et le Paradis au Haverwerf à Malines, 1934.

Œuvres d'autres architectes « Van Dievoet »

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Il ne faut pas confondre l'œuvre architecturale de Léon Van Dievoet avec celle d'autres membres de sa famille, comme celles de :

Une partie des archives de Léon Van Dievoet, a été déposée aux Archives d'architecture moderne, intégrées au CIVA, parmi lesquels des plans, des dessins et de nombreux carnets de notes et de notes de cours[61],[62].

Notes et références

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  1. a et b « La famille van Dievoet, l'art et l'architecture », sur puzzlavie.be (consulté le ).
  2. « Léon van Dievoet », sur photos-promenade.be (consulté le ).
  3. F. By, « Famille van Dievoet : Artistes, de père en fils », dans Le Vif/L'Express, numéro spécial « Bruxelles : la saga des grandes familles », 26e année, n°47 (Le Vif) et n°2993 (L'Express), 21-27 novembre 2008, p. 121.
  4. Axel-Wilfrid Lemesre, architecte, 11, avenue de Broqueville, Bruxelles 15. Urbaniste. Professeur à l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles. Ancien président de "Formes Nouvelles". Ancien président de la S.A.D.Br. Atelier Van Neck, 1935.
  5. Jacques De Vos, architecte, 60, rue du Tilleul, Genval. Médaille de Premier Prix de fin d'études. Prix du Grand Concours Triennal de la Ville de Bruxelles, 1935. Prix Acker, 1936. S.C.A.B.
  6. Jacques Donnay, architecte, 30, boulevard Général Jacques, Bruxelles 5. Atelier Van Neck, 1935.
  7. Jean Groffier, « Un interview. L'architecte Léon Van Dievoet », dans : La momie chante. Arts, Sciences, Lettres, Bruxelles, juillet 1933, p. 2 « Ceci étant exposé, l'architecte Léon Van Dievoet nous cite des exemples à titre de digressions, ce qui l'amène peu à peu à nous dévoiler ses désirs, ses ambitions qui le dirige indirectement vers l'architecture monumentale : ce qui nous rappelle la mémoire de son grand oncle l'architecte Poelaert, auteur du Palais de Justice, monument sujet à toutes les critiques ». Hortense Poelaert (1815-1900), sœur de l'architecte Joseph Poelaert, épouse d'Eugène Van Dievoet (1804-1858), était l'arrière grand-mère de Léon Van Dievoet.
  8. Léon Van Dievoet descend de Jean-Baptiste Van Dievoet (1663-1751), époux d'Anne van der Borcht (1670-1707), le frère du sculpteur bruxellois Pierre Van Dievoet (1661-1729), un des créateurs de la Grand-Place de Bruxelles. Lire : « Un disciple belge de Grinling Gibbons, le sculpteur Pierre van Dievoet (1661-1729) et son œuvre à Londres et Bruxelles », dans Le Folklore brabançon, mars 1980, n° 225, p.65 à 91 Lire en ligne.
  9. Henri Voogt, professeur de violon, rue Piers, 25, à Molenbeek et rue du Lycée, 10, à Saint-Gilles. (Carte de visite).
  10. Serge Goyens de Heusch, Léon van Dievoet, architecte : la Maison Lismonde et autres paysages, Linkebeek, 2023.
  11. Documents de l'Académie royale des Beaux-Arts : « Académie royale des Beaux-Arts. Bruxelles le 19 février 1929. Je soussigné secrétaire à l'Académie Royale des Beaux Arts et École des Arts décoratifs de Bruxelles, certifie que M. Van Dievoet Léon est élève au dit établissement depuis le 1er octobre 1922, qu'il y a suivi les cours d'Architecture Section B 1ère 2de et 3e, 4e années et les cours d'architecture Son A 1, 2e et 3ème années ainsi que les cours spéciaux afférents à ces classes : perspective, géométrie descriptive, coupe des pierres, construction, hygiène et jurisprudence du bâtiment ».
  12. Paul Piron, Dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles, Ohain-Lasne, 2003, tome II, p. 619 : sub verbo "VAN DIEVOET, René (Ixelles, 1908-1978)" : « Sculpteur. Fils de Gabriel, frère de Léon Van Dievoet.Formation à l'Académie de Bruxelles chez E. Rombaux et à l'Académie de Saint-Gilles chez L. Grandmoulin. Auteur de sculptures en marbre et de petits objets en bois de style art-déco ».
  13. Martiny 1961, p. 11 : « Pendant les deux dernières années, les élèves architectes pourront disposer de leurs après-midi pour travailler chez des patrons architectes et parfaire leurs connaissances du métier ».
  14. Jules Reuter, architecte et décorateur. Woluwe-Saint-Pierre, rue Bemel, 109. Téléphone 372,13.
  15. Georges Hobé, architecte décorateur. Téléphone : 823,73, 57, rue de Hennin. Certificat autographe du 19 septembre 1928.
  16. Réforme le 3 novembre 1928, signé colonel BEM Goffin.
  17. Annuaire général des beaux-arts de Belgique, Bruxelles, 1930-31, p. 192 : « van Dievoet, Léon, Architecte A.R.B.A.B. - Constructeur et décorateur .
  18. "Comptoir National des Matériaux. Société coopérative, 41, rue de Spa, à Bruxelles. Pauline van Dijk, Immeubles à appartements de l'entre-deux-guerres, Bruxelles, 2006, p. 40 : « Dans les années trente, plusieurs sociétés immobilières se lancent sur le marché des immeubles à appartements. C'est le cas notamment du Comptoir national des Matériaux ».
  19. Annuaire SADBr, Bruxelles, 1961, p. 157 : « VAN DIEVOET, Léon, professeur agréé de l'enseignement technique supérieur. Expert près les Tribunaux. Membre fondateur de la S.A.D.Br.. At. Horta & Van Neck 1935 ».
  20. Serge Goyens de Heusch et Philippe Roberts-Jones, Lismonde. Catalogue raisonné, Linkebeek, 2014 (avec catalogue sur dvd), p. 15 : « Léon van Dievoet (l'architecte-peintre qui l'accompagne volontiers dans ses escapades graphiques, et qui aménagera bientôt sa nouvelle demeure de Linkebeek) », avec une illustration Portrait de l'architecte Léon van Dievoet (CR 756), 1943. Fusain sur papier, 89 × 65 cm).
  21. Serge Goyens de Heusch, Lismonde et l'architecture, Linkebeek, 2018, p. 10 : « Dès 1934, la Hollande est l'un des pays où Lismonde va se rendre régulièrement. Des photographies attestent que deux ans plus tôt, il a déjà fait un voyage à moto avec son ami l'architecte Léon van Dievoet, visitant Amsterdam et Schéveningue, mais nul dessin ne semble être advenu à cette occasion ».
  22. Ladislas Nagy ou de Nagy, né en Hongrie en 1906, émigra aux États-Unis vers 1939 après son séjour à Bruxelles, y devint aveugle et mourut à Trenton (New Jersey) en 1944. Son père Ernest de Nagy était un peintre connu des Cours européennes.
  23. Serge Goyens de Heusch, Lismonde portraitiste, Linkebeek, 2018, p. 11 : « S'étant fait une réputation de portraitiste moderne, que de fois donc Lismonde reçut-il la visite de personnalités, les fusains à la main, afin de les portraiturer ! Ce fut aussi le cas pour toute une série de grands portraits de ses amis qu'il dessina toujours au fusain : notamment ceux de (...) son grand ami l'architecte Léon van Dievoet qui réaménagea en 1956 sa demeure de Linkebeek » et : Serge Goyens de Heusch, Échanges. Lismonde et ses amis artistes, Linkebeek, 2021, p. 6 : « C'est également à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles où Lismonde suivit après son parcours plastique des cours d'architecture, qu'ils durent se connaître, sans compter leur intérêt commun pour la musique classique (le violon pour van Dievoet, le piano et la flûte pour Lismonde). Une communauté d'intérêt se rencontra également à propos de la description de certains quartiers de Bruxelles que l'un et l'autre dessinèrent. Toujours est-il qu'ils devinrent très amis dès les années 1930 ».
  24. La revue Tribune, n° 22, , p. 8, a publié deux œuvres de Marguerite Antoine : Jeune Danseuse et Mère et Enfant.
  25. Alain Guérin, Chronique de la Résistance, préface de Marie-Madeleine Fourcade et de Henri Rol-Tanguy, 2010, pp. 616-618.
  26. La fille de Jean Groffier, Éthel Groffier, née en 1935, professeure à l'Université McGill de Montréal, épouse du philosophe canadien Raymond Klibansky écrit : « Mon père, l’écrivain Jean Groffier, dirigeait à Bruxelles une jeune revue littéraire, Tribune, courtisée par Marinetti désireux de revigorer un futurisme en perte de vitesse. La maison où j’ai grandi bruissait d’amis romanciers, poètes, dessinateurs, belges et étrangers. Ils étaient enthousiastes, idéalistes, anti bourgeois et avaient promis, dans le manifeste de la revue, de « rester purs ». Ma première poupée me fut donnée par un poète italien injustement oublié, Lionello Fiumi. Les revues littéraires sont des êtres fragiles. Celle de mon père dura sept ans, puis fut emportée par les bouleversements de l’époque ».
  27. Jean Groffier, « Un interview. L'Architecte Léon Van Dievoet », dans : La momie chante, Bruxelles, juillet 1933, p. 2.
  28. D'après un fascicule publicitaire : "La revue 'TRIBUNE', a été créée par Jean Groffier, en 1933. Elle a posé des problèmes émouvants auxquels ont répondu les autorités les plus diverses. Elle s'est efforcée de vous présenter les mouvements intellectuels les plus importants".
  29. Jean Groffier, « Le paysagiste Lismonde », dans Tribune 1934, n° 15, Bruxelles, .
  30. Article sur Féridah Guarini par Jean Groffier, « Annotations », dans : La momie chante, n° 5, octobre 1933, p. 2.
  31. Jean Groffier lui consacra un article dans Tribune, n° 26, janvier-février 1936 : « Il y a cinq ans d'ici, Jean de Bremaeker expérimentait divers engins et méthodes de navigation dans les bassins d'Ostende. C'est en cette ville et à cette époque que je fis sa connaissance. Ses allures étranges m'avaient intéressé, je m'étais présenté à lui et le lendemain soir, à 21 heures, au bout de l'estacade, nos pensées, nos connaissances établirent des points de contact. Nous parlâmes longtemps au son de la mer alors que, derrière nous, la bêtise humaine, sous ses aspects les plus divers, se promenait le long de la digue ».
  32. Jean Mallinger, « Le Culte du Soleil en Orient », dans : La momie chante, à partir du n° 5, octobre 1933, p. 2.
  33. La momie chante, n° 6, novembre 1933, et aliis locis.
  34. Marcel Hastir a collaboré à la revue Tribune, dans le numéro 10, 15 mars - 15 avril 1934, p. 1 il a écrit « Une source de beauté ».
  35. L'architecte Philippe Dumont évoque son souvenir dans son livre La Panne. Chronique d'un temps perdu, Bruxelles : Louis Musin éditeur, 1981, p. 17 : « C'était ma jolie cousine Colette et son fiancé René Oppitz formant une image de grâce et d'amour, un couple de cygnes glissant sur les sables ».
  36. La Bibliothèque royale de Belgique, section musique, conserve de lui son « Opus 15 décembre 1936 », lento, œuvre pour violon solo.
  37. La Revue musicale belge. Directeur artistique : Paul Gilson. Rédacteur en chef : Jean De Bremaeker. Secrétaire : Jean Chausse.
  38. Jean De Bremaeker a exprimé ses idées réformatrices dans les ouvrages suivants : La Musique, Bruxelles : Les Éditions Modernes, G. Vriamont, trois volumes, 1935 ; Accordage suivant l'accord parfait "tons entier" , Bruxelles : Les Éditions Modernes, G. Vriamont, 1936 et Thèses présentées par Jean de Bremaeker au concours d'inventions de la Foire Universelle et Internationale de Paris (1937) et pour lesquelles il a obtenu une médaille d'argent avec prix : Lois des accords parfaits majeur et mineur tempérés, 1937.
  39. Willy Dortu est décédé le 31 décembre 1982 (Le Soir, nécrologie : « "À qui irions-nous...Voici devant nous le Seigneur de Lumière..." Maître Willy Dortu, violoncelliste, compositeur, pédagogue, s'en est allé pour une symphonie éternelle à la veille de l'an nouveau. Ses élèves et amis se joignent à ses enfants pour vous prier de participer à l'Eucharistie célébrée à son intention le samedi 22 janvier 1983, à 11 heures, en l'église Saint-Paul, 16, drève des Chasseurs à Waterloo ». Parmi les compositions musicales de Willy Dortu on peut citer : « Pièce atmosphérique pour piano », 1925[1]. « Deux pièces brèves pour piano, dédiées à Jean Cocteau », éditions Maurice Senart, 20, rue du Dragon, Paris, 1925[2] et « Morte ! »[3], morceaux interprétés en 2016 par François Mardirossian.
  40. André Périlleux, époux de Louisette Briard, membre fondateur de l'Association philharmonique d'Uccle, né à Chimay le 4 juin 1906 et mort à Uccle le 2 novembre 1983 (Le Soir, nécrologie du vendredi 4 novembre 1983).
  41. Programme, Audition par le groupe instrumental Hrdina sous la direction de Willy Dortu, Bruxelles : Les Imp. Ch. Bulens, S.A., 1938, p. 2 « Composition du groupe. Violons : MM. R. de Bisschop ; H. Hellinckx ; L. Herszkowicz ; L. Logie ; L. Périlleux ; Mlles S. Pirson ; J. Soubre ; MM. M. Van Dievoet ; M. Viroux. Altos : MM. E. Deuse ; M. Everard ; W. Hsü ; M. Kenès ; Cellos : MM. A. Bastin ; C. Lovens ; Mlle J. Périlleux ; M. A. Vita. Contrebasse : M. Deuse ; Piano : Mme J. Périlleux. Flûtes : MM. A. Périlleux ; L. Gallet. Clarinette : M. Van Veld. Hautbois : M. J. Périlleux. Basson : F. Pieters. Trombone : M. E. Deuse ».
  42. "Orchestre de Chambre Willy Dortu", secrétariat. Lettre de Léon Van Dievoet du 5 novembre 1953 à Monsieur le Pasteur Charles-André Marguerat, Président du Cercle de Jeunesse Protestant. Temple du Musée : « Monsieur le Pasteur, Sous la recommandation de Maître Cornil, j'ai l'honneur de vous informer, que Monsieur W. Dortu, reprendra la direction d'un orchestre de chambre. Ce groupement instrumental, dont le but initial est l'étude des œuvres classiques, s'adresse aux amateurs, et particulièrement aux jeunes musiciens(nes) ayant déjà une formation sérieuse, et qui souhaite la parfaire ».
  43. Marcel-D. Mueller, 55, avenue de Rumine, Lausanne, urbaniste diplômé de l'Institut d'Urbanisme de l'Université de Paris, membre fondateur de la S.A.D.Br., membre de la Société centrale d'architecture, ateliers Horta et Lacoste, 1929.
  44. "Alfred Ledent", dans : Dictionnaire de l'architecture en Belgique de 1830 à nos jours, sous la direction d'Anne Van Loo, p. 391.
  45. Jean Delsaux, 8, rue du Magistrat, Bruxelles 5, architecte-urbaniste Université libre de Bruxelles, architecte chef de service à l'I.N.R., membre fondateur et ancien président de la S.A.D.Br., président de la Ligue pour la défense du titre et de la fonction d'architecte, membre de la Société centrale d'architecture de Belgique. Jean Delsaux écrivit un livre consacré à l'église royale Sainte-Marie : L'église Ste-Marie à Bruxelles, une œuvre d'une ferveur et d'une probité artistique exceptionnelles, Bruxelles, "Les Amis de l'église Ste-Marie, s. d. (1968 ?).
  46. a et b Martiny 1961, p. 20.
  47. Voir le journal "Le Soir" du 4 juin 1937 : « Le titre d'architecte. Une délégation de la S.A.D.Br (société des Architectes diplômés de l'Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles) comprenant MM. van Dievoet, Delsaux et Muller a été reçue par M. Gruslin, chef de cabinet du ministre de l'Instruction publique. Un échange de vues a eu lieu au sujet du projet de loi de protection du titre d'architecte qui sera incessamment soumis au vote des Chambres. L'accord le plus complet existe et la S.A.D.Br. appuie de toute son autorité ce projet destiné à accorder à l'architecte belge des garanties de protection de son titre et de sa dignité ».
  48. Annuaire administratif et judiciaire de Belgique, Bruxelles : Bruylant, 1963 , p. 1205 : « Sociétés scientifiques et artistiques. Ligue pour la défense du titre et de la fonction d'architecte (L.D.T.F.A.) (Association sans but locatif.) Siège : chaussée de Stockel, 421, Bruxelles, 15. Conseil d'administration. Conseillers : ... Van Dievoet (L.), archit.».
  49. Annuaire administratif et judiciaire de Belgique, 100e édition, Bruxelles : Bruylant, 1977, p. 68 : « Associations professionnelles. Syndicat national des architectes de Belgique (S.N.A.B.). Agréé par le Ministère des Travaux publics. Siège social : av. Begonialaan 4, 1990 Hoeilaart. Admin. Pourbais (F.), Renard (G.), Van Dievoet (L.) ».
  50. Iris net, Inventaire du patrimoine, rue de Savoie, 21, maison de rapport d'inspiration néoclassique, 1897, surhaussée en 1932 (arch. Léon Van Dievoet). Lire en ligne.
  51. Ministère des Affaires Économiques. Direction générale du commerce. Direction de la Propriété Industrielle, 31 juillet 1945, signé Capart, directeur général du Commerce, au nom du ministre.
  52. Publié dans : Annuaire général des beaux-arts de Belgique, Bruxelles, 1930-31, p. 192 : « Projet d'hôtel. van Dievoet, Léon, Architecte A.R.B.A.B ».
  53. Alain Viray, « Visite aux Salons », dans : La Dernière Heure, 24 octobre 1963 : « on s'intéressera cependant aux envois de L. Van Dievoet, dont les petits dessins très annotés nous rendent précieux des souvenirs bruxellois ».
  54. Catalogue publié.
  55. « Salons d'art. Artistes saint-jossois », dans : La Libre Belgique, 19 mars 1969 : « Les aquarelles de Léon Van Dievoet ont de l'allant malgré leur charme : "La robe jaune", "Fleurs", "La lecture", présentation complétée par des dessins à l'encre ».
  56. P. L. « Galeries d'art. Artistes saint-jossois », dans : La Libre Belgique, 24 septembre 1971 : « La manière de Léon Van Dievoet est subtile, légère, translucide : petites touches par-ci, par-là, belle aquarelle rosée que son "Château de Dilbeek". Mêmes considérations pour "Chemin à Grimbergen", "Église d'Oostduinkerke ».
  57. Exposition. Les amis de Lismonde.
  58. Échanges. Lismonde et ses amis artistes.
  59. Musée Hof van Busleyden (catalogue n° G1363) : Vue sur les tours de Saint-Rombaut). « Zicht op St. Romboutstoren. Léon Van Dievoet. 1934-12-27. Tekeningen. Potlood op papier. Getekend. Hoogte: 23.5 cm. Breedte: 14.5 cm. » Lire en ligne.
  60. Musée Hof van Busleyden (catalogue G1364) : « Huizen op de Haverwerf (De Duivel en het Paradijs) » . Léon Van Dievoet. Tekeningen. Potlood op papier. Getekend. Hoogte: 14.5 cm, breedte: 23.5 cm » Lire en ligne.
  61. Archives d'architecture moderne, Léon Van Dievoet.
  62. Archives de Léon Van Dievoet au CIVA.

Bibliographie

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  • Annuaire général des beaux-arts de Belgique, Bruxelles, 1930-31, p. 192 : « Projet d'hôtel ».
  • Jean Delsaux, « Immeuble à logements multiples Quartier des Nations par Léon Van Dievoet, architecte S.A.D.Br. », dans : Le Mal-axé, organe de l'Association générale des étudiants architectes de l'Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, Bruxelles, édition spéciale de mai 1937, p. 10.
  • Éthel Groffier, « Un pèlerin en quête d'absolu : Jean Groffier (1906-1989) », postface à Mes Ardennes perdues, publié par sa fille Ethel Groffier, Librinova, 2023 (concernant Léon van Dievoet et Lismonde, voir p. 132) (ISBN 979-10-405-3687-1).
  • Jean Groffier, « Un interview. L'architecte Léon Van Dievoet », dans : La momie chante. Arts, Sciences, Lettres, Bruxelles, juillet 1933, p. 2.
  • Serge Goyens de Heusch et Philippe Roberts-Jones, Lismonde. Catalogue raisonné, Linkebeek, 2014 (avec catalogue sur dvd), p. 15, avec une illustration : Portrait de l'architecte Léon van Dievoet (CR 756), 1943. Fusain sur papier, 89 x 65 cm).
  • Serge Goyens de Heusch, Lismonde portraitiste, Linkebeek, 2018, p. 2, 11, 12, 13, 15, 16.
  • Serge Goyens de Heusch, Lismonde et l'architecture, Linkebeek, 2018, p. 10 et 12 (photo à Diest).
  • Serge Goyens de Heusch, Échanges. Lismonde et ses amis artistes. Jiri Anderle, Marguerite Antoine, André Blank, Zéphir Busine, Jean Coquelet, Gilbert Decocq, Paul Delvaux, Jean-Paul Laenen, LI CHI-Mao, Pol Mara, Giorgio Morandi, Paul Schrobiltgen, Léon van Dievoet, André Willequet, Paul Wunderlich, Linkebeek, 2021, p. 3, 6, 7, 32, 46, 47.
  • Serge Goyens de Heusch, Léon van Dievoet, architecte. La Maison Lismonde et autres paysages, Linkebeek, 2023.
    Cette publication a été réalisée à l'occasion de l'exposition Léon van Dievoet présentée à la Maison/Huize Lismonde à Linkebeek du 14 janvier 2023 au 12 mars 2023, sous le commissariat de Serges Goyens de Heusch et de Corinne ter Assatouroff.
  • Marie Kinard, Dans les pas de Lismonde à Anderlecht, Anderlecht, Édition communale, 2012, p. 6 ([PDF] lire en ligne).
  • Victor-Gaston Martiny, Abrégé historique de la formation des architectes par l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles et résumé chronologique de l'action entreprise, depuis sa fondation en 1936, par la Société des architectes diplômés de cette institution, Bruxelles, , p. 13, 15, 18, 20.
  • Roger Patesson, « Les expositions d'art. Léon VAN DIEVOET. Aquarelles et gravures », dans : L'Écho de la Bourse, 4 avril 1976.
  • Paul Piron, « VAN DIEVOET, Léon », dans Dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles, Ohain-Lasne, 2003, tome L-Z, p. 619.
  • « Le titre d'architecte », dans : Le Soir, 4 juin 1937.
  • Anne Van Loo, Dictionnaire de l'Architecture en Belgique de 1830 à nos jours, Anvers, Fonds Mercator, 2003, p. 562.

Archives sonores

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Articles connexes

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Liens externes

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