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Système mondial de détresse et de sécurité en mer

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Station radio SMDSM. À gauche MF/HF et ASN : MF/HF au centre INMARSAT C à droite VHF et ASN : VHF.
Station radio SMDSM. À gauche INMARSAT C au centre MF/HF ASN : MF/HF et VHF et ASN : VHF et à droite machine de radiotélétype.

Le système mondial de détresse et de sécurité en mer (SMDSM ou en anglais GMDSS : Global Maritime Distress and Safety System) est un système international qui utilise des moyens de télécommunications pour la recherche et le sauvetage en mer et la prévention des accidents maritimes. Il fait partie des systèmes de la marétique.

Avant l'entrée en vigueur du système SMDSM ou GMDSS (Global Maritime Distress and Safety System) en 1999, la sécurité en mer reposait en partie sur les bons usages maritimes. Les alertes (messages de détresse) étaient envoyées à tous[1] (l'entraide des gens de mer).

Dans le système traditionnel radiotélégraphique et radiotéléphonique ou système antérieur de détresse et de sécurité en mer, c’est la station de navire, la station d'aéronef ou la station terrestre recevant la détresse qui se chargeait soit de porter secours, soit de relayer l’appel de détresse afin de déclencher les opérations de recherche et de sauvetage.

Le système mondial de détresse et de sécurité en mer (SMDSM 1999) est conçu pour qu'à tout moment un navire soit capable d'entrer rapidement en contact avec les centres de coordination de sauvetage en mer (le CROSS en France, le MRCC — Maritime Rescue Coordination Centre — en anglais) qui sont chargés, selon la convention Search And Rescue (signée à Hambourg en 1979, ou SAR 79), de coordonner les opérations de recherche et de sauvetage dans leur zone de responsabilité SAR (Search And Rescue).

Le système

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Le système a été mondialisé et les gros navires sont obligatoirement munis depuis 1999, selon leur zone de navigation, d'appareils capables d'émettre (et de recevoir) des alertes et messages de détresse qui seront captés également par des stations terrestres. Les émetteurs-récepteurs gardent en mémoire les messages émis et reçus.

Les messages se font sur des fréquences fixées et sont numériques. Il devient possible de faire des appels sélectifs numériques (ASN en français, DSC — Digital Selective Calling — en anglais) par les émetteurs-récepteurs en VHF avec ASN et par les émetteurs-récepteurs MF/HF pourvus de l'ASN.

Les transmetteurs VHF et MF/HF sont couplés à des systèmes de positionnement par satellite, la position du navire peut être également transmise dans le corps du message.

Chaque navire se voit attribuer un numéro MMSI (ISMM — Identité du service maritime mobile — en français, Maritime Mobile Service Identity an anglais) de neuf chiffres dont les trois premiers (ou MID) correspondent à la nationalité de l'émetteur ou sa région géographique[2]. Les gros navires doivent avoir leurs émetteurs-récepteurs SMDSM en service 24h/24 en mer.

Le centre terrestre responsable de la surveillance de la zone (MRCC — Maritime Rescue Coordinating Centre), en France le CROSS, prend en charge la gestion de l'alerte et se charge de déployer les secours.

Schéma exemple des limites de zones d'exploitation du SMDSM.

Des zones maritimes ont été définies [3]:

  • Zone A1 (zone côtière) : zone couverte par au moins une station côtière travaillant en bandes métriques (VHF) utilisant l'ASN ;
  • Zone A2 (zone large) : zone couverte par au moins une station côtière travaillant en bandes hectométriques (MF) utilisant l'ASN hors zone A1 ;
  • Zone A3 (zone grand large) : zone sous couverture d'un satellite géostationnaire d'Inmarsat hors zone A1 et A2 ;
  • Zone A4 (zones polaires) : zone couverte par la HF avec l'ASN, hors zones A1, A2, A3.

L'alerte doit pouvoir être donnée à tout moment dans toutes les zones.

Les équipements

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Le système SMDSM impose aux navires soumis aux règles du SOLAS l'usage d'équipements de communication particuliers.

Radiobalise de localisation des sinistres (RLS)

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Sur un navire, coffret contenant une balise EPIRB avec système de largage automatique (capot ouvert).

Une radiobalise de localisation des sinistres (RLS) ou Emergency position-indicating radio beacon (EPIRB) émet, en cas de détresse, un signal à destination des satellites de recherche et sauvetage des réseaux Cospas-Sarsat. Ces derniers déterminent la position de la balise et la transmettent alors au bureau de recherche le plus proche[4].

La balise est portable, étanche et flottante, et se déclenche soit manuellement, soit automatiquement avec la pression hydrostatique lorsqu'elle est immergée. Elle émet dans la bande de fréquence 406 MHz en numérique. Sa batterie lui octroie une autonomie de 48h minimum, et 100h à +20 °C et 40h à -40 °C[3].

Si le système original COSPAS/SARSAT pouvait à l’origine calculer la position de la balise avec une précision à 3 milles marins près, les derniers modèles, équipés avec des récepteurs GPS, peuvent désormais atteindre une précision de 120 mètres environ[4].

Le Navtexi permet la réception des informations relatives à la sécurité de la navigation (MSI en anglais : Maritime Safety Information) sous forme de textes.

Les stations NAVTEX (NAVigational TEXt messages) émettent en MF et travaillent sur une fréquence de 518 kHz pour les messages internationaux en anglais (obligatoire) et sur la fréquence 490 kHz pour les messages nationaux, dans la langue du pays émetteur (optionnel)[4].

Les messages sont codés en fonction de leur contenu[3]. Par exemple :

  • A : Alertes de navigation
  • B : Alertes météo
  • C : Bulletin sur les glaces
  • D : Recherche et sauvetage en mer
  • E : Bulletin météo
  • F : Pilotage maritime
  • G : SIA
  • L : Alertes de navigations supplémentaires

Appel sélectif numérique

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L'appel sélectif numérique ASN, (DSC en anglais : Digital Selective calling) est équipé sur les radios MF, HF, et VHF, et permet d’initier la communication entre deux opérateurs radio (à bord ou à terre)[5]. Il permet par exemple d’appeler un navire ou une station côtière en particulier à l’aide de son Maritime Mobile Service Identity (MMSI) (Identité du service mobile maritime).

De plus cet équipement permet aussi d’émettre des messages de détresses préformatés, utilisés pour initier la communication avec les unités de recherche et de sauvetage[4].

Certificats d'opérateur SMDSM

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Long Range Certificate - LRC -
Certificat restreint de radiotéléphoniste maritime

Depuis 1999, la réglementation STCW impose les certificats d'opérateur SMDSM suivants :

Pour les navires de commerce
  • Certificat restreint d'opérateur (CRO) type « (SRC) Short Range Certificate » (en anglais ROC, Restricted Operator's Certificate) : valide pour tous les navires exploités dans la zone A1
  • Certificat général d'opérateur (CGO) type (LRC) « Long Range Certificate » (en anglais GOC, General Operator's Certificate) : pour tous les navires et dans toutes les zones.
Opérateur des radiocommunications professionnels responsable des installations SMDSM
  • Certificat de radioélectronicien de 1re classe (CR1) : responsable de l’entretien des installations SMDSM, révisions et programmations des postes radios.
  • Certificat de radioélectronicien de deuxième classe (CR2) : responsable de l’entretien des installations SMDSM, révisions et programmations des postes radios (Pas de session en France).
Pour tous les plaisanciers

Les zones SMDSM 1999

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Émetteur récepteur d'appel sélectif numérique

Les installations à terre : Chaque État décide du classement de ses côtes[9].

Depuis , quatre zones de couverture radioélectrique sont définies[10] dans lesquelles les navires doivent pouvoir :

  • émettre et recevoir des signaux de repérage ;
  • recevoir des alertes de détresse terre/navire ;
  • émettre et recevoir des communications sur place ;
  • émettre et recevoir des alertes de détresse navire/navire
  • émettre et recevoir des radiocommunications d'ordre général ;
  • émettre et recevoir des communications de passerelle à passerelle.
  • émettre et recevoir des renseignements sur la sécurité maritime (RSM) ;
  • émettre des alertes de détresse navire/terre (par deux moyens différents) ;
  • émettre et recevoir des communications de coordination des opérations de recherche et sauvetage.

En zone A1, l'État s'impose une couverture radioélectrique d'au moins une station côtière travaillant en ondes métriques et utilisant la technique d’appel sélectif numérique (ASN) en VHF sur la fréquence 156,525 MHz (voie 70 des ondes métriques) en permanence (24h/24h).

En zone A2, l'État s'impose une couverture totale en ondes hectométriques avec appel sélectif numérique (ASN) cela par la couverture radioélectrique d'au moins une station côtière travaillant en ondes hectométriques et utilisant la technique d’appel sélectif numérique sur la fréquence 2 187,5 kHz (ASN).

Les territoires dans la zone A2 : Les stations côtières des États qui ne participent pas au SMDSM de 1999 donc en VHF sont dispensées d'avoir une couverture radioélectrique en appel sélectif numérique sur le canal 70. La couverture radioélectrique est : en ondes hectométriques sur le canal 2 187,5 kHz en veille automatique par l'appel sélectif numérique, et proche de la côte en ondes métriques sur le canal 16 en radiotéléphonie.

En zone A3, l'État est dispensé d'avoir une couverture radioélectrique en ondes métriques et en ondes hectométriques en appel sélectif numérique (donc sans la technique d’appel sélectif numérique sur les fréquences 2 187,5 kHz (ASN) et 156,525 MHz (ASN) de la voie 70).

La zone A3 est limitée à la couverture radioélectrique assurée par

  • le service Inmarsat (Fleet 77, fleetBroadband et service Inmarsat C (International maritime satellite), entre les 76°N et 76°S ;
  • ou également dans la portée d'une station côtière HF. La fréquence d’appel sélectif numérique en HF est 8 414,5 kHz (portée < 3000 km de jour et le monde dans la nuit). À côté de la fréquence d'appel sélectif numérique 8 414,5 kHz, on veille sur une deuxième fréquence décamétrique d’appel sélectif numérique : 4 207,5 kHz, 6 312 kHz, 12 557 kHz ou 16 804,5 kHz.

Exemple : Les DOM-TOM « département et région d'outre-mer » et « territoire d’outre-mer », sont classés en zone A3. La veille en radiotéléphonie des stations côtières y est assurée dans le système antérieur de détresse et de sécurité en mer dans la portée d’une station radio côtière VHF sur le Canal 16 fréquence 156,8 MHz, et dans la portée d’une station côtière (onde hectométrique) sur la fréquence 2 182 kHz. La couverture radio en appel sélectif numérique est alors assurée par les satellites Inmarsat ; les Renseignements sur la Sécurité Maritime (RSM) étant diffusés par l’intermédiaire de ses satellites (SafetyNet).

La zone A4 est la zone hors A1, A2 et A3, soit au-delà des 76° Nord et 76° Sud, c'est-à-dire l’Arctique et l’Antarctique (zone polaire).

  • Couverte uniquement en HF 8 414,5 kHz (onde décamétrique). Portée < 3 000 km de jour et le monde dans la nuit.
  • À côté de la fréquence (ASN) 8 414,5 kHz, on veille sur une deuxième fréquence décamétrique d’appel sélectif numérique : 4 207,5 kHz, 6 312 kHz, 12 557 kHz ou 16 804,5 kHz.

Ces zones SMDSM 1999 en Europe sont illustrées ci-contre. [1]

Les zones SMDSM A1 à A3 en Europe

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Depuis en Europe, les côtes sont classées A1, A2 et A3 pour les cas d’appel sélectif numérique :

  • La zone A1 est dans la portée d'une station radio côtière VHF. Fréquence 156,525 MHz (voie 70 des ondes métriques) jusqu'à 40 km de la côte.
  • La zone A2 est dans la portée d'une station côtière (onde hectométrique) sur la fréquence 2 187,5 kHz jusqu'à 600 km de la côte.
  • La zone A3 est la zone hauturière entre les latitudes 76° Nord et 76° Sud couverte par le service Inmarsat (International maritime satellite), ou également dans la portée d'une station côtière HF : 8 414,5 kHz. Portée < 3 000 km de jour et le monde dans la nuit.

En zones A1 et A2, les États doivent en outre assurer une diffusion des Renseignements sur la Sécurité Maritime (RSM) à l'aide du système Navtex.

Radiotélex

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Dans le monde le réseau radiotélex:

Compatibilité des systèmes

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Émetteurs récepteurs SMDSM 1999 de passerelle avec l'ASN.
Système antérieur. Veille radio dans un navire de pêche sans l'ASN.

La réforme de 1999 a automatisé et simplifié le système d'appel de détresse, mais l'ancienne méthode de la veille radio cohabite en raison des installations toujours présentes.

Il en résulte la cohabitation de deux flottes :

Pour résoudre cette cohabitation, la veille radio des navires SMDSM 1999 équipés en ASN sur quatre zones + le canal 16. En cas d'appel sélectif numérique, l'officier chargé du quart se connecte en radiotéléphonie sur le système antérieur (non ASN) qui est utilisé par les navires et les stations côtières non équipées de l'ASN. Donc, à la réception de l'appel sélectif numérique, le navire équipé SMDSM 1999 passe sur une fréquence radiotéléphonique de la même bande radio pour communiquer avec l’autre flotte (en ASN, il est possible de transmettre un rendez-vous sur une fréquence de travail sans passer par la fréquence de veille en radiotéléphonie).

Tableau des systèmes

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Tableau comparatif des systèmes de détresse et de sécurité en mer
SMDSM 1988 antérieur dans les navires [NB 2] SMDSM 1999 dans les navires Types et fonctions
sans 490 kHz[14] réception Système Navtex en langue locale. Réceptions des Renseignements sur la Sécurité Maritime (RSM) jusqu'à 300 milles marins (zone côtière)
500 kHz veille obligatoire [15] sans Fréquence internationale de détresse en radiotélégraphie. (SOS)[16],[17]. Non SMDSM depuis [18].
La fréquence radiotélégraphique de 500 kHz est utilisé par des stations de plusieurs pays [NB 3]
518 kHz réception 518 kHz réception Système international Navtex[19]. Réceptions des Renseignements sur la Sécurité Maritime (RSM) jusqu'à 300 milles marins (zone côtière)
2 091 kHz sans Fréquence de détresse dans la zone de convergence intertropicale en radiotélégraphie Morse. En plus de la fréquence de 500 kHz
2 174,5 kHz 2 174,5 kHz Fréquence internationale de détresse, d'urgence et de sécurité en radiotélex[20],[21]
2 182 kHz veille obligatoire 2 182 kHz Fréquence internationale de détresse en radiotéléphonie en USB de la bande 1,605 MHz à 4 MHz[22].
2 187,5 kHz 2 187,5 kHz veille obligatoire zone A2 + (A3 et A4) Fréquence internationale d’appel sélectif numérique de la bande 1,605 MHz à 4 MHz avec MMSI[23]. Puis radiotéléphonie sur la fréquence de 2 182 kHz
3 023 kHz 3 023 kHz Fréquence d’urgence aéronautique en radiotéléphonie en USB de la bande 1,605 MHz à 4 MHz. Interconnexion (air/mer/terre)[24]
sans 4 209,5 kHz réception[25] Système Navtex en zone tropicale. Réceptions des Renseignements sur la Sécurité Maritime (RSM)
4 125 kHz 4 125 kHz Fréquence auxiliaire à 2 182 kHz. (air/mer/terre), inter-aéronef en USB. P maxi 1 kW[26]
sans 4 207,5 kHz Fréquence internationale d’appel sélectif numérique. Supplémentaire à 8 414,5 kHz Ralliement de détresse sur 4 125 kHz en USB
5 680 kHz 5 680 kHz Fréquence d’urgence aéronautique en radiotéléphonie en USB. Interconnexion (air/mer/terre)[27]
6 215 kHz 6 215 kHz Fréquence auxiliaire à 2 182 kHz en U.S.B. P maxi 1 kW[28]
sans 6 312 kHz Fréquence internationale d’appel sélectif numérique. Supplémentaire à 8 414,5 kHz Ralliement de détresse sur 6 215 kHz en USB
8 364 kHz[29] sans Fréquence internationale de détresse en radiotélégraphie SOS (internationale jusqu'en ) [30],[18],[31].
La fréquence radiotélégraphique de 8 364 kHz est utilisé par des stations de plusieurs pays [NB 4]
sans 8 414,5 kHz veille obligatoire zone A4 (et zone A3 sans Inmarsat) Fréquence HF internationale d’appel sélectif numérique avec MMSI[32]. Zone A4. (et zone A3 sans Inmarsat) Ralliement de détresse sur 8 291 kHz en USB
sans 12 557 kHz Fréquence internationale d’appel sélectif numérique. Supplémentaire à 8 414,5 kHz Ralliement de détresse sur 12 290 kHz en USB
sans 16 804,5 kHz Fréquence internationale d’appel sélectif numérique. Supplémentaire à 8 414,5 kHz Ralliement de détresse sur 16 420 kHz en USB
121,500 MHz 121,500 MHz Fréquence d’urgence aéronautique en AM[33] (en vue d'un aéronef). Dégagement sur 123,1 MHz[34]
sans 156,525 MHz veille obligatoire zone A1 + (A2,A3,A4) Canal 70 d'appel en ASN[35] dans la Zone A1. Ralliement de détresse sur la voie 16 en FM
156,8 MHz veille obligatoire 156,8 MHz veille obligatoire voie 16 ou canal 16 internationale de détresse des ondes métriques en radiotéléphonie en FM[36].
406 à 406,1 MHz 406 à 406,1 MHz[37] Radiobalises de localisation de sinistre (RLS) en transmission du MMSI. Radioralliement sur 121,500 MHz.
1645,5 à 1646,5 MHz 1645,5 à 1646,5 MHz veille obligatoire zone A3 Message Inmarsat B ou C en Zone A3[38] (ou sans Inmarsat veille sur la fréquence 8 414,5 kHz)
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Liste des matériels radios exigés en zone A1 des navires de charge de jauge brute supérieure à 300, des navires de pêche de longueur supérieure à 45 m, des navires à passagers de navigation internationale :

Liste des matériels radios exigés en zone A1 des navires de charge de jauge brute inférieure à 300 :

Liste des matériels radios exigés en zone A1 des navires de pêche de longueur inférieure à 45 m et des navires à passagers de navigation nationale 4e et 5e catégories :

Notes et références

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  1. La veille sur le Canal 16 est jusqu’à ce que le comité de la sécurité maritime de l’OMI décide de suspendre cette obligation, tout navire à la mer doit rester en permanence à l'écoute de la voie 16 en VHF. Cette veille doit être assurée au poste de navigation habituel du navire
  2. Système antérieur est toujours utilisé dans les navires de l'Afrique, de l'Amérique du Sud côté Est, des DOM-TOM région ou département d’outre-mer et territoire d’outre-mer, Asie, et leurs navires et aéronefs : Algérie, Arabie saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Biélorussie, Chine, Comores, Djibouti, Égypte, Émirats arabes unis, Russie, Irak, Jordanie, Kazakhstan, Koweït, Liban, Libye, Mauritanie, Oman, Ouzbékistan, Qatar, Syrie, Kirghizistan, Somalie, Soudan, Tunisie et Yémen.
  3. La fréquence radiotélégraphique de 500 kHz est utilisé par des stations ces pays et leurs navires et (aéronefs) : Algérie, Arabie saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Biélorussie, Chine, Comores, Djibouti, Égypte, Émirats arabes unis, Russie, Irak, Jordanie, Kazakhstan, Koweït, Liban, Libye, Mauritanie, Oman, Ouzbékistan, Qatar, Syrie, Kirghizistan, Somalie, Soudan, Tunisie et Yémen. Référence Conférences Mondiale des radiocommunications de 2012
  4. La fréquence radiotélégraphique de 8 364 kHz est utilisé par des stations ces pays et leurs navires et aéronefs : Algérie, Arabie saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Biélorussie, Chine, Comores, Djibouti, Égypte, Émirats arabes unis, Russie, Irak, Jordanie, Kazakhstan, Koweït, Liban, Libye, Mauritanie, Oman, Ouzbékistan, Qatar, Syrie, Kirghizistan, Somalie, Soudan, Tunisie et Yémen. Référence Conférences Mondiale des radiocommunications de 2012

Références

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  1. On trouvera plus de détails sur l'article consacré au naufrage du Titanic en 1912.
  2. UIT références
  3. a b et c (en) Admiralty List of Radios Signals volume 5, Admiralty.
  4. a b c et d Stan Lettany, GMDSS COURS ROC & GOC PROFESSIONNEL, 161 p..
  5. (en) « What Marine Communication Systems Are Used in the Maritime Industry? », sur marineinsight.com, (consulté le ).
  6. les États suivant les recommandations de l'Union internationale des télécommunications s'impose la RÉSOLUTION 343 (CMR-97) : Certificats pour le personnel des stations de navire et des stations terriennes de navire pour lesquelles une installation radioélectrique n'est pas obligatoire. Donc pour le certificat restreint de radiotéléphoniste: la recommandation RR55 :3886 et 3887 de l'Union internationale des télécommunications.
  7. Arrêté du 22 février 2011 modifiant l’arrêté du 18 mai 2005 relatif aux certificats restreints de radiotéléphoniste du service mobile maritime et du service mobile fluvial et aux droits d’examen concernant ces certificats
  8. La VHF modalités et nouvelles conditions d’utilisation
  9. « L’ensemble des renseignements concernant chaque État est rassemblé dans GMDSS master plan diffusé par l’OMI ou encore le plan cadre sur le SMDSM »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  10. http://pagesperso-orange.fr/SMDSM/images/214.jpg
  11. Convention et Règlements administratifs de l'Union internationale des télécommunications. ARTICLE S32 et ARTICLE S33 Procédures d'exploitation pour les communications de détresse et de sécurité dans le Système mondial de détresse et de sécurité en mer (SMDSM).
  12. Article 219.24.3 division 219
  13. Exemple de Certificat restreint de radiotéléphoniste maritime véhicules nautiques de plaisance à usage personnel interdisant l'ASN dans les bandes 1,6 kHz à 26 MHz
  14. Résolution no 329 (Mob-87): Procédure applicable aux stations émettant des renseignements de type NAVTEX sur les fréquences 490 kHz et 4 209,5 kHz.
  15. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR472/S5.83 ; RR2970 ; RR3010 ; RRN3067 ; RR4679A ;
  16. Convention radiotélégraphique internationale de 1912.
  17. Convention SOLAS adoptée en 1914.
  18. a et b REFLETS DE L'OMI CATASTROPHES ET SURVIE - LE SAUVETAGE EN MER page 11 le code Morse n'est plus utilisé.
  19. Résolution no 324 (Mob -87): Procédures à appliquer pour la coordination de l'utilisation de la fréquence 518 kHz pour le système NAVTEX international
  20. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.110 ; AP 15, tableau 15-1.
  21. Convention et Règlements administratifs de l'Union internationale des télécommunications. Article S32 et S33 : Procédures d'exploitation pour les communications de détresse et de sécurité dans le Système mondial de détresse et de sécurité en mer (SMDSM).
  22. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.108 ; RR5.111 ; RR30.11 ; RR52.189 ; RR52.190 ; AP15, tableau 15-1 ; RES 331 (Rév.CMR-07) ; RES 354 (CMR-07).
  23. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.109 ; RR54.2 ; AP15, tableau 15-1.
  24. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR501/S5.111 ; RR505/S5.115 ; RRN2978 ; RR2980 ; Résolution no 403 ; appendice 27 Aer2 (no 27/196).
  25. Résolution no 332 : Utilisation de la fréquence 4 209,5 kHz pour les émissions du type NAVTEX dans le service mobile maritime.
  26. RR5.130 ; RR30.11 ; RR52.221 ; RR52.221.1 ; RR52.221.2 ; RR52.221.3 ; RR54.2 ; AP15, tableau 15-1 ; AP 17, parties A et B.
  27. RR5.111 ; RR5.115 ; AP15, tableau 15-1 ; AP27/224, 232
  28. RR5.130 ; RR52.221 ; RR52.221.2 ; RR52.221.3 ; AP15, tableau 15-1.
  29. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.111 ; AP17, Parties A, B
  30. Procédures radiotélégraphiques Morse dans le service mobile maritime. L'emploi des signaux du code Morse n'est plus obligatoire. Toutefois, étant donné que la radiotélégraphie est moins sensible au brouillage et constitue le moyen le plus efficace en cas d'urgence ou de catastrophe, l'utilisation du code Morse dans certaines zones par certains opérateurs pourrait être utile dans la pratique et offrir parfois le seul moyen de communication disponible.
  31. Fréquence internationale de détresse 8 364 kHz pour les naufragés, survivants, embarcations et radeaux de sauvetage
  32. Recommandation de l'Union internationale des télécommunications, référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.109 ; RR52.149 ; RR54.2 ; AP15, tableau 15-1 ; AP17, partie A.
  33. Recommandation de l'Union internationale des télécommunications, référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.111 ; RR5.200 ; AP15, tableau 15-2.
  34. Recommandation de l'Union internationale des télécommunications, référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.200 ; AP15, tableau 15-2.
  35. Recommandation de l'Union internationale des télécommunications, référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.227 ; RR52.159 ; RR52.160 ; RR54.2 ; AP15, tableau 15-2 ; AP18.
  36. Recommandation de l'Union internationale des télécommunications, référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.111 ; RR5.226 ; RR30.11 ; RR54.2 ; AP15, tableau 15-2 ; AP18.
  37. Résolution 205 (rév.Mob-87)
  38. Recommandation de l'Union internationale des télécommunications, référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.375 ; AP15, tableau 15-2.

Articles connexes

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Liens externes

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