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Villennes-sur-Seine

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Villennes-sur-Seine
Villennes-sur-Seine
L'église Saint-Nicolas.
Blason de Villennes-sur-Seine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité CU Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Jean-Pierre Laigneau
2020-2026
Code postal 78670
Code commune 78672
Démographie
Population
municipale
5 628 hab. (2021 en évolution de +8,77 % par rapport à 2015)
Densité 1 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 23″ nord, 1° 59′ 55″ est
Altitude 19 m
Min. 19 m
Max. 132 m
Superficie 5,08 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Seine
Législatives 6e circonscription des Yvelines
Localisation
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Villennes-sur-Seine
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Villennes-sur-Seine
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Villennes-sur-Seine
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Villennes-sur-Seine
Liens
Site web http://www.ville-villennes-sur-seine.fr/

Villennes-sur-Seine est une commune du département des Yvelines en région Île-de-France, en France, située à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Paris, en bordure et sur la rive gauche de la Seine.

Ses habitants sont appelés les Villennois.

Géographie

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Localisation

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Position de Villennes-sur-Seine dans les Yvelines.

Villennes-sur-Seine est une commune périurbaine riveraine de la Seine, située sur la rive gauche du fleuve à 36 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris et limitrophe de Poissy.

Elle est localisée à 22 kilomètres au nord de Versailles, préfecture des Yvelines, à 13 kilomètres à l'ouest de Saint-Germain-en-Laye la sous-préfecture et à 28 kilomètres au nord-ouest de la porte d'Auteuil.

Le territoire communal englobe une île de la Seine, l'île de Villennes occupée par un lotissement privé.

La commune se trouve dans l'aire urbaine de Paris, dans l'unité urbaine de Paris et dans le bassin de vie de cette ville, ainsi que dans la zone d'emploi dite de Seine-Yvelinoise[I 1].

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.
La Seine et l'Île de Villennes.

La commune est limitée à l'est par le lit principal du fleuve la Seine.

Un lit secondaire de la Seine crée plusieurs îles, dont l'île du Platais, ou île de Médan, qui est partagée entre les communes de Villennes-sur-Seine, de Médan sur la rive gauche, et de Triel-sur-Seine sur la rive droite.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 656 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Villennes-sur-Seine est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7].

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Type d'occupation[réf. nécessaire] Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 36 % 177,86
Espace urbain non construit 27 % 135,15
Espace rural 37 % 185,11

Le territoire de la commune est assez urbanisé, l'espace urbain occupant près d'un tiers de la superficie totale[11]. L'espace rural (37 %) subsiste. L'espace urbain construit représente 36 % du total, soit 177,86 ha. Il comprend les zones d'habitation, les divers équipements, et les zones d'activités.

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 2 704, alors qu'il était de 2 304 en 2016 et de 2 267 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 85,5 % étaient des résidences principales, 8,5 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 66,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 33,1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villennes-sur-Seine en 2021 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,5 %) supérieure à celle du département (2,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Villennes-sur-Seine en 2021.
Typologie Villennes-sur-Seine[I 3] Yvelines[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 85,5 91,1 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,5 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 6,1 6,3 8,1

La commune ne respecte pas les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de la loi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales constituées de logements sociaux, avec ses 203 logements sociaux en 2019.

En 2023, la commune sort de l'état de « commune carencée » où elle était depuis 2021 car 248 logements sociaux y ont été construits durant le plan triennal de 2020 à 2022 et elle s'est engagée à en construire 219 supplémentaires [12],[13]

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les autoroutes A13 et A14, dont l'échangeur entre ces deux axes se situe au sud de Villennes, à Orgeval. Villennes est accessible par la sortie 7 située sur l'autoroute A13 (A14, Poissy, Chambourcy, Villennes, Orgeval).

Villennes est traversée par trois routes départementales :

La ville est desservie par la gare de Villennes-sur-Seine, sur la ligne J du Transilien. La ligne effectue les liaisons entre les gares de Paris-Saint-Lazare, de Vernon - Giverny, des Mureaux et de Mantes-la-Jolie. Elle est située sur la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre.

Le réseau de bus de Poissy - Les Mureaux effectue des liaisons avec trois lignes de bus qui relient la gare de Villennes au reste de la ville et aux communes alentour. Il s'agit des lignes 27 (circulaire dans Villennes), 28 (circulaire dans Villennes et Médan) et 43 (ligne reliant Les Mureaux à Poissy).

La nuit, la ligne Noctilien N151 dessert la gare de Villennes-sur-Seine. Cette ligne nocturne relie Paris-Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Villena en 1007[14], villa Villenis en 1078.

Adjectif féminin du bas latin villana (terra) : (terre) tenue par un villanus, un paysan non noble[15].

Villaines en 1793[16], Vilaine en 1811[17] et Villennes-sur-Seine en 1901[16].

Villennes est en bordure et sur la rive gauche de la Seine.

La paroisse de Villennes est créée en 1007. La construction de l'église Saint-Nicolas a commencé au XIe siècle et s'est terminée au XIIe siècle sous l'initiative de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. L'église servait de paroisse aux villages voisins de Médan et Flacourt. L'église est partiellement détruite au cours de la guerre de Cent Ans, laissant l'abside et le transept en ruines[réf. nécessaire].

Au XVIIIe siècle, l'église est associée à l'abbaye Notre-Dame de Coulombs et d'importants travaux de rénovation sur l'église commencent. Une restauration complète prend son envol en 1717[18].

Époque contemporaine

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Le , une arche du vieux pont s'écroule. Le moulin est partiellement détruit. La Seine devient alors le premier moyen de transport en commun jusqu'à la construction du chemin de fer[réf. nécessaire]. La ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre est inaugurée en , mais les premiers arrêts à la halte de Villennes datent de 1844. La première gare est inaugurée en 1880. La gare actuelle est mise en service en 1911 et a été modernisée en 2001.

L'accessibilité permise par la gare permet le développement de nombreux lotissements résidentiels à partir de 1879 : ceux du potager du château, du parc du château vers 1890, les berges de la Seine (prairie de la Nourrée) vers 1900[19].

Au début du XXe siècle, Villennes devient un lieu important de villégiature pour les parisiens aisés, d'abord autour du bois des Falaises puis sur l'île de Villennes à compter de 1912. Anciennement utilisée comme terres de pâturage pour les vaches[20], l'île de Villennes connaît donc un développement urbanistique à partir de 1912[21]. Une carte datant de cette année-là montre une distribution régulière de lotissements sous la forme de jardins de lotissement, destinés à une clientèle de capital économique supérieur[22].


Après la Première Guerre mondiale, qui a coûté la vie à 42 Villennois — un monument est inauguré en 1919 pour leur rendre hommage —Villennes redevient un lieu de villégiature et en 1919, Villennes est considérée comme une station touristique et voit le développement de plusieurs loisirs comme la navigation de plaisance, la pêche et la baignade dans la Seine qui gagnent en popularité et de nombreuses fêtes au bord de l'eau ont lieu. En 1928, l'Île du Platais accueille une expérience de naturisme, dans un lotissement-jardin de 15 hectares, de la Société naturiste fondée par deux médecins et frères, André et Gaston Durville, sous le nom de Physiopolis[23],[24]. Toutefois, la nudité intégrale n'y était pas autorisée, comme nous le précise Jean-Luc Bouland[25].

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la zone est occupée par les Allemands. En , un avion de la Luftwaffe s'écrase sur la ferme des Marolles, tuant le couple qui y habite. La ville est libérée par l'armée américaine le , après une embuscade de l'armée allemande contre des résistants locaux. Par ailleurs, le résistant et industriel André Patrolin a accueilli au cours de la guerre une famille juive au sein de sa propriété de Villennes, il figurera alors comme Juste parmi les nations.

Politique et administration

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Mairie de Villennes-sur-Seine.

Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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Antérieurement à la loi du [26], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye[I 1] après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Poissy de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Yvelines, elle est intégrée en 1967 au canton de Poissy-Nord[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Verneuil-sur-Seine[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité

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Villennes était le siège de la petite communauté de communes Seine-Mauldre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2004.

Dans le cadre des prescriptions de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM), qui prescrit la constitution d'intercommunalités de taille importante en seconde couronne parisienne afin de pouvoir dialoguer avec la métropole du Grand Paris, dont la création était prévue par cette même loi, la communauté de communes Seine-Mauldre fusionne avec ses voisines pour créer, le , la communauté urbaine dénommée Grand Paris Seine et Oise, dont la commune est désormais membre[I 1].

Tendances politiques et résultats

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Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections départementales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 mai 1953 Joseph Rainaut   Architecte
mai 1953 mars 1959 Léon Mirgon   Directeur administratif de la Société du Louvre
mars 1959 mars 1965 Marcel Poulailler    
mars 1965 mars 1977 Jean Robin   Ancien directeur général de la société Baignol et Farjon
mars 1977 mars 1989 Maurice Magnet   Ingénieur en électricité
mars 1989 avril 2014 François Gourdon[40],[41] DVD puis UMP Chef d'entreprise[42]
avril 2014 juillet 2020[43] Michel Pons DVD Retraité
juillet 2020[44],[45] En cours
(au 5 juillet 2020)
Jean-Pierre Laigneau LR-DVD Gérant d'entreprise retraité, ancien adjoint

Démocratie participative

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Le conseil municipal des jeunes a été créé en 1996. Il est composé d’enfants de 9 à 13 ans élus par d'autres enfants. Les élections sont organisées dans les classes de CE2, CM1, CM2 et 6e de la ville. Il a pour but de favoriser l’implication des jeunes dans la commune et leur permettre d'échanger des idées, de développer des projets (la piste cyclable), de poursuivre des aides (aides à SOS enfants)[46].

Depuis septembre 2023, Villennes-sur-Seine est jumelée avec la communauté de communes écossaise de Largo (Drapeau de l'Écosse)[47].

Distinctions et labels

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Le caractère sportif de la ville a été reconnu par le label "Ville active et sportive", décerné avec deux lauriers sous le patronage du ministère des Sports.[réf. nécessaire]

Équipements et services publics

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Enseignement

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La commune relève de l'académie de Versailles. Les écoles sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale de Versailles. La circonscription fait partie du bassin d'éducation et de formation de Carrières-sous-Poissy.

La ville regroupe deux écoles maternelles (maternelle des Chèvrefeuilles et maternelle des Sables) et deux écoles élémentaires (école élémentaire du Pré-Seigneur et école élémentaire Antoine-de-Saint-Exupéry)[48].

Les établissements d'enseignement secondaire[49] sont situés à Poissy, à Verneuil-sur-Seine et à Saint-Germain-en-Laye (dont le Lycée international). Les établissements universitaires sont situés à Paris, Cergy-Pontoise, et Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

La ville regroupe de nombreux professionnels de santé[50]. Elle relève du Centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye. Celui-ci fonctionne sur deux sites (Poissy pour les urgences et Saint-Germain-en-Laye pour les consultations de jour) avec 1600 lits et 4000 soignants et constitue ainsi le plus important établissement public de santé d'Île-de-France après l'Assistance publique - hôpitaux de Paris.

Équipements culturels

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  • La ville abrite la bibliothèque Émile-Zola[51], qui offre des conférences, des parcours artistiques, et des lectures de contes pour les enfants.
  • On y trouve également l'espace des Arts, qui accueille des spectacles, des conférences et des événements culturels, et la salle Fordan qui abrite des expositions temporaires.

Justice, sécurité, secours et défense

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La ville dispose d'une police municipale et d'un système de vidéosurveillance. La ville dépend du commissariat de police de Poissy, ainsi que du centre de secours du Service départemental d'incendie et de secours de Poissy (situé à 4 kilomètres de Villennes).

L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de Villennes au Tribunal judiciaire de Versailles et au tribunal administratif de Versailles, tous rattachés à la Cour d'appel de Versailles[52].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[54].

En 2021, la commune comptait 5 628 habitants[Note 4], en évolution de +8,77 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
431447468447437451436433448
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
434443444430425508587578658
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6807749061 0921 2001 2541 2761 5211 889
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 0192 3113 3233 8864 5044 7905 0135 0785 127
2018 2021 - - - - - - -
5 3315 628-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 589 hommes pour 2 742 femmes, soit un taux de 51,44 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[56]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,9 
16,2 
60-74 ans
16,7 
23,4 
45-59 ans
23,0 
15,8 
30-44 ans
18,7 
15,7 
15-29 ans
11,6 
22,2 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[57]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Manifestations culturelles et festivités

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Différentes manifestations théâtrales, musicales, et expositions ont lieu à la mairie, à l'église, à la bibliothèque ou à la salle des fêtes[58].

Sports et loisirs

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Villennes abrite une école municipale des sports intercommunale (EMS)[59], qui offre notamment de multiples activités liées au cirque, un complexe sportif[60], la halle des sports[61], et cinq clubs de sport (de football[62], de tennis[63], de judo[64], d'escalade[65] et de golf[66]).

Un golf 18 trous créé en 1985.

Deux radios locales peuvent être écoutées à Villennes-sur-Seine[67].

  • Culte catholique : pratiqué en l'église Saint-Nicolas.
  • Culte israélite : pratiqué en la synagogue de Poissy.
  • Culte protestant : pratiqué au temple de Poissy.
  • Culte musulman : pratiqué dans les mosquées de Poissy ou de Carrières-sous-Poissy.

Revenus de la population et fiscalité

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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 61 121 €, ce qui plaçait Villennes-sur-Seine au 27e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[68].

Commune essentiellement résidentielle, Villennes-sur-Seine se situe toutefois à proximité de plusieurs bassins d'emplois, notamment à Poissy, Saint-Germain-en-Laye, Orgeval (centre commercial) et aux Mureaux. Le quartier d'affaires de La Défense est localisé à 20 kilomètres de Villennes et, par le train et l'autoroute, le bassin de l'aire urbaine de Paris est aisément accessible.

Entreprises et commerces

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Plusieurs commerces de proximité sont situés à Villennes-sur-Seine, notamment en centre-ville. La commune abrite un marché hebdomadaire le samedi matin.

Une zone commerciale est également située sur la commune d'Orgeval.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine architectural

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Le clocher de l'église.
  • L'église Saint-Nicolas Logo monument historique Inscrit MH (1926)[69] : église en pierre de style roman datant du XIe siècle. Lors de la guerre de Cent Ans elle est partiellement détruite (abside et transept ont disparu). Le clocher a été édifié à la fin du XVIe siècle ; le portail date de 1875.
    Pendant la période révolutionnaire, l'église servit de lieu de réunions publiques.
  • La mairie-école, construite vers 1886 par l'architecte D. Geffroy et augmentée en 1888 par une remise pour la pompe à incendie. Entre 1930 et 1934, l'architecte communal Paul Huan remplace la salle de classe située à l'arrière par deux salles de classe et deux logements[70].
  • La grotte artificielle : située dans le parc Fauvel, elle est l'œuvre du paysagiste Varé, concepteur de l'ancien parc du château de Villennes[72], aujourd'hui disparu, en jardin romantique.
  • Le château de Perdrier-Brinon[73] : le premier château est construit par Henri Perdrier au XVe siècle. En partie détruit après la Révolution française, il est rasé par le vicomte d'Osmond qui en reconstruit un nouveau sur le même emplacement. À la fin du XIXe siècle, on y ajoute un parc de huit hectares, mais il se dégrade très rapidement. Il est alors vendu en lots à la fin du siècle. Démoli après la guerre de 1914-1918, il ne reste actuellement que l'aile gauche et le fronton du bâtiment central ainsi que la rivière anglaise et les kiosques du jardin à l'anglaise dessinés par l'architecte Louis-Sulpice Varé en 1869.
  • Le domaine de Physiopolis[75] : en 1927, deux frères médecins, Gaston et André Durville, créent le domaine du Physiopolis sur l'île de Platais. Ils donnent ainsi libre cours à leur philosophie : la vie en harmonie avec la nature et le développement du corps par des exercices. Ils sont les précurseurs du naturisme.
  • La Maison commune[80] : au XVIIIe siècle, elle regroupe la mairie, un hospice et une école. En 1834, des modifications sont apportées et en 1844, une parcelle du terrain est vendue. Aujourd'hui, c'est une propriété privée.

Patrimoine naturel

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Vue du haut du parc du Docteur-Fauvel.
  • Le parc du Docteur-Fauvel[81]
  • Le parc de Chèvrefontaines (parc de la mairie)
  • Le parc de Marolles
  • Promenades du bord de Seine : chemin des Pêcheurs / chemin de la Nourrée / sentier du bord de l'Eau

Villennes-sur-Seine dans les arts et la culture

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Vers la fin du film Touchez pas au grisbi (1954), le journal indique que la fusillade entre les gangsters a eu lieu sur la route de Villennes.

De février à , un téléfilm réalisé par Nicolas Picard-Dreyfuss, est tourné à Villennes-sur-Seine. Intitulé Drôle de Noël il a été diffusé le sur France 2[82].

La gare de Villennes apparaît dans différents films et téléfilms, dont :

Par ailleurs, en 2015, une publicité pour la version japonaise de la boisson Orangina (Lemongina) y a été tournée avec Richard Gere[83].


Personnalités liées à la commune

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  • Jean II Brinon (1520-1555), parlementaire, lettré, mécène et bibliophile.
  • Pierre VI Gilbert de Voisins (1684-1769), magistrat et administrateur français, était marquis de Villennes.
  • Louis René Hippolyte Sinet né à Péronne (Somme), le 27 février 1835 - décédé à Agimont, province de Namur, Belgique, le 20 février 1920, peintre français[84] qui eut quatre fils peintres également, nés à Villennes-sur-Seine dans sa villa "Le Val Sinet" :
  • Auguste Carliez (1838-1910), peintre, y avait une maison et y a été inhumé.
  • Henri de Genouillac (1881-1940), abbé, épigraphiste et archéologue spécialisé en assyriologie, mort à Villennes.
  • Léon Francq (1848-1930), ingénieur spécialiste des tramways[85], mort à Villennes.
  • Robert Lotiron (1886-1966), artiste peintre, séjourna régulièrement à Villennes, ce dont témoignent des paysages dans son œuvre.
  • Hélène Regelly (1904-2001), artiste lyrique française surtout connue dans les années 1930, morte à Villennes.
  • Auguste Wambst (1908-1987), coureur cycliste y résidait dans les années 1930[86].
  • Susan Travers (1909-2003), héroïne discrète de la Seconde Guerre mondiale, d'origine britannique, seule femme à la Légion étrangère (grade d'adjudant-chef). Épouse de Nicolas Schlegelmilch, également légionnaire, elle a habité avec sa famille ruelle de la Lombarde au début des années 1950.
  • André Patrolin (1910-1991), Industriel, Résistant, qui cacha en 1942 Perla Filcman et sa fille Fanny dans sa propriété de Villennes-sur-Seine, reçu le titre de Juste parmi les nations par le Comité pour Yad Vashem. Son nom figure sur le mur d'honneur du Jardin des Justes à Jérusalem, mais également à Paris, dans l'allée des Justes, près du Mémorial de la Shoah, rue Geoffroy-l'Asnier[87].
  • Marcel Azzola (1927-2019), accordéoniste français y résidait.
  • David Aubry (1996), nageur, Champion de France 2019 et médaillé de bronze aux Championnats du monde de natation 2019, a grandi à Villennes-sur-Seine.

Héraldique

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Blason de Villennes-sur-Seine Blason
D'azur à la croix engrêlée d'argent cantonné de quatre croissants d'or.
Détails
Ce blason est celui du dernier seigneur de Villaine, Pierre Paul Gilbert de Voisins.

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Villennes-sur-Seine », p. 697–699
  • Villennes & ses Seigneurs, de Marcel Mirgon, 1967, édité par l'Association Culturelle de Villennes
  • La mémoire de Villennes en marche - Balades et rencontres, de Michel Kohn, Jean Diez et Georges Parot, , Édité par l'Association Culturelle de Villennes, (ISBN 978-2-9530818-0-0) (disponible à la Mairie de Villennes)
  • Villennes au passé simple - Mille ans d'histoire, Ouvrage collectif, , 232 pages, Édité par le Cercle historique de Villennes, Maury Imprimeur, (ISBN 978-2-9532433-0-7)
  • Villennes-sur-Seine, de Michel Kohn, 2012, dans la collection Mémoire en Images des Éditions Alan Sutton (ISBN 978-2-8138-0535-5).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Villennes-sur-Seine et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Occupation du territoire.
  12. « Villennes-sur-Seine », Simulateur Solidarité et renouvellement urbain (SRU), Ministère de la Transition écologique et de la cohésion sociale, (consulté le ).
  13. Florent Jacono, « Logements sociaux : fin de l'état de carence pour Villennes-sur-Seine », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  15. NÈGRE (E.) Toponymie Générale de la France (1990), t. 1, p. 399.
  16. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « Nouveau plan des environs de Paris et Départt. de Seine et Oise. », sur Library of Congress, Washington, D.C. 20540 USA, (consulté le ).
  18. Marcel Mirgon, Villennes et ses Seigneurs.
  19. « Ville », notice no IA00102470, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. « L’île de Villennes-sur-Seine, jadis havre de paix des grosses fortunes », sur Le Parisien, .
  21. « Lotissement concerté dit lotissement l'Île de Villennes », notice no IA00102472, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. Françoise Armand, « Les jardins privés familiaux (The private familial gardens) », Bulletin de l'Association de géographes français, vol. 66, no 3,‎ , p. 195 (lire en ligne).
  23. Francine Barthe-Deloizy et Emmanuel Jaurand, « Dynamique du fait insulaire et développement du naturisme », dans Nathalie Bernardie et François Taglioni, Les dynamiques contemporaines des petits espaces insulaires : de l'île-relais aux réseaux insulaires, Karthala, , p. 304-305.
  24. Marc-Alain Descamps, Le nu et le vêtement, Éditions universitaires, coll. « Encyclopédie universitaire », , 407 p., p. 132-133.
  25. Jean-Luc Bouland, Tout en nu de A à Z, Encre, , 250 p. (ISBN 978-2-86418-299-3), p. 221, cité notamment dans l'ouvrage du journaliste Roger Salardenne (1930), Le Nu intégral chez les nudistes Français.
  26. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  27. « Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Villennes », sur le site du ministère de l’intérieur.
  28. « Résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Villennes », sur le site du ministère de l’intérieur.
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  30. « Résultat de l'élection législative de 2012 à Villennes », sur le site du ministère de l’intérieur.
  31. « Résultat de l'élection législative de 2017 à Villennes », sur le site du ministère de l’intérieur.
  32. « Résultat de l'élection législative de 2022 à Villennes ».
  33. « Résultat de l'élection européenne de 2014 à Villennes », sur le site du ministère de l’intérieur.
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  38. « Résultat de l'élection municipale de 2014 à Villennes », sur le Monde.
  39. « Résultat de l'élection municipale de 2020 à Villennes », sur le Monde.
  40. « François Gourdon fait maire honoraire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « François Gourdon a dirigé cette commune pendant vingt-cinq ans, de 1989 à 2014. Il ne s'est pas représenté en mars dernier. Michel Pons (DVD), son premier adjoint, lui a succédé ».
  41. « L'ancien maire de Villennes raconte ses 25 ans de mandat », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « Avec Environnement SA, l'air de 65 pays est sous contrôle : Chaque lundi, nous vous proposons de découvrir une entreprise qui réussit. Aujourd'hui, Environnement SA de Poissy qui, à deux mois de la COP21, a le vent en poupe grâce à ses appareils de mesure de la qualité de l'air », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. Yves Fossey, « Municipales à Villennes : duel à distance entre deux maires : Michel Pons, le maire sortant, et François Gourdon, élu de 1983 à 2014, soutiennent chacun leur candidat », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Michel Pons (DVD), le maire sortant, qui ne se représente pas, soutient Jean Pierre Laigneau, l'adjoint à la sécurité alors que, contre toute attente, François Gourdon (ex-UMP), qui a dirigé la commune de 1989 à 2014, revient dans la course. Il a porté son choix sur Olivier Hardouin l'ex-premier adjoint écarté en 2016 par… Michel Pons ».
  44. Élodie Taillade, « Yvelines. Municipales à Villennes-sur-Seine : Jean-Pierre Laigneau gagne avec seulement deux voix d’avance : À Villennes-sur-Seine, le vainqueur des élections municipales gagne avec deux voix de plus que son adversaire », 78 Actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le suspense aura été à son comble jusqu’à l’annonce des résultats du second tour à Villennes-sur-Seine. Après un recomptage des 622 enveloppes du bureau de vote n°4, le candidat de Bien Vivre à Villennes Autrement (DVD), Jean-Pierre Laigneau, a été élu maire avec 926 voix (40 %). Il devance de seulement deux voix Pierre-François Degand, tête de liste d’Avenir Villennes (DVC), qui termine ainsi en deuxième position avec 924 voix (39,91 %) devant Olivier Hardouin et sa liste Villennes Ensemble (DVC) – dans laquelle on retrouvait l’ancien maire François Gourdon – qui récolte 465 suffrages (20,09 %). Le tout avec un taux de participation plutôt élevé au regard des communes voisines : 52,96 % (59,81 % en 2014) ».
  45. Yves Fossey avec M.G. et M.Fi., « Municipales dans les Yvelines : les dernières écharpes tricolores ont été distribuées : Les 259 communes du département sont désormais pourvues d’un maire au terme de ce week-end qui a vu l’installation des 45 derniers édiles », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À Villennes-sur-Seine, l'installation de Jean-Pierre Laigneau (DVD) s'est déroulée samedi matin sans la présence des cinq élus de la liste conduite par Pierre-François Degand (LREM), l'ex adjoint chargé des affaires scolaires et suppléant de la députée de la majorité présidentielle Natalia Pouzyreff. Ils n'ont pas souhaité siéger ».
  46. Conseil municipal des jeunes
  47. [1]
  48. Ecoles
  49. Enseignement secondaire
  50. professionnels de santé
  51. bibliothèque
  52. Organisation juridictionnelle sur le site du ministère de la Justice. Consulté le 15/03/2020.
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  54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  57. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  58. Manifestations culturelles
  59. École municipale des sports intercommunale
  60. Complexe sportif
  61. Halle des sports
  62. club de football
  63. Club de tennis
  64. Club de judo
  65. Club d'escalade
  66. Golf de Villennes
  67. radios locales
  68. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  69. « Eglise paroissiale Saint-Nicolas », notice no IA00102473, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. « Mairie, école (école de garçons) », notice no IA00102476, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  71. « Gare », notice no IA00102488, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  72. Château de Villennes
  73. le Château de Perdrier-Brinon
  74. « Château d'Acqueville », notice no IA00102491, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  75. Le domaine de Physiopolis
  76. Notice no IA00102478, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. L'ancienne geôle sur http://histoire.villennes.free.fr
  78. « Presbytère dit Ancien Presbytère », notice no Presbytère dit Ancien Presbytère, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  79. L'ancien presbytère
  80. La maison commune
  81. Espaces verts
  82. Drôle de Noël
  83. (ja) Suntory, « オランジーナ・レモンジーナ『レモンジーナあらわる』篇 60秒 リチャード・ギア サントリー CM » [vidéo], sur youtube.com,‎ (consulté le ).
  84. Histoire de Villennes : http://histoire.villennes.free.fr/Pages/Extension84.htm
  85. « Léon Francq, un homme d'initiatives », sur histoire.villennes.free.fr (consulté le ).
  86. « Les célébrités d'antan (sports) », sur histoire.villennes.free.fr (consulté le ).
  87. Les Lambert sur le site « yadvashem-france.org ».