Saint-Sauveur (Haute-Saône)
Saint-Sauveur | |||||
L'église de Saint-Sauveur. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Lure | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Luxeuil | ||||
Maire Mandat |
Jacques Deshayes 2020-2026 |
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Code postal | 70300 | ||||
Code commune | 70473 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salvatorien | ||||
Population municipale |
1 938 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 161 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 48′ 16″ nord, 6° 23′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 268 m Max. 304 m |
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Superficie | 12,02 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Luxeuil-les-Bains (banlieue) |
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Aire d'attraction | Luxeuil-les-Bains (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Luxeuil-les-Bains | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | st-sauveur.fr | ||||
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Saint-Sauveur est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Sauveur est traversée par le Breuchin et le Vay de Brest.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 074 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 977,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25,9 °C, atteinte le [Note 1],[3],[4].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1,2 | −1,1 | 1,3 | 3,9 | 8,1 | 11,7 | 13,5 | 13,2 | 9,5 | 6,4 | 2,4 | −0,2 | 5,6 |
Température moyenne (°C) | 2,2 | 3,2 | 6,8 | 10,1 | 14,2 | 17,8 | 19,7 | 19,5 | 15,4 | 11,3 | 6,2 | 3 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,6 | 7,6 | 12,3 | 16,4 | 20,2 | 23,9 | 26 | 25,8 | 21,3 | 16,2 | 9,9 | 6,2 | 15,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−25,9 16.01.1966 |
−25,4 02.02.1954 |
−20,2 04.03.1949 |
−7,2 08.04.03 |
−5,6 11.05.1949 |
−0,1 03.06.1962 |
0,8 01.07.1960 |
0,2 13.08.1949 |
−3 25.09.1972 |
−8,2 30.10.1955 |
−13,6 26.11.1989 |
−22,6 03.12.1973 |
−25,9 1966 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18 01.01.23 |
22,5 27.02.19 |
25,2 31.03.21 |
29 28.04.12 |
31,8 25.05.09 |
37,3 26.06.19 |
38,9 25.07.19 |
38,5 12.08.03 |
34 03.09.1962 |
29,2 03.10.1985 |
23,5 07.11.15 |
19,1 04.12.1953 |
38,9 2019 |
Ensoleillement (h) | 687 | 934 | 1 511 | 1 826 | 2 066 | 2 334 | 2 498 | 2 317 | 1 817 | 1 203 | 701 | 585 | 1 848 |
Précipitations (mm) | 79,7 | 68,4 | 69,5 | 66,2 | 93,1 | 83,3 | 81,1 | 77,3 | 80,9 | 93,2 | 89,8 | 94,8 | 977,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5,6 −1,2 79,7 | 7,6 −1,1 68,4 | 12,3 1,3 69,5 | 16,4 3,9 66,2 | 20,2 8,1 93,1 | 23,9 11,7 83,3 | 26 13,5 81,1 | 25,8 13,2 77,3 | 21,3 9,5 80,9 | 16,2 6,4 93,2 | 9,9 2,4 89,8 | 6,2 −0,2 94,8 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[5]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Sauveur est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luxeuil-les-Bains[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[9]. Cette aire, qui regroupe 41 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,2 %), prairies (16,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,8 %), zones urbanisées (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), eaux continentales[Note 5] (2,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Origine
[modifier | modifier le code]Saint-Sauveur était de la terre de l'abbaye de Luxeuil. En 1225, Winet de Saint-Sauveur lui donna tout ce qu'il y possédait[réf. nécessaire].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]La paroisse de Saint-Sauveur s'étendait sur une grande circonscription : Luxeuil-les-Bains, Saint-Valbert, Froideconche, Esboz-Brest, La Chapelle, Breuchotte et Baudoncourt (qui en fut démembrée en 1771). Elle est très ancienne et devait certainement préexister à l'établissement de saint Colomban, puisque Luxeuil y était rattachée.
1789 : bailliage de Vesoul. Décanat de Luxeuil ; 1790 : district et canton de Luxeuil.
Paroisse du doyenné de Luxeuil. Succursale par décret du . Église sous le titre de la Sainte-Trinité.
L'église a été entièrement reconstruite : le clocher en 1831, le reste en 1865. L'ancienne était de grandes dimensions et semble dater du XIIe siècle ou du XIIIe siècle. De la nef, on pouvait voir six autels latéraux et l'autel majeur. Le clocher carré a trois étages, couvert par une toiture à quatre pans. Le portail en plein cintre sous un portique à deux colonnes ioniques et fronton triangulaire. Un porche voûté de deux cloches (1821 et 1888).
L'intérieur se compose de trois nefs de quatre travées de style ogival néo-gothique. Dans le bas du collatéral nord, cuve baptismale en pierre, sculptée avec art et de forme octogonale. Huit arcatures en plein cintre retombant sur des culots abritent les images de saint Jacques, saint André, saint Pierre, le Christ rédempteur, le baptême du Christ, le Christ en croix, une Vierge de pitié. L'ensemble repose sur quatre lions couchés et date du XVIe siècle. Deux toiles dans cette chapelle : Nativité de la Vierge, d'assez belle facture, et la mort de saint François-Xavier, toutes deux du XVIIIe siècle. La table de communion a été déposée derrière les fonts.
Au-dessus de la porte d'entrée, grande toile du XVIIIe siècle représentant la Trinité, seul vestige du retable de l'autel majeur. Dans le transept nord, toile représentant saint Ambroise, XVIIIe siècle. Dans le transept sud, bas-relief en bois sculpté et peint figurant sainte Vaudre, une des compagnes de sainte Ursule, une palme à la main. En face, toile de saint Roch et saint Antoine, XVIIIe siècle, seul souvenir de la confrérie de Saint-Roche, érigée en 1636 lors de la peste (avec la chapelle Saint-Roch construite près de Sainte-Marie-en-Chanois).
Sanctuaire polygonal avec mobilier néo-gothique ; deux toiles XIXe siècle.
Nouvel autel composé d'un antependium en bois sculpté de guirlandes et entrelacs, fin XVIIe siècle. À la sacristie, statuette de confrérie de la Vierge et ornement en velours de Gênes violet qui provient de l'abbaye de Luxeuil, fin XVIIe siècle.
Dans le mur du presbytère (grande maison de la fin du XVIIe siècle) est encastrée une inscription : "No domo Dns sed Dno o Domus. Pb. 1591". Une statue du XVIe siècle y était adjointe, qui a été transportée à l'ermitage de Villersexel.
La Grand-Pont sur le Breuchin fut reconstruit en 1682, par Charles Barbier, maître ingénieur en structure, qui s'engagea à rétablir l'oratoire de Sainte-Cécile qui était sur l'ancien. Détruit en 1944, il a été refait à neuf. Dans le bois appelé le Vay de Brest est une source dite de Saint-Ursule ou de Sainte-Vaudre, dont l'eau avait la vertu de guérir les fièvres intermittentes. D'après la légende, sainte Vaudre, fuyant les Barbares, serait tombée trois fois, sa quenouille à la main, et ce serait l'origine des trois sources de cet endroit.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]La base aérienne 116 Luxeuil-Saint Sauveur est établie, pour une grande partie de sa superficie, sur le territoire de la commune de Saint-Sauveur. Créée au cours de la Première Guerre mondiale à partir du , à la célèbre Escadrille La Fayette de volontaires américains.
L'activité de la base, réduite dans l'entre-deux-guerres, reprit en 1939-1940, puis en 1944-1945. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale l'activité fut stoppée à nouveau durant quelques années avant de reprendre son essor au début des années 1950 avec la décision de la réalisation d'une grande base aérienne de type Otan pendant la guerre froide.
Au début du XXIe siècle, la base aérienne est équipé de Mirage 2000D et près de 1 200 personnes travaillent en relation avec la base.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Luxeuil-les-Bains, puis, lors de sa scission en 1985, la commune est devenue chef-lieu du nouveau canton de Saint-Sauveur[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est à nouveau rattachée au canton de Luxeuil-les-Bains, qui compte désormais 12 communes.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Luxeuil, créée le .
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Politique municipale
[modifier | modifier le code]La commune s'est dotée en 2015 d'un conseil municipal des jeunes[14].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2021, la commune comptait 1 938 habitants[Note 6], en évolution de +1,1 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église.
- Fontaine miraculeuse Sainte-Vaudre, dans le bois du Vay de Brest, vénérée dès le XIIe siècle[20].
- Anciens établissements industriels[21],[22],[23].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Léo Valentin, « L'homme-oiseau », inhumé au cimetière de Saint-Sauveur.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à la mairie du lieu d'argent, accompagnée en chef d’un sabot à dextre et d’un Mirage IV (avion) posé en barre à senestre, le tout d'or ; à la champagne ondée d'azur*.
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (champagne d'azur sur champ de gueules, interdit en héraldique). |
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean-Pierre Chambon, « Le sabotier et le linguiste : un texte oral en parler comtois de Saint-Sauveur (Haute-Saône, France) recueilli par Paul Passy à la fin du XIXe siècle », Zeitschrift für romanische Philologie, De Gruyter editions, (lire en ligne)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Saint-Sauveur sur le site de l'Institut géographique national
- Saint-Sauveur sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Luxeuil-les-Bains comprend une ville-centre et cinq communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Luxeuil » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Luxeuil » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Luxeuil-les-Bains », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Sauveur ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les idées fusent au conseil des jeunes », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Les maires de Saint-Sauveur », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Premier mandat de maire pour Jacques Deshayes », sur L'Est républicain, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « La Fontaine Sainte-Vaudre : Les vertus de la fontaine dans le bois du Vay à Saint-Sauveur », L'Est républicain, édition de Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Fonderie Meyer, puis Vialis, actuellement maison », notice no IA70000277, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Flature de coton Baudouin, Risler et Cie, puis Koechlin et Cie, actuellement Fonderie de Saint-Sauveur et ateliers municipaux », notice no IA70000260, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fonderie de Saint-Sauveur, puis Redoutey », notice no IA70000259, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.