Saint-Pantaléon-de-Larche
Saint-Pantaléon-de-Larche | |||||
Le bourg de Saint-Pantaléon-de-Larche. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Brive-la-Gaillarde | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bassin de Brive | ||||
Maire Mandat |
Alain Lapacherie 2020-2026 |
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Code postal | 19600 | ||||
Code commune | 19229 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Pantaléonnais | ||||
Population municipale |
4 883 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 208 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 08′ 32″ nord, 1° 26′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 228 m |
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Superficie | 23,47 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Brive-la-Gaillarde (banlieue) |
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Aire d'attraction | Brive-la-Gaillarde (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pantaléon-de-Larche (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Saint-Pantaléon-de-Larche est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Commune de l'unité urbaine de Brive-la-Gaillarde située en limite ouest du bassin de Brive, Saint-Pantaléon-de-Larche est une commune du sud-ouest de la Corrèze, limitrophe du département de la Dordogne. Elle accompagne une boucle formée par la vallée de la Vézère après sa confluence avec la Corrèze.
L'autoroute A89 traverse le territoire communal au nord, franchissant par le viaduc de la Vézère-Corrèze les deux cours d'eau en limite communale.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Brive-la-Gaillarde, Larche, Lissac-sur-Couze, Mansac, Ussac, Varetz, La Feuillade et Pazayac.
Saint-Pantaléon-de-Larche est limitrophe de huit autres communes dont deux dans le département de la Dordogne.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 920 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brive-la-Gaillarde à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 903,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Pantaléon-de-Larche est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brive-la-Gaillarde, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,4 %), forêts (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), zones urbanisées (13,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), eaux continentales[Note 2] (3,3 %)[13].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Pantaléon-de-Larche est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tulle-Brive, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Corrèze et de la Vézère (17 dans la Corrèze et trois dans la Dordogne), un des 18 TRI qui ont été arrêtés le 11 janvier 2013 sur le bassin Adour-Garonne[16]. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[17]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2001[18],[14]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [19].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[20]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 061 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 005 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].
Concernant les feux de forêt, aucun plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) n’a été établi en Corrèze, néanmoins le code de l’urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d’urbanisme. Le périmètre des servitudes d'utilité publique et des zones d'obligation légale de débroussaillement pour les particuliers est quant à lui défini pour la commune dans une carte dédiée[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].
La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 4] situé en Corrèze et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[25]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Pantaléon-de-Larche est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].
Histoire
[modifier | modifier le code]Des sites archéologiques datant du Paléolithique supérieur attestent d'une présence dès la préhistoire dans les lieux-dits les Bruyères, la Cave et Audeguil.
Au XIIe siècle, la commune s'appelait Saint-Pantaléon-du-Rot en raison d'un prieuré situé sur la rive gauche de la Vézère, qui allait devenir Le Roc.
D'autres découvertes témoignent d'une présence pendant la période médiévale : un sarcophage et un souterrain à Audeguil, un prieuré et une chapelle Saint-Jean à Gumond.
La commune prit ensuite son nom actuel de Saint-Pantaléon-de-Larche, hormis entre 1793 et 1795, pendant la Révolution française, Saint-Pantaléon prend le nom révolutionnaire de La Fraternité[28].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, après avoir sévi pendant une semaine en Dordogne, la division Brehmer poursuit en Corrèze la traque des résistants et des juifs. Le , trois hommes sont fusillés sur la commune et deux femmes, une mère et sa fille, sont arrêtées et transférées à Périgueux, avant d'être envoyées au camp de Drancy trois jours plus tard[29],[30]. Des deux femmes déportées en camp de concentration, la mère meurt le suivant à Auschwitz-Birkenau et sa fille, après sa libération, rejoint Paris le [29].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de Saint-Pantaléon-de-Larche sont des Saint-Pantaléonnais.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2021, la commune comptait 4 883 habitants[Note 5], en évolution de +1,88 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]- Établissements Arnodin, filiale de Baudin Chateauneuf : fabrication de structures métalliques.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Pantaléon : datant du XIIe siècle, elle fut reconstruite aux XIVe et XVe siècles. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1963[35]. Elle domine une petite place bordée de maisons construites en grès rouge, pierre du pays issue des anciennes carrières des villages de la Roche Haute et Puyfaure sur la commune.
- Le château de Cramier : ce château du XVIIe siècle est inscrit pour ses façades et toitures depuis 1991 au titre des monuments historiques[36]. Il possède un parc arboré sur les bords de la Vézère.
- Le château de Lavarde, XVIIe siècle.
- Les ponts : le pont routier du Bourg a été construit en 1846, ce qui eut pour conséquence la disparition progressive des ports qui permettaient la traversée de la Vézère. Le pont ferroviaire fut achevé en 1860. Les ponts de Grange, à la confluence de la Corrèze et de la Vézère, furent construits en 1890. En 2004, le viaduc de la Vézère-Corrèze de l'autoroute A89 enjambe à la fois les ponts de Grange et la ligne de chemin de fer.
-
L'église.
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Le viaduc ferroviaire.
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Le viaduc de la Vézère-Corrèze.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Charles-Marie de Feletz né à Saint-Pantaléon-de-Larche, au village de Gumont le et décédé à Paris le était un homme d'Église, académicien, journaliste, conservateur de la bibliothèque Mazarine et critique littéraire français.
- Annet-Antoine Couloumy : né dans le bourg le , il gravit tous les échelons de la hiérarchie militaire et devient général de brigade le . Il est mortellement blessé lors de la bataille de Leipzig le . Son buste (1906) par Eugène-Jean Boverie se dresse devant l'église, sur la place qui porte son nom.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Saint-Pantaléon-de-Larche se blasonnent ainsi : Écartelé : aux 1er et 4e d'azur au lion contourné d'argent, aux 2e et 3e d'or au pal d'azur chargé de deux étoiles d'or. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Corrèze
- Liste des monuments historiques de la Corrèze
- Communauté d'agglomération du Bassin de Brive
- Odette Spingarn
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Histoire de Saint-Pantaléon-de-Larche
- Saint-Pantaléon-de-Larche sur le site de l'Institut Géographique National (archive)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pantaléon-de-Larche et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Brive - La Roche » (commune de Brive-la-Gaillarde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Brive - La Roche » (commune de Brive-la-Gaillarde) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Brive-la-Gaillarde », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pantaléon-de-Larche », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Arrêté en date du 11 janvier 2013 du préfet coordonnateur du bassin Adour Garonne fixant la liste des Territoires à Risques Importants d’inondation sur le bassin Adour Garonne », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tulle-Brive », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Risque de feu de forêt près de chez moi, sur la commune de Saint-Pantaléon-de-Larche », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Les noms révolutionnaires des communes de France par Figuères
- Paul Mons, préface de Rose-Marie Antoine, La folie meurtrière de la Division Brehmer, éditions les Monédières, avril 2016, (ISBN 978-2-36340-133-5), p. 148.
- Guy Penaud, Les crimes de la Division « Brehmer », éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2), p. 406.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église Saint-Pantaléon », notice no PA00099873, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 avril 2012.
- « Château de Cramier », notice no PA00099973, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 avril 2012.
Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Cette cartographie du TRI est indicative. Elle n’a pas vocation à se substituer aux cartes d’aléas des PPRI (lorsqu’elles existent sur le TRI) dont les fonctions et la signification ne sont pas les mêmes.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Commune en Corrèze
- Commune dans l'arrondissement de Brive-la-Gaillarde
- Commune dans la communauté d'agglomération du Bassin de Brive
- Commune touristique en France
- Toponyme évoquant un saint
- Commune ayant porté un nom révolutionnaire en Corrèze
- Unité urbaine de Brive-la-Gaillarde
- Aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde