Marcé
Marcé | |||||
Le bourg depuis la peupleraie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe | ||||
Maire Mandat |
Marc Soreau 2023-2026 |
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Code postal | 49140 | ||||
Code commune | 49188 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marcéen | ||||
Population municipale |
850 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 34′ 51″ nord, 0° 19′ 30″ ouest | ||||
Altitude | 33 m Min. 32 m Max. 97 m |
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Superficie | 21,09 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Angers-6 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Marcé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, à proximité de la ville de Seiches-sur-le-Loir.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune angevine du Baugeois, Marcé se situe à l'est de Seiches-sur-le-Loir, sur la route D 109, Cheviré le Rouge - Seiches sur le Loir[1].
Topographie, relief et géologie
[modifier | modifier le code]Son territoire se trouve sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[2].
Climat
[modifier | modifier le code]Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1999 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 2,1 | 3,7 | 5,7 | 9,3 | 12,4 | 13,7 | 13,5 | 10,7 | 8,7 | 4,7 | 1,7 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 5 | 6 | 8,3 | 11,1 | 14,6 | 18,3 | 19,6 | 19,4 | 16,5 | 13 | 8,2 | 4,9 | 12,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 8 | 9,8 | 12,9 | 16,4 | 19,9 | 24,2 | 25,5 | 25,2 | 22,3 | 17,3 | 11,7 | 8,1 | 16,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−10,3 07.01.09 |
−13,8 12.02.12 |
−11,3 01.03.05 |
−4,8 06.04.21 |
−1,5 06.05.19 |
2,3 01.06.06 |
5,5 10.07.04 |
4,6 21.08.14 |
1,3 29.09.07 |
−3,2 26.10.10 |
−6,8 30.11.10 |
−9,5 17.12.09 |
−13,8 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,2 24.01.16 |
21,8 27.02.19 |
25 30.03.21 |
29 30.04.05 |
32 27.05.05 |
39,4 29.06.19 |
41,1 23.07.19 |
39,5 10.08.03 |
35,4 14.09.20 |
30,3 02.10.11 |
22 07.11.15 |
18,5 07.12.00 |
41,1 2019 |
Précipitations (mm) | 64,5 | 48,4 | 58,4 | 53,7 | 53,2 | 36,4 | 65,4 | 47,3 | 49,2 | 79,7 | 72,4 | 74,6 | 703,2 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Marcé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,8 %), prairies (22,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (12,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), zones urbanisées (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Parochia de Marce en 1142, Marceium en 1269[15],[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]On signale comme cromlech celtique l’entassement d’une douzaine de grosses pierres près de la métairie de Rocherieux ; mais nul dolmen n’existe sur le territoire, malgré toute indication contraire. Existence inexpliquée d’antiques retranchements aux Blés et aux Fossés (remparts de terre, dénommés Fossés des Romains)[15].
Origine de Marcé
[modifier | modifier le code]Le fief paraît avoir fait partie au XVIIIe siècle et depuis de longues années du comté de Durtal. On voit résider sur la paroisse, dès les premières années du XVIIe siècle de nombreuses familles de potiers, celles des Taveau, des Roger, des Nouchet, des Chevaliers et des Godin.
Église
[modifier | modifier le code]L’église dédiée à saint Martin de Tours : la nef est lambrissée, le cœur seulement voûté en pierre (XIVe), avec deux chapelles de la Vierge et de saint Gilles (XVIe). Cette dernière est parée de ses croix de consécration. On y consacre les statues de saint Sébastien et de la Vierge, provenant de l’abbaye de Chaloché (situé derrière l’aéroport sur la commune de Chaumont), ainsi que les reliques de saint André, qui en furent apportées avec leur châsse d’argent, par arrêté du département du , malgré les réclamations des paroissiens de Chaumont d’Anjou. Il s’agissait surtout de s’approprier la foire importante qui s’y tenait à l’abbaye le jour de la fête.
Aucun titre trouvé sur l’origine de la construction de l’église, qui datent sans doute du XIIe siècle[15].
Le presbytère occupe l’ancienne cure, reconstruite en 1778-1779, vendue nationalement le 14 messidor an IV () et rachetée par la commune en 1819[15].
Le cimetière, au centre et dans la principale rue du bourg (actuelle place Barbel), à l’angle du chemin de la Chapelle-Saint-Laud, jusqu’en 1812, a été transféré sur un terrain acquis le [15].
Mairie et écoles
[modifier | modifier le code]Mairie avec école de garçons, dans la maison de la Suardière, acquise le . École de filles dans une maison acquise le [15].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-même membre du syndicat mixte Pôle métropolitain Loire Angers.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Démographie avant la Révolution
[modifier | modifier le code]- 217 feux, 980 habitants en 1720 (un feu = une famille) ;
- 260 feux en 1788 ;
- 1118 habitants en 1790 ;
- 1094 habitants en 1831 ;
- 1091 habitants en 1841 ;
- 1067 habitants en 1851 ;
- 1047 habitants en 1861 ;
- 1019 habitants en 1866 ;
- 937 habitants en 1872[15].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2021, la commune comptait 850 habitants[Note 5], en évolution de +0,83 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 417 hommes pour 423 femmes, soit un taux de 50,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Sur 72 établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 46 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[26]. Trois en plus tard, en 2013, sur 53 établissements, 25 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[27].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments historiques
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Martin-de-Tours, XIIe au XVIe siècle (MH)[28] ;
- Ensemble fortifié : rempart de terre datant de l’antiquité (fossés des Romains) (MH) ;
- Manoir de la Brideraie XVIe siècle (MH) ;
- Manoir du Bois-de-l'Humeau XVIIIe siècle (MH).
Autres bâtiments
[modifier | modifier le code]- Chapelle saint Léonard ;
- Château et chapelle de Princé XVIe siècle ;
- Château de la Souchardière XIXe siècle ;
- Lavoirs XIXe siècle ;
- Maison de maître, la Gautraie XVIe siècle ;
- Vestiges du manoir de Singé XVe siècle ;
- Presbytère XVIIIe siècle ;
- Usine de chaux, le Fourneau (SC).
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Musée régional de l'air d'Angers-Marcé ;
- Angers Loire Aéroport (précédemment Aéroport Angers-Marcé).
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Etang rue de la Fontaine.
-
Manoir du Bois de l'Humeau.
-
Logis et dépendances sur la rue Principale.
-
Lavoir de la rue de la Fontaine.
-
Maison particulière rue Principale.
-
Chapelle Saint-Léonard.
-
L'église.
-
Vue générale intérieure de l'église.
-
Manoir de la Brideraie à Marcé depuis le jardin.
-
Musée régional de l'air.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 407-408.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 588-589.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- IGN et BRGM, Géoportail Marcé (49), consulté le 17 septembre 2012.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 49188001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Marcé ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Célestin Port 1876, p. 588-589 — Informations sur Marcé publiées entre 1874 et 1878 par Célestin Port (archiviste de Maine-et-Loire).
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 103.
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
- « Marcé. Les conseillers ont élu le maire et les adjoints », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- « Marcé. Marc Soreau nouveau maire de la commune », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marcé (49188) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49), consultées le 20 avril 2013.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49188), consultées le 20 juillet 2016.
- « Eglise », notice no PA00109166, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.