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Chars

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Chars
Chars
L'église.
Blason de Chars
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité Communauté de communes Vexin Centre
Maire
Mandat
Évelyne Bossu
2020-2026
Code postal 95750
Code commune 95142
Démographie
Gentilé Charsiens
Population
municipale
2 028 hab. (2021 en évolution de −3,7 % par rapport à 2015)
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 41″ nord, 1° 56′ 17″ est
Altitude 69 m
Min. 55 m
Max. 174 m
Superficie 16,71 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontoise
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chars
Liens
Site web https://mairiechars95.fr/

Chars est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Chars se trouve dans le périmètre du parc naturel régional du Vexin français.

Géographie

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Localisation

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Chars est située à 18 km au nord-ouest de Pontoise, à 15 km au nord-est de Magny-en-Vexin et à 21 km au nord-ouest de Cergy-Prefecture.

Bourg de la vallée de la Viosne, dans le Vexin français (partie ouest du département du Val-d'Oise), Chars est limitrophe du Bellay-en-Vexin et de Nucourt à l'ouest, de Bouconvillers et de Lavilletertre au nord, de Neuilly-en-Vexin et Marines à l'est et de Brignancourt et Moussy au sud.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Chars est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la route départementale 915 (ancienne RN 15) qui relie Pontoise à Gisors et à Dieppe.

La D 188 passe au centre du village et mène vers le sud-ouest à Nucourt et vers le nord-est à Arronville.

Transports en Commun

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Sur le plan ferroviaire, la gare de Chars se trouve sur la ligne J du Transilien qui relie la gare de Paris-Saint-Lazare à celle de Gisors (ligne de Pontoise à Dieppe). Un service de bus (ligne du Vexin 95.08) permet de rejoindre la gare de Cergy-Préfecture.

Trois lignes de bus interurbain du réseau de bus du Vexin s’arrêtent dans le village.

Chars est située sur le tracé du sentier de grande randonnée GR 11.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Clars en 1078, Chartz en 1176[12].

Peut-être de la racine pré-celtique *kar mise en évidence par les linguistes et qui est présente dans la désignation de buttes rocheuses, de lieux pierreux ; notons, que dans le département du Val-d'Oise, à Chars comme à Chérence, la présence de carrières de pierre[13].

Fief des d'Aumont, comme Aumont et Méru, Chars passe par mariage aux Rouville[14] de Villiers-Cul-de-Sac, puis aux La Guesle de Loreau, avec succession chez les La Châtre de Nançay (Henri, né en 1574, sire de Sigonneau, de Neuvy et de Bridoré, 1er comte de Nançay), et les Séguier d'Ô (Pierre III) qui transmettent eux-mêmes aux d'Albert de Luynes.

Chars a absorbé Bercagny entre 1790 et 1794. La commune a alors porté le nom de Chars-et-Bercagny jusqu'en 1800, année durant laquelle elle a repris son ancien nom.

Politique et administration

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Intercommunalité

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La commune, initialement membre de la communauté de communes Val de Viosne, est membre, depuis le , de la communauté de communes Vexin centre.

En effet, cette dernière a été constituée le par la fusion de la communauté de communes des Trois Vallées du Vexin (12 communes), de la communauté de communes Val de Viosne (14 communes) et de la communauté de communes du Plateau du Vexin (8 communes), conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d'Oise approuvé le 11 novembre 2011[15].

Liste des maires

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La mairie de Chars.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1935 1947 Fernand Maurey FFI Officier de la Légion d'honneur
1947 1953 Henri Guidard    
1953 1959 Louis Saint-Germain    
1959 1960 Maurice Clément    
1960 1965 André Beaulieu    
         
1969 1971 Agnès Delmotte    
1971 1971 Jacqueline Martin    
1971 mars 1983 André Strugen    
mars 1983 juin 1995 Joseph Wester    
juin 1995 mai 2020 Danièle Roux DVG Comptable retraitée
4e vice-présidente de la CC Vexin centre (2014 → 2020)
mai 2020 En cours
(au 26 mai 2020)
Évelyne Bossu DVD Fonctionnaire
Ancienne conseillère générale du canton de Marines (2013 → 2015)

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

En 2021, la commune comptait 2 028 habitants[Note 2], en évolution de −3,7 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9529541 0341 0951 1551 0651 0191 0301 010
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0251 0081 3039159471 0091 0471 0531 072
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0531 0341 1281 0571 0281 0801 0571 1921 291
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 2631 2661 4351 3291 5191 7211 7141 7661 783
2014 2019 2021 - - - - - -
2 0812 0462 028------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune de Chars dépend de l'académie de Versailles et ses écoles de l'Inspection académique du Val-d'Oise. Concernant le calendrier des vacances scolaires, Chars est en zone C. Chars possède trois établissements publics: une école maternelle (Les Tournesols, 65 élèves à la rentrée 2012[20]), une école primaire (les Tournesols, 115 élèves à la rentrée 2012[21]) et un lycée professionnel (le lycée professionnel du Vexin[22]). L'école des Tournesols a ouvert ses portes en 1970, le lycée professionnel en 1976. Il existe aussi une Maison d'Enfants à Caractère Social, « Vie P L'enfance La Viosne » gérée par la fondation « La Vie au grand air ».

  • Agriculture.
  • Minoterie : Les Moulins de Chars[23] (groupe Maurey).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monuments historiques

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Intérieur du chœur.

Chars ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

Cette église, parmi les 934 premiers édifices classés monuments historiques dans l'histoire française, a été construite entre 1160 et 1230 et témoigne de la transition de l'architecture romane vers le gothique. La haute nef de quatre travées est la première partie construite. Le portail occidental possède une archivolte plein cintre faite de moulures toriques et prismatiques et de minces cordons. Cette archivolte est plus large que la porte et ne prend pas appui sur des colonnettes à chapiteaux, comme c'est fréquemment le cas. En dessus du portail, une baie plein cintre éclaircit la nef, cantonnée de fines colonnettes à chapiteaux et flanquée de deux petites arcades décoratives, l'ensemble étant surmonté d'un gâble à peine saillant. Les bas-côtés possèdent également une baie chacun sur la façade occidentale, entourées de tores et cantonnées de colonnettes à chapiteaux. L'archivolte, semblable à celle de la baie haute de la nef, prend appui sur un larmier. En haut, le pignon est percé d'un oculus cerné de tores. Les contreforts se retraitent par trois fois et présentent une silhouette en cascade peu prononcée. La nef est suffisamment haute pour laisser la place à des fenêtres hautes sur les façades latérales. Le clocher se situe à l'emplacement de la quatrième travée du bas-côté sud. De style Renaissance, il a été dessiné par Pierre et Nicolas Le Mercier et exécuté à partir de 1520 par les artisans Gilles Vivian et Jean Bretel, tous de Pontoise. Ce clocher volumineux et dépourvu de flèche est ajouré d'une baie abat-son par face au niveau du premier étage, et de deux baies au second étage, surmontées par des frontons respectivement triangulaires et en arc de cercle. Les contreforts strictement verticaux sont entrecoupés par des entablements moulurés en haut de chacun des trois niveaux, avec, peu avant leur sommet, une frise se poursuivant sur les faces du clocher. Une tourelle d'escalier octogonale flanque le clocher au sud et monte jusqu'au début de second étage. Le transept a la même hauteur que la nef, et ses deux façades sous pignon comportent trois baies superposées, la première plein cintre et les autres ogivales. Au sud, le rez-de-chaussée est toutefois obstrué par la sacristie, et la baie supérieure a été remplacée par une grande rosace. Les contreforts ont quatre glacis intermédiaires. Quant au chœur en hémicycle à déambulatoire, il aurait été inspiré par l'abbatiale de Saint-Germer-de-Fly. Ce chœur est à sept pans et comporte trois chapelles rayonnantes du XVIe siècle, celles d'origine ayant disparu. L'intérieur s'organise sur quatre niveaux : déambulatoire, triforium, oculi et rosaces sans jour par l'extérieur et fenêtres hautes à lancette simple. Les murs du chœur sont consolidés par six arcs-boutants dans la prolongation des contreforts du déambulatoire[25],[26].

Autres éléments du patrimoine

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Cette longue maison sans étage avec des lucarnes aux frontons sculptés ne date que du XVIIIe siècle, mais succède à une fondation de 1371 par le seigneur de Chars, Pierre Ier d'Aumont. Au XIXe siècle, le bâtiment a abrité une école de filles desservie par des religieuses[27]. Dans sa biographie de Saint-Vincent de Paul (Artège, 2017), le professeur italien Luigi Mezzadri évoque le passage régulier des Filles de la Charité, fondées par Louise Marillac, dans l'Hôtel Dieu de Chars en 1647. "Le cadre de vie des Sœurs dans les villages est très clair dans la pensée de Louise : une Sœur pour l'école, et l'autre pour la visite des malades. Ainsi, à Chars, Sœur Marie s'occupe de l'enseignement et Sœur Clémence de la visite des malades, dans les hôpitaux ou à domicile, sans pour autant que ce soit interdit à l'autre" (page 70).
  • Statue de la Vierge sur un globe terrestre[27].
  • Ferme du Bois-Franc, en écart à l'ouest de la ville, près de la RD 188.
Elle possède un colombier-porche en bâtière d'un millier de boulins. Bien d'une abbaye avant la Révolution française, la ferme devient ensuite la propriété de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris[27].
  • Oratoire du Bois-Franc, près de la ferme du même nom[27].
  • Colombier-porche d'une ancienne ferme au hameau de Bercagny : il date du XVIIe siècle et a été remanié au XVIIIe siècle. La porte charretière plein cintre est accompagnée d'une porte piétonne basse[27].
  • Croix de Bercagny.
La petite croix en fer est plantée dans un obélisque[27].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Chars Blason
Parti : d'azur au château d'argent à trois tours crénelées, celle du centre plus élevée, ouvert du champ, ajouré et maçonné de sable, accompagné en chef de deux fleurs de lis d'or et en pointe d'une roue de moulin du même.
Détails

Chars au cinéma et à la télévision

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Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Chars », p. 633–637
  • Dr Bonnejoy, « Chars, son histoire, ses hauts barons, son vieux château, son hôtel-Dieu, son église. Bercagny et ses environs », Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Versailles, vol. 9,‎ , p. 168-266 (ISSN 1158-2685, lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Communes limitrophes de Chars » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Chars et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chars ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  13. Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, (lire en ligne), p. 76.
  14. « Famille (Gougeul) de Rouville, p. 4 et 5 », sur Racines & Histoire.
  15. « Schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d'Oise » [PDF], Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ), p. 14-15.
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. « education.gouv.fr/annuaire/95-… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  21. « education.gouv.fr/annuaire/95-… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  22. Lycée professionnel du Vexin
  23. Le site des Moulins de Chars
  24. Notice no PA00080019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Eugène Lefèvre-Pontalis, « L'Église de Chars (Seine-et-Oise) », Bulletin monumental, Paris / Caen, A. Picard / Henri Delesques, vol. 65,‎ , p. 7-29 (ISSN 0007-473X, lire en ligne).
  26. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Chars, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 89-92.
  27. a b c d e et f Séverine Charon, Hénin, Maria Pia Hutin-Houillon, Philippe Oyer et Bruno Sternberger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Chars », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 633-637 (ISBN 2-84234-056-6).

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