Séez
Séez | |||||
Séez vue depuis Bourg-Saint-Maurice. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Albertville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Haute-Tarentaise (siège) |
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Maire Mandat |
Lionel Arpin 2020-2026 |
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Code postal | 73700 | ||||
Code commune | 73285 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Séerains | ||||
Population municipale |
2 413 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
9 527 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 37′ 25″ nord, 6° 48′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 807 m Max. 2 979 m |
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Superficie | 42,55 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Bourg-Saint-Maurice (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bourg-Saint-Maurice (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bourg-Saint-Maurice | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Savoie (département)
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | seez.fr | ||||
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Séez [se] est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Forêts
[modifier | modifier le code]Séez possède une forêt protégée soumise à la réglementation de protection et de boisements[1]. Cette forêt a été promulguée comme terrain communal grâce à un acte administratif du 1er décembre 1893[2]. L'entrée de la forêt communale se trouve sur la gauche de la RD 1090 en entrant dans Séez. La forêt est actuellement gérée par l'office national des forêts et possède une surface de 155 hectares et 35 aires. La surface de la forêt étant étalée sur une montagne, l'altitude minimale est de 875 mètres et l’altitude maximale de 1 850 mètres pour une moyenne de 1 350 mètres. La forêt est composée à 18 % de pins sylvestres, 6,5 % d'épicéas, 11,5 % de mélèzes, 0,5 % de pins à crochets pour une surface non boisée de 63,5 %[3].
Situation
[modifier | modifier le code]Séez est composé de plusieurs hameaux, dépendants du bourg. Il y a Villard-Dessous, et Villard-Dessus, qu'on trouve sur la route du col du Petit-Saint-Bernard qui permet le passage en Italie. On trouve sur la même route la station de La Rosière. On peut donc rattacher le col à la commune et situer le point culminant de Séez à la montagne du Sommet des Rousses à près de 3 000 m d'altitude.
Voies de communications
[modifier | modifier le code]Séez est traversé par la RD 1090 (ancienne RN 90) qui relie la Tarentaise au vallon de La Thuile (Vallée d'Aoste) par le col du Petit-Saint-Bernard. Cette route bifurque sur la RD 902 depuis le centre du chef-lieu pour desservir les stations de Sainte-Foy-Tarentaise, Villaroger, Tignes, Val-d'Isère et le col de l'Iseran.
Pas de liaison ferroviaire, mais des autocars au départ de la gare de Bourg-Saint-Maurice (4 km) et à destination des stations de ski ci-dessus desservent également la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Séez est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourg-Saint-Maurice[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[5],[6]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourg-Saint-Maurice, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[6]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (45 %), forêts (26,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17 %), prairies (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones urbanisées (2,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]On trouve les formes Sest[10],[11] ou Sexto au XIIe siècle, puis Sexti/Sesti, au XIVe siècle[10].
Son nom vient du fait que la commune se situe à l'emplacement de la borne « six » de la voie romaine (du latin sextum, milliarium = sixième, militaire)[10],[11], un giratoire à l'entrée de Séez représente cette borne.
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Sé (graphie de Conflans) ou Sést (ORB)[12].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le territoire de Séez est limitrophe du Val d'Aoste. Il comprend tout le vallon du col du Petit-Saint-Bernard. Le nom de Séez dérive de Sextus (lapis), la sixième borne milliaire de la voie romaine qui reliait Milan à Lyon et Vienne.
Au Moyen Âge, Séez était le chef-lieu de la seigneurie de « La Val d'Isère », comprenant toute la haute vallée de l'Isère en amont du Versoyen servant de limite avec Bourg-Saint-Maurice, composée également des paroisses de Montvalezan, Sainte-Foy, Villaroger, Saint-Germain-de-Séez et Tignes[13],[14].
Saint-Germain-de-Séez, actuel hameau de Séez, obtient des franchises communales en février 1259[15]. La population est ainsi exemptée de « taille, des chevauchées et de tous autres impôts » en échange de l'entretien de la route et du secours en montagne. Ces libertés obtenues par un hameau sont rares en milieu rural. Elles ont été concédées par la régente Cécile de Savoie, au nom de son fils Boniface, en raison de la position stratégique sur la route du col du Petit-Saint-Bernard du hameau[15],[16]. Des reconnaissances sont faites jusqu'en 1792. Le nom de Saint-Germain est peut-être lié au passage du corps de saint Germain d'Auxerre mort à Ravenne en 448.
Le , Jacquemet de Beaufort, obtient en échange de sa co-seigneurie de Beaufort, la seigneurie de la Val d'Isère du comte Amédée V de Savoie, et achète le titre de vicomte de Tarentaise en 1346 pour 2 000 florins[17]. À l'extinction de la famille de Beaufort, la seigneurie est passée aux Duyn (Duing), puis en 1540 à la famille Mareschal. En 1617, le duc de Savoie a élevé la seigneurie en comté. Pierre de Duyn-Mareschal a été le premier comte la Val d'Isère. En 1784, le dernier comte de La Val d'Isère affranchit Séez et les communes environnantes pour 68 000 livres[18],[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Politiquement, Séez est une ville de droite.
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- élection présidentielle de 2012 : 58,33 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 41,67 % pour François Hollande (PS), 83,07 % de participation.
- élection présidentielle de 2007 : 60,81 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 39,19 % pour Ségolène Royal (PS), 84,92 % de participation.
- élection présidentielle de 2002 : 77,86 % pour Jacques Chirac (RPR), 22,14 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 80,55 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- élections législatives de 2012 : 56,41 % pour Hervé Gaymard (UMP), 43,59 % pour François Rieu (PS), 50,27 % de participation.
- élections législatives de 2007 : 48,07 % pour Hervé Gaymard (UMP), 17,93 % pour André Vairetto (PS), 58,34 % de participation.
- élections législatives de 2002 : 47,42 % pour Hervé Gaymard (UMP), 21,78 % pour André Vairetto (PS), 62,91 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
- élections européennes de 2009 : 26,72 % pour Michèle Rivasi (EELV), 24,48 % pour Françoise Grossetête (UMP), 37,59 % de participation.
- élections européennes de 2004 : 22,59 % pour Michel Rocard (PS), 18,94 % pour Françoise Grossetête (UMP), 38,93 % de participation.
- élections européennes de 1999 : 17,38 % pour François Hollande (PS), 14,21 % pour Nicolas Sarkozy (RPR), 42,16 % de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :
- élections régionales de 2010 : 49,62 % pour Jean-Jack Queyranne (PS), 32,57 % pour Françoise Grossetête (UMP), 42,61 % de participation.
- élections régionales de 2004 : 42,48 % pour Anne-Marie Comparini (UMP), 40,50 % pour Jean-Jack Queyranne (PS), 65,61 % de participation.
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :
- élections cantonales de 2011 : 68,39 % Eric Minoret (DVD), 31,61 % pour Daniel Payot (NC), 47,41 % de participation.
- élections cantonales de 2004 : 58,22 % Damien Perry (DVG), 41,78 % pour Jacqueline Poletti (DVD), 66,37 % de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
- élections municipales de 2014 : 72,88 % pour Jean-Luc Penna (SE), 27,11 % pour Christiane Jaymond (SE), 69,16 % de participation.
- élections municipales de 2008 : - % pour Jean-Louis Grand (SE), 70,95 % de participation.
- élections municipales de 2001 : - % pour (-), - % de participation.
Élections référendaires :
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 54,22 % pour le Non, 45,78 % pour le Oui, 71,05 % de participation.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal de Séez est composé d'un maire et de 18 conseillers municipaux.
Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du Conseil municipal de Séez :
Groupe | Président | Effectif | Statut | ||
---|---|---|---|---|---|
SE | Jean-Luc Penna | 17 | majorité | ||
SE | Christiane Jaymond | 02 | opposition |
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]Séez abrite la maison de l'intercommunalité de Haute-Tarentaise.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].
En 2021, la commune comptait 2 413 habitants[Note 4], en évolution de +0,63 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Industrie
[modifier | modifier le code]La centrale hydroélectrique de Malgovert, qui turbine les eaux de la retenue du barrage du Chevril (Tigne), se trouve sur le territoire de la commune.
Tourisme
[modifier | modifier le code]En 2014, la capacité d'accueil de la station, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 1 789 lits touristiques répartis dans 250 établissements[Note 5]. Les hébergements se répartissent comme suit : 55 meublés, 5 hôtels, une structure d'hôtellerie de plein air, un centre ou village de vacances / maison familiale, un refuge ou gîte d'étape et deux chambres d'hôtes[26].
En 2017, la commune est labellisée « Station verte »[27].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Séez ayant été le chef-lieu des vicomtes de haute Tarentaise, on peut y observer l'ancienne demeure seigneuriale.
L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, dédiée aux saints Pierre et Paul, mentionnée au XIIe siècle, l'église actuelle est consacrée en 1683 dans un style baroque[28].
La Tannerie et la filature Arpin, sont des lieux de grand intérêt et de découverte de l'environnement et de l'artisanat local.
Fêtes, foires
[modifier | modifier le code]- La Pass’ Pitchü, la fête de la réouverture du col du Petit-Saint-Bernard après l'hiver, organisée tour à tour par les communes de Séez et de La Thuile.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Francis Carquet (1845-1899) magistrat et député de la circonscription (1889-1899). Auteur d'une brochure Le percement du Petit-Saint-Bernard (1880-1881)
- Joseph-Marie Emprin (1865-1939), curé de Sainte-Foy et écrivain, Secrétaire perpétuel de l'Académie de la Val d'Isère (1918-1939)[29]. On lui doit une première Histoire de Sainte-Foy-Tarentaise (1933)[30].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Marius Hudry, « L'église de Séez », dans Congrès archéologique de France. 123e session. Savoie. 1965, Paris, Société française d'archéologie, (lire en ligne), p. 137-149
- Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 201-208. ([PDF] lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la Mairie
- Site de l'office de tourisme
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bourg-Saint-Maurice comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'implique donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[26].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- « SEEZ - Observatoire des Territoires de la Savoie », sur observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Forêt domaniale R.T.M de SEEZ, 45 p. (lire en ligne), « 0.1. Désignation et situation de la forêt », p. 6.
- Forêt domaniale R.T.M de SEEZ, 45 p. (lire en ligne), « 1.4.4 - Répartition des essences forestières », p. 15.
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bourg-Saint-Maurice », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Séez ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bourg-Saint-Maurice », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 5728..
- G. R. Wipf, Noms de lieux des pays franco-provençaux : Région Rhône-Alpes, Suisse romande, Val d'Aoste : histoire et étymologie, Imprimeries réunies de Chambéry, , 342 p. (ISBN 978-2-90423-400-2), p. 160.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Joseph Garin, Le Beaufortain : une belle vallée de Savoie : guide historique et touristique illustré, Montmélian, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 1996) (1re éd. 1939), 287 p. (ISBN 978-2-84206-020-6 et 2-84206-020-2, lire en ligne), p. 33.
- Hudry 1982, p. 173.
- Ruth Mariotte Löber, Ville et seigneurie : Les chartes de franchises des comtes de Savoie, fin XIIe siècle-1343, Librairie Droz - Académie florimontane, , 266 p. (ISBN 978-2-600-04503-2, lire en ligne), p. 167.
- Article de Farbice Mouthon, « Les communautés alpines et l'Etat », p. 164, notamment la note de bas de page n°62, in Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, Montagnes médiévales : XXXIVe Congrès de la SHMES, Chambéry, 23-25 mai 2003, vol. 79, Publications de la Sorbonne, coll. « Histoire ancienne et médiévale », , 450 p. (ISBN 978-2-85944-513-3, lire en ligne).
- Marcel Charvin, Histoires… de Val d'Isère, CNRS Éditions, , 323 p., p. 69.
- Hudry 1965, p. 137-138
- Brigitte Alzieu et Éveline Alzieu-Martin, Val d'Isère jadis et naguère, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 210 p., p. 49
- « [...] un protocole d'accord est signé, en 1984, entre la commune de Séez alors représentée par son maire, M. Murzilli et celle de Montvalezan » [1]
- Jean-Luc Traini, « Séez : Lionel Arpin élu maire, Jean-Luc Penna démissionne », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté le ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
- « Séez », Station, sur site du label Station verte - stationverte.com (consulté en ).
- Raymond Oursel, Les chemins du sacré : L'art sacré en Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 393 p. (ISBN 978-2-84206-350-4, lire en ligne), p. 248-249.
- Notice sur data.bnf.fr.
- Joseph-Marie Emprin, Histoire de Sainte-Foy-Tarentaise, Imprimerie de la Manufacture de la Charité, Montpellier, 1933, 382 pages (Réimpression 1999, Imprimerie Medcom, Lyon).