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Égletons

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Égletons
Égletons
Le lycée Pierre-Caraminot.
Blason de Égletons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Communauté de communes de Ventadour - Égletons - Monédières
Maire
Mandat
Charles Ferré
2020-2026
Code postal 19300
Code commune 19073
Démographie
Gentilé Égletonnais, Égletonnaises
Population
municipale
4 293 hab. (2021 en évolution de +0,44 % par rapport à 2015)
Densité 255 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 26″ nord, 2° 02′ 46″ est
Altitude Min. 533 m
Max. 800 m
Superficie 16,85 km2
Unité urbaine Égletons
(ville isolée)
Aire d'attraction Égletons
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton d'Égletons
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Égletons
Géolocalisation sur la carte : France
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Égletons
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Égletons
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Égletons
Liens
Site web www.egletons.fr

Égletons (/e.ɡlə.tɔ̃/ ; en occitan : Aus Gletons) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

La ville est réputée pour la qualité de son enseignement dans le secteur du Bâtiment et travaux publics dont elle accueille de nombreuses formations allant du brevet d'études professionnelles (BEP) jusqu'au Diplôme national de master et au doctorat.

Géographie

Localisation

Égletons se situe dans le Massif central au carrefour de plusieurs ensembles géographiques. La ville est adossée aux premiers contreforts de la Montagne limousine (le plateau de Millevaches au nord, et le massif des Monédières à l'ouest), et s'établit ainsi sur le haut plateau corrézien dominant à l'est les gorges de la Dordogne.

La commune se situe sur l'ex-nationale 89 (devenue RD 1089) :

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 332 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1997 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records EGLETONS (19) - alt : 610 m 45° 23′ 54″ N, 2° 03′ 30″ E
Statistiques établies sur la période 1997-2010 - Records établis sur la période du 01-07-1997 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,6 −0,5 1,7 4,1 7,8 11 12,2 12,1 8,9 6,7 2,4 −0,2 5,5
Température moyenne (°C) 3 3,7 6,5 9 13,2 16,8 17,9 17,9 14,6 11,3 6 3,3 10,3
Température maximale moyenne (°C) 6,5 8 11,3 13,9 18,5 22,6 23,6 23,7 20,2 15,9 9,6 6,8 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−12,2
30.01.04
−14,6
09.02.12
−15,5
01.03.05
−5,2
08.04.21
−1,3
03.05.21
2,8
05.06.14
4
17.07.00
4,8
29.08.10
−0,9
18.09.01
−6,3
25.10.03
−11,1
22.11.1998
−13
19.12.09
−15,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18
01.01.22
24,6
27.02.19
24,8
14.03.12
27,4
07.04.11
29,7
17.05.06
37,4
27.06.19
37,3
23.07.19
37,1
12.08.03
31,5
13.09.19
27,4
02.10.11
23,4
08.11.15
17,9
19.12.15
37,4
2019
Précipitations (mm) 131,7 110,1 140 151,3 110,3 92,8 109 103,1 102,8 122,5 155,4 140,7 1 469,7
Source : « Fiche 19073006 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

Urbanisme

Typologie

Selon la terminologie définie par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) et le zonage publié en 2020, Égletons est une commune urbaine[Note 4]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine d'Égletons une unité urbaine monocommunale[8] de 4 196 habitants en 2020, constituant une ville isolée[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Égletons, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,8 %), zones urbanisées (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %), prairies (8,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %)[13].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Égletons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau d'Égletons. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2001, 2016 et 2018[16],[14]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Égletons.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 18,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 263 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 32 sont en en aléa moyen ou fort, soit 3 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Égletons est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie

L'origine du nom Égletons (1075 : de Glutonibus ; 1251 : de Glotos ) est incertaine :

  1. nom d'homme glutio, selon M. Villoutreix (in Noms de lieux du Limousin, éd. Bonneton 1998).
  2. latin médiéval glutis, terre tenace, argile, avec préfixe ès à valeur locative, le nom de cette bourgade se rapportant à un endroit bourbeux, glaiseux où sans doute elle fut établie (selon Jean Costes - Revue Lemouzi no 187 - ).

Histoire

Cette importante cité médiévale est en 1059 la capitale de la famille des seigneurs de Ventadour.

Depuis leur imposante forteresse, véritable nid d’aigle sur un piton rocheux dont les vestiges (récemment restaurés et consolidés) témoignent encore de la puissance, les Ventadour firent la fortune d'Égletons, assurèrent sa prospérité et furent à l'origine d'une riche tradition d'art et de culture, celle de la fin' amor : la poésie des troubadours. Bernard de Ventadour, l'un des plus célèbres d'entre eux, a su chanter à travers toute l'Europe cette civilisation courtoise raffinée. Égletons conserve aujourd'hui encore des restes de cette place forte, ses remparts aux cinq portes qui arborent les armes des Ventadour, son église Saint-Antoine et son clocher du XIIe siècle armé de mâchicoulis, sa chapelle des Pénitents.

Sous la direction de Louis Godefroy, Compagnon de la Libération, les FTPF mènent des opérations à Égletons, Tulle et Eymoutiers, qu’il commande personnellement.

En , se déroula la bataille d'Égletons. Les combats féroces, les destructions nombreuses et le courage des habitants lors de la lutte pour la libération de la ville valurent, à la médiévale capitale des Ventadour, la citation à l'Ordre du Corps d'Armée avec l'attribution de la Croix de guerre avec étoile de vermeil ().

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1894 1923 François Monéger NI Distillateur
1929 1944 Charles Spinasse SFIO
1944 1947 Jean-Baptiste Gautherie
1947 1959 Pierre Marcel Caraminot
1959 1965 Jean Guinot
1965 1977 Charles Spinasse PSD
1977 1989 Louis Bourzai
1989 1991 André Crouzette DVD Conseiller général
1991 1995 André Chamalaud
1995 mars 2001 Monique Mazeyrat RPR
mars 2001 mars 2008 Bernadette Bourzai PS Professeur d'histoire-géographie, sénatrice (2008-2014)
mars 2008 août 2014
(décès)
Michel Paillassou UMP Conseiller général
Président de la communauté de communes de Ventadour
septembre 2014[21] En cours Charles Ferré UMP-LR  

Jumelages

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Égletonnais et Égletonnaises[22].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24]. En 2021, la commune comptait 4 293 habitants[Note 6], en évolution de +0,44 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8728869891 0281 2531 4991 5111 5811 604
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6721 5981 6161 7501 8491 8921 8901 8321 782
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6971 9281 9211 8541 8672 0212 7343 1543 633
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 2013 6694 6084 5904 4874 0874 4244 3764 481
2015 2020 2021 - - - - - -
4 2744 2744 293------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Égletons est réputé pour ses écoles et ses centres de formation dédiés aux métiers du bâtiment et travaux publics.

Culture locale et patrimoine

Chapelle de l'hôpital.

Lieux et monuments

Label

En 2009, le ministère de la Culture a attribué à la ville le label « Patrimoine du XXe siècle » pour son architecture remarquable et son ensemble urbain des années 1930 à 1960.

À voir :

Parcs et espaces verts

Cimetière paysager.

La commune est une ville fleurie ayant obtenu deux fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[31]. Elle a conservé cette reconnaissance en 2008[32].

Historique des noms des rues

Paule Morot-Cabanac a écrit Égletons et ses rues[33] dans lequel elle recense les rues de la ville et explique l'origine des noms qui leur ont été donnés.

Dans la littérature

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Égletons Blason
Échiqueté d'or et de gueules de huit tires.
Détails
Selon d'Hozier
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Devise

La devise de la ville est « Inania Pello » ; elle signifie « je rejette les choses vaines »[34].

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Fiche du Poste 19073006 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Unité urbaine 2020 d'Égletons », sur insee.fr (consulté le ).
  9. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Égletons », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Égletons », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  21. TULLE, « Charles Ferré nouveau maire d'Egletons », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Les gentilés de Corrèze.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Site de l'EATP.
  28. Labellisés « Patrimoine du XXe siècle ».
  29. « Eglise Saint-Antoine-l'Ermite », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  30. Site du CDMA.
  31. Villes et Villages Fleuris (palmarès 2007 des communes de Corrèze)
  32. Palmarès 2008 des Villes et Villages Fleuris
  33. Égletons et ses rues, éditeur : Alan Sutton, 07/2005, coll. « Mémoire en images » (ISBN 978-2-84253-848-4).
    Livre très documenté d'une ancienne enseignante passionnée d'histoire.
    Ouvrage actuellement indisponible.
  34. « Bienvenue en Haute-Corrèze », sur haute-correze.fr (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Jean Vinatier, Egletons « cité de Ventadour ». L'histoire d'une ville du Limousin, 2e édition, Treignac, Les Monédières, 1988.

Articles connexes

Liens externes

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