Roye (Haute-Saône)
Roye | |||||
Vue générale de Roye et des Vosges. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Lure | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lure | ||||
Maire Mandat |
Bernard Piquard 2020-2026 |
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Code postal | 70200 | ||||
Code commune | 70455 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 482 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 143 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 40′ 12″ nord, 6° 32′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 293 m Max. 333 m |
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Superficie | 10,37 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Lure (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lure (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lure-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | roye-70.fr | ||||
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Roye est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
L'exploitation de granulats entre les années 1960 et 1998 à profondément marqué le paysage par la création de gravières-étangs et permis la création de vastes espaces de loisirs (pêche et cyclisme).
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Roye est située dans le nord-est de la Franche-Comté, dans le département de la Haute-Saône, non loin du Territoire de Belfort et du Doubs. Le territoire communal recouvre 10,37 km2[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Froideterre | La Neuvelle-lès-Lure | La Côte | ||
Lure | N | Palante | ||
O Roye E | ||||
S | ||||
Frotey-lès-Lure |
Topographie
[modifier | modifier le code]L’altitude varie de 293 à 333 mètres soit un dénivelé de 40 mètres. Le village s'est installé dans une vaste plaine plane qui devient plus vallonnée vers l'est, vers le nord et l'extrême sud[1].
Des 321 hectares boisés, 90 sont communaux. 16 hectares de terrain militaire[réf. nécessaire].
Géologie
[modifier | modifier le code]Roye est construite sur le plateau de la Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[2] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[3]. La plaine sur la quelle est établie la village est composé d'alluvions de type fluvioglaciaire qui ont été exploitées comme granulats dans la seconde moitié du XXe siècle[4],[5]. Le nord du territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien qui est identifié au lieu-dit la Coulonge, à proximité de l'aérodrome de Malbouhans[6],[7].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le Rahin traverse la commune de l'est vers le sud en traversant la plaine plate et en bordant le village. L'Ognon s'écoule au nord-ouest et sert parfois de limite administrative avec Froideterre et Lure. Tout à l'ouest du territoire communal s'écoule le ruisseau des Prés Besançon. Il rejoint le Rahin au sud du village qui se jette lui même dans l'Ognon, affluent de la Saône[1].
Plusieurs petit étangs existent au nord-ouest du territoire communal. D'autres étangs plus importants et nombreux sont établis au sud-ouest du territoire. Il s'agit d'anciennes gravières-sablières créées entre les années 1960 et 1998 par l'exploitation des granulats. ils sont inondées par de la nappe phréatique qui affleure dans la plaine plane de Roye[8],[9],[10].
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Le Rahin à Roye.
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Étang des anciennes gravières.
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Autre étangs des gavières-sablières.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 210 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 10,4 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étobon », sur la commune d'Étobon à 10 km à vol d'oiseau[13], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 272,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[14],[15].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[16]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Il y a un axe majeur qui est la RD 619 qui traverse Roye dans toute sa longueur et qui relie Lure à Belfort, c'est l'axe le plus emprunté de la ville car de nombreuses personnes font le déplacement chaque jour que ce soit pour se rendre à leur domicile comme à leur travail ou bien par simple loisir.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Roye est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lure[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[20]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (48,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,1 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), prairies (15,5 %), zones urbanisées (14,5 %), eaux continentales[Note 5] (7,8 %), terres arables (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Projet d'aménagement et paysage
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), document d'urbanisme de référence pour la commune et toute l'intercommunalité approuvé le [24]. Roye fait également partie du SCOT du pays des Vosges saônoises, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles, notamment en matière d’habitat, de mobilité, d’aménagement commercial, d’environnement et de paysage[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]De 1134 à 1161, le petit village avait pour nom Roa, Roha en 1187, Rhoa en 1275 et Roye en 1431. Le nom est issu du mot de l'ancien français roie/roye qui désignait un ruisseau ou un cours d'eau créé par l'homme. Ce nom est lui-même issu du gaulois rica qui se traduit par fossé, sillon.
Histoire
[modifier | modifier le code]Roye compte 28 morts pour la Première Guerre mondiale, et dix pour la Seconde Guerre mondiale.
Des granulats de type alluvionnaires sont exploités à Lure de 1948 à 2018 et sur le territoire communal de Roye entre les années 1960 et l'an 2000[10],[8]. Après ces dates, seule l'activité de traitement (criblage, lavage et concassage) subsiste à Lure jusqu'en 2024 et au-delà à Roye. L'activité extractive s'étant déplacé dans le village voisin de Saint-Germain dé 1998[5],[26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône[27]. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.
Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Lure. Celui-ci a été scindé par le décret du 31 janvier 1985 et la commune rattachée au canton de Lure-Sud[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Lure-2.
La commune de Magny-Jobert fait partie du ressort du tribunal d'instance, du conseil de prud'hommes et du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal de grande instance, du tribunal de commerce et de la cour d'assises de Vesoul, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort et de la cour d'appel de Besançon.
Dans l'ordre administratif, elle relève du tribunal administratif de Besançon et de la cour administrative d'appel de Nancy[29],[30].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), intercommunalité créée en 1998 et dont le territoire est progressivement passé de 8 communes à l'origine à 24 communes en 2016.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]En 1614, 52 ménages étaient recensés.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2021, la commune comptait 1 482 habitants[Note 6], en évolution de −2,5 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]De manière générale, Roye dépend de l'académie de Besançon et dispose d'une école primaire.
Pour les niveaux de scolarisation des collégiens et des lycéens, les collèges de Lure et le lycée G-Colomb sont les établissements privilégiés.
Santé
[modifier | modifier le code]Un pôle de santé ouvre en 2018[38]. L'hôpital le plus proche étant celui de Lure, de plus en plus désinvestis par les services publics au profit de celui de Vesoul ou de l'hôpital Nord Franche-Comté, implanté à mi-chemin entre Belfort et Montbéliard, à Trévenans.
Services
[modifier | modifier le code]Hormis les services assurés par la mairie, la commune n'a aucun service public sur son territoire. L'ensemble des services publics sont disponibles à Lure, qui concentre le Pôle emploi, EDF, les impôts, la justice ou la bibliothèque, médiathèque et espace culturels.
Les autres services publics sont disponibles à Lure, où l'on trouve notamment la sous-préfecture, les services sociaux locaux du conseil départemental et une de ses antennes techniques routières, Pôle emploi, EDF, les services fiscaux et cadastraux et un tribunal d'instance.
Sport
[modifier | modifier le code]La ville dispose d'un stade d'honneur de football où s’entraînent les seniors ainsi que les U19 le mardi soir et les U18 le mercredi après-midi par Daniel Belloc (horaire variant), l'équipe est nommée groupement Vallée de L'ognon. C'est la seule activité sportive de la ville.
Cultes
[modifier | modifier le code]Le village dispose d'une église catholique, consacré à saint Hippolyte.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Le vide-grenier annuel a pris de l'importance. Il est assez connu (toujours organisé au mois de juin). Plus de 180 exposants chaque année.
Un centre culturel et festif est construit en lieu et place de l'ancienne salle polyvalente à partir de 2018[39]. L'ensemble de 900 m2 comprend une salle de spectacle, une bibliothèque, une salle de réunion et une salle de classe[40].
Économie
[modifier | modifier le code]Granulats
[modifier | modifier le code]La sablière de Roye, qui exploitait des granulats dans les étangs-gravières sur cette commune des années 1960 jusqu'en 2000, empiète sur la commune de Lure vers 1990. Elle reprends l'exploitation de 1998 à 2018 d'un étang délaissé par les anciennes sablières Gaston Choix et Cie (zone de La Saline) depuis 1970 (l'étang Mollet) qui est entièrement situé à Lure. Une bande transporteuse (ou convoyeur), qui atteindra sa longueur maximale (2,7 km) au milieu des années 2000, est alors utilisée pour acheminer les granulats brut de l'étang vers la plateforme de traitement restée à Roye où les matériaux sont criblés, lavés et concassés. Devenue inutile en 2018 avec la fin de l'exploitation, de l'étang Mollet, elle est démontée en 2021 et remplacée par une voie verte en 2023[10],[8],[41].
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Passage sous la RN19, à Roye.
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Arrivée à la plateforme de traitement de Roye.
La sablière de Roye, gérée par la société des sablières Georges Cachot (dont le siège est à Mersuay en Haute-Saône[42],[43]) de sa création jusqu'en 1994 puis par Orsa Granulats Franche-Comté entre 1994 et 2003. Elle produit du granulat de classe B (qualité supérieure utilisable notamment pour l'enrobé des routes à fort trafique)[44],[41],[45],[46].
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La plateforme de traitement et la centrale à béton tout à gauche.
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Vue générale éloignée.
En 2003, la sablière (équipée d'une centrale à béton[47] et certifiée CE2+) est la propriété du groupe suisse Holcim, 3e producteur mondial de ciment[41],[48], qui a absorbé les anciennes sablières Gaston Choix et Cie en 2003[49]. En 2007, l'exploitation est confiée à la société GDFC (granulats de Franche-Comté), filiale locale d'Holcim[41]. En 2015, Holcim France devient Equiom en passant sous le contrôle de la société irlandaise Cement Roadstone Holdings (CRH)[26].
GDFC exploite à partir de 2016 la sablière du Bourset à Saint-Germain ; conjointement avec la société des sablières Bellefleur de Lure avant de prendre le contrôle total de l'exploitation en 2018 ; avec une autorisation courant jusqu'en 2040. Les matériaux sont toujours traités sur les deux sites de Lure (anciennement Bellefleur) et Roye. Ils sont transportés par camion sur une distance de 7 km. La production moyenne annuelle s'élève à 150 000 t/an après 2016 avec un maximum autorisé de 170 000 t/an. Toutefois, cela ne suffit pas alimenter les deux sites de traitements qui réclament 255 000 t/an. Ce manque doit êtres compensé par d'autres moyen d'approvisionnement, notamment des carrières de roches massives éruptives[5],[50].
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Le sablière du Bourset (GDFC) à Saint-Germain, en 2022.
Au second semestre 2024, la plateforme de traitement de Roye est améliorée et modernisée afin de concentrer toute l'activité de traitement-vente après la fermeture de celle de Lure dont elle récupère quelques éléments techniques[51].
Emplois extérieurs
[modifier | modifier le code]Le village dépendant économiquement des deux centres urbains de Lure et de l'agglomération d'Héricourt-Montbéliard. Ces deux pôles offrent de nombreux emplois et sont rapidement accessibles par une voie expresse passant dans ces axes à proximité de Roye.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église du village ;
- le monument aux morts :
- le centre du village avec le ruisseau d'herbe et de fleurs ;
- les étangs issu des anciennes gravières-sablières et les sentiers du Sémé, lieux de pêche et de promenade[9],[10] ;
- l'aérodrome de Lure - Malbouhans, situé au nord du territoire communal ;
- l'ancienne gare des chemins de fer vicinaux de la Haute-Saône[52].
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Carré militaire.
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Stèle de la place du souvenir.
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Le monument aux morts.
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Une veille maison du centre, décorée.
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L'ancienne gare.
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Une Alpine A310 sur l'ancien garage Jacques Henry.
Personnalité liée à la commune
[modifier | modifier le code]- Jacques Henry (1942-2016) – Mort à Roye, pilote de rallye automobile, possédait un garage sur la commune[53].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Roye se blasonnent ainsi: |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean-Christophe Demard, Gérard Ferrand et Frank Morzuch, La Haute-Saône guide découverte, Éditions Noires Terres, .
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lure comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Carte IGN de Roye » sur Géoportail.
- « La dépression sous-vosgienne », sur caue-franche-comte.fr.
- [PDF] « Carte du massif des Vosges »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur massif-des-vosges.com.
- C. Javey, Schéma départemental des carrières de Haute-Saône, BRGM, (lire en ligne [PDF]), p. 32.
- ENCEM, Demande d'autorisation de renouvellement et extension d'une carrière (sablière du Bourset) à Saint-Germain (département de la Haute-Saône), ENCEM, (lire en ligne [PDF]), p. 1, 9, 13, 14, 15 et 18.
- « Extraits de livres sur le sondage de Roye-la-Coulonge », sur Google Livres.
- [PDF] « Bordereau de versement aux archives Départementales du Doubs » [archive du ], sur recherche-archives.doubs.fr, p. 3.
- « Missions de photographie aérienne de l'IGN », sur remonterletemps.ign.fr par l'IGN (consulté le ).
- Jean-Christophe Demard et al. 2010, p. 387.
- « Les étangs, les sentiers du Sémé », sur roye-70.fr (Mairie) (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Roye et Étobon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lure », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Roye ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Plan Local d'Urbanisme Intercommunal », sur le site de la communauté de communes du pays de Lure, (consulté le ).
- « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
- « Sablière de Roye », sur eqiom.com (consulté le ).
- [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- « Carte judiciaire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- « Jean Rota raccroche l'écharpe », L'Est républicain, (lire en ligne) « Trente-sept ans de mandat, dix-sept à la tête de la commune de Roye et quinze à celle de la CCPL (Communauté de communes du Pays de Lure), un peu de fatigue, le besoin de retrouver pleinement la famille et Jean Rota arrête la fonction d’élu (...) En janvier 1997, peu après le décès de Jean-Pierre Thomas il est élu maire ».
- « Bernard Piquard, candidat », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône, (lire en ligne) « Pour succéder à Jean Rota, un de ses adjoints, Bernard Piquard, deux mandats au compteur, a repris le flambeau ».
- « Un nouveau maire », L'Est républicain, (lire en ligne).
- « Bernard Piquard élu maire pour la seconde fois », sur L'Est républicain, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Olivier Bouras, « Un pôle de santé en construction », sur L'Est républicain, .
- « Le centre culturel se dessine », sur L'Est républicain, .
- « L’Espace de la culture et des loisirs inauguré », sur L'Est républicain, .
- « Fiche Carrière (BRGM) : 69824, Mollet, Chaux, Ages », sur mieralinfo.fr, BRGM (consulté le ).
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- « Fiche Carrière (BRGM) : 69824, Etrapeux », sur mieralinfo.fr, BRGM (consulté le ).
- Rita Sougoumarane, Décision n° 05-D-74 du Conseil de la concurrence en date du 20 décembre 2005 relative à des pratiques mises en œuvre lors de marchés publics de fourniture et de stockage de granulats passés par le conseil général des Vosges, coll. « Bulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes » (no 6), (lire en ligne [PDF]).
- « Fiche détaillée (BRGM) : FRC7001753, Carrière de matériaux alluvionnaires - Les Sablières Georges Cachot », sur ficheinfoterre.brgm.fr, BRGM (consulté le ).
- « Fiche détaillée (BRGM) : FRC7001344, Carrière de matériaux alluvionnaires - G.D.F.C (+ Bétons VICAT), anc. BGIE, anc. HOLCIM Granulats (+ SA BONNEFOY), anc. SA Sablières CACHOT Georges », sur ficheinfoterre.brgm.fr, BRGM (consulté le ).
- Holcim France, Agenda 2013 - holcim haut-rhin, holcim-haut-rhin.fr (lire en ligne [PDF]), p. 13.
- « sablières Gaston Choix et Cie », sur pappers.fr (consulté le ).
- DREAL BFC, Liste des carrières de Bourgogne-Franche-Comté autorisées à la date du 01/01/2021, DREAL BFC, (lire en ligne [PDF]), p. 4.
- Source GDFC.
- « Chemins de fer vicinaux de Haute-Saône Sud » [PDF].
- « Haute-Saône : Le pilote de course Jacques Henry est décédé », sur France 3 Franche-Comté, .