Canens
Canens | |||||
Entrée du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Muret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Volvestre | ||||
Maire Mandat |
Julien Baudiniere 2020-2026 |
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Code postal | 31310 | ||||
Code commune | 31103 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Canenois | ||||
Population municipale |
60 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 12′ 59″ nord, 1° 19′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 240 m Max. 361 m |
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Superficie | 4,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auterive | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Canens est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aunat, le ruisseau de Paulou et par divers autres petits cours d'eau.
Canens est une commune rurale qui compte 60 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 387 habitants en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Canenois ou Canenoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Canens se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 44 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 27 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 19 km d'Auterive[3], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lézat-sur-Lèze[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Lapeyrère (1,7 km), Castagnac (2,3 km), Massabrac (3,4 km), Sieuras (3,5 km), Bax (3,7 km), Méras (4,0 km), Latour (4,4 km), Sainte-Suzanne (4,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Canens fait partie du Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans[5].
Canens est limitrophe de cinq autres communes dont une dans le département de l'l'Ariège. Les communes limitrophes sont Sainte-Suzanne, Bax, Castagnac, Lapeyrère, Latrape et Massabrac.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 484 hectares ; son altitude varie de 240 à 361 mètres[7].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par l'Aunat, le ruisseau de Paulou, le ruisseau de Gilama, le ruisseau de la canaou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[9],[Carte 1].
L'Aunat, d'une longueur totale de 21,7 km, prend sa source dans la commune de Sieuras et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Montaut, après avoir traversé 13 communes[10].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Palaminy à 21 km à vol d'oiseau[13], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 715,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Canens est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), zones agricoles hétérogènes (46,4 %), prairies (6,4 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Accès avec la route départementale D 25.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Canens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 31 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 31 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Canens faisait partie du diocèse de Rieux.
Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]Canens fut également un fief templier dépendant de la commanderie de Montsaunès avant d'être dévolu aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem au début du XIVe siècle, devenant membre de la commanderie de Caignac[25].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de sept[26],[27].
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Volvestre et du canton d'Auterive (avant le redécoupage départemental de 2014, Canens faisait partie de l'ex-canton de Montesquieu-Volvestre).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Pour les élections présidentielles, les habitants de Canens se reportent sur les candidats de droite.
À l'élection présidentielle de 2012, les résultats de la commune furent les suivants :
Au premier tour :
- Nicolas Sarkozy : 30 %
- François Hollande : 22,50 %
- Marine Le Pen : 20 %
- Jean-Luc Mélenchon : 15 %
- François Bayrou : 5 %
- Jacques Cheminade : 2,50 %
- Nicolas Dupont-Aignan : 2,50 %
- Eva Joly : 2,50 %
- Philippe Poutou et Nathalie Arthaud : 0 %
Au second tour :
- Nicolas Sarkozy : 56,10 %
- François Hollande : 43,90 %
À l'élection présidentielle de 2007, les résultats de la commune furent les suivants :
Au premier tour :
- Nicolas Sarkozy : 38,10 %
- François Bayrou : 19,05 %
- Jean-Marie Le Pen : 11,90 %
- Ségolène Royal : 9,52 %
- Dominique Voynet : 7,14 %
- Olivier Besancenot : 7,14 %
- José Bové : 2,38 %
- Gérard Schivardi : 2,38 %
- Philippe de Villiers : 2,38 %
- Marie-George Buffet, Arlette Laguiller, Frédéric Nihous : 0 %
Au second tour :
- Nicolas Sarkozy : 59,52 %
- Ségolène Royal : 40,48 %
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 60 habitants[Note 3], en évolution de +9,09 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[32] | 1975[32] | 1982[32] | 1990[32] | 1999[32] | 2006[33] | 2009[34] | 2013[35] |
Rang de la commune dans le département | 503 | 489 | 550 | 542 | 513 | 534 | 540 | 551 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Service public
[modifier | modifier le code]Le secrétariat de mairie s'occupe des trois communes voisines de Castagnac, Massabrac et Canens. Il se situe à Castagnac sur la place de l'église.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Canens fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités
[modifier | modifier le code]Activités sportives
[modifier | modifier le code]Association
[modifier | modifier le code]Association pour la restauration de l'église de Canens[36].
Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Volvestre[37].
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 8,5 % | 2,8 % | 7,1 % |
Département[I 6] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 41 personnes, parmi lesquelles on compte 92,9 % d'actifs (85,7 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 7,1 % d'inactifs[Note 4],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 8]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 6 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 36, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 75,5 %[I 9].
Sur ces 36 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 78,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 10,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]7 établissements[Note 5] sont implantés à Canens au [I 12]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 42,9 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 7 entreprises implantées à Canens), contre 25,9 % au niveau départemental[I 13].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]L'économie de la commune est basée sur l'agriculture (ferme Paoulou, Contié...). Plusieurs entreprises de petite taille sont également présentes, notamment In extenso (presse, édition, communication).
Agriculture
[modifier | modifier le code]1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 9 | 7 | 5 | 4 |
SAU[Note 6] (ha) | 412 | 323 | 323 | 324 |
La commune est dans le Volvestre, une petite région agricole localisée dans l'est du département de la Haute-Garonne, constituée de collines de terrefort à fortes pentes autrefois consacrées à l’élevage s’orientent aujourd’hui vers les grandes cultures[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 8] (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 324 ha[40],[Carte 6],[Carte 7].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Victor, église à clocher-mur. Fermée depuis 1995, elle est toujours en cours de rénovation. Une visite pastorale du XVIIIe siècle est disponible sur le site de AREC[41].
Le , monseigneur Robert Le Gall, évêque de Toulouse, a béni le clocher de l'église dont l'extérieur a été dernièrement rénové[42].
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le Patrimoine des Communes de la Haute-Garonne. Flohic Editions, volume 2, Paris 2000, (ISBN 2-84234-081-7), p. 937.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Canens » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Canens ».
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Canens » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Canens » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Canens » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Canens et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Canens et Muret », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Canens et Auterive », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Canens », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 384-385.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Canens », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « l'Aunat »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Canens et Palaminy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Palaminy » (commune de Palaminy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Palaminy » (commune de Palaminy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Canens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Canens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Canens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Canens », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Canens », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p. 123, lire en ligne sur Gallica.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- [1]
- « Accueil »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Communauté de communes du Volvestre (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Canens - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Visite pastorale commentée par René Soula
- Un album photos ainsi que deux vidéos sont disponibles sur le site de l'association AREC