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Marc Aillet

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Marc Aillet
Image illustrative de l’article Marc Aillet
Marc Aillet en 2010.
Biographie
Nom de naissance Marc Marie Max Aillet
Naissance (67 ans)
Parakou (colonie du Dahomey)
Ordination sacerdotale par le
card. Giuseppe Siri
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale
par le card. Jean-Pierre Ricard
Évêque de Bayonne, Lescar et Oloron
Depuis le
Autres fonctions
Fonction religieuse
Membre de l'Alliance des cœurs unis

Blason
« Écoute, Israël » (Dt. 6, 4)
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Marc Marie Max Aillet, né le à Parakou au Dahomey, devenu le Bénin, est un évêque catholique français, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron depuis 2008.

Marc Aillet est le fils du capitaine Jacques Aillet, membre de l’Organisation de l'armée secrète connue par son sigle OAS, condamné en 1962 à trois années de prison[1],[2].

Il est passé par les scouts d’Europe[1].

Entré au séminaire de Gênes en Italie au titre de la communauté Saint-Martin[1], il obtient une licence et un doctorat canonique de théologie à l’Université catholique de Fribourg[3].

Principaux ministères

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Il est ordonné prêtre le en Italie, au sein de la communauté Saint-Martin[1].

Il exerce ensuite son ministère dans le diocèse de Fréjus-Toulon comme aumônier des lycées et collèges de Saint-Raphaël, professeur de théologie morale et directeur spirituel au séminaire diocésain de Fréjus-Toulon à la Castille (commune de la Crau).

Puis il ouvre l'école de théologie de la communauté Saint-Martin et devient recteur de la maison de formation (à Gênes en Italie puis à Candé-sur-Beuvron dans le diocèse de Blois)[1]. Pressenti pour succéder à l’abbé Guérin, au poste de modérateur général de la communauté, il n'est finalement pas choisi[1].

De 1998 à 2005 il est curé des paroisses de Saint-Raphaël. En 2002, Dominique Rey, évêque du diocèse de Fréjus-Toulon, fait de lui son vicaire général[1].

Le , Benoît XVI le nomme évêque de Bayonne, Lescar et Oloron[4], comprenant 69 paroisses réparties dans le département des Pyrénées-Atlantique[5], où il succède à Pierre Molères. Sa consécration épiscopale a lieu le , en la cathédrale Sainte-Marie de Bayonne. Elle est présidée par le cardinal Jean-Pierre Ricard, assisté de Dominique Rey et de Pierre Molères.

Marc Aillet est membre de l'Alliance des cœurs unis[6],[7] et accompagne pastoralement l'association dont les statuts ont été déposés en 2014 auprès de la sous-préfecture de Bayonne[8] et qui revendique 2 700 membres en 2022. Ce groupe est organisé autour de Gaëtane de Lacoste Lareymondie, dite « Virginie », qui prétend avoir des visions mystiques et des révélations surnaturelles que diffuse l'association. Béatrice Bourges et Caroline de Villiers, fille de Philippe de Villiers, en sont membres. La cellule « emprise et dérives sectaires dans l’Église catholique » de l'épiscopat français a reçu plusieurs signalements au sujet de l'Alliance des cœurs unis[9],[10].

Évêque de Bayonne

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Communication

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Marc Aillet choisit comme délégué épiscopal à l’information, et responsable de la communication Olivier Drapé, ancien directeur d'Ichtus, proche de l'extrême-droite catholique traditionaliste[1].

En 2012, le diocèse de Bayonne lance une campagne de communication originale, visant à recueillir des fonds pour la campagne annuelle du Denier du culte, en recourant à l'affichage publicitaire et aux réseaux sociaux[11],[12].

En 2021, il reprend par communiqué de presse de nombreux arguments des opposants à la vaccination contre le Covid-19[1]. La même année, il appelle à boycotter le quotidien catholique La Croix à la suite d'une enquête sur un de ses proches Jean-Pierre Cattenoz[1].

Académie Diocésaine pour la Vie

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Marc Aillet en 2012.

Au sein de son diocèse, Marc Aillet lance officiellement le l'Académie Diocésaine pour la Vie[13].

Colloque International pour la Vie

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Le « Colloque International pour la Vie » à Biarritz, du au , suscite des réactions : la députée Sylviane Alaux considère que celui-ci est « de la provocation pure et simple » . Pour Michelle Berthier du planning familial « on ne se laissera pas voler nos droits à l'IVG, à la contraception, par une minorité contestée au sein même de l'Église ». Elle souligne l'appartenance ou la proximité d'intervenants avec l'Opus Dei, un mouvement « conservateur »[14].

Visites de son ministère

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Voyage à Moscou

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En , un mois après l'invasion et l'annexion de la Crimée par la Russie[1], Marc Aillet, accompagné d'une délégation[N 1], se déplace à Moscou pour rencontrer des représentants de l'Église orthodoxe russe et des personnalités politiques, l'État russe défendant une conception traditionnelle de la famille. Ce déplacement a été critiqué par les instances de la Conférence des évêques de France[15],[16].

Voyage en Irak, auprès des réfugiés chrétiens et des autres minorités

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Marc Aillet auprès des réfugiés d'Irak, à Erbil, octobre 2014.

Du lundi au jeudi , il s’est rendu à Erbil en Irak, auprès des chrétiens et d’autres communautés déplacées en compagnie de Dominique Behnan Aziz, président de l’Association des Chaldéens de Pau. Ils sont reçus par l'êvèque Bashar Matti Warda[17][source insuffisante].

Demande par Rome d'une visite fraternelle du diocèse sur fond de soupçons de dérives sectaires

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Le diocèse de Bayonne fait l'objet d'une « visite fraternelle », à l'initiative du Saint-Siège début juin 2024. Elle est confiée à Antoine Hérouard, archevêque de Dijon. Cette visite vise à identifier d'éventuels problèmes de gouvernance, à la suite de critiques parvenues à Rome qui mettent en cause les positions conservatrices de Marc Aillet, « le peu de place qu’il laisserait aux laïcs dans sa conduite du diocèse et un tournant "rigoriste" insufflé aux paroisses »[18],[19].

L'un des points soulevés est la gestion du dossier de l'Alliance des cœurs-unis par l'évêque. Antoine Hérouard affirme ne pas être là « pour dire ce qu’il faut penser de l’Alliance [mais] comprendre comment l’évêque s’est situé par rapport à cette question »[20],[21]. « Des médias ont rapidement rappelé le lien entre Mgr Marc Aillet et l’Alliance des cœurs unis », ce que l'intéressé rejette en invoquant que « cette visite n’a rien à voir avec ce sujet, qui n’a pas de lien avec le diocèse ». Antoine Hérouard indique que « ce n’est pas l’objet de cette visite [mais qu'] en revanche, si ce sujet a un impact sur la gouvernance du diocèse, [il s]’y intéressera »[22]. À France Bleu, il déclare : « que cette association fait l'objet de critiques, il s'agit de savoir s'il n'y a pas de dérives sectaires et est-ce que (sic) dans l'accompagnement de cette association l'évêque se situe bien. »[23] La vice-présidente de l'UNADFI dit suivre de près cette visite fraternelle afin d'obtenir une réponse de la hiérarchie catholique sur l'Alliance des cœurs unis qui inquiète l'association anti-sectes. Pour elle « le fait que les fidèles ou anciens fidèles aient peur de nous parler, c’est déjà un très mauvais signe. »[24].

Prises de positions

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En , à la suite de la mise en examen d'un médecin de Bayonne soupçonné d'avoir provoqué la mort de quatre patients en 5 mois, il prend position contre l'euthanasie[25].

Interruption volontaire de grossesse

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Ses prises de position de 2016 effectuent un parallèle entre l'organisation terroriste islamiste Daech et l'interruption volontaire de grossesse. À la suite de ces propos, la rédaction du magazine catholique Golias lance une pétition demandant sa démission[26]. À l'Assemblée nationale, la députée des Pyrénées-Atlantiques Colette Capdevielle déclare : « Notre pays connaît des attaques sexistes que l'on croyait révolues et d’un autre temps ». En réponse, Marisol Touraine, ministre de la santé et des droits des femmes, indique : « Vous avez raison de souligner que sur les réseaux sociaux pullulent des interpellations contre l'IVG (…) C'est insupportable, inacceptable et irresponsable. ». Devant ces critiques, Aillet réplique : « Je pense que c’est un mauvais procès (…) Je continuerai à tweeter, pas forcément de cette manière. »[27]. Le , en réaction à l'intervention du ministre, sept évêques signent une tribune publiée dans Le Figaro, dans laquelle ils réclament un « droit à l'avis »[28].

Le , un géant à son effigie est brûlé en place publique lors du carnaval de Saint-Jean-de-Luz, alors que les organisateurs de l'association culturelle Donibane Ziburuko Ihauteriak, crient : « San Pantzar ! C'est toi qui veux empêcher les femmes de disposer de leur corps ? Cela t'amuse de comparer l'avortement à Daech ? ». Le chargé de communication du diocèse interpelle alors la mairie, qui a autorisé la tenue du carnaval, et rappelle le sort des chrétiens d'Orient pour dénoncer un acte « qui dans un contexte difficile pour les chrétiens cautionne sous couvert d'humour les persécutions »[28]. La Conférence des évêques de France a apporté son soutien au prélat[29].

Marc Aillet, à la suite de Jean-Paul II et Benoit XVI, considère que le préservatif n'est pas la principale solution à la lutte contre le SIDA[30].

Homosexualité

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En 2009, à l'occasion d'une gay-pride organisée à Biarritz, Marc Aillet critique aussi « les revendications tapageuses d’une infime minorité de nos concitoyens » et met en cause les tenues de certains manifestants. Didier Borotra, maire de la ville, réagit à cette prise de position dans une lettre ouverte « Je ne peux vous cacher que j’ai eu honte à la lecture de votre lettre du . De toute évidence, vous ignorez les lois de la République, c’est dommage ! »[31],[1].

À la suite de la déclaration Fiducia supplicans du Dicastère pour la Doctrine de la foi, en décembre 2023, autorisant la bénédiction non-sacramentelle de couples de même sexe, Marc Aillet entend questionner certains éléments de cette déclaration « susceptibles de clarification ». Il demande aux prêtres de son diocèse d'accorder une bénédiction individuelle, en appelant les homosexuels « à la conversion et en les invitant à demander le secours de la grâce que le Seigneur accorde à tous ceux qui le lui demandent pour conformer leur vie à la Volonté de Dieu ». SOS homophobie considère que cet « appel à la conversion » et à se « conformer leur vie à la Volonté de Dieu » comme une validation implicite des thérapies de conversion pourtant interdites en France depuis 2022. Marc Aillet réfute cette analyse et précise que l’Église appelle à la conversion à la foi et non à « son orientation sexuelle ». Il s’agit de mettre en adéquation sa vie avec la « Parole de Dieu »[32].

Mariage pour tous

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Marc Aillet discutant avec Louis de Bourbon à La Manif pour tous du .

Marc Aillet s'est clairement positionné contre l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe, participant - et invitant ses fidèles à faire de même - aux différentes mobilisations organisées par le mouvement d'opposition au mariage homosexuel, notamment à la « manif pour tous »[33]. Marc Aillet apporte son soutien au mouvement « Les Veilleurs »[34].

Attitude face à des affaires de pédophilie

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Informé des faits de pédophilie, dès 2009, commis par Jean-François Sarramagnan, prêtre au sein du diocèse de Bayonne, Marc Aillet ne signale au procureur les actes délictueux de l'abbé Sarramagnan que le [35]. Toujours en contact avec des enfants, le prêtre anime, le , une journée diocésaine pour des élèves de 4e et 3e. De même en 2012, le prêtre célèbre une messe de rentrée dans un lycée du diocèse, en , il accompagne des enfants de 6e pour un voyage à Lourdes. Pourtant Marc Aillet affirme que Jean-François Sarramagnan n'avait « pas de responsabilité directe auprès des enfants et de jeunes »[36],[37].

Une deuxième affaire est évoquée, dans la paroisse Saint Étienne de Bayonne, avec des attouchements en 2007 sur une adolescente de 16 ou 17 ans, un dossier classé sans suite[35].

Le procureur de la république de Bayonne, Samuel Vuelta Simon, a ouvert une enquête en avril 2016 après la plainte déposée le par la mère du garçon qui avait 12 ans à l'époque du crime. Cette plainte a été transmise par le procureur de Clermont-Ferrand à celui de Bayonne en . Selon Samuel Vuelta Simon, certains des faits délictueux se seraient passés à Hasparren[38]. Suspendu de ces activités ecclésiastiques en , Jean-François Sarramagnan vit depuis au sein de l'Abbaye Notre-Dame de Tournay.

En mars 2017, une enquête de Mediapart relève une liste d’évêques, dont Marc Aillet, qui auraient protégé des prêtres accusés d’abus sexuels en omettant intentionnellement d'alerter les autorités judiciaires[39],[40].

À la publication du rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église (CIASE), le 5 octobre 2021, Jean-Marc Sauvé a annoncé qu'un diocèse et une congrégation religieuse avaient refusé l'accès à leurs archives aux historiens de la CIASE[41]. Mediapart révélera la semaine suivante qu'il s'agissait du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron et de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X[42]. Et ce selon le journaliste Timothée de Rauglaudre, « malgré la mise en place d’une cellule d’écoute, la question des violences sexuelles dans l’Église agace l’évêque et ses affidés »[1].

Le groupe Baptisés 64, regroupant une « centaine de croyants rattachés ou non à des paroisses des Pyrénées-Atlantiques » dénonce en , les prises de position de Marc Aillet. Les membres du groupe affirment que « beaucoup de chrétiens ne cautionnent pas les interventions de l'évêque »[43].

Michel Oronos, curé à la retraite du diocèse de Bayonne[44], qualifie Marc Aillet de « traditionaliste » qui se situe dans la « sphère de l'extrême de droite »[45] dans un ouvrage intitulé Enfin don Aillet vint consacré aux quatre premières années de son épiscopat à Bayonne et publié en .

Dans un article datant de , Véronique Fourcade, journaliste à Sud-Ouest Pays basque, relate la division dans l'Église entre les « pour » et les « contre » Marc Aillet[46].

Lors de l'été 2016, une soixantaine de prêtres interpellent Marc Aillet sur son mode de gouvernance[47], sa ligne traditionaliste et sa gestion financière[48]. Les prêtres contestataires citent « des exemples tels que le soutien à une "marche pour la vie" (contre l'avortement), à Vladimir Poutine, Bachar el-Assad ("comme défenseur des minorités"), la remise en cause de la laïcité, "la mise en cause directe de responsables politiques et de l'Etat jugé parfois totalitaire"… »[49].

Distinctions et rang ecclésiastique

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Ouvrages publiés

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  • Lire la Bible avec S. Thomas : Le passage de la littera à la res dans la Somme théologique, Fribourg, Éd. universitaires, coll. « Studia Friburgensia » (no 80), , 355 p.
  • Un événement liturgique : ou le sens d'un motu proprio, Perpignan, Tempora, coll. « Les indispensables », , 137 p.
  • Ouvrage collectif, Prêtres pour le salut du monde, Parole et Silence, .
  • La charité du Christ nous presse : lettre pastorale aux prêtres, diacres, consacrés et fidèles du Christ sur l'urgence de la mission dans le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron, Perpignan, Artège, , 215 p.
  • L'objection de conscience face à la loi : pharmaciens hors-la-loi ?, Paris, Éd. de l'Homme nouveau, coll. « Hora decima », , 84 p.
  • La liturgie de l'esprit, Perpignan, Artège, , 62 p.
  • Convertissez-vous et croyez à l'Évangile : lettre pastorale aux prêtres, diacres, consacrés et fidèles du Christ pour une Église de disciples missionnaires dans le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron, Perpignan, Artège, , 109 p.
  • Vatican II, le Concile en questions : entre événement et héritage, Paris-Perpignan, Artège, , 137 p.
  • Embarqués avec Jésus : méditations pour temps d'épreuves, [Nouan-le-Fuzelier], EdB, , 192 p.
  • Le temps des saints : Ne soyons pas des chiens muets, Paris-Perpignan, Artège, , 317 p. (ISBN 979-1-033-61298-8)

Notes et références

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  1. La délégation à Moscou était composée de lui-même, son chargé des questions relatives à la famille et à la vie, Guillaume d’Alançon ; Aymeric Pourbaix, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Famille chrétienne ; Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice, à Strasbourg ; Thierry de la Villejégu, secrétaire général de la Fondation Jérôme-Lejeune ; Caroline Roux, secrétaire générale d’Alliance VITA, principale structure d’organisation de la Manif pour tous.

Références

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  1. a b c d e f g h i j k l et m Timothée de Rauglaudre, « Monseigneur Aillet, droitier non contrarié », Les Jours,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. J.P., « Jugement dans l'affaire du réseau O.A.S. de l'Ouest - Savelli et Renault : treize ans de réclusion • Vingt-cinq autres condamnations dont dix avec sursis • Dix acquittements », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. (it) Salle de presse du Saint-Siège, « Rinunce e nomine », sur press.vatican.va, (consulté le ).
  4. Sa nomination sur le site des évêques de France.
  5. Jean Weber, « Mgr Aillet : visite en Pays charnègue », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. Ludovica Eugenio, « L'Alliance des cœurs unis : divagation mystique ou instrument de manipulation ? » [archive du ], sur adista.it, (consulté le )
  7. (it) Ludovica Eugenio, « Di spade, corone, rose e monarchia : l’humus dell’estrema destra cattolica in Francia : Visioni "mistiche" e visione politica » [« D'épées, de couronnes, de roses et de monarchie : l'humus de l'extrême droite catholique en France : visions « mystiques » et vision politique »], Adista (it), no 6673,‎ , p. 4-9
  8. « L’Alliance des cœurs unis », sur Aide aux victimes des dérives de mouvements religieux en Europe et à leurs familles, (consulté le )
  9. Mikael Corre, « Virginie, la voyante et la mystérieuse Alliance des cœurs unis », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. Didier Deniel, « "Je la reconnais, c’est Marie, Mère de l’Église" : les visions de Virginie racontées dans plusieurs livres », Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « L'évêque de Bayonne s'affiche sur des panneaux publicitaires », SudOuest.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. Philippe Campa, « Pyrénées-Atlantiques : un évêque en haut de l'affiche », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  13. Nicolas Cesar, « L'évêque de Bayonne crée une Académie diocésaine pour la vie », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  14. « Un colloque «pro-vie» controversé organisé à Biarritz », 20minutes.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. Mikael Corre, « Interrogations autour d’une délégation catholique française en Russie », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  16. « Reçue à Moscou, la Manif pour tous en voie de poutinisation », Rue89,‎ (lire en ligne).
  17. « Le diocèse de Bayonne prie pour les chrétiens irakiens », sur eglise.catholique.fr, (consulté le ).
  18. AFP, « Diocèse de Bayonne : l’audit demandé par le Vatican a débuté, Mgr Aillet au cœur des critiques », Sud Ouest,‎ (lire en ligne)
  19. Anne van Merris, « France : Le Vatican en « visite fraternelle » dans le diocèse de Bayonne », zenit.org,‎ (lire en ligne)
  20. Alix Champlon, « Diocèse de Bayonne : une « visite fraternelle » à la demande de Rome », La Croix,‎ (lire en ligne)
  21. Didier Deniel, « Un audit diocésain qui concerne l’Alliance des cœurs unis », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  22. Cyriac Zeller, « "Je n’ai rien à cacher" : une visite fraternelle lancée sur la gouvernance de Mgr Marc Aillet », Famille chrétienne,‎ (lire en ligne)
  23. Julien Penot, « Une "visite fraternelle" au diocèse de Bayonne sur fond de soupçons de dérives sectaires », France Bleu,‎ (lire en ligne)
  24. Martin Lom, « Diocèse de Bayonne : le plus réac des évêques dans le viseur du Vatican », Charlie Hebdo,‎ (lire en ligne)
  25. « L'évêque réagit à l'affaire d'euthanasie », SudOuest.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  27. Pierre Wolf-Mandroux, « Critiques à l’Assemblée après des tweets de Mgr Aillet », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  28. a et b Eugénie Bastié, « L'effigie de l'évêque de Bayonne brûlée en place publique lors d'un carnaval », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Sixtine Fourneraut, « La Conférence des évêques apporte son soutien à l’évêque de Bayonne », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. S. Pruvot, E. Pellat et M. Guillier, « Sidaction : Mgr Marc Aillet critique la stratégie du « tout-préservatif » », Famille Chrétienne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Romano Libero, « Biarritz : la sortie du maire contre l’évêque », Golias,‎ (lire en ligne).
  32. Alice d’Oléon, « Bénédiction des couples homosexuels : Mgr Aillet réfute « appeler à la mise en œuvre de thérapies de conversion » », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Nicolas Rebière, « Des prières contre le mariage pour tous », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
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  40. « 25 évêques français auraient couvert des prêtres, selon Mediapart », Capital.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Christophe Henning, « Rapport Sauvé : des décennies d’abus sexuels dans les archives de l’Église », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  42. Antton Rouget et Mathieu Périsse, « Pédocriminalité : l’incurie des évêques », Médiapart,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. Arnaud Dejeans, « Chrétiens rebelles », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  44. Michel Oronos collabore au magazine Golias.
  45. Pierre Penin, « Mgr Aillet vilipendé », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
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  47. « Evêché de Bayonne. Une soixantaine de prêtres interpellent l’évêque conservateur », Paris-Normandie (consulté le ).
  48. Axelle Labbé, « Des prêtres des Pyrénées-Atlantiques mettent en cause les méthodes de Monseigneur Aillet », ici, par France Bleu et France 3,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. P.P, « Pyrénées-Atlantiques : 60 prêtres demandent des comptes à l'évêque », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  50. donc au moins la dignité de doyen.

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Articles connexes

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Liens externes

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