Louis Roquet
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Louis Roquet, né le et mort le [1],[2], est un haut fonctionnaire québécois.
Il a travaillé pour la ville de Montréal, la Société des alcools du Québec et le mouvement des Caisses Desjardins. Il occupe en et 2014 le poste de Directeur général du groupe algérien Cevital.
Biographie
[modifier | modifier le code]De 1990 à 1994, sous Jean Doré, Louis Roquet occupe les fonctions de directeur général de la Communauté urbaine de Montréal et en 1994, il devient pour quelques mois secrétaire général de la Ville de Montréal[3]. En 1995, il devient président de la société Investissement Québec[4]. De 2002 à 2004, il est PDG de la SAQ[5]. Il est président et chef d'exploitation de Desjardins Capital de risques. En 2008, il fait paraître un livre sur l'utilisation des proverbes dans le monde des affaires.
Nommé directeur général de la ville de Montréal en , il remplace alors Claude Léger. Il est impliqué dans l'affaire Bergeron-Pierre Reid qui secoue l'hôtel de ville en 2011[6].
Il démissionne le à 69 ans[7]. Il semble que la démission de Roquet provient d'un désaccord avec le chef de l'exécutif Michael Applebaum[8].
Il occupe depuis entre et 2014 le poste de Directeur Général du groupe algérien Cevital[9].
Publication
[modifier | modifier le code]- La Gestion par proverbes, Montréal, Fides, 2008, 159 p.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Violette Cantin, « L’ex-haut fonctionnaire Louis Roquet est décédé », sur msn.com, (consulté le )
- (en) « Louis Léon Roquet » (consulté le )
- Jeanne Corriveau, «Louis Roquet revient à l'Hôtel de Ville», Le Devoir, 19 novembre 2009
- The Gazette, 18 décembre 2011
- Jeanne Corriveau, «Louis Roquet démissionne», Le Devoir, 19 décembre 2011
- Jean Cournoyer, Mémoire du Québec, consulté le 19 décembre 2011
- Pierre-André Normandin, «Le directeur général de Montréal démissionne», La Presse, 19 décembre 2011
- Jeanne Corriveau, «Louis Roquet démissionne», Le Devoir, 20 décembre 2011
- Les membres du Conseil d'administration du groupe Cevital
