Évette-Salbert
Évette-Salbert | |||||
Paysage d'Évette-Salbert. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Territoire de Belfort | ||||
Arrondissement | Belfort | ||||
Intercommunalité | Grand Belfort | ||||
Maire Mandat |
Laurent Demesy 2021-2026 |
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Code postal | 90350 | ||||
Code commune | 90042 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Évalbertois | ||||
Population municipale |
2 026 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 221 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 40′ 33″ nord, 6° 47′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 382 m Max. 474 m |
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Superficie | 9,16 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Belfort (banlieue) |
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Aire d'attraction | Belfort (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Valdoie | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Territoire de Belfort
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | evettesalbert.fr | ||||
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Évette-Salbert est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Les habitants sont les Évalbertois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Évette-Salbert, née en 1972 de la fusion des trois villages d'Évette, de Bas-Évette et de Salbert, est une commune péri-urbaine située au nord-ouest de Belfort. Elle constitue un élément de l'agglomération belfortaine dont elle est la quatrième commune la plus étendue après Belfort, Bourogne et Vézelois. Elle compte une trentaine de kilomètres de voirie communale qui relie de nombreux hameaux ou lieux-dits (le Thiamont, Bas-Évette, la Forêt…). Elle est située dans la deuxième couronne de la communauté d'agglomération belfortaine et a conservé un caractère semi-rural.
Le village présente un paysage diversifié où l'on passe du sud au nord, du pied du massif du Salbert (460 m) à une plaine d'environ 400 mètres d'altitude s'étendant au lac du Malsaucy (55 ha) qui offre la possibilité de pratiquer les sports nautiques et un hébergement pour les groupes.
Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien recouvert par un Permien épais[1]
Sous l'action prolongée des intempéries, le grès permien se désagrège pour donner une terre sableuse, rougeâtre, contenant une assez grande quantité d'argile. Ces sols peu drainants forment des zones humides, où de nombreux étangs ont été aménagés. C'est dans ce Permien que se trouve le lac du Malsaucy.
Le principal cours d'eau de la commune est le ruisseau le Verboté, affluent de la Savoureuse.
C'est une des 189 communes du Parc naturel régional des Ballons des Vosges[2].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Errevet (Haute-Saône) |
Lachapelle-sous-Chaux | Sermamagny | ||
Frahier-et-Chatebier (Haute-Saône) |
N | Valdoie | ||
O Évette-Salbert E | ||||
S | ||||
Châlonvillars (Haute-Saône) |
Essert | Belfort |
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Évette : Weites (1347), Wette (1394), Esvette (1655), Wettes et Wette (1427), Évette (1793).
- Salbert : Salebert (1472), Desoubz Saleberg (1474), Le Salbert (1793).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 338 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 10,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 636,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Évette-Salbert est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belfort[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 16 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (63,4 %), zones urbanisées (22,4 %), forêts (9,3 %), eaux continentales[Note 5] (5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Gentilé
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune, formé par la juxtaposition du nom des deux communes originelles, rendait difficile la désignation des habitants, qui ne disposaient donc pas d'un gentilé. Depuis , après une sélection faite par le conseil municipal des jeunes aidé par l'équipe municipale, un choix de noms a été proposé à la population qui s'est prononcée en faveur de : Évalbertois, Évalbertoise.
Histoire
[modifier | modifier le code]La localité consistait en 1304 en quelques habitations disséminées sur un terrain marécageux (dont le Malsaucy déjà connu), formant des hameaux. Elle devint une grande Mairie dont dépendaient : Valdoie, Eloye, Forchelon (disparu depuis), Essert. On y cultivait l'avoine, le seigle, le sarrazin, la navette et le colza. (Forchelon existait encore en 1347. On retrouvait en 1913 des vestiges entre Essert et Cravanche).
À la succession de Renaud de Bourgogne, un partage eut lieu en 1347 au château d'Altkirch. Dame Jeanne de Montbéliard, fille aînée de Renaud défunt, partage son héritage (3 ans avant sa mort) entre ses quatre filles, Jeanne (dite Jeannette pour la distinguer de sa mère), Ursule, Alix et Marguerite.
- Le Rosemont (cité pour la première fois comme division territoriale) échoit à Jeanne de Ferrette, duchesse d'Autriche épouse d'Albert II d'Autriche. Évette et Salbert passent sous l'emprise des Autrichiens pendant plus de deux siècles.
- Le , Louis de Champagne, comte de la Suze prend Belfort et sa région aux Autrichiens. Il profite peu de sa victoire, devenu seigneur de Belfort, il mourut le de la même année à Montbéliard.
- À son fils Gaspard de Champagne, qui avait combattu avec son père, Louis XIII donne la seigneurie de Belfort et du Rosemont. En 1545, il épouse Henriette de Coligny, poétesse à ses heures composant à la source de Bermont. Le traité de Wesphalie en 1648 prévoit le rachat des droits seigneuriaux de la maison d'Autriche par le roi de France.
- En , Louis XIV, par lettres patentes datées de Toulouse, donne à son cher cousin, Le cardinal de Mazarin, Belfort et le Rosemont. Celui-ci devint seigneur de Belfort et de Rosemont, donc possesseur d'Évette, de Salbert et du Malsaucy (Malsaussé). Il met en valeur l'étang et le fit communiquer avec l'étang des Forges à Belfort. La forge a été installée en 1643 par le comte de la Suze. On y fabriquait pour la région des ustensiles de ménage, serrurerie, du matériel agricole, etc. Ceci était justifié par l'arrêt des approvisionnements autrichiens, spécialistes surtout en matériels agricoles (faux de Styrie). En période sécheresse le Malsaucy alimentait l'étang de la forge par le Verboté, la Savoureuse et le canal du Martinet, d'où le droit d'eau au cours des siècles en faveur des usines, de l'armée et encore en usage de nos jours.
- En 1983, en période sèche, l'usine SAMICA de Valdoie pompait à la jonction du Verboté et de la Savoureuse et refoulait l'eau à son usine. L'opinion a prévalu que le Malsaucy était implanté sur un terrain marécageux, ce n'est pas rigoureusement exact. À sa partie nord, ne voyait-on pas il y a quelques années, en période de sécheresse et au moment de la pêche, des vestiges d'une voie romaine. Serait-il trop hasardeux de faire un rapprochement avec la bataille de César et Arioviste (58 avant Jésus-Christ) et le camp romain qui se trouvait à la place du fort de Giromagny ? Le cardinal de Mazarin ne reste pas longtemps possesseur du Malsaucy puisqu'il meurt le .
- À la mort du cardinal Mazarin, sa nièce Hortense Mancini, épouse du duc de Meilleraye, son héritière et ses descendants en resteront possesseurs jusqu'à la Révolution.
- Les derniers furent les Grimaldi de Monaco par le mariage en 1777 de la duchesse Louise Félicité, Victoire d'Aumont Mazarin avec Honoré II Grimaldi, duc de Valentinois, prince de Monaco (donation annulée le de Louis XIV à Mazarin).
- La Restauration rétablit les Grimaldi dans leurs biens et non leurs titres jusqu'en 1830.
- Le Malsaucy eut comme propriétaires d'abord la famille Royer (magistrats) de Belfort jusqu'en 1912, puis la famille Feltin Pierre (le cardinal) qui le vendit au département en 1974.
- Paroisse - Évette ne constitua une paroisse qu'en 1781 à la construction de l'église dédiée à saint Claude (patron du village). Auparavant, Évette dépendait de la paroisse Saint-Vincent de Lachapelle-sous-Chaux.
Faits historiques
[modifier | modifier le code]La commune est née le de la fusion des anciennes communes d'Évette et de Salbert.
- Évette
Le nom d'Évette est cité pour la première fois en 1024. D'après J. Liblin, ce toponyme viendrait de l'allemand Weide signifiant pâturages. Dès le Moyen Âge, Évette fut le chef-lieu d'une mairie dépendant du comté de Montbéliard. Elle fut réunie à la seigneurie du Rosemont en 1347[16].
La gare a été construite à Bas-Évette en 1880, date à laquelle fut posée la voie ferrée reliant Giromagny à la ligne Belfort-Paris.
La population d'Évette était de 354 habitants en 1803.
- Salbert
Le village de Salbert doit son nom au mont auquel il est adossé. Comme Évette, son habitat est dispersé en plusieurs hameaux dont la Forêt isolé à plus de 2 km en direction de Châlonvillars, dans le département de la Haute-Saône.
Salbert regroupait 185 habitants en 1803.
Un ensemble de fortifications et d'ouvrages furent réalisés après la guerre de 1870 pour assurer la défense de la Trouée de Belfort.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes peuvent se blasonner ainsi : Coupé par une divise d'argent : au premier d'or au mont de trois coupeaux de sinople mouvant des flancs et de la partition, au second d'azur aux trois canettes d'argent nageant sur une onde du même. |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est notamment membre de deux structures intercommunales :
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2015
[modifier | modifier le code]En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :
- total des produits de fonctionnement : 1 288 000 €, soit 586 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 119 000 €, soit 509 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 488 000 €, soit 227 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 540 000 €, soit 246 € par habitant.
- endettement : 143 000 €, soit 65 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 10,23 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,09 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 49,88 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].
En 2021, la commune comptait 2 026 habitants[Note 6], en évolution de −2,27 % par rapport à 2015 (Territoire de Belfort : −3,34 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé dans le sud du département, à Trévenans[24],[25].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La fratrie des cinq frères Jardot, tous nés dans la commune au XIXe siècle et morts pour la France pendant les premiers mois de la Première Guerre mondiale. Seul un sixième frère, l'aîné, fut épargné après avoir été retiré du front.
- Maurice Jardot (-) : directeur de la Caisse nationale des monuments historiques, commissaire d'exposition, dirigeant de la Galerie Louise-Leiris. Amateur d'œuvres picturales du XXe siècle, il a légué sa collection à la ville de Belfort (voir donation Maurice-Jardot à Belfort). Il a demandé que les Évalbertois puissent accéder gratuitement au musée abritant cette donation.
Traditions
[modifier | modifier le code]Tous les premiers dimanches d'avril, l'ensemble des associations du village organise la fête du pochon d'avri, fête traditionnelle retrouvée récemment - plus d'informations sur le site de la mairie.
Gastronomie
[modifier | modifier le code]Un pain spécial a été créé pour la commune par le boulanger local, pour rendre hommage au nouveau nom des habitants, la baguette évalbertoise, cuite au feu de bois.
Économie
[modifier | modifier le code]Le développement de la commune a permis l'implantation progressives de quelques artisans, commerces et entreprises tels que pharmacie, menuiserie-ébénisterie, auberge, discothèque, boulangerie-pâtisserie-salon de thé, médecin, infirmières...
Un bureau de poste, une gare ferroviaire, une base nautique et de loisirs (gérée par le Conseil départemental du Territoire de Belfort), un centre équestre et des installations sportives sont également disponibles.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
L'église Saint-Claude, côté sud.
-
L'église Saint-Claude, côté nord-ouest.
-
Croix de chemin.
-
Frères Jardot.
-
Borne entre Belfort et Evette-Salbert.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine de la commune
- Paroisse Saint-Claude. Evette-Salbert
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Franche-Comté
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Base de données communales
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Belfort comprend une ville-centre et 15 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Montbéliard : carte géologique », sur ac-besancon.fr.
- « Liste des 189 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3ème Charte 2012 - 2024 » [PDF].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Évette-Salbert et Giromagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Belfort », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Histoire et patrimoine Evette et Salber
- « Disparition d’Eugène Voisinet », L'Est républicain, (lire en ligne).
- Élu par le conseil municipal le 3 avril 2021 à la suite de l'élection municipale partielle du 28 mars 2021.
- Les comptes de la commune
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
- Site officiel de l'HNFC.
- L'église Saint-Claude
- Notice no PM90000040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche de l'église Saint-Claude
- Monument aux Morts commun à Évette et Salbert, Plaque commémorative 1914-1918 de l'église Saint-Claude, Monument commémoratif 1939-1945 Évette-Salbert, Plaque commémorative