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Capestang

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Capestang
Capestang
La collégiale Saint-Étienne de Capestang.
Blason de Capestang
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes Sud-Hérault
Maire
Mandat
Pierre Polard
2020-2026
Code postal 34310
Code commune 34052
Démographie
Gentilé Capestanais
Population
municipale
3 318 hab. (2021 en évolution de +5,9 % par rapport à 2015)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 47″ nord, 3° 02′ 43″ est
Altitude 12 m
Min. 0 m
Max. 120 m
Superficie 39,56 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Capestang
(ville isolée)
Aire d'attraction Béziers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Capestang
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Capestang
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Capestang
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Capestang

Capestang [ka.pes.tɑ̃] est une commune française située dans le département français de l'Hérault, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal du Midi, la rivière de Quarante, la Mayre Rouge, le ruisseau de Merdols, le ruisseau de Montady et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (l'« étang de Capestang ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Capestang est une commune rurale qui compte 3 318 habitants en 2021. Elle est dans l'unité urbaine de Capestang et fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Capestanais ou Capestanaises.

Géographie

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Localisation

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Carte.

La commune est limitrophe du département de l'Aude.

Au sud, le point d'intersection avec les communes de Montels et Nissan-lez-Enserune est un quinquepoint délimitant aussi les communes de Cuxac-d'Aude et Coursan, toutes deux dans le département de l'Aude[1].

Communes limitrophes

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Hameaux et lieux-dits

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  • le Viala ;
  • le Petit Saint Nazaire ;
  • le Petit Saint Nazaire le Bas ;
  • le Grand Saint-Nazaire ;
  • La Bastide Vieille ;
  • la Bastide Neuve ;
  • Bel Air ;
  • la Provenquière ;
  • Baboulet ;
  • Longuet ;
  • l'Ale ;
  • le Bosc ;
  • Guéry ;
  • Sibadiès ;
  • Sélicate ;
  • Aureille ;
  • Pain de Sucre ;
  • la Borie Blanche ;
  • l'Espitalet ;
  • la Fourcade ;
  • Saint Julien.

Relief et Géologie

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Paysage dans la commune

Hydrographie

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Située à 20 mètres d'altitude, la rivière « la Quarante » est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Capestang. Elle est, avec les crues de l'Aude, la principale source d'approvisionnement en eau de l'étang.

L'étang de Capestang, dont le niveau varie selon les saisons, est une zone humide d'une grande qualité écologique, qui accueille notamment de nombreuses espèces d'oiseaux nicheurs. Il est classé Natura 2000 et ZPS (Zone de protection spéciale).

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 595 mm, avec 5,1 jours de précipitations en janvier et 2,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lespignan à 11,99 km à vol d'oiseau[4], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 604,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

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La commune est située sur la route départementale 11 reliant Béziers à Carcassonne par l'intérieur, en dédoublement de la route nationale 113 et de l'autoroute A9. Des routes secondaires relient Capestang à Puisserguier au nord, Quarante au nord-ouest, Cuxac et Narbonne au sud, Maureilhan au nord-est, Nissan-lez-Ensérune au sud-est. L'échangeur de Béziers-sud, sur l'autoroute A9, est à 18 kilomètres.

La commune est traversée par le canal du Midi, qui, après de larges méandres à l'ouest, contourne le village par le nord. Il est navigable, et peut être suivi à pied ou à vélo par le chemin de halage. Le pont de Capestang, sur le canal, définit la taille maximum des bateaux pouvant emprunter le canal car il est le plus bas du canal.

L'ancienne ligne de chemin de fer reliant Capestang à Colombiers, sur la ligne de Béziers à Narbonne, est fermée à tout trafic. La gare la plus proche est celle de Nissan-lez-Ensérune, mais seuls quelques TER la desservent. La gare de Béziers est par contre largement desservie.

L'aéroport de Béziers - Vias, à 12 kilomètres à l'est de Béziers, est desservi par la compagnie Ryanair.

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux :, d'un intérêt écologique exceptionnel notamment en ce qui concerne l'étang et sa phragmitaie (roseaux). L'avifaune est particulièrement riche et intéressante en raison du type de végétation en place (grande étendue de roseaux) et de l'isolement des lieux. Il accueille de très nombreuses espèces nicheuses dont certaines justifient plus particulièrement la proposition de ce site en tant que site d'intérêt communautaire : le Butor étoilé, le Rollier d'Europe[9], d'une superficie de 1 374 ha, d'un intérêt écologique exceptionnel notamment en ce qui concerne l'étang et sa phragmitaie (roseaux). L'avifaune est particulièrement riche et intéressante en raison du type de végétation en place (grande étendue de roseaux) et de l'isolement des lieux. Il accueille de très nombreuses espèces nicheuses dont certaines justifient plus particulièrement la proposition de ce site en tant que site d'intérêt communautaire : le Butor étoilé, le Rollier d'Europe[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[11] : le « coteau de Cibadiès » (42 ha)[12] et les « étangs de Capestang et de Poilhes » (759 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans l'Hérault[13] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[11] : la « Basse plaine de l'Aude et étang de Capestang » (7 120 ha), couvrant 10 communes dont quatre dans l'Aude et six dans l'Hérault[14].

Au , Capestang est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Capestang[Note 4], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (69,7 %), zones humides intérieures (12,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), terres arables (6 %), zones urbanisées (2,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Capestang est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal du Midi et la rivière de Quarante. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 1996, 1999, 2014 et 2019[18],[16].

Capestang est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Capestang.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 518 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 518 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Cadastre napoléonien : plan de la section de l'Étang (1809).

Attestée sous la forme Caput stanio en 862.[réf. nécessaire]

Capestang tient son nom du latin caput stagni, soit « tête de l'étang », en raison de sa situation à la pointe nord d'un étang, aujourd'hui partiellement asséché, dénommé étang de Capestang. La forme languedocienne Cabestanh [ka.βes.'tan] correspond exactement au nord-occitan Chabestanh (Chabestan) et au catalan Cabestany.[réf. nécessaire]

Dans l'Antiquité, les marais voisins étaient traversés par le Pont Serme romain, long de 1500 mètres. Le pont transportait la Via Domitia à l'approche de Narbonne lors de son voyage stratégique vers le sud vers l'Espagne. Le nom de la ville dérive de caput stagnum - en référence au fait que la ville était située à la tête d'un grand étang.

Les archevêques de Narbonne ont construit leur résidence d'été dans la ville - il reste d'importants vestiges, notamment du palais avec un plafond du XVe siècle - et on y trouve une impressionnante collégiale (XIIe-XVe siècles avec vestiges antérieurs) dont la tour massive domine la campagne environnante. à ce jour.

Le canal du Midi passe également juste au nord de la ville alors qu'il serpente de l'Aude à l'Hérault.

Les armées croisées passèrent la ville après le sac de Béziers en 1209 en route vers Carcassonne - et en 1356 le Prince Noir atteignit l'extrémité orientale de sa vaste chevauchée, après avoir levé le bref siège de Narbonne, où il brûla le bourg, et ayant permis ses troupes pour endommager le village voisin d'Ouveillan. Capestang, comme Cuxac d'Aude et d'autres villages, a peut-être payé pour être épargné du sort d'Ouveillan - ou bien il a eu des défenses plus robustes ou a été sauvé par l'annonce de l'arrivée imminente d'une grande armée venant de Beaucaire.

Il y a une plaque sur la place aux otages de la résistance abattus par les SS le 9 août 1944 (3 jours après le jour J).

Héraldique

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Les armes de Capestang se blasonnent ainsi :

« parti, au premier d'argent à une aigle essorante de sable de profil, la tête contournée, la patte dextre levée, au deuxième d'argent à un lion de gueules ».

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1884 1886 Hypolite Fournes    
1886 1888 Jean Portes    
1888 1892 Paul Lamur    
1892 juin 1902 Pierre Theron    
juin 1902 août 1902 Léon Cormureau    
août 1902 1941 Jean Casamia    
1941 1944 Gustave Maurel    
1944 1944 Jean Casamia    
1944 1945 Camille Bellot    
1945 1946 Raoul Dean    
1946 1953 René Barthes    
1953 1971 Louis Couissy SFIO-DVG Propriétaire viticole
1971 mars 1977 (décès) Fernand Vidal PS Technicien TPE, conseiller général
mars 1977 mars 2001 Bernard Nayral PS Député, conseiller général
mars 2001 mars 2014 Claude Guzovitch SE Président du SIVOM d'Ensérune
mars 2014 En cours Pierre Polard[23] PS puis LFI[24]
puis SE puis L'Après[25]
Ingénieur conseil
Vice-président de la communauté de communes Sud-Hérault et
vice-président du SIVOM d'Ensérune

En 2018, la commune compte 1 416 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 3 128 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 650 [I 6] (20 330  dans le département[I 7]). 41 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (45,8 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 9,6 % 11,7 % 12,1 %
Département[I 9] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 865 personnes, parmi lesquelles on compte 75,5 % d'actifs (63,4 % ayant un emploi et 12,1 % de chômeurs) et 24,5 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 1 092 emplois en 2018, contre 1 087 en 2013 et 1 099 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 214, soit un indicateur de concentration d'emploi de 90 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,9 %[I 12].

Sur ces 1 214 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 449 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 79,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 12,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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277 établissements[Note 10] sont implantés à Capestang au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 277 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
15 5,4 % (6,7 %)
Construction 36 13 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
78 28,2 % (28 %)
Information et communication 5 1,8 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 10 3,6 % (3,2 %)
Activités immobilières 15 5,4 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
44 15,9 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
46 16,6 % (14,2 %)
Autres activités de services 28 10,1 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,2 % du nombre total d'établissements de la commune (78 sur les 277 entreprises implantées à Capestang), contre 28 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[26] :

  • Domaine Bonfils, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (21 721 k€)
  • Les Domaines Des Marins, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (20 714 k€)
  • Ludi, supermarchés (17 300 k€)
  • Rysba, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m² et plus) (3 167 k€)
  • Gomez, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (1 275 k€)

L'économie du village est surtout basée sur l'agriculture, la viticulture, des oliviers et des champs. Vins du Pays des coteaux d'Ensérune, Sud de France. Son office du Tourisme sur le port canal, le canal du Midi, la collégiale Saint-Étienne, château des Archevêques de Narbonne avec son plafond peint et son musée… Tous commerces, restaurants, hôtel, chambres d'hôtes, camping municipal avec mobile homes et gîte de groupe deux épis 19 places.

Marché traditionnel tous les mercredis et dimanches matin, sur la place Jean-Jaurès.

Agriculture

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La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 294 171 135 102
SAU[Note 13] (ha) 2 695 2 837 2 838 2 721

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 294 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 171 en 2000 puis à 135 en 2010[29] et enfin à 102 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 65 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[30],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 2695 ha en 1988 à 2721 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 27 ha[29].

Population et société

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Démographie

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Évolution de la population

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 3 318 habitants[Note 15], en évolution de +5,9 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1501 1851 3601 5301 6241 8931 9332 0392 135
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3312 7462 9992 9093 1763 7373 5194 0764 168
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 1874 0124 0104 0534 0284 0393 5412 9622 763
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
3 0193 0142 5482 6752 9033 0073 0103 0103 147
2018 2021 - - - - - - -
3 2733 318-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,1 % la même année, alors qu'il est de 27,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 558 hommes pour 1 715 femmes, soit un taux de 52,4 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,24 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 17]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
2,9 
10,1 
75-89 ans
12,1 
20,0 
60-74 ans
17,4 
21,9 
45-59 ans
22,7 
15,0 
30-44 ans
16,0 
13,8 
15-29 ans
12,7 
17,7 
0-14 ans
16,1 
Pyramide des âges du département de l'Hérault en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,9 
75-89 ans
9,9 
17,2 
60-74 ans
18,3 
18,9 
45-59 ans
18,8 
18,3 
30-44 ans
17,8 
19,3 
15-29 ans
17,9 
17,5 
0-14 ans
15,3 

Enseignement

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  • École Maternelle ;
  • École Primaire François Mitterrand ;
  • Collège Paul-Bert de Capestang ;
  • Lycée L.E.A.P Les Buissonnets ;
  • École de Musique inter communale ;
  • Harmonie municipale Capestang St Chinian.
  • Un cabinet Municipal de Santé avec 3 médecins ;
  • Un cabinet médical, où il y a des infirmiers, kinésithérapeute et podologue ;
  • Deux médecins généralistes, un dentiste, un opticien et deux pharmacies.
  • Hand ball ;
  • Tennis ;
  • Skate ;
  • Pétanque ;
  • Danse ;
  • Judo ;
  • Boxe ;
  • Marche ;
  • VTT.

Culture locale et patrimoine

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Canal du midi à Capestang.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Delphine Christophe et Thierry Dubessy, La restauration de la façade sud du château de Capestang, Hérault, Montpellier, Direction régionale des affaires culturelles du Languedoc-Roussillon, coll. « Duo », , 32 p.
  • Catherine Ferras et Jean-Michel Sauget, Capestang : histoire et inventaire d'un village héraultais, Saint-Chinian, Syndicat mixte du Pays Haut Languedoc et Vignobles, , 199 p.
  • Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives communales de Capestang, Montpellier, Mission Archives 34, , 184 p.
  • Raymond Rey, « Capestang », dans Congrès archéologique de France : CVIIIe session tenue à Montpellier en 1950 par la société française d'archéologie, t. 108, Paris, Société française d'archéologie, , 233-240 p.
  • Émile Viales, Histoire de Capestang (Hérault), Capestang, Mairie, , 98 p.
  • Rémy Pech, Entreprise viticole et capitalisme en Languedoc-Roussillon, publications de l'Université de Toulouse-Le Mirail, 1975.
  • Dictionnaire Capestanais, Monique-Marie Ihry et Bruno Salgues, Cap de l’Étang Éditions, Capestang, France, nouvelle édition 2024, (ISBN 978-2-37613-080-2)

Fonds d'archives

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  • Série : Délibérations consulaires et municipales (1681-1984) [31 registes]. Fonds : Archives communales de Capestang; Cote : 1 MI 905. Capestang : Mairie de Capestang (lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[8].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
  15. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Capestang », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Capestang ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béziers », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Capestang » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Capestang » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Capestang » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Capestang » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
  17. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Capestang (34052) », (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Capestang et Lespignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lespignan » (commune de Lespignan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lespignan » (commune de Lespignan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Capestang », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « site Natura 2000 FR9112016 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Capestang », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF le « coteau de Cibadiès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF les « étangs de Capestang et de Poilhes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « Basse plaine de l'Aude et étang de Capestang » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Capestang », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Capestang », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Un deuxième mandat pour Pierre Polard, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
  24. De 2017 à 2023 : « Militant PS au départ, Pierre Polard a rejoint La France insoumise en 2017 » [1], [2]
  25. L'Après : Ils nous ont rejoint
  26. « Entreprises à Capestang », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  27. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  28. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  29. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Capestang - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Hérault (34) », (consulté le ).
  36. « Eglise Saint-Etienne », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).