Aurel (Drôme)
Aurel | |||||
Vue sur le village d'Aurel depuis l'église | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Crestois et du pays de Saillans | ||||
Maire Mandat |
Jean-Christophe Aubert 2020-2026 |
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Code postal | 26340 | ||||
Code commune | 26019 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aurelois | ||||
Population municipale |
253 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 41′ 47″ nord, 5° 17′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 289 m Max. 1 247 m |
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Superficie | 26,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Die (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | aurel-drome.fr | ||||
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Aurel est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Aurel est située à 20 km de Die et à 25 km de Crest.
La commune se situe dans le Diois, massif des Préalpes du sud au pied du Vercors, à la confluence de la Roanne et de la Drôme.
Vercheny | Barsac | Solaure-en-Diois | ||
Vercheny Espenel |
N | Rimon-et-Savel | ||
O Aurel (Drôme) E | ||||
S | ||||
Espenel Saint-Benoit-en-Diois |
Saint-Benoit-en-Diois Rimon-et-Savel |
Rimon-et-Savel |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Le village est perché sur une colline au milieu d'un cirque montagneux.
Sites particuliers : Les principaux sommets alentour sont : La Plaine 1 231 m, la montagne de Gavet 1 163 m, Serre Chauvière 1 262 m.
Géologie
[modifier | modifier le code]Une petite partie de la commune est dans le bassin de la Roanne : la rive droite de la basse vallée jusqu'au confluent avec la Drôme, que Félix Grégoire décrivait en 1911, caillouteuse comme une véritable « crau »[réf. nécessaire].
À l'est, le plateau de Solaure domine la combe de Vercheny. La commune d’Aurel partage avec celle de Barsac le flanc méridional de cette vaste cuvette taillée dans les roches marno-calcaires et que délimite, au sommet, une corniche de calcaire tithonique[réf. nécessaire].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le ruisseau la Colombe passe au pied du vieux village, il court sur 8,1 km avant de se jeter dans la Roanne.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 985 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Die à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Aurel est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Die, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,1 %), zones agricoles hétérogènes (13 %), cultures permanentes (7,2 %), prairies (3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Village disséminé et petit centre pittoresque perché[12].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[13] :
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14].
- 1193 : mention du mandement : mandamentum Aurelli (cartulaire de Die, 98).
- 1200 : castrum de Aurello et Aurel (cartulaire de Die, 59) (Ernest Nègre cite la forme Aurel[15]).
- 1509 : mention de l'église Sainte-Catherine : ecclesia baptismala sancte Catharine de Aurellis (visites épiscopales de Die).
- 1574 : Aureaux (inventaire Morin-Pons, I, 426).
- 1576 : mention d'une chapelle : capella bastide Aurellis (pouillé de Die).
- 1578 : lous Oureaulx (archives hosp. de Crest).
- 1891 : Aurel, commune du canton de Saillans.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le nom d'Aurel dériverait de la racine latine aura « vent », avec le suffixe -ellum[16]
La situation de cet habitat, sur un plateau venteux, aurait généré ce toponyme. Il aurait la même racine que le nom du plateau de Solaure[réf. nécessaire].
Son nom ne peut pas provenir des pépites d'or qu'aurait transportées la Colombe[réf. nécessaire].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Les Chasséens et les hommes de l'âge des métaux ont laissé leurs traces dans les grottes de Solaure et du Fournet[réf. nécessaire].
Protohistoire
[modifier | modifier le code]Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]Plusieurs villas, en particulier à Saint-Pierre et à Saint-Jean d'où proviennent deux autels dédiés l'un à Mars, l'autre à la déesse Andarta et de nombreux vestiges de riches habitations : plaques de marbre, briques d'hypocauste, pièces de monnaie, etc.[réf. nécessaire].
Une borne milliaire[12].
Un cippe funéraire (transformé en bénitier chrétien)[12].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie[14] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) appartient à plusieurs seigneurs : notamment les Aurel, les Peloux et les Montclar.
- XIIe et XIIIe siècles : elle passe dans le domaine des évêques de Die jusqu'à la Révolution.
Au XIe siècle, il y a quatre églises[12].
Avant 1790, Aurel était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église était dédiée à sainte Catherine et fut remplacée au XVIe siècle par celle du prieuré. Les dîmes appartenaient au prieur du lieu qui présentait à la cure (voir Le Prieuré).
Le mandement d'Aurel avait la même étendue que la commune de ce nom[14].
Le Prieuré
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :
- XIIIe siècle : mention du prieuré : Le Priols de Saint-Johan (censier de l'évêché de Die).
- 1449 : mention du prieuré : Prioratus de Aurrelis (pouillé hist.).
- 1450 : Sanctus Johannes de Aurellis (Rev. de l'évêché de Die).
- 1576 : Le Prioré des Aureaux (rôle de décimes).
- XVIe siècle : mention du prieuré : Prioratus Sancti Johannis de Oreolis (archives de la Drôme, fonds de l'évêché de Die).
- 1626 : mention du prieuré : Prioratus Sancti Johannis Doureau (pouillé général).
- 1670 : Le Prioré de Saint Jean d'Aurel (archives de la Drôme, E 2252).
- 1891 : Le Prieuré, ferme de la commune d'Aurel.
Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de Cluny) dont le titulaire était décimateur et collateur dans la paroisse d'Aurel.
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton de Pontaix. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans le canton de Saillans[14].
XIXe siècle : Aurel élève les vers à soie grâce à ses 1200 mûriers[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].
En 2021, la commune comptait 253 habitants[Note 2], en évolution de +5,86 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune relève de l'académie de Grenoble.
Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête communale : le 14 juillet[12].
- Fête patronale : le dernier dimanche de juillet[12].
- Vogue : les dernier dimanche et lundi du mois de juillet.
Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]- Cross-car : une piste homologuée[23].
- Parapente : 3 sites de décollage[24].
- Raquettes à neige sur le plateau de Serre Chauvière[réf. nécessaire].
- Trial (compétition)[réf. nécessaire].
- VTT : plusieurs dizaines de kilomètres de chemins[réf. nécessaire].
Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : fourrage, vignes (vins AOC Clairette de Die), vergers, caprins, ovins[12].
La viticulture a toujours été importante[25] :
- Vers 1250, la vigne tient déjà une place de choix dans la liste des cens dressée par l’évêque Amédée de Genève.
- En 1789, la récolte est surabondante et les vignerons exportent leur vin dans les montagnes voisines.
- Aujourd'hui, le cépage d'Aurel participe à la production de la fameuse Clairette de Die (AOC). Trois producteurs indépendants et 45 sociétaires de la cave coopérative de Die se partagent 140 hectares de clairette et de muscat.
Son eau minérale gazeuse et ferrugineuse a connu une certaine célébrité[réf. nécessaire] :
- XVIIe siècle : Nicolas Chorier la trouvait très salutaire contre la fièvre tierce.
- 1859 : officiellement autorisée, la source Bourdouyre produisait 120 000 bouteilles par an, sans compter la limonade que l'on obtenait en rajoutant du sucre et du citron.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Ensemble touristique communal très complet, avec camping, piscine et restaurant[réf. nécessaire].
- Camping communal : le camping de la Colombe (nom du petit ruisseau qui le borde) avec piscine[26].
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château Vieux : site du castrum médiéval déserté avec motte.
- Église Saint-Pierre d'Aurel (XIe siècle) : ancien prieuré dépendant de l'abbaye de Cluny, clocher-arcade, vestiges du prieuré[12].
- Temple protestant[12].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Daniel Rey, homme politique, député de la Drôme de 1848 à 1851, né le à Aurel (Drôme) et mort le à Saillans (Drôme)
- Serge Gillouin : champion de France d'Autocross en 2000 et trois fois vice champion de France[réf. nécessaire].
- Tancrède Melet, funambule et artiste français, décédé lors d'un accident en 2016 sur la commune d'Aurel
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Aurel (Drôme) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Agnès Lebigot et Denise Wynants, Mémoires d'Aurel. Première partie, Amis d'Aurel et de son vieux village, , 50 p. (ISBN 978-2-9542533-0-5).
- Agnès Lebigot et Denise Wynants, Mémoires d'Aurel. Deuxième partie, Amis d'Aurel et de son vieux village, , 118 p. (ISBN 978-2-9542533-1-2).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Aurel sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aurel et Die », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Die », sur la commune de Die - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Die », sur la commune de Die - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Die », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 978-2-7399-5026-9), Aurel.
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 14 (Aurel).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 641, (ISBN 2600028838).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1687.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 288 (Le Prieuré).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Autocross d'aurel et Kartcross - Aurel (26340) - Pilotage auto », sur sports-et-loisirs.fr (consulté le ).
- « Parapente avec Jeux d'Ailes à Aurel », sur Vallée de la Drôme (consulté le ).
- « Aurel | La Drôme Tourisme », sur ladrometourisme.com, (consulté le ).
- « CAMPING MUNICIPAL LA COLOMBE à Aurel Drôme », sur CampingFrance.com (consulté le ).