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Guy de Mello

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Guy de Mello
(Vénérable Guy)
Image illustrative de l’article Guy de Mello
Biographie
Naissance
Père Guillaume de Mello (d)
Mère Elisabeth (de Mont Saint Jean) (d)
Décès
Évêque de l'Église catholique
Dernier titre ou fonction 61e Évêque d'Auxerre
61e évêque d'Auxerre
60e évêque de Verdun
Autres fonctions
Fonction religieuse
Doyen du chapitre d'Auxerre

(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Guy de Mello, né en 1212 et mort le [1], est un prélat français du XIIIe siècle, évêque de Verdun (1246) puis d'Auxerre (1247)[2].

Guy est un fils de Guillaume Ier de Mello, seigneur de Saint-Bris qui porte le surnom de Porte-paix[3] (voir l'article Dreux), dû à son habitude de régler paisiblement les différends de ses voisins, et d’Elisabeth de Mont-Saint-Jean (Côte-d'Or), famille égale aux Mello en noblesse[4].
Il a pour frère Geoffroy du Mont-Saint-Sulpice[5].

Son grand-père Dreux IV de Mello est connétable de France sous Philippe-Auguste[6],[7].

Thibaud de Champagne est également un parent[8], ainsi que Jean, le puissant seigneur de Seignelay, et Guy de Champlost qui est son beau-frère[5].

Un Guillaume de Mello est abbé de Vézelay à la fin du siècle précédent[réf. souhaitée].

Son goût précoce pour les études le fait quelque peu mal aimer de son père - ce qui le pousse d'autant plus à étudier, le droit et la théologie. Plus tard son trait distinctif est la lenteur de ses prises de décision : il donne en effet un temps de réflexion avant de décider de toute chose ; mais a tendance à la sévérité envers les "méchants"[4]. Il est aussi très protecteur envers les biens de l'Église dont il a la charge, jusqu'à la domination[9].

Doyen à Auxerre puis évêque de Verdun

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Guy de Mello est le doyen actif et apprécié du chapitre de la cathédrale Saint-Étienne d'Auxerre. Il se trouve au concile général de Lyon en 1245 comme député de l’église d’Auxerre, lorsqu’il est appelé à la tête de la principauté épiscopale de Verdun qui avait alors besoin d’un personnage énergique pour soutenir ses intérêts. Il devient évêque de Verdun cette année-là[3].

Évêque d'Auxerre

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À la mort de l'évêque d'Auxerre Renaud de Saligny en 1247, le chapitre d'Auxerre qui l'a vu grandir et a pu apprécier ses connaissances et sa personnalité, élit Guy comme successeur. La translation (de Verdun à Auxerre), deuxième seulement parmi les évêques d'Auxerre[note 1], est agréée par le pape Innocent IV en février[réf. souhaitée] 1247 lors de sa visite en France. Guy rentre solennellement à Auxerre pour son installation juste avant ou au début des fêtes de Pâques 1247[3].

Protecteur des droits suzerains

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Regnaud Rongefer construit

L'année suivante amène la septième croisade, première des deux croisades lancées par Louis IX. Avant leur départ de nombreux nobles dont son père et son oncle Dreux, font leur testament et confient à Guy la charge d'exécuteur. Profitant de leur absence et de celle du roi, le chevalier Regnaud Rongefer, qui s'est déjà fait remarquer quelque 15 ans auparavant par son aliénation de Varzy et de son château épiscopal sous l'évêque Henri de Villeneuve, cherche à s'agrandir : il fait fortifier et élever sa maison, pourtant déjà naturellement bien fortifiée, à Saint-Pierre-du-Mont à seulement 6,5 km au nord-est de Varzy. Mal lui en prend : Guy l'y assiège pendant plusieurs jours, prend la place-forte et fait raser toutes les fortifications tant anciennes que nouvelles. Vindicatif, par la suite Renaud essaie plusieurs fois d'attenter à la vie de Guy, sans succès[10].

Geoffroy de Corbelin construit

La situation se reproduit avec Geoffroy de Corbelin, qui construit à l'emplacement du futur château de Corbelin une bretèche (maison fortifiée en bois) et d'autres dépendances ; mais la comtesse d'Auxerre Mahaut (1188-1257) s'interpose comme médiatrice et un accord est mis en place en sa présence lors d'une rencontre à Coulanges-sur-Yonne le [10].

Mathilde de Courtenay et Hervé de Nevers, visite des châteaux

Il n'en relâche pas pour autant son emprise sur les possessions suzeraines de l'évêché - dont font partie les châteaux de Châteauneuf, Saint-Sauveur, Cosne, Mailly et Betry sur Vermenton, tous appartenant à la même comtesse Mahaut mais dont l'évêché est suzerain. Comme il estime qu'un long temps[note 2] s'est passé depuis que les évêques d'Auxerre sont entrés dans ces châteaux, il contraint par censure ecclésiastique la comtesse à les lui livrer ; il les tient suffisamment longtemps pour avoir le temps de coucher au moins une fois dans chaque château, y laisse des commis pour les garder de sa part, et les rend ensuite à la comtesse sa vassale[11].

Pierre de Bassou construit

Sur la fin de sa vie il contrecarre un autre vassal constructeur : le chevalier Pierre de Bassou, sur Appoigny, contre lequel il obtient un arrêt du parlement en 1269 vers la Toussaint[12].

Eudes de Bourgogne bat monnaie

Il confronte aussi Eudes fils d'Hugues IV duc de Bourgogne et lui-même comte de Nevers, mais non plus pour des constructions. Eudes fait battre monnaie à Auxerre sans l'avoir présenté aux gens d'Église pour leur approbation[13] ; de plus il n'en met pas en circulation plus du dixième de ce qui est nécessaire et interdit formellement, sous de grosses peines, l'usage de toute autre monnaie. Gui envoie notice aux officiers du comte de ce qu'ils ont à comparaître devant lui, notice qui reste sans effet. Gui porte l'affaire devant saint Louis et obtient que la monnaie d'Eudes soit décriée dans la ville par avis royal, et ses fabricants chassés[14].

Présence aux conciles

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Il assiste à la fameuse assemblée tenue à Sens le pour examiner le mariage d'Henri, roi d'Angleterre avec Jeanne de Dammartin, comtesse de Ponthieu.
Dans les années 1250 il passe beaucoup de temps à Paris où il assiste à plusieurs conciles, en 1252, 1253, 1255 et 1256 - les trois derniers de ces conciles concernant les résolutions à prendre à la suite du meurtre du chantre de l'église de Chartres au début de cette période. Il est de ce fait présent à la signature du contrat de mariage entre Louis fils aîné de saint Louis et Bérengère fille du roi Alphonse de Castille[8].

En 1257 le pape le charge de lui rapporter la conduite d'Henri abbé de Saint-Denis. Son rapport amène le renvoi rapide de l'abbé[15].

En 1263 il reproche à saint Louis de ne pas faire saisir les biens de ceux qui, excommuniés, ne se sont pas fait absoudre dans l'année qui suit[16].

Protecteur des droits ecclésiastiques

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Les Templiers de Monéteau donnent à leur chapelle l'allure extérieure d'une église paroissiale et y ajoutent une cloche pour appeler les fidèles ; ils y célèbrent même un mariage. Les demandes de Guy restant sans réponse, il s'adresse à Simon de Brie, cardinal de Sainte-Cécile et légat du pape en France, et obtient satisfaction sur ordre de celui-ci[14].

Les religieux de Pontigny ne font pas la même erreur : ils lui demandent permission, accordée en 1260, de construire la chapelle Saint-Laurent dans leur maison de Saint-Bris. EN 1251 les religieux de Saint-Marien lui demandent d'approuver leur élection d'Etienne, abbé de Saint-Paul de Sens, comme abbé de Saint-Marien - formalité d'autant plus exigée puisqu'il s'agit pour l'abbé d'opérer une translation d'une abbaye à une autre[14].

Le il donne des statuts à la collégiale de Cosne-sur-Loire[14]. Les archiprêtres du diocèse se plaignent de la petitesse de leurs revenus ; il écrit à ce sujet à Clément IV qui permet que les archiprêtres prélèvent 1/3 de la première année de chaque cure de leur district[17].

Expéditions militaires

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Plusieurs fois il paraît à la tête des troupes.
En 1261 il est à la tête d'une armée levée en 15 jours par le pape Urbain IV, contre des barbares dont le chef s'appelle Perceval d'Aurie[16].
En 1265 et 1266 il est en Italie pour la « croisade » contre Mainfroy de Hohenstaufen[18].

La « croisade » d'Italie

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il s'agit d'aider Charles d'Anjou à conquérir ses royaumes de Naples et de Sicile, que le pape a promis à ce dernier à condition qu'il en chasse Mainfroy de Hohenstaufen, fils bâtard l'empereur Frédéric II. Vers la saint Rémi Guy part en Italie sur l'invitation de Clément IV, en compagnie de Bouchard comte de Vendôme, Robert[note 3] comte de Flandre, Jean de Seignelay[note 4] et d'autres nobles[16],[note 5]. Ils vont ensemble à Albe puis à Rome rejoindre Charles d'Anjou et assister à son couronnement. À cette occasion, Guy reçoit le titre de légat du pape. Charles et sa suite se dirigent ensuite sur Bénévent ou est retranché Mainfroy. Ils assiègent la place pour un temps en février avant que Mainfroy ne se décide à livrer bataille. Guy harangue l'armée puis se met à sa tête[19]. Mainfroy meurt au cours de la bataille ; Charles d'Anjou y gagne Naples et la Sicile. Guy retourne à Rome, reçoit les compliments du pape et une bulle datée du touchant les repas des chanoines d'Auxerre[18].

De retour à Auxerre, il repart à Saint-Germain-en-Laye pour les fiançailles de Blanche fille de saint Louis peu de temps après cette année-là[20].

Élévations, translations et visites de reliques

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La cérémonie la plus auguste de son épiscopat est l'élévation du corps de saint Edme à l'abbaye de Pontigny en 1247, en présence de saint Louis et de Blanche sa mère.
Le il est à Noyon (Picardie) pour la visite ou la translation des reliques de saint Éloi[8].

Embellissement des maisons épiscopales

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Guy de Mello fait de très fortes dépenses pour relever et embellir les châteaux de Regennes (sur Appoigny) et de Beauretour, des travaux dont déjà au XVIIIe siècle il ne reste rien.

Évêché d'Auxerre

Il fait bâtir au-dessus des celliers de l'évêché la belle salle du synode, double salle avec des vitrages ornés aux armoiries de l'époque. Il fait ajouter au nord de ce bâti une double chapelle de structure élégante, avec une petite tourelle ; cette chapelle a été détruite avant le XVIIIe siècle. Il fait aussi rebâtir la chambre épiscopale qui donnait sur la cour appelée préau[21], et fait clore tout le côté Est de l'évêché par des murs à créneaux et tourelles. Ces fortifications ont aussi été détruites depuis.

Regennes

Regennes acquiert par lui des murailles de clôture considérablement agrandies et une tour carrée très épaisse en forme de portique. Il fait surélever le château, et y fait de grands aménagements à l'intérieur, ainsi qu'à l'extérieur où il fait planter des vergers et creuser des étangs. Il fait aussi reconstruire les tours sises le long de l'Yonne, qui sont délabrées.

Varzy

Il fait rebâtir les salles et le reste du château de Varzy détruit dans un incendie. Il fait réparer les murs, sur le bord desquels il fait construire des logements.

Villechaul

C'est lui qui fait construire le château de Villechaud[note 6], dont le XVIIIe siècle verra les ruines encore impressionnantes. Il veut par là avoir un lieu de délassement assez proche de la ville et choisit pour cette demeure un terrain en bord de Loire. Cette construction le fait se heurter à Eudes comte de Nevers, sur le même principe que Guy applique envers ses vassaux : empiètement sur les droits suzerains. Mais un arrêt de la Cour donne raison à Gui, qui fait achever les travaux[22] y compris planter de la vigne de la meilleure race[13].

Autres activités

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Guy de Mello crée l'archidiaconé de la Puisaye[réf. souhaitée]. Il fonde un autel dans la Maison-Dieu du cloître du Chapitre. Il établit par testament un droit de préemption sur sa maison de Paris pour une somme de 700 livres, en faveur de l'évêché d'Auxerre - afin que ses successeurs, moyennant cette somme, puissent avoir un pied-à-terre à Paris[23].

Sur la fin de sa vie en 1267, il refuse l'archevêché de Lyon en remplacement de Philippe de Savoie, malgré l'insistance ardue du pape Clément IV qui va jusqu'à le menacer ou du moins prétendre le faire. Guy tient bon. L'affrontement sur l'archevêché de Lyon ne cesse qu'avec la mort de Clément IV le [24]. Ceci semble avoir occupé Guy pour toute l'année 1268 car il n'y a pas d'autre traces d'activité de sa part cette année-là, alors qu'en 1269 il est cité comme établissant un accord entre un homme et son neveu ; 1269 est aussi l'année où il remet à son neveu Dreux III de Mello un dépôt de 2 000 livres de la part d'Isabelle la sœur de Dreux[25].

Il meurt le . Il est inhumé dans le chœur de la cathédrale Saint-Étienne d'Auxerre, aux pieds du vénérable Bernard Ier de Sully[1].

Bibliographie

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  • Jean Lebeuf, Mémoire concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre, vol. 1, , 886 p. (présentation en ligne). Vie de Guy de Mello : pp. 379-399 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Cornat (abbé), Notice sur les archevêques de Sens et les évêques d'Auxerre, Sens, Ch. Duchemin, , 115 p. (lire en ligne).
  • Vaast-Barthélemy Henry, Mémoires historiques sur la ville de Seignelay, département de l'Yonne, depuis sa fondation au VIIIe siècle, jusqu'en 1830 ; précédés de recherches sur l'état du pays au temps des Gaulois et des Romains ; et suivie d'une notice historique sur les communes environnantes, avec les principales pièces justificatives, vol. 1, Avallon, Éd. Comynet, , 369 p. (lire en ligne), avec cartes, plans, blasons et lexique de mots en patois de Seignelay. Les deux volumes sont présentés successivement sur la même page. Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La première translation parmi les évêques d'Auxerre est celle de Guillaume de Seignelay transféré à Paris.
  2. Il n'y a pas si longtemps que les vassaux possédant des châteaux du chapitre d'Auxerre ont dû rendre hommage à leur suzerain. Quarante ans plus tôt Guillaume de Seignelay, évêque d'Auxerre de 1207 à 1220, s'était montré aussi tenace quant au respect des hommages féodaux, envers Hervé de Nevers qui dut lui aussi donner pour un temps les clés des châteaux de Châteauneuf, Saint-Sauveur et Cosne. Le beau-père d'Hervé, Pierre de Courtenay d'Auxerre et de Tonnerre de 1185 à 1219, fit de son mieux pour soustraire Mailly et Betry (sur Vermenton) à l'évêché, allant jusqu'à en faire allégiance à la comtesse de Champagne, mais en vain : Guillaume le poursuivit devant les juges du pape et il dut faire sa soumission pour ces châteaux en 1210. Voir Lebeuf 1743, vol. 1, p. 337.
  3. Robert III de Flandre (v. 1247-1322, dit Robert de Béthune, fils du comte Gui de Dampierre et de Mathilde), a environ 18 ans en 1265. Il n'est pas encore comte de Flandre, titre qu'il ne reçoit qu'en 1305. Par son second mariage en 1272 avec Yolande de Bourgogne comtesse de Nevers, il devient aussi comte de Nevers de 1272 à 1280.
  4. Jean de Seignelay, parent de Guy (voir Lebeuf 1743, vol. 1, p. 188), a fondé la construction de deux chapelles dans son château, dans le même temps que Guy fait son testament (voir Lebeuf 1743, vol. 1, p. 394).
  5. Guy fait son testament en octobre 1265 à l'occasion de son départ pour l'expédition militaire en Italie. Il nomme pour exécuteurs testamentaires Odon évêque de Rouen, son parent Thibaut roi de Navarre, Gui doyen de Saint-Martin de Tours, Pierre préchantre de Sens, Henri de Vézelay et Erard de Lesignes son neveu. Voir Lebeuf 1743, vol. 1, p. 393-394.
  6. Villechaul, de nos jours Villechaud, est à 2 km au sud de Cosne le long de la Loire (voir Lebeuf 1743, vol. 1, p. 433). Construit par Guy de Mello (évêque d'Auxerre 1247-1269), les fortifications du château sont plus tard renforcées par Pierre Aymé, évêque d'Auxerre 1362-1373, après que Jean Germain (évêque d'Auxerre 1247-1269) ait dû payer 80 écus d'or pour récupérer le château du ou des seigneurs laïcs qui l'ont aliéné (voir les articles des évêques cités pour plus de détails).

Références

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  1. a et b Lebeuf 1743, vol. 1, p. 398.
  2. (en) Charles Cawley, « Guy de Mello (-1270) », dans « Burgundy duchy – Auxerre », ch. 2 : « Nobility in Auxerre », section C : « Seigneurs de Saint-Bris (Mello) », sur MedLands – Foundation for Medieval Genealogy (consulté le ).
  3. a b et c Lebeuf 1743, vol. 1, p. 379.
  4. a et b Lebeuf 1743, vol. 1, p. 380.
  5. a et b Henry 1833, vol. 1, p. 188.
  6. Famille Mello sur racineshistoire.free.fr.
  7. La page Guy de Mello sur auxerre.historique.free.fr indique, sans plus de détails, son oncle Dreux IV comme connétable - ce qui semble être une erreur.
  8. a b et c Lebeuf 1743, vol. 1, p. 392.
  9. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 337.
  10. a et b Lebeuf 1743, vol. 1, p. 381.
  11. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 382.
  12. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 381-382.
  13. a et b Lebeuf 1743, vol. 1, p. 385.
  14. a b c et d Lebeuf 1743, vol. 1, p. 386.
  15. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 392-393.
  16. a b et c Lebeuf 1743, vol. 1, p. 393.
  17. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 387.
  18. a et b Lebeuf 1743, vol. 1, p. 393-395.
  19. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 394.
  20. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 395.
  21. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 383.
  22. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 384.
  23. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 397.
  24. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 395-396.
  25. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 396.