Valenton
Valenton | |||||
Le parc départemental de la Plage bleue. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-de-Marne | ||||
Arrondissement | L'Haÿ-les-Roses | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Grand-Orly Seine Bièvre |
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Maire Mandat |
Metin Yavuz 2020-2026 |
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Code postal | 94460 | ||||
Code commune | 94074 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Valentonais | ||||
Population municipale |
14 482 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2 727 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
115 000 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 44′ 42″ nord, 2° 28′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 87 m |
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Superficie | 5,31 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Villeneuve-Saint-Georges | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | valenton.fr | ||||
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Valenton (prononcé : [valɑ̃tɔ̃]) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Valentonnais.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Valenton est une commune du Val-de-Marne située au sud-est de Paris. Ses 531 hectares de superficie comptent environ 84 hectares d’espaces verts publics, avec notamment le parc départemental de la Plage bleue où sont accueillies, chaque année, des animations telles que le Festival de l’Oh, le tournoi international de beach-volley...
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 662 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limeil-Brévannes à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 656,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,2 | 2,2 | 4,3 | 6,4 | 10,1 | 13,3 | 15,3 | 14,8 | 11,5 | 8,7 | 5,1 | 2,7 | 8 |
Température moyenne (°C) | 4,9 | 5,7 | 8,8 | 11,7 | 15,4 | 18,7 | 20,8 | 20,6 | 16,8 | 12,8 | 8,2 | 5,3 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,7 | 9,2 | 13,4 | 16,8 | 20,7 | 24,1 | 26,5 | 26,4 | 22,2 | 17 | 11,3 | 8 | 16,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−12 08.01.10 |
−11,6 07.02.1991 |
−8 01.03.05 |
−3 06.04.21 |
0 06.05.19 |
4 12.06.05 |
7,5 04.07.1990 |
7 21.08.14 |
3 25.09.02 |
−3,5 30.10.1997 |
−9 24.11.1998 |
−9,5 29.12.1996 |
−12 2010 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16 13.01.04 |
22 27.02.19 |
26 31.03.21 |
28,5 25.04.07 |
32,5 28.05.17 |
37 27.06.11 |
40 31.07.20 |
41 06.08.03 |
33,5 14.09.20 |
29 01.10.11 |
22 06.11.18 |
18 16.12.1989 |
41 2003 |
Précipitations (mm) | 49,9 | 46,3 | 46,4 | 48,2 | 66,7 | 56,1 | 55,2 | 60 | 49,1 | 56,1 | 56,6 | 65,5 | 656,1 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par l'autoroute A86 et la RN 6 (carrefour Pompadour).
Pistes cyclables
[modifier | modifier le code]Transports en commun
[modifier | modifier le code]La gare de Valenton, aujourd'hui détruite, se situait sur la ligne de Grande Ceinture où un service de voyageurs fut assuré du , avec l'ouverture de la section de Noisy-le-Sec à Juvisy, jusqu'au , quand cessa le trafic précité sur la section nord comprise entre Versailles-Chantiers et Juvisy via Argenteuil[8]. Par contre, un triage subsiste sur le territoire communal.
La commune est desservie par :
- les lignes 427, 428, 429, 430 et 450 du réseau de bus Marne et Seine ;
- la ligne 393 du réseau de bus RATP ;
- la ligne E du réseau de bus Val d'Yerres Val de Seine ;
- et la nuit, par les lignes N132, N134 et N135 du réseau Noctilien.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Valenton est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[11]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]La commune est constituée des quartiers suivants :
- Le Fonx : à côté du centre-ville et de plusieurs commerces avec l'école élémentaire Paul Eluard.
- Centre-Ville : cœur de la ville avec notamment, des commerces, de nombreux logements et le marché principal.
- La Lutèce : quartier composé majoritairement de logements sociaux et HLM, en bordure de la Plage Bleue.
- Le Coteau : situé sur le plateau de la ville, composé de constructions de type pavillonnaire et de quelques immeubles.
- Les Polognes : à l'est du Coteau, secteur doté de logements sociaux.
- Les Tourelles : quartier pavillonnaire, sur le flanc du Coteau, limitrophe avec Villeneuve-Saint-Georges.
- Le Champ-Saint-Julien : zone commerciale avec de nombreuses moyennes surfaces, d'entreprises et de restaurants, jouxtant le Quartier Nord de Villeneuve-Saint-Georges.
- Le Val Pompadour : contrairement à la partie villeneuvoise et cristolienne, elle est composée d'habitations et est, actuellement[Quand ?], en pleine expansion avec la création de plus de 600 logements. Le quartier est desservi par le RER D (Gare de Créteil-Pompadour) depuis le , par la ligne de bus RATP 393, le Trans-Val-de-Marne et par les lignes 429, 430 et 450 du réseau de bus Marne et Seine.
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagements
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Valentonium, Valentun en 1093, Valenton en 1256 et en 1709[14].
Formation celtique, sur un radical inexpliqué[15].
Les Révolutionnaires, souhaitant effacer de la toponymie toute allusion à la religion ou à la féodalité, rebaptisèrent l'endroit Val Libre[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Dépendance de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, Valenton prend naissance à partir du VIe siècle avec l’installation d’une première communauté rurale. Siège de deux seigneuries au XIIIe siècle, la commune a pour principale activité la viticulture.
En 1726, le village ne compte encore que 250 habitants. Et près de deux cents ans plus tard, la population ne dépasse pas encore les 1 000 habitants. La viticulture fait place alors aux arbres fruitiers et aux cultures légumières ainsi qu’à l’élevage ovin et bovin. En 1936, Valenton connaît la construction de deux nouveaux quartiers d’habitat individuel : les Vignes et le Val Pompadour. La population passe alors à 2 448.
Seconde guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le développement économique autour des voies de chemin de fer, entamé juste avant la Seconde Guerre mondiale, va se poursuivre au lendemain et intégrer complètement Valenton à l’économie régionale. En 1944, le puis le , des bombardiers anglo-américains volant à très haute altitude larguent des milliers de tonnes de bombe sur la gare de triage de Villeneuve-Saint-Georges. Valenton est durement touchée : 274 immeubles sur 518 totalement ou partiellement détruits, 66 blessés, 800 sinistrés et 41 morts dont 29 dans le quartier Pompadour, parmi lesquels près de 10 jeunes de moins de 20 ans[17].
Après-guerre
[modifier | modifier le code]Après la guerre la ville poursuit son évolution : entre 1954 à 1962, on compte jusqu'à 7 713 habitants, puis 10 539 en 1968.
Dans les années 1970, la commune décide d’engager des actions en faveur de l’implantation d’activités économiques. La population progresse plus faiblement et se stabilise autour de 11 000 habitants. Elle atteint aujourd’hui 11 426 habitants, soit 887 de plus qu’il y a 34 ans. Ville urbaine à taille humaine, Valenton entend le demeurer.
Les créations des ZAC du Val Pompadour et du Colombier accompagnées de la réalisation de 700 logements nouveaux et, compte tenu de la diminution de la taille moyenne des foyers, n’amèneront pas la population communale à plus de 13 000 habitants. C’est le choix exprimé par la municipalité qui entend préserver et agrandir les espaces verts et résorber le déséquilibre entre le nombre de personnes actives travaillant sur la commune et celui y résidant.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Valenton est le chef-lieu du canton homonyme, appartenant à l'arrondissement de Créteil. 266 employés municipaux figurent au tableau des effectifs de la commune.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]La ville était administrée par le Parti communiste depuis 1920 (hormis la parenthèse vichyste), soit depuis l'année du congrès de Tours qui entérine la scission de la SFIO entre socialistes et communistes et deux ans avant la création de l'URSS, le .
Lors du second tour des élections municipales du , la liste conduite par Metin Yavuz (LR) remporte l’élection municipale et met fin à plus d'un siècle de communisme.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Sept maires se sont succédé depuis 1944 :
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]- La commune abrite une station d'assainissement des eaux (Seine-Amont), d'une capacité de 1 600 000 équivalent-habitants (600 000 m3/jour), dont l'exploitant est Degrémont pour le SIAAP, et qui traite les eaux usées de la majeure partie du Val-de-Marne et d'un tiers des habitants de l'Essonne.
- Le parc départemental de la Plage bleue fait partie des projets de coulée verte de la région d'Île-de-France, avec ces 26,88 ha, réalisé à partir de 1987. Les efforts paysagers lui ont valu le Trophée du paysage en 1993 et une mention dans le prix de l’aménagement urbain 1994, décerné par Le Courrier des maires et des élus locaux[25].
Jumelage
[modifier | modifier le code]La Ville de Valenton n'est jumelée avec commune à l'heure actuelle.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[26],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 14 482 habitants[Note 5], en évolution de +0,62 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Programmée fin juin, le Carnavalenton est une fête populaire dans la ville.
Santé
[modifier | modifier le code]- Résidence hospitalière des Charmilles qui a compté parmi ses patients Guillaume Depardieu.
- Résidence pour les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer (ORPEA).
Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2018, le revenu fiscal médian par ménage était de 14 960 €, ce qui plaçait Valenton au 30 985e rang parmi les 31 269 communes de plus de 100 personnes ou plus de 50 ménages en métropole[30]. Le taux de pauvreté atteignait 28% en 2018[31], soit le 2e taux le plus important du département après celui de la commune voisine de Villeneuve-Saint-Georges.
Emploi
[modifier | modifier le code]Malgré une création nette d'emplois significative : plus de 1000 emplois créés sur le territoire entre 2007 et 2017, Valenton souffre d'un important taux de chômage de 20,2% parmi ces habitants, qui concerne davantage les jeunes de 15 à 24 ans puisqu'il y atteignait 32,8% en 2017[31].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Au nord de la ville on retrouve un important site de transport combiné rail-route[32] mais aussi l'usine d'assainissement Seine-Amont (SIAAP) mise en service en 1987 d'une surface de 80 ha[33]. Au total on dénombre 11 zones d'activités sur le territoire, dans lesquelles 3 secteurs d'activité sont particulièrement représentés : les activités de commerce, transport et services divers, l'administration publique et la construction[34].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château de la Tourelle
- Le Parc de la plage bleue :
Au centre de la plaine alluviale Marne-Seine, le parc départemental de la plage bleue accueillait au début du siècle de fertiles cultures maraîchères. Puis, l’exploitation du sablon devenant industrielle, une mosaïque de petits bassins alimentés par la nappe phréatique investit les lieux. Au milieu des années 1960, un de ces plans d’eau fut peu à peu adopté par baigneurs et promeneurs. En 1979, confrontées à un accroissement de l’insalubrité, les autorités décidèrent de fermer ce plan d’eau au public. En 1987, dans une convention signée avec l’exploitant et la commune de Valenton, le conseil général décida de créer un parc de 40 hectares, « l’un des maillons du projet régional de coulée verte ». L’originalité de ce parc contemporain, l’ampleur de ses volumes, son mobilier spécifique, lui ont valu le trophée du paysage en 1993, ainsi qu’une mention dans les prix de l’aménagement urbain 1994 décernés par Le Courrier des maires et des élus locaux.
- Le cimetière intercommunal du Val-de-Marne est un cimetière paysager édifié en 1973 par l'urbaniste et architecte Robert Auzelle. À l'entrée du cimetière, le Jardin de la méditation des âges de la vie rassemble onze sculptures en granit réalisées par le sculpteur Pierre Székely[35].
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, construite au XIIIe siècle et remaniée au XVIIIe siècle.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Paul Georges Muller dit Paul Mercey (1923-1988), acteur de nationalité suisse-française. Incinéré au crématorium de Valenton, ses cendres sont dispersées.
- Le rappeur Guizmo a vécu une partie de sa jeunesse à Valenton, dans le quartier des Polognes. Il le revendique et y fait souvent allusion dans ses chansons.
- L'humoriste Thomas N'Gijol a vécu une partie de sa jeunesse à Valenton. Il le revendique dans son spectacle : Thomas Ngijol 2.
- Paul Henri Renaudon (1894-1997) soldat dans l'artillerie et ancien poilu valentonnais. Médaille militaire du et chevalier de la Légion d'honneur.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Les armes de Valenton se blasonnent ainsi : De gueules à la tour ronde du lieu d'argent, accostée de six épis de blé d'or réunis trois par trois en forme de fleur de lys, à la champagne cousue de sable chargée d'une grappe de raisin tigée et feuillée aussi d'or. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Valenton et Limeil-Brévannes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Limeil » (commune de Limeil-Brévannes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Limeil » (commune de Limeil-Brévannes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Bruno Carrière et Bernard Collardey, L'aventure de la Grande Ceinture, Paris, La Vie du Rail, , 312 p. (ISBN 2-902808-05-4), p. 26 et 190.
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Valenton ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Michel Roblin, Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque, page30.[réf. incomplète].
- Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne [réf. incomplète].
- Au Val-Pompadour, on n'a pas oublié avril 1944.
- Notice JOURDAIN Théodule [JOURDAIN Louis, Clément, Théodule] par Annie Pennetier, version mise en ligne le 3 août 2009, dernière modification le 10 octobre 2020
- Notice FLAGON Fernande [née BURLE Fernande] par Annie Pennetier, version mise en ligne le 6 avril 2009, dernière modification le 10 octobre 2020
- Notice DURANTON Julien par Martine Bennini, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 10 octobre 2020
- « Roland Roche est mort », L'Humanité, (lire en ligne)
« Immense émotion à Valenton et dans le Val-de-Marne à l'annonce de la mort du maire de la ville, Roland Roche, à trente-neuf ans. Son corps a été retrouvé en forêt de Fontainebleau. ». - « Daniel Toussaint (PC) élu maire de Valenton (Val-de-Marne) », Le Monde, (lire en ligne).
- « Le maire de Valenton démissionne », Le Figaro, (lire en ligne)
« Daniel Toussaint, maire (PCF) de Valenton (Val-de-Marne) depuis 1993 et conseiller général depuis 1998, a démissionné de ses mandats, cinq mois à peine après sa réélection en mars dernier, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la municipalité. ». - « Françoise Baud a été élue maire », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne)
« Sans surprise, la première adjointe de Valenton, Françoise Baud (PC), a accédé hier soir à la fonction de premier magistrat de la ville. ». - Site du conseil général du Val de Marne À Valenton - Le parc départemental de la Plage bleue | Conseil général du Val-de-Marne.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Valenton.
- « Structure et distribution des revenus, inégalité des niveaux de vie en 2018 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Dossier complet − Commune de Valenton (94074) | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- DRIEAT Île-de-France, « Vision prospective du développement du transport combiné ferroviaire en Île-de-France », sur driea.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
- Siaap, « Seine amont | SIAAP : Syndicat Interdépartemental pour l'Assainissement de l'Agglomération Parisienne », sur siaap.fr (consulté le ).
- Plan Local d'Urbanisme de Valenton, Rapport de Présentation - Tome 2 : Diagnostic territorial (lire en ligne)
- Cimetière intercommunal du Val de Marne.