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Saint-Arnac

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Saint-Arnac
Saint-Arnac
Au loin le Massif du Madrès
Blason de Saint-Arnac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades[1]
Intercommunalité Communauté de communes Agly Fenouillèdes
Maire
Mandat
Guy Calvet
2020-2026
Code postal 66220
Code commune 66169
Démographie
Gentilé Saintarnacois
Population
municipale
104 hab. (2021 en évolution de −14,75 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 46′ 51″ nord, 2° 31′ 48″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 583 m
Superficie 6,60 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales La Vallée de l'Agly
Localisation
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Saint-Arnac
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Saint-Arnac
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Saint-Arnac

Saint-Arnac Écouter est une commune française, située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Saintarnacois. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agly, Rec Grand et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Arnac est une commune rurale qui compte 104 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Saint-Arnacois ou Saint-Arnacoises.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Saint-Arnac se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 31 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 20 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 28 km de Rivesaltes[4], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Ansignan (2,4 km), Lesquerde (2,4 km), Lansac (3,0 km), Saint-Paul-de-Fenouillet (3,9 km), Felluns (4,2 km), Trilla (4,5 km), Saint-Martin-de-Fenouillet (5,0 km), Pézilla-de-Conflent (6,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Arnac fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[6].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Communes limitrophes de Saint-Arnac[7]
Lesquerde
Saint-Martin-de-Fenouillet Saint-Arnac[7] Lansac
Ansignan Caramany

Paysages, géologie et relief

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Le village et la « ligne » des Corbières en arrière-plan.
Le village (au centre), la Serre de Vergès (en haut à droite), et le site de l'ancien moulin dans la vallée de l'Agly (en bas à droite).

Saint-Arnac un petit village entouré de vignes et de garrigue, situé sur une colline qui domine le fleuve Agly[8]. Au bord duquel, se trouve un ancien moulin d'abord à huile, puis à farine et actuellement devenu une petite usine hydraulique. Le village est lui-même dominé par le « Roc (ou Serre) de Vergès » qui culmine à 583 mètres, duquel la vallée de l'Agly, les Corbières et le château de Quéribus sont visibles, la plaine du Roussillon et le Canigou, la côte de Leucate à Collioure et à l'opposé la Cerdagne, le Madrès et le pic de Bugarach[9].

La commune repose essentiellement sur des roches plutoniques (principalement du granit) qui datent de l'orogenèse varisque, il y a environ 300 millions d'années. Le village de Saint-Arnac lui-même est situé sur un affleurement de gabbro[10]. La Serre de Vergès est une enclave de calcaire mésozoïque métamorphisé qui se situe en bordure sud de la zone du granit de Saint-Arnac. Cette enclave calcaire est délimitée par des failles quasi verticales. Le calcaire a mieux résisté à l'érosion que le granite, et il s'élève haut et bien en vue au-dessus des plateaux et des vallées adjacents[11],[12].

La culture principale est la vigne, et un élevage de chèvres.

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[13].

Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 797 mm, avec 8 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Paul-de-Fenouillet à 4 km à vol d'oiseau[16], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 765,9 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[20] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[21].

Au , Saint-Arnac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), mines, décharges et chantiers (12,2 %), cultures permanentes (7,8 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Arnac est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].

Risques naturels

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Zones inondables de la commune de Saint-Arnac.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly[25].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[26]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[27]

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Arnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Panneau du village

Attestations anciennes

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Centernach en 899 (villare Centernacho); Centernacum dès 1137; Centernac en 1266 ou 1268; Sent Arnach en 1267; Sent Ernach (Ermengaud de So); Santo Arnacho en 1241; Sant Arnach ou Sanctum Arnachum, puis Saint-Arnac ou Saint-Arnach en français[29],[30],[31].

Étymologie

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Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine ou du début du Moyen Âge en -acum[29],[31], suffixe de localisation puis de propriété d’origine gauloise (-acon), précédé d'un anthroponyme gaulois ou latin dont la forme initiale a donné lieu à plusieurs hypothèses :

  • Centirio, -onis[29];
  • Cintirio(n)[30]
  • Centerinus (de Centenus) ;
  • Cincturinus (de Cinctura) ;
  • Centuriones (du centurion).

Le toponyme étant devenu opaque, il est tombé dans l'attraction des hagionymes commençant par Sant / Sent « saint » en catalan dès le XIIe siècle et traduit par Saint- en français. Il n'y a pas de saint Arnac, le rapprochement avec saint Arnoc en Bretagne est fortuit, tout comme l'homographie avec les différents Arnac du domaine d’oc.

Saint-Arnac fait partie de l'Association des communes de France aux noms burlesques et chantants.

La première mention du lieu en 899 spécifie qu'il est la propriété d'un certain noble Estève et de son épouse Anna. Celle-ci est la petite-fille du comte Berà[Qui ?][32].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
1944 1945 François Bes    
1945 1983 Achille Calvet    
1983 2001 Jean-Louis Bourges    
2001 2008 André Rollat[33],[34],[35]    
2008 En cours Guy Calvet[36],[37]    

Population et société

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Démographie ancienne

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La population est exprimée en nombre de feux (f).

Évolution de la population
1693 1720 1774 1789
48 f9 f16 f14 f
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Démographie contemporaine

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

En 2021, la commune comptait 104 habitants[Note 4], en évolution de −14,75 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8596113122121150143137120
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
120118124112118115120122118
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
109118101105104109978585
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1029567686582116120121
2017 2021 - - - - - - -
115104-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[42] 1975[42] 1982[42] 1990[42] 1999[42] 2006[43] 2009[44] 2013[45]
Rang de la commune dans le département 189 175 188 192 179 171 168 174
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête patronale : [46] ;
  • Fête communale : 1er août[46].
Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 11,6 % 13,8 % 12,3 %
Département[I 6] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 71 personnes, parmi lesquelles on compte 57,5 % d'actifs (45,2 % ayant un emploi et 12,3 % de chômeurs) et 42,5 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 8]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 25 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 33, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,9 %[I 9].

Sur ces 33 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 11,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

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14 établissements[Note 6] sont implantés à Saint-Arnac au [I 12]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,7 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 14 entreprises implantées à Saint-Arnac), contre 8,7 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 10 8 5 3
SAU[Note 7] (ha) 86 115 132 64

La commune est dans les « Corbières du Roussillon », une petite région agricole occupant le nord du département des Pyrénées-Orientales[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 64 ha[49],[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Pierre.

Monuments et lieux touristiques

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Personnalités liées à la commune

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L'abbé Ruffié Jean-Baptiste, ancien professeur de philosophie, curé doyen d'Alet (Aude) possède une concession perpétuelle dans la commune[50].

Héraldique

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Blason de Saint-Arnac Blason
D’azur à l’ombre de triangle, la pointe en bas, au chef d’or chargé d’une croisette patté de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Arnac ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Arnac » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Arnac » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Arnac » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

Autres sources

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  1. « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Arnac et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Arnac et Prades », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Arnac et Rivesaltes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Saint-Arnac », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. Carte topographique (Géoportail).
  9. Elisabeth Le Goff, Marc Calvet, Anne-Marie Moigne, Curiosités Géologiques des Pyrénées-Orientales, Orléans : BRGM Éditions, 2018, (ISBN 978-2-7159-2660-8), site 3, Les calcaires métamorphiques de la Serre de Vergès, pages 60-61.
  10. Notice explicative de la feuille Rivesaltes (1090) à 1/50 000, BRGM Éditions, Orléans, 1993.
  11. Carte géologique (Géoportail).
  12. LRO2062 - Géosite du Serre de Vergès, l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), sur inpn.mnhn.fr. À noter aussi : ce site précise que, sur la Serre de Vergès, "des dépôts karstiques ont révélé la présence d'une faune de rongeurs d'âge burdigalien inférieur (18 à 19 Ma) au sommet du piton calcaire".
  13. « Connaitre-les-risques-pres-de-chez-moi » (consulté le ).
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Saint-Arnac et Saint-Paul-de-Fenouillet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « St Paul De Fenouillet » (commune de Saint-Paul-de-Fenouillet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « St Paul De Fenouillet » (commune de Saint-Paul-de-Fenouillet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Arnac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  24. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Arnac », sur Géorisques (consulté le ).
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