Liomer
Liomer | |||||
Église Saint-Pierre. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Somme Sud-Ouest | ||||
Maire Mandat |
Colette Michaux 2020-2026 |
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Code postal | 80430 | ||||
Code commune | 80484 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Liomerois, Liomeroises | ||||
Population municipale |
386 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 99 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 25″ nord, 1° 49′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 99 m Max. 180 m |
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Superficie | 3,89 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Poix-de-Picardie | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liomer est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Située sur la route départementale 211 (RD 211), l'axe Hornoy-le-Bourg-Senarpont, le village se trouve à l'ouest d'Amiens.
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 4 (Blangy-sur-Bresle - Amiens) et la ligne no 32 du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Arguel | Villers-Campsart | |||
Le Quesne | N | |||
O Liomer E | ||||
S | ||||
Beaucamps-le-Vieux | Lafresguimont-Saint-Martin | Brocourt |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par le Liger[Carte 1].
Le Liger, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune de Lafresguimont-Saint-Martin et se jette dans la Bresle à Senarpont, après avoir traversé huit communes[2].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vallée de la Bresle ». Ce document de planification concerne un territoire de 748 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Bresle. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement, de gestion et de valorisation du bassin de la Bresle[3].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 792 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Liomer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,9 %), forêts (38,6 %), prairies (13 %), zones urbanisées (5,5 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Lionmes en 1164 ; Lyonmers en 1249 ; Lyonmes en 1262 ; Liomers en 1262 ; Liomes en 1301 ; Lyommers en 1472 ; Liomers en 1646 ; Lioniers — Lionniers — Liomert en 1648 ; Lioniez en 1657 ; Liommers en 1695 ; Leomer en 1698 ; Liomer en 1757 ; Lihomer en 1761[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Un important incendie a détruit 45 maisons du bourg en [16].
Le bourg est desservi de 1891 à 1948 par la ligne du chemin de fer secondaire du réseau départemental de la Somme, venant d'Amiens, et qui atteint Aumale (Seine-Maritime) en 1901 puis Envermeu en 1906.
- Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Résistance française est très active dans le secteur. Par ailleurs, l'occupant construit des rampes de V1 dans les bois environnants.
Le , les populations de Liomer et Brocourt sont malmenées. Les deux villages sont entourés par des troupes dirigées par des SS, aux premières heures du jour. Les femmes, les personnes âgées et les enfants sont regroupés dans la cour de l'hôtel de ville par l'occupant allemand. Les hommes sont rassemblés sur la place pour être emprisonnés à Amiens. Les villageois qui tentent de fuir sont abattus. L'abbé Michel Lyonneau, parlant allemand, entreprendra des négociations qui permettront la libération des personnes arrêtées[17].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Liomer fut chef-lieu de canton de 1790 à 1802, année à laquelle celui-ci devint le canton de Hornoy-le-Bourg[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois, créée en 2004.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[19],[20]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [21], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[22].
La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [23].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2021, la commune comptait 386 habitants[Note 2], en évolution de −4,22 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés dans un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) géré par un syndicat de communes qui regroupe Daméraucourt, Dargies, Elencourt, Sarnois et Offoy. 81 élèves y sont inscrits en 2018-2019[31].
Le collège le plus proche est le collège Maréchal-Leclerc-de Hauteclocque à Beaucamps-le-Vieux[32].
Vie associative
[modifier | modifier le code]L'association du village, « Le Forestel », propose des activités culturelles (chorale, expositions, concerts, spectacles). En 2016, l'association édite un livre et produit une pièce de théâtre sur la bataille de la Somme, à l'origine de la mort de plus d'un million de soldats[33]. Le livre est un témoignage sur les soldats inscrits sur le monument aux morts de Liomer.
L'association propose également des activités auprès des scolaires[34].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La foire du déparcage, instituée en 1498 par le roi Charles VII, avait lieu traditionnellement le premier week-end de novembre. Depuis 2017, cette foire a lieu le , à l'époque où les moutons quittent leur parcage dans les larris (terme picard qui désigne des pelouses sèches pentues, autrefois utilisées comme pâtures à moutons) pour regagner les bergeries à la mauvaise saison. Il s'agit de l'une des grandes foires de l'ouest amiénois, qui était la vitrine de l'activité agricole du secteur. Avec les mutations de l'agriculture picarde, la foire a évolué pour se structurer autour du retour des moutons, vers 11 h et des expositions thématiques[35],[36].
Animations
[modifier | modifier le code]La fanfare locale effectue ses sorties avec le renfort des formations de Beaucamps-le-Vieux et Hallencourt[37].
Économie
[modifier | modifier le code]La commune a racheté le dernier café du village en 2014 et l'a mis en gestion afin qu'il soit ouvert tous les jours et serve de commerce de proximité, avec restauration rapide, épicerie, dépôt de pain, point pressing, vente de journaux, de tickets à gratter, salle de jeux et dépôt de gaz[38].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre[39]. Elle comprend divers mobiliers liturgiques classés, dont une chaire en bois du XIXe siècle[40]
Son clocher ne comporte pas de cadran en direction de Brocourt : les habitants du village voisin n'ayant pas voulu participer au financement de la construction, ils n'ont pas eu droit à « l'heure gratuite »[41].
-
Façade
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la nef et le chœur
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La chaire
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Monument aux morts de la paroisse
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Fonts baptismaux
- Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours[42], avec fronton et pilastres, inspirée des temples grecs[43].
- Monument aux morts
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Liomer sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Liomer (80484) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- pages 188 à 194 : P.-L. Limichin, "Canton d'Hornoy" in Dictionnaire Historique et Archéologique de la Picardie - Tome 2 - Arrondissement d'Amiens, 458 pages, éd. Société des Antiquaires de Picardie (Fondation Ledieu) - (1912) - Réimpression : Éditions Culture et Civilisation, Bruxelles, 1979.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Liomer » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Sandre, « le Liger »
- « SAGE Vallée de la Bresle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Liomer et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Liomer ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 517 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- « Empire français », Journal de l'Empire, , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
- Patrick Piérard, Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 16 août 2014, p.15.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- E. L., « Géographie politique », Le XIXe siècle - Journal républicain conservateur, no 1037, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
- Delphine Richard, « « Pas plus honnêtes, mais plus courageuses » : Élue de terrain depuis plus de 30 ans, Colette Michaux, maire de Liomer, revient sur ses diverses carrières », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « À 77 ans, Colette Michaux aura eu plusieurs carrières, dont deux marquantes : celle de maire de Liomer, depuis 1989, et sa carrière dans l'Éducation Nationale. « J'ai d'ailleurs été la première femme promue proviseure dans la Somme », sourit celle qui a relevé le défi de mettre sur les rails le lycée de la Hotoie, à Amiens ».
- Vincent Bény-Thoreux, « Jean-Claude Michaux est décédé : Jean-Claude Michaux est décédé le lundi 8 avril à l'âge de 79 ans à Liomer. Il laisse le souvenir d'un homme cultivé qui a énormément œuvré pour que la culture soit un bien commun », Le Réveil, édition Bresle, Oise, Somme, no 3602, , p. 21 (lire en ligne, consulté le ) « Il ne laissera que de très bons souvenirs dans ce village où il est venu s'installer en 1974 avec son épouse Colette, maire depuis 1989. Mais au-delà d'être le mari de madame le maire, Jean-Claude Michaux aura surtout marqué de son empreinte l'histoire culturelle de la commune ces quarante dernières années ».
- Vincent Beny, « Un sixième mandat pour Colette Michaux à Liomer : Colette Michaux a été, sans surprise, réélue maire de Liomer. Elle attaque son sixième mandat », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Une classe du RPI sera fermée à la rentrée prochaine : Les habitants présents aux vœux du maire de Sarnois ont appris la fermeture d'une classe du regroupement intercommunal (RPI) », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3590, , p. 28.
- Le collège sur Journal des femmes.
- Vincent Beny, « Histoire. Le Forestel rend hommage aux soldats du village morts entre 1914 et 1918 : Deux soirées ont été organisées par l'association Le Forestel de Liomer pour rendre hommage aux 23 soldats originaires du village morts pendant la Première Guerre mondiale », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Vincent Beny, « Le Forestel. Les marionnettes remises au goût du jour à Liomer », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Patrick Piérard, « Le déparquage prend date à Liomer : Il n'y a pas que les moutons qui migrent à cette époque de l'année dans la vallée du Liger : la foire d'automne change une seconde fois de date », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- VBT, « C'est la fête du déparquage à Liomer », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3577, , p. 31.
- Jacques Dulphy, « Hallencourt La fanfare recherche des musiciens », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 12.
- « La mobilisation à Liomer pour sauver son café », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Liomer (Canton d'Hornoy), d'après nature, 25 avril 1870 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « chaire à prêcher », notice no PM80003942, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Le Courrier picard, 13 mai 2016, édition Picardie maritime.
- « A) Chapelle de Notre-Dame de Bon-Secours à Liomer. - [Aquarelle d'Oswald Macqueron], d'après nature, 25 avril 1870. B) Liomer. - [Carte postale] Amiens, Imp. Yvert et Tellier. Cliché C.B., n°97. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme : éditeur=Frédéric Paillart, Abbeville, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 93 (ASIN B000WR15W8).