Discussion:Allèle
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Question
[modifier le code]allèle ?
je comprends rien.
un allèle c'est un bout de gène ?
- Un allèle par rapport à un gène, c'est pile ou face par rapport à une pièce de monnaie. Est-ce plus clair ainsi ?
- 81.65.27.14 23 septembre 2005 à 17:44 (CEST)
Ouf, pas forcément très clair :)
Pour simplifier, on peut dire :
Soit le gène "couleur des yeux", qui existe en double exemplaire, un sera l'allèle "yeux bleu", l'autre sera l'allèle "yeux vert".
Sihaya 1 octobre 2005 à 00:54 (CEST)
C'est simple un allèle est une version d'un gène.
On a tous les mêmes gènes, ce sont les allèles qui nous différencient.
En plus c'est marqué : "On nomme allèle une variante donnée d'un gène au sein d'une espèce."
Pour information, nous sommes des diploïdes; nous possédons deux fois le même gène.
Un nous vient de la mère, l'autre du père, si les deux gènes sont de version (allèle) différentes l'un est dit dominant et l'autre récessif.
Seul l'allèle dominant code, par exemple si tu possèdes l'allèle yeux marron et l'allèle yeux bleu, tu auras les yeux marron car cet allèle est dominant.
Manque
[modifier le code]Il faudrait rajouter une partie sur le principe de Hardy-Weinberg
(et ce n'est probablement pas la seule chose qu'il faudrait rajouter, cfr version en anglais)
Dominance et récessivité
[modifier le code]Les qualificatifs de dominance et de récessivité s'appliquent (en principe) aux phénotypes et non aux allèles ; Il est d'usage d'appliquer ces qualificatifs aussi aux allèles bien que ce soit une mauvaise pratique, source de confusion (sauf peut-être dans des cas très particuliers de maladies héréditaires).
Erreur majeure
[modifier le code]La première ligne de l'article dit : "On nomme allèle une variante donnée d'un gène". Or cela est faux. Un gène n'est pas suffisant car un allèle concerne aussi une séquence d'ADN sans fonction connue !
- Ce n'est pas une erreur majeure mais un glissement sémantique (évolution ?) du concept d'allèle.
- Cela dit je suis d'accord, une redéfinition clair et sans ambiguïté s'impose !
- KooK (d) 14 avril 2010 à 10:41 (CEST)
Clarifier triploide ou diploide
[modifier le code]La phrase "Dans une cellule triploïde, il y a trois allèles pour chaque gène : un allèle transmis par chaque parent. Les allèles transmis par les parents peuvent être identiques ou non. Chez l'être humain, chaque gène est présent en double exemplaire, l'un provenant du père, l'autre de la mère." porte à confusion. Il faudrait dire: Dans une cellule diploïde, il y a deux allèles pour chaque gène, un allèle transmis par chaque parent. Chez l'être humain, chaque gène est présent en double exemplaire, l'un provenant du père, l'autre de la mère, dans les cellules dites somatiques qui sont diploïdes (c'est à dire toutes les cellules à l'exception des cellules reproductrices ou gamètes, spermatozoïdes et ovocytes). Dans les cellules reproductrices ou gamètes qui sont haploïdes, un seul allèle est présent (loi de Mendel dite de ségrégation ou pureté des gamètes) puisque au cours de la méiose il y a eu séparation des deux allèles portés par les deux chromosomes homologues.
Article à réécrire ?
[modifier le code]Il semble que l'article ait subi d'importantes et maladroites modifications postérieures à certaines critiques dans la présente page de discussion. Il n'y a plus de définition d'un allèle. Au lieu de ça, l'article commence par la phrase suivante "Au sein d’une même espèce, les génomes des individus sont tous différents, c’est le polymorphisme génétique. Ex : 0,1 % du génome chez l’Homme", qui n'a pas d'intérêt direct pour l'article. (Est-il d'ailleurs certain que les génomes des individus soient tous différents ?) Et que veut dire "Ex : 0,1 % du génome chez l’Homme" ? Article à réécrire vite par un spécialiste.
Hpa (d) 1 août 2013 à 00:15 (CEST)
Exemple
[modifier le code]Je ne sais pas trop me servir de l'outil Wikipédia, cela dit l'exemple de la Wyandotte pour illustrer la codominance est génétiquement totalement faux ! Si on veut garder l'esprit "exemple avicole", il serait plus avisé de montrer une race à crête en noix style Orloff, cette crête est due à la codominance des gènes des la crête en pois (P) et crête rosacée (R).