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Bouniagues

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Bouniagues
Bouniagues
Le village et l'église de Bouniagues.
Blason de Bouniagues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise
Maire
Mandat
Georges Bassi
2020-2026
Code postal 24560
Code commune 24054
Démographie
Gentilé Bouniaguais
Population
municipale
600 hab. (2021 en évolution de +3,63 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 45′ 36″ nord, 0° 31′ 34″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 181 m
Superficie 8,62 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bouniagues
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Bouniagues
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Bouniagues
Liens
Site web bouniagues.com

Bouniagues est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Généralités

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Située en Bergeracois, dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, la commune de Bouniagues fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac.

Le bourg de Bouniagues, à l'intersection de la route nationale 21 et de la route départementale 13, se situe, en distances orthodromiques, onze kilomètres au sud-sud-est de Bergerac et quinze kilomètres au nord-est d'Eymet.

Communes limitrophes

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Bouniagues est limitrophe de sept autres communes, dont Sadillac au sud-ouest par une quadripoint, et Monsaguel au sud-est sur environ 300 mètres.


Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bouniagues est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, est composée d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Bouniagues.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 74 m[5] à l'extrême est, là où l'affluent de la Conne quitte la commune et sert de limite entre celles de Conne-de-Labarde et Saint-Cernin-de-Labarde, et 181 m[5] au sud, à l'est du lieu-dit le Mas[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 8,62 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,71 km2[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Gardonnette et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6,5 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans le nord-ouest de la commune, 700 mètres à l'ouest du bourg, et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[16],[17]. Elle arrose la commune sur 650 mètres.

La commune est bordée à l'est et au sud-est sur trois kilomètres par un ruisseau sans nom, affluent de rive gauche de la Conne, face à Saint-Perdoux, Monsaguel et Saint-Cernin-de-Labarde.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[19]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

La quasi-intégralité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne Atlantique. Seule l'extrême pointe sud-ouest est rattachée au SAGE Dropt.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 11 km à vol d'oiseau[24], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Au , Bouniagues est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[29]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34 %), zones agricoles hétérogènes (34 %), cultures permanentes (11 %), forêts (8,6 %), zones urbanisées (6,3 %), prairies (6,1 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits

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Outre le bourg de Bouniagues proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[33] :

  • la Becquerie
  • les Blanquies
  • la Boissière
  • la Cabane
  • Castang
  • Chaupine
  • les Courrèges
  • l'Escalat
  • Fon du Touron
  • Font de l'Ase
  • Font Janesque
  • Fontaine Chavirane
  • Gaillardet
  • la Grange du Bosc
  • Marmelinat
  • le Mas
  • Mazière
  • Mondounet
  • Monplaisir
  • le Petit Tuquet
  • les Places
  • la Renoncie
  • les Septeyrades
  • Soupetard
  • le Touron
  • les Tuilières
  • le Tuquet
  • la Vidalie
  • les Vigonies.

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Bouniagues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Risques naturels

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Bouniagues est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[36]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[37],[38].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bouniagues.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[39]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 79,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[41].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[34].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Bouniague[42].

En occitan, la commune porte le nom de Bonhagas[43].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et electoraux

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Dès 1790, la commune de Bouniagues a été rattachée au canton de Ribagnac qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton d'Issigeac dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[44]. La commune est alors rattachée au canton du Sud-Bergeracois.

Intercommunalité

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Fin 2001, Bouniagues intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2012 et remplacée au 1er janvier 2013 par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[45],[46].

Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001[47]
(réélu en mai 2020)
En cours Georges Bassi DVD[48] Cadre commercial

Équipements et services publics

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Dans le domaine judiciaire, Bouniagues relève[49] :

Population et société

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Démographie

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Les habitants de Bouniagues se nomment les Bouniaguais[50].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].

En 2021, la commune comptait 600 habitants[Note 5], en évolution de +3,63 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
456371419508522505525538517
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
501512540503544536500405400
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
376420408347325318318327340
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
380349378447466476487489552
2017 2021 - - - - - - -
587600-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 266 personnes, soit 45,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-huit) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,4 %.

Établissements

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Au , la commune compte 81 établissements[55], dont quarante-quatre au niveau des commerces, transports ou services, quatorze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, onze dans la construction, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois dans l'industrie[56].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine naturel

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Une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I concerne la friche calcaire de la Becquerie, au sud de la commune, en limite de Saint-Perdoux pour sa flore, et notamment une espèce rare, le Fumana fausse bruyère (Fumana ericoides)[61],[62].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Bouniagues Blason
Parti au 1) d’azur aux dix losanges d’argent ordonnées 2.3.3.2 au 2) d’hermine à la champagne d’azur chargée de quatre losanges d’argent rangées en fasce[63]
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bouniagues » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Bouniagues » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Bouniagues », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Bouniagues », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Bouniagues », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
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  39. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  40. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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