Jusqu'à la Révolution, on désignait le maire sous le nom de vierg. Cette appellation était typiquement autunoise et venait de vergobret. Le vierg était nommé à la Saint-Jean-Baptiste, le , pour une année. Il était assisté par quatre échevins représentant la ville haute (le Château) et la ville basse (le Marchault).[réf. nécessaire]
Lieutenant-général de la Chancellerie. Participe aux États généraux de Pontoise (juin 1561), où il se fait l’avocat des Réformés, sinon leur porte-étendard[5]. Redeviendra vierg en 1566.
↑Jacques-Gabriel Bulliot:Histoire de l'Abbaye de St Martin d'Autun chartes, p. 159 notes charte 103. Texte en ligne.
↑Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, charte 108 de 1326. Texte en ligne
↑François-Alexandre de la Chenaye-Aubert, Dictionnaire de la Nobless, Paris, 1176.
↑Katia Béguin, Les Princes de Condé, rebelles, courtisans..., éd. Champ Vallon, 1999, p. 413/462.pp.
↑Alain Dessertenne, « Jacques Bretagne, député aux États généraux de Pontoise (1561) », revue Images de Saône-et-Loire no 215 (), pages 8 à 11.
↑Baronnie acquise sur Jean de La Palu, seigneur de Meilly en Auxois. Source : Alain Dessertenne, « Jacques Bretagne, député aux États généraux de Pontoise (1561) », revue Images de Saône-et-Loire no 215 (), pages 8 à 11.
↑Afin de se conformer à la loi sur le non-cumul des mandats et à la suite d son élection en tant que député, il quitte ses fonctions de maire et de président de l'intercommunalité [1]
↑Bastien Migault, « Vincent Chauvet est le nouveau maire », Autun Infos, (lire en ligne)