Iwiyè Kala-Lobè
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Iwiyè Kala-Lobè, né le 15 ou le 17 novembre 1917 à Douala et mort le 7 octobre 1991 dans la même ville, est un journaliste et chroniqueur camerounais.
Biographie
[modifier | modifier le code]Enfance, éducation et débuts
[modifier | modifier le code]Iwiyè Kala-Lobè est né le 15 ou le 17 novembre 1917. Il refuse, dans les années 30, de devenir médecin africain, répliquant au directeur de l’université de médecine : « Ma vocation, c'est d'être journaliste ! ». Ce qui oblige son grand-père, David Mandessi-Bell, à rembourser sa bourse.
Carrière
[modifier | modifier le code]Il est considéré comme le père du journalisme au Cameroun. Chroniqueur, il a notamment travaillé au ministère de l’Information et de la Communication entre 1961 et 1962. Il écrit pour présence africaine[1]. D'après Henriette Ekwè, on le surnommait IKA et il a inspiré des vocations et ses écrits en français, anglais, pidgin. La célèbre chronique du journaliste, « King Fo Tolly » est un argument de vente dans les échoppes et kiosques à journaux.
Vie privée
[modifier | modifier le code]Marié à Sara Beboi Kutta Kala-Lobè, il meurt le 7 octobre 1991. Suzanne Kala Lobè est sa fille. Il est domicilié à Bali, Douala[2].
Distinctions
[modifier | modifier le code]- Prix de l'Unesco en 2010
Notes et références
[modifier | modifier le code]- https://www.cairn.info/publications-de-Iwiy%C3%A9-Kala-Lob%C3%A9--118459.htm
- « Iwiyè Kala-Lobè: il aurait eu cent ans ! », sur www.cameroon-tribune.cm (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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