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Discussion:Médecine nucléaire

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Irathérapie

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L'irathérapie qui est le traitement de pathologies thyroïdiennes par administration d'iode 131, ou d'autres traitement (à l'Ytrium 90) font parties des domaines de compétences de la médecine nucléaire, et c'est aussi de la radiothérapie,... Dissocier les deux est donc, il me semble un raccourci inexacte. -- Message non signé laissé le 28 novembre 2006 à 12:54‎ par 194.167.180.10

La première phrase de cet article précise bien qu'en médecine nucléaire, on utilise des sources radio-actives NON-SCELLÉES. Le sous-ensemble des traitements radio-thérapeutiques qui sont du domaine de la médecine nucléaire se distingue donc en ceci que le radio-isotope sera d'abord absorbé , puis métabolisé.
Ainsi, dans l'exemple donné ci-dessus des traitements de la glande thyroïde à l'I-131, l'iode sera d'abord ingéré de façon orale, capté par les cellules parenchymateuses thyroïdiennes et finalement organifié via les processus de production hormonale thyroïdienne.
En ce qui concerne l'exemple de la synoviorthese à l'Y-90 colloïdal, le radio-isotope, après injection dans la cavité articulaire, devra être phagocyté par les cellules de la membrane synoviale, avant d'exercer leur effet thérapeutique. -- Message non signé laissé le 30 mai 2007 à 06:56‎ par 209.217.79.164
Réponse au premier message : c'est exact. Mais je pense qu'il est possible de distinguer sans problème la radiothérapie externe de la médecine nucléaire (scintigraphie + TEP + radiothérapie interne). Les frontières me paraissent bien établies. Bien sûr, différents articles se recoupent : médecine nucléaire, radiothérapie et radiothérapie métabolique (qui devrait être le plus pointu). Mais chacun me paraît mériter son existance, ne pensez-vous pas ? --Tryonisos (d) 9 janvier 2012 à 20:03 (CET)[répondre]

Formation

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Bonjour, Est-il possible de donner des informations quant à la formation ? Merci. 213.41.211.194 (d) 11 mai 2009 à 11:00 (CEST)[répondre]

La médecine nucléaire est un domaine faisant intervenir plusieurs acteurs, venant de diverses formations  : au minimum médecins spécialiste en médecine nucléaire, manipulateurs en radiologie et secrétaire. Il peut y avoir selon les services (c'est très variable) : radiopharmacien, technicien de laboratoire, physicien médical, radioprotectionniste, ingénieur biomédical, infirmière, aide-soignant, brancardier, femme de ménage, stagiaires...) Personnellement la liste ne me paraît pas très intéressante. Mais je me trompe peut-être. Si vous désirez la placer dans l'article, allez-y. Bien cordialement. --Tryonisos (d) 9 janvier 2012 à 20:03 (CET)[répondre]


Article non sourcé

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Où sont les sources, non d'émission, mais des données présentées? --Bernard Perthuis 26 février 2007 à 20:01 (CET)[répondre]

Liens internes et externes

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Peut-être pourrait-on ajouter quelques liens internes et externes?

Sans vouloir polémiquer, peut-être pourrait-on citer l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire? Peut-être même pourrait-on évoquer les cas graves d'irradiation survenu entre mai 2004 et août 2005 à l'hôpital Jean-Monnet d'Epinal?...

Affaire de l'accident de radiothérapie à Epinal

La radioprotection est une activité différente de la médecine nucléaire même si les services de médecine nucléaire sont assujettis, comme tous les autres utilisateurs de sources radio-actives, aux même lois et règlements.

Pilousky

N.B.: Je sais que c'est tout à fait exceptionnel et non représentatif, mais je pense que l'on doit évoquer tous les aspects, non ?. Je vais faire un tour pour voir ce qu'il en est sur les pages Irradiation et Syndrome d'irradiation aiguë où ces faits on peut-être davantage leurs place (c'est une question).

En tant que nouveau (et simple néophyte sur ces questions), je préfère me contenter de suggérer ces ajouts par respect pour le travail des précédents rédacteurs.

Moins polémique, pourquoi ne pas citer les principaux centres en France?

En fait, l'auteur initial de cet article est canadien... À mon humble avis, une telle énumération serait d'un moindre intérêt, dans la mesure où l'article perdrait son caractère général

-Pilousky

Stéphane P, Discutez avec lui 8 mai 2007 à 11:15 (CEST)[répondre]

attention confusion ! tu parles d'accident de radiothérapie et l'article parle de médecine nucléaire qui est une pratique diagnostique et dont les accidents sont exceptionnels. Il existe déjà un article Syndrome d'irradiation aiguë qui est qualité sur ton sujet. Nguyenld 8 mai 2007 à 11:46 (CEST)[répondre]
La médecine nucléaire comprend aussi des pratiques thérapeutiques, au cours desquelles de fortes doses sont manipulées. Un accident est envisageable. Récemment il y a eu l'histoire du fil d'irridium à Toulouse en curiethérapie. En médecine nucléaire je n'en ai jamais entendu parler mais je trouve la question intéressante. Quelle place accorder à un éventuel incident ? --Tryonisos (d) 9 janvier 2012 à 20:30 (CET)[répondre]

La fin de la médecine nucléaire ?

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Le Monde a publié fin août deux articles sur les difficultés qui va rencontrer la médecine nucléaire faute d'isotope radioactif. Je pense qu'il pourrait être intéressant de parler du problème. Les articles en question ici et . Pamputt 5 septembre 2009 à 23:34 (CEST)[répondre]

Le problème de la fourniture des isotopes a toujours été récurrents, mais probablement pas plus que pour certains médicament. L'article sur le Canada me parait douteux dans son interprétation : les isotopes pour l'imagerie étant à demi vie courte, je doute qu'ils peuvent être importés d'aussi loin. Ils sont toujours produits localement (à moins de quelques heures de leur lieu d'utilisation). Une défaillance des fournisseurs canadiens n'impliqueraient donc que les centres de médecine nucléaire d'une province du Canada. Contrairement à ce qui est affirmé, Le molybdène n'est pas utilisé de manière courante en imagerie. J'imagine qu'il peut être utile dans d'autres circonstances que je ne connais pas (traceur en recherche ou fabrication de certains équipements) mais les deux sources (journalistiques, pas nucléiares) sont inutilisables en l'état sans autre précision Nguyenld (d) 6 septembre 2009 à 11:22 (CEST)[répondre]

En fait d'après ce que je comprends ce n'est pas le molybdène 99 qui est utilisé en tant que tel. Il décroît en Tc-99m qui lui est très utilisé en imagerie médicale. Et c'est le temps de décroissances du Mo-99 en Tc-99m qui permet de le faire transporter dans plusieurs pays. Donc s'il n'y a plus de production de Mo-99 alors on aura une carence en Tc-99m qui lui peut être plus problématique. Pamputt 6 septembre 2009 à 13:20 (CEST)[répondre]