Spendesk
Spendesk est une start-up française spécialisée dans la gestion de moyen de paiements pour les collaborateurs d'entreprises.
Historique
[modifier | modifier le code]Spendesk est créée en 2016 au sein du startup studio eFounders par Rodolphe Ardant, Guilhem Bellion et Jordane Giuly [1],[2].
Entre 2018 et 2019, la startup passe de 20 à 120 collaborateurs, et entame son expansion européenne[3].
En octobre 2020, Spendesk compte environ 40 000 utilisateurs faisant partie de sociétés clientes telles que Algolia, Curve, Doctolib, Raisin et Wefox[4].
En juillet 2021, la startup lève 100 millions d'euros lors d'un tour de table mené par General Atlantic. Spendesk est alors présent sur trois principaux marchés : la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni[1].
En 2022, l'entreprise lève 100 millions d'euros et devient la 26ème licorne française[5]. Sa valorisation dépasse le milliard de dollars, mais le montant exact n'est pas communiqué[6].
En janvier 2022, elle compte 300 collaborateurs et ambitionne de doubler son effectif d'ici la fin 2022[7].
En septembre 2024, elle procède à un plan social et se sépare de 150 salariés après des pertes importantes[8].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Spendesk lève 100 millions d'euros pour devenir la plateforme de référence de gestion des dépenses, L'Usine Digitale, 21 juillet 2021
- Six choses à savoir sur Spendesk, la 26e licorne de la French Tech, Les Echos, 18 janvier 2022
- Spendesk, les clefs d'une expansion internationale, Les Echos Entrepreneurs", 13 septembre 2019
- (en) Spendesk raises another $18 million for its corporate card and expense service, TechCrunch, 13 octobre 2020
- « La société Spendesk devient la 26e licorne française », sur Boursorama, (consulté le )
- « La fintech Spendesk devient la 26e licorne française », sur Les Echos, (consulté le )
- « Spendesk devient la 26e licorne française », sur BFM BUSINESS (consulté le )
- Camille Wong et Charlie Perreau, « Spendesk : le raz-de-marée des licenciements se poursuit dans la French Tech » , sur Les Échos, (consulté le )