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Franck Riester

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Franck Riester
Illustration.
Franck Riester en 2019.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(5 mois et 17 jours)
Élection 7 juillet 2024
Circonscription 5e de Seine-et-Marne
Législature XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique RE
Prédécesseur Patricia Lemoine

(1 mois)
Élection 19 juin 2022
Circonscription 5e de Seine-et-Marne
Législature XVIe (Cinquième République)
Groupe politique RE
Prédécesseur Patricia Lemoine
Successeur Patricia Lemoine

(11 ans, 4 mois et 27 jours)
Élection 17 juin 2007
Réélection 17 juin 2012
18 juin 2017
Circonscription 5e de Seine-et-Marne
Législature XIIIe, XIVe et XVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP/LR (2007-2017)
LC/UAI (2017-2018)
Prédécesseur Guy Drut
Successeur Patricia Lemoine
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger

(7 mois et 13 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Gabriel Attal
Ministre Stéphane Séjourné
Gouvernement Attal
Prédécesseur Olivier Becht (Commerce extérieur et Français de l'étranger)
Chrysoula Zacharopoulou (Francophonie)
Successeur Sophie Primas (Commerce extérieur et Français de l'étranger)
Thani Mohamed Soilihi (Francophonie)
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement

(1 an, 6 mois et 7 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Gouvernement Borne
Prédécesseur Olivier Véran
Successeur Marie Lebec
Président d'Agir
En fonction depuis le
(6 ans, 3 mois et 9 jours)
Prédécesseur Direction collégiale
Ministre délégué chargé de l'Attractivité et du Commerce extérieur

(1 an, 11 mois et 28 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Jean Castex
Élisabeth Borne
Ministre Jean-Yves Le Drian
Catherine Colonna
Gouvernement Castex
Borne
Prédécesseur Harlem Désir (indirectement, Commerce extérieur)
Successeur Olivier Becht
Ministre de la Culture

(1 an, 8 mois et 20 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Gouvernement Philippe II
Prédécesseur Françoise Nyssen
Successeur Roselyne Bachelot
Co-président du groupe UAI
à l'Assemblée nationale

(1 an, 4 mois et 20 jours)
Avec Stéphane Demilly
Jean-Christophe Lagarde
Législature XVe (Cinquième République)
Prédécesseur Philippe Vigier (groupe UDI)
Successeur Jean-Christophe Lagarde
Maire de Coulommiers

(9 ans, 3 mois et 25 jours)
Élection 15 mars 2008
Réélection 29 mars 2014
Prédécesseur Guy Drut
Successeur Ginette Motot
Biographie
Nom de naissance Franck Alix Georges Riester
Date de naissance (50 ans)
Lieu de naissance 15e arrondissement de Paris (France)
Nationalité Française
Parti politique RPR (jusqu'en 2002)
UMP/LR (2002-2017)
Agir (depuis 2017)
RE (depuis 2022)
Diplômé de ISG
ESSEC
Maires de Coulommiers
Ministres français chargé du Commerce extérieur

Franck Riester, né le à Paris 15e, est un homme politique français.

Il est initialement membre de l'Union pour un mouvement populaire puis des Républicains, dont il est exclu en 2017 en raison de son rapprochement avec la majorité d'Emmanuel Macron. Il devient alors l'un des membres fondateurs du parti Agir, dont il prend la présidence en 2018.

Entre 2007 et 2018, il est député de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne. En 2017, il participe a la création du groupe UDI, Agir et indépendants à l'Assemblée nationale, dont il prend la présidence. Il est par ailleurs maire de Coulommiers de 2008 à 2017 et président de la communauté de communes du Pays de Coulommiers de 2013 à 2017.

Il est nommé en 2018 ministre de la Culture dans le second gouvernement Édouard Philippe. Son parti rejoint à cette occasion la majorité présidentielle.

En 2020, après la nomination de Jean Castex au poste de Premier ministre, il est nommé ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité. En 2022, il est nommé ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement dans le gouvernement Élisabeth Borne. Lors de la deuxième vague de nominations du gouvernement de Gabriel Attal, il retrouve le poste de ministre délégué au Commerce extérieur et à l'Attractivité, élargi à la Francophonie et aux Français de l’étranger, un poste qu'il occupera jusqu'au 21 septembre 2024.

Franck Riester est le fils d'un concessionnaire automobile et d'une monitrice d'auto-école[1].

Il fait ses études à l'Institut supérieur de gestion, il obtient un master spécialisé de management urbain, délivré par l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC)[2].

Carrière professionnelle

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Il commence sa carrière professionnelle au sein d’un grand groupe d’audit, Arthur Andersen[3], où il a Éric Woerth comme supérieur[4] ; il se consacre ensuite au développement de la concession automobile familiale (Riester SA) fondée par son grand-père. Le groupe Riester, qui détient plusieurs concessions automobiles, est dirigé aujourd’hui par Nicolas Bouyer, associé de Franck Riester[4],[1].

Parcours politique

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Jeune militant au RPR en Seine-et-Marne, il est repéré par Guy Drut, député-maire de Coulommiers[4]. En 1995, à 21 ans, Franck Riester est élu au conseil municipal de Coulommiers, sur la liste de Guy Drut[5], et devient quelques semaines plus tard, lorsque Guy Drut est nommé ministre de la Jeunesse et des Sports, conseiller municipal délégué à la jeunesse[4]. En 2001, il est élu adjoint au maire, chargé des finances[4], et devient vice-président de la communauté de communes de la Brie des Templiers.[réf. nécessaire]

Il monte sa propre liste pour les élections municipales de 2008 de Coulommiers, au nez et à la barbe de son mentor, Guy Drut[6]. Guy Drut dira « J'ai la certitude d'avoir été trahi »[7]. D'ailleurs pour les élections législatives de 2012 et la bataille pour le siège de la 5e circonscription, Guy Drut soutiendra Fabien Vallée (divers droite) et dira de Franck Riester : « je n'ai pas confiance en Franck Riester » [8].

À l'issue des élections municipales de 2008, la liste « Ensemble pour Coulommiers » qu’il conduit l'emporte avec 54,8 % des voix. Franck Riester est ainsi élu maire de Coulommiers par le nouveau conseil municipal le [9].

En application du schéma départemental de coopération intercommunale, la communauté de communes de la Brie des Templiers (qui regroupait plusieurs communes de la vallée du Grand Morin autour de Coulommiers) et la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières (qui regroupait des communes rurales de la vallée de l'Aubetin, au sud de Coulommiers) fusionnent le , donnant naissance à la communauté de communes du Pays de Coulommiers. Franck Riester en est élu président le suivant.[réf. nécessaire]

Le , face à une liste Front national et deux listes de gauche, Franck Riester l'emporte une nouvelle fois aux élections municipales à Coulommiers, avec 67 % des voix au premier tour[9], ce qui lui permet d'être réélu par le nouveau conseil municipal le [10],[11]. Il est reconduit dans ses fonctions de président de la communauté de communes du Pays de Coulommiers à l'unanimité le . Lorsque la communauté de communes fusionne avec celle de la Brie des moulins en , Franck Riester est élu président de la nouvelle intercommunalité avec 44 voix en sa faveur et une abstention[12].

Il laisse sa place en 2017 à Ginette Motot, privilégiant le mandat de député de la 5e circonscription[13]. Il laisse ensuite son siège de député à Patricia Lemoine[14] pour entrer au gouvernement en tant que ministre de la Culture.

Alors qu'il est ministre de la Culture, Franck Riester annonce qu'il est tête de liste à Coulommiers pour les élections municipales de mars 2020, mais qu'en cas de victoire, il restera au gouvernement et confiera le rôle de maire à Laurence Picard[15].

À la suite de la décision de Guy Drut de ne pas se représenter aux élections législatives de 2007, l’UMP investit Marie-Claire Carrère-Gée, secrétaire générale adjointe de l'Élysée. Face à ce « parachutage », des élus locaux soutiennent la candidature de Franck Riester dans la cinquième circonscription de Seine-et-Marne[4],[16]. Marie-Claire Carrère-Gée choisit finalement de se retirer[16], laissant la place à Franck Riester. Le , il est élu député pour la XIIIe législature avec 58,95 % des suffrages face à la socialiste Marie Richard[5],[17], après avoir rassemblé 48,58 % des voix au premier tour[17]. Lors de la séance du mardi , durant laquelle se tient l'élection du président de l'Assemblée nationale, Franck Riester est l'un des six secrétaires de séance, étant l'un des benjamins du Parlement[5],[18]. Il est également le benjamin du groupe UMP pour cette législature[5].

Franck Riester est candidat à un deuxième mandat de député lors des élections législatives de 2012 sous l'étiquette UMP (qui deviendra Les Républicains en 2015). Il arrive en tête du premier tour avec 37,2 % des suffrages[19], devant la maire socialiste de Mouroux[20] Élisabeth Escuyer (31,4 %) et le frontiste Robert Claus (18,2 %)[19]. Le , Franck Riester est réélu pour la XIVe législature avec 55,98 % des voix face à Élisabeth Escuyer[21]. Il est membre de la Commission des affaires culturelles et de l'éducation de l'Assemblée nationale.

Candidat à sa réélection lors des élections législatives de 2017, il l'emporte et adhère le au groupe Les Républicains constructifs, UDI et indépendants, dont il devient l'un des co-présidents[22].

Dès son premier mandat parlementaire, Franck Riester est nommé rapporteur du projet de loi Hadopi 1 et Hadopi 2[23]. De à , il est membre du collège de l'Hadopi [24]. Marcel Rogemont lui succède, nommé à son tour par le Président de l'Assemblée nationale[25].

Sur les questions culturelles, il remet, le , au ministère de la Culture, un rapport sur la « création musicale et diversité à l’ère numérique ». Écrit notamment avec Alain Chamfort et Daniel Colling, ce rapport préconise la création d’un Centre national de la musique pour notamment rationaliser les dispositifs d’aide existants. Il évalue le supplément d’aides nécessaires à 95 millions d'euros qui pourrait être financé par un prélèvement sur la taxe sur les services de télévision (TST). Il prend notamment position en faveur d'un rassemblement des sociétés de l'audiovisuel public en un groupe unique, dès la rentrée 2015 [26]. Franck Riester est par ailleurs désigné membre de la Commission ad hoc de réflexion et de propositions sur le droit et les libertés à l'ère numérique installée par le Président de l'assemblée nationale entre et [27].

En , il est réélu député face à un candidat Front national[28].

Cadre de l'UMP puis de LR

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Franck Riester est responsable des jeunes RPR de Seine-et-Marne pendant ses études. Il est nommé directeur de campagne par Guy Drut pour les élections législatives de 2002.

En 2009, il est le directeur national de la campagne des élections européennes pour la majorité présidentielle à l'UMP[29]. Il occupe la même fonction pour les élections régionales françaises de 2010.

En 2011, il est nommé secrétaire national de l'UMP chargé de la communication, puis intègre la cellule « riposte » de l'UMP en [30], qui est chargée de défendre le bilan de Nicolas Sarkozy avant son entrée officielle en campagne.

Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, il est porte-parole adjoint de Nicolas Sarkozy[31].

À l'occasion du congrès de l'UMP de , il apporte son soutien à Jean-François Copé pour l'élection à la présidence du parti et s'engage en faveur de la motion « France moderne et humaniste » (FMH), conduite par Jean-Pierre Raffarin, Luc Chatel et Jean Leonetti. Jusqu'alors porte-parole de FMH, il en devient en le secrétaire général[32].

En , dans le cadre de la direction « partagée » entre Jean-François Copé et François Fillon, il devient, comme onze autres personnalités, secrétaire général adjoint de l’UMP, en plus du tenant du poste, Marc-Philippe Daubresse[33].

Il soutient Bruno Le Maire pour le premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016[34]. En , il est nommé avec cinq autres personnalités porte-parole de sa campagne de la primaire[35]. Au second tour, il apporte son soutien à Alain Juppé[36], qui est battu par François Fillon. Pendant la campagne présidentielle, l’affaire Fillon lui fait retirer son soutien au candidat de la droite[37].

Fondation d’Agir

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En , à la suite de l'élection d'Emmanuel Macron à l’Élysée, Frank Riester se positionne comme un allié potentiel du nouveau président alors que son ami Bruno Le Maire rejoint le gouvernement Philippe. En , réélu député, il refuse de s’opposer de façon systématique au gouvernement et participe à la création du groupe UDI, Agir et indépendants au sein de l'Assemblée nationale. Le , Franck Riester est exclu du parti Les Républicains, envers lequel il se montrait de plus en plus critique[38]. En , il participe à la création du parti Agir, dont il prend la présidence l’année suivante[réf. nécessaire].

Ministre de la Culture

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Dans le cadre du remaniement du , Franck Riester est nommé ministre de la Culture, remplaçant Françoise Nyssen. Le journaliste Laurent de Boissieu estime alors que « de par ses votes parlementaires – pour la déclaration de politique générale d’Édouard Philippe en juillet 2017 puis pour le budget 2018 –, Franck Riester avait déjà rallié la majorité »[39].

En , il annonce un projet de réforme de l'audiovisuel public visant à créer une société mère, baptisée « France Médias », regroupant France Télévisions, Radio France, France Médias Monde (RFI et France 24) et l’INA[40],[41]. Il annonce également le lancement d'une nouvelle autorité administrative indépendante, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM), qui serait le résultat d’une fusion entre le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) et de l'Hadopi[42]. Il prévoit également la mise en place d'une troisième coupure pub pour les films durant plus de 90 minutes[43].

Alors ministre de la Culture, Franck Riester annonce qu'il est tête de liste à Coulommiers pour les élections municipales de mars 2020, mais qu'il restera au gouvernement en cas de victoire et confiera le rôle de maire à Laurence Picard[15].

Le , il devient le premier membre du gouvernement français à être diagnostiqué positif au coronavirus de la Covid-19, au cours de la pandémie de 2019-2020[44].

Ministre chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité

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, Franck Riester, ministre délégué chargé du Commerce extérieur, visite le Centre spatial de Cannes - Mandelieu[45]. De gauche à droite : Hervé Derrey, PDG de Thales Alenia Space ; Franck Riester ; Éric Imbert, vice-président de Thales Alenia Space, en charge de l’international ; Anne Frackowiak-Jacobs, sous-préfète de Grasse et David Lisnard, maire de Cannes.

Le , après la nomination de Jean Castex au poste de Premier ministre, il est nommé ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, et laisse son poste de ministre de la Culture à Roselyne Bachelot[46].

Il est reconduit à son poste dans le gouvernement Borne[47]. En parallèle, en juin 2022, il est réélu député face au candidat du RN avec 53,21 % des voix[48].

Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement

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Le , il est nommé ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement dans le gouvernement d'Élisabeth Borne[49].

Ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger

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Le 8 février 2024, il est nommée ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger dans le gouvernement de Gabriel Attal. Ainsi, il retrouve les compétences liées au commerce extérieur et à l'attractivité mais s'y ajoutent la francophonie et les Français de l'étranger.

Retour à la députation

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En , il est réélu député face à un candidat de l'union de l'extrême droite à 54,40 %[50]. Il n'est pas reconduit dans le gouvernement Michel Barnier et redevient donc député.

Vie personnelle

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En 2011, il est l'un des premiers cadres à droite à rendre publique son homosexualité[1],[51],[52].

Prises de position

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Il se déclare favorable au mariage homosexuel lors d'un débat organisé en 2011 à l'Assemblée nationale[53],[54]. En , il dit publiquement que son homosexualité « n'est pas un secret »[55], bien que soulignant qu'il refuse de communiquer sur sa vie privée[55]. En , lors de la discussion concernant la loi pour le mariage pour tous discutée à l'Assemblée nationale, Franck Riester est l'un des deux députés UMP, avec Benoist Apparu, à déclarer publiquement qu'il soutient le projet de loi du deuxième gouvernement Jean-Marc Ayrault, et à voter en faveur du projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe. Il se prononce également en faveur de la procréation médicalement assistée (PMA)[56].

Le , dans le cadre du projet de réforme des retraites, il convient que les femmes seront plus pénalisées que les hommes par cette réforme[57],[58],[59],[60].

Détail des mandats et fonctions

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Au gouvernement

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  • -  : ministre de la Culture
  • -  : ministre chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité
  • -  : ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement
  • -  : ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité, de la Francophonie et des Français de l’étranger

À l’Assemblée nationale

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Au niveau local

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  • -  : conseiller municipal de Coulommiers (Seine-et-Marne)
  • -  : vice-président de la communauté de communes de la Brie des Templiers
  • -  : adjoint au maire de Coulommiers
  • -  : maire de Coulommiers
  • à partir du  : président de l'OPH de Coulommiers[61]
  • -  : président de la communauté de communes du Pays de Coulommiers
  • à partir du  : président du Syndicat mixte de préfiguration du Parc naturel régional (PNR) de la Brie et des deux Morin
  • Président de conseil de surveillance de l'hôpital de Coulommiers[61]

Au sein de partis politiques

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  • -  : secrétaire général adjoint de l'UMP
  • -  : président d’Agir
  • depuis le  : secrétaire général délégué de Renaissance

Synthèse des résultats électoraux

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Élections législatives

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Année Parti Circonscription 1er tour 2d tour
Voix % Rang Voix % Issue
2007 UMP 5e de Seine-et-Marne 25 409 48,58 1er 28 789 58,95 Élu
2012 16 419 37,32 1er 23 168 55,98 Élu
2017 LR 14 343 39,92 1er 20 523 68,89 Élu
2022 Agir (ENS) 11 225 29,27 1er 17 949 53,21 Élu
2024 RE (ENS) 17 923 31,43 2e 30 038 54,40 Élu

Élections municipales

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Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

Année Parti Commune 1er tour 2d tour Sièges obtenus
Voix % Rang Voix % Rang CM CC
2008 UMP Coulommiers 2 411 54,81 1er
26  /  33
2014 3 213 66,97 1er
28  /  33
7  /  7
2020 DVC (Agir-LREM-MoDem) 1 550 58,84 1er
27  /  33
11  /  13

Décorations

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Notes et références

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  1. a b et c Luc Le Vaillant, « Sexus non politicus », sur liberation.fr, (consulté le ).
  2. Carol Isoux, « A Singapour, les écoles de commerce françaises à la conquête de réseaux d’influence », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  3. « Franck Riester », sur Gouvernement.fr (consulté le )
  4. a b c d e et f « Franck Riester fait ses classes au Palais Bourbon », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  5. a b c et d Cyriel Martin, « Mes premiers jours à l'Assemblée nationale », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  6. Par Hugues Tailliez Le 28 février 2008 à 00h00, « Guy Drut démissionne », sur leparisien.fr, (consulté le )
  7. Par Propos recueillis par Hugues Tailliez Le 1 mars 2008 à 00h00, « J'ai la certitude d'avoir été trahi », sur leparisien.fr, (consulté le )
  8. Le 2 juin 2012 à 07h00, « L'ombre de Guy Drut plane », sur leparisien.fr, (consulté le )
  9. a et b http://coulommiers.eelv.fr/IMG/pdf/Deliberations_du_15_mars_2008.pdf
  10. Le Parisien, « Ils vont déjà revêtir l'écharpe tricolore », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. https://www.coulommiers.fr/wp-content/uploads/2015/06/Proces-verbal-du-Conseil-municipal-du-29-mars-2014.pdf
  12. Thomas Baron, « [Pays de Coulommiers] Franck Riester réélu sans surprise », sur lepaysbriard.fr, (consulté le ).
  13. Par Laurie Colinet Le 11 juillet 2017 à 12h18, « Coulommiers : Ginette Motot succède à Franck Riester à la tête de la mairie », sur leparisien.fr, (consulté le )
  14. Alexandre Métivier, « Seine-et-Marne : Franck Riester ministre, Patricia Lemoine devient députée », Le Parisien, (consulté le )
  15. a et b La Rédaction, « Franck Riester, tête de liste aux municipales à Coulommiers », sur Profession Spectacle,
  16. a et b « La chiraquienne Marie-Claire Carrère-Gee se retire », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  17. a et b « Résultats des élections législatives 2007 : SEINE ET MARNE (77) -- 5ème circonscription (résultats officiels) », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « Assemblée nationale - XIIIe législature - 1er jour de séance, Session ordinaire de 2006-2007, Séance du mardi 26 juin 2007 - Compte rendu intégral », sur assemblee-nationale.fr, (consulté le ).
  19. a et b « 5ème circonscription, Franck Riester (UMP) en tête », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  20. Gaël Arcuset, « Franck Riester dans un fauteuil », sur lepaysbriard.fr, (consulté le ).
  21. « Résultats des élections législatives 2012 - ACCUEIL > SEINE ET MARNE (77) > 5ème circonscription », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  22. Tristan Quinault Maupoil, « Franck Riester nommé co-président du groupe des «constructifs» au côté d'un UDI », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  23. Damien Leloup, « Hadopi « respecte les droits de la défense », affirme Riester », sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le )
  24. JORF no 0299 du 26 décembre 2009 page 22372 texte no 129
  25. Décret du 4 février 2016 portant nomination à la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet JORF du 5 février 2016
  26. «Il faut créer une BBC à la française, plurimédias et indépendante du pouvoir», Le Figaro, Interview de F Riester, par Caroline Sallé et Enguérand Renault le 14 septembre 2015
  27. Commission de réflexion sur le droit et les libertés à l’âge du numérique, site de l'Assemblée nationale
  28. Ministère de l'Intérieur, « Élections législatives 2017 », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Franck Riester, benjamin aux dents longues », sur Le Monde.fr (consulté le )
  30. Sophie Huet, « Les députés UMP à la pointe du combat pour 2012 », sur Le Figaro, 31 novembre 2011 (consulté le )
  31. « Cinq choses à savoir sur Franck Riester, pressenti pour entrer au gouvernement », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  32. « Franck Riester, nouveau délégué général des Humanistes de l'UMP », in Le Figaro, encart « Culture », mercredi 9 octobre 2013, page 43.
  33. « Dati, NKM, Peltier ou Riester  : à l’UMP, chacun cherche encore sa place », sur Nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
  34. Ludovic Vigogne, « Primaire à droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », lopinion.fr, 20 avril 2016.
  35. « Le Maire, l’équipe de «la campagne sans Bruno» », .
  36. « Franck Riester, le porte-parole de Le Maire, refuse de soutenir Fillon et choisit Juppé », lci.fr, 21 novembre 2016.
  37. Anthony Favalli, « François Fillon lâché par une partie de son camp », cnews.fr, 1er mars 2017.
  38. « Cinq membres pro-Macron, dont Edouard Philippe, exclus par Les Républicains », sur lci.fr, (consulté le )
  39. Laurent de Boissieu, « Franck Riester, la poursuite de l’ouverture au centre droit », sur la-croix.com, (consulté le ).
  40. « Franck Riester: «France Médias rassemblera les entités de l’audiovisuel public» », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  41. « « France Médias » : l'audiovisuel public bientôt regroupé », Le Point,‎ (lire en ligne)
  42. « Le CSA et l'hadopi regroupés au sein de l'ARCOM », La Lettre Pro,‎ (lire en ligne)
  43. Assemblée Nationale, « Projet de loi nº 2488 relatif à la communication audiovisuelle et à la souveraineté culturelle à l'ère numérique », sur Assemblée nationale (consulté le )
  44. Enguérand Renault, « Franck Riester atteint par le coronavirus, l'examen de loi audiovisuelle maintenu », sur Le Figaro,
  45. Voir communiqué de presse dans CASPWiki
  46. « JORF n°0166 du 7 juillet 2020 - Version initiale - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
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  48. Ministère de l'Intérieur, « Document administratif », sur archives-resultats-elections.interieur.gouv.fr, (consulté le )
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  50. Ministère de l'interieur, « Publication des candidatures et des résultats aux élections Législatives 2024 », sur resultats-elections.interieur.gouv.fr, (consulté le )
  51. Coming-out du député Franck Riester, 6 décembre 2011
  52. Un mouvement gay pro-Fillon va être lancé, lefigaro.fr, 16 mars 2017
  53. Mariage homo: le (bref) débat a eu lieu à l'Assemblée sur tetu.com du 9 juin 2011
  54. Mariage homosexuel: «J’espère que certains de mes collègues UMP voteront aussi ce texte» sur liberation.fr du 9 juin 2011
  55. a et b « Le député UMP Franck Riester fait son coming out », sur leparisien.fr, (consulté le )
  56. Remaniement : Franck Riester, un expert de l'audiovisuel nommé à la Culture, franceinter.fr, 16 octobre 2018
  57. Richard Flurin et Dinah Cohen, « Retraites : le ministre Franck Riester admet que les femmes seront «un peu pénalisées» par la réforme », sur Le Figaro, (consulté le )
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  62. « Article 2 - Décret n° 57-549 du 2 mai 1957 portant institution de l'ordre des Arts et de lettres. - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )

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