Bouillonville
Bouillonville | |||||
L'église Saint-Denys. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Mad et Moselle | ||||
Maire Mandat |
Gérard Renouard 2020-2026 |
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Code postal | 54470 | ||||
Code commune | 54087 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bouillonvillois[1] | ||||
Population municipale |
148 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 56′ 43″ nord, 5° 50′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 205 m Max. 264 m |
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Superficie | 5,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Nord-Toulois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Bouillonville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Village semi-troglodytique, curieusement implanté en fer à cheval au niveau du confluent du Rupt de Mad et de son affluent, la Madine. Il fait partie du parc naturel régional de Lorraine[2].
D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 535 hectares comportait en 2011, 57,3 % de zones agricoles 38 % de prairies et 4,7 % de forêts. Le territoire communal est arrosé par le ruisseau le Rupt de Mad sur 3,391 km et le Ruisseau la Madine sur 1,883 km[3].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau la Madine et le ruisseau le Rupt de Mad[4],[Carte 1].
La Madine, d'une longueur de 19 km, prend sa source dans la commune de Varnéville et se jette dans le Rupt de Mad sur la commune, après avoir traversé huit communes[5].
Le Rupt de Mad, d'une longueur de 55 km, prend sa source dans la commune de Geville et se jette dans la Moselle à Novéant-sur-Moselle, après avoir traversé 21 communes[6].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne les bassins versants du Rupt de Mad, de l’Esch et du Trey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, la commission locale de l'eau (CLE) a été créée le , puis modifiée le 0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Parc naturel régional de Lorraine[7].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 793 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 6 km à vol d'oiseau[10], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bouillonville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,3 %), prairies (38 %), forêts (4,7 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Anciennes mentions : Baldofovilla, 857 - Godelinisvilla, 875 - Silva inter Aciaco et Balionivilla, 918 - Bodulfivilla in pago Scarponinse, 933 – Boullonville, 1258 – Buillonville, 1289 - Bullonville, 1340[20].
L'étymologie du nom moderne de la commune peut s'expliquer en considérant son implantation dans une partie resserrée du cours du Rupt de Mad, partie donc propice à la création de courants rapides, parfois appelés bouillons en patois. Mais les différentes graphies recensées par le Dictionnaire topographique de la Meurthe ci-avant orientent plutôt vers une corruption du nom de personne Bodolfo ou Bodulf, donc : le domaine « (villa) de Bodulf », nom carolingien.
Ecarts et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Hauche ; moulin, commune de Bouillonville[20]
Autreville ; cense, territoire de Bouillonville[20]
La Justice[21] ; de nombreuses communes gardent par ce toponyme le souvenir des fourches patibulaires qui servaient pour les pendaisons.
Histoire
[modifier | modifier le code]- Présences gallo-romaine et franque.
Antiquité et préhistoire
[modifier | modifier le code]Il semble que la fondation d'un village carolingien, soupçonné par la toponymie, ait été précédée d'une occupation du territoire communal à l'époque gallo-romaine ainsi que le mentionne le répertoire archéologique de Meurthe :
« A la Ravine, plateau bordé de ravins profonds, et traversé par le chemin de Thiaucourt à Euvezin, traces d'une enceinte où l'on a trouvé beaucoup de monnaies (...) à la limite des bans de Thiaucourt et de Bouillonville, ruines gallo-romaines, … »[22].
Au XXe siècle, un bâtiment gallo-romain et des zones d'habitat mérovingiennes associées à des sépultures ont été signalés sur divers lieux dans la commune[23].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Ce bourg est plutôt ancien comme l'indiquent les historiens :
« Il est fait mention de Bouillonville dans une charte du 25 novembre 875, par laquelle Louis de Germanie confirme les biens de l'abbaye de Sainte-Glossinde de Metz, et dans la confirmation des biens de la même abbaye par le pape Pascal II, le 28 avril 1159. »[24]
H Lepage en synthétise l'histoire comme suit :
« Le village de Bouillonville est mentionné dans un acte de vente qui remonte à l'année 1278. Par des titres de 1481 et 1497, on voit que la désignation du curé appartenait aux seigneurs d'Apremont. Le moulin était franc, et le meunier exempt de taille (d’impôts) »
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Pendant la Seconde Guerre mondiale, la 13ème batterie du 156ème régiment d'artillerie à pied est installée un temps à Bouillonville et participe aux combats de Saint-Mihiel[25]
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2021, la commune comptait 148 habitants[Note 3], en évolution de +0,68 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et viticole, au XIXe siècle,
« Surf. territ. : 531 hect.; 380 en terres lab., 40 en prés, 9 en bois, 75 en vignes. Ecart : Moulin de Hauche.. »[32]
H. Lepage le souligne d'ailleurs explicitement[33] :
« Bouillonville est renommé pour ses vins justement estimés. »
Secteur primaire ou Agriculture
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[34]), la commune de Bouillonville était majoritairement orientée[Note 4] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 5] d'environ 284 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) quasi stable depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 191 à 132 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 2 (contre 4 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 4 unités de travail[Note 6] (6 auparavant).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Vestiges antiques en plusieurs points de la commune.
- Derrière l'église, une vaste grotte a été aménagée en hôpital militaire allemand au cours de la guerre 1914-1918.
- Cimetière militaire allemand de Bouillonville - Première Guerre mondiale (1368 Allemands).
- Église Saint-Denys XVIIIe siècle, remaniée XIXe siècle : chevet en cul-de-four, remanié XIXe siècle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Étienne de Rosières né en 1622, seigneur d'Euvezin et Bouillonville.
- Charles Antoine de Rosières : né le 17 février 1641, décédé le : capitaine de cavalerie au service du duc Charles IV ; comte de Rosières, seigneur d'Euvezin et de Bouillonville[35].
- famille d'Apremont
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à la croix d'argent cantonnée de quatre roses d'or. |
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Détails | Conflit héraldique : le dessin ne présente que trois roses. La croix est celle de la famille d'Apremont, d'ancienne chevalerie, seigneur de Bouillonville au Moyen Âge. Les roses rappellent la famille Rosières qui y possédait la haute et basse justice au XVIIIe siècle[36]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Bouillonville », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Bouillonville sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bouillonville » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, Décret no 2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine.
- « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Bouillonville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Madine »
- Sandre, « le Rupt de Mad »
- « SAGE Rupt de Mad, Esch, Trey », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bouillonville et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bouillonville ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, (lire en ligne).
- Bouillonville 540 087 B030 K LA JUSTICE du fichier FANTOIR
- Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes : par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 32.
- Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, , 468 p. (ISBN 2-87754-091-X et 978-2-87754-091-9, OCLC 890475393, lire en ligne).
- Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 : par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 181.
- Historique du 156e régiment d'artillerie à pied : campagne 1914-1918, 19.. (lire en ligne), p. 24.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique sur le pays avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages..., Creusat, (OCLC 65309428, lire en ligne).
- Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative, (lire en ligne), p. 83.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
- Henri Lepage et Alexandre de Bonneval, Les Offices des duchés de Lorraine et de Bar et la maison des ducs de Lorraine, par Henri Lepage, avec la collaboration de M. Alexandre de Bonneval, L. Wiener, (lire en ligne).
- UCGL, Blason de Bouillonville, en ligne sur l'Armorial de France [1]