Tarquimpol
Tarquimpol | |
Héraldique |
|
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Sarrebourg-Château-Salins |
Intercommunalité | Communauté de communes du Saulnois |
Maire Mandat |
David Barthelemy 2020-2026 |
Code postal | 57260 |
Code commune | 57664 |
Démographie | |
Gentilé | Tarquimpolois, Tarquimpoloises |
Population municipale |
61 hab. (2021 ) |
Densité | 15 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 47′ 07″ nord, 6° 45′ 32″ est |
Altitude | Min. 210 m Max. 243 m |
Superficie | 4,09 km2 |
Type | Commune rurale à habitat très dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Dieuze (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Saulnois |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Tarquimpol est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Situé au sud du département de la Moselle, dans le pays du Saulnois, Tarquimpol est à 3 km au sud-est de Dieuze, 20 km au nord-est de Sarrebourg, à 30 km à l'est de Nancy et 50 km au sud-est de Metz.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 1196, qui rejoint
- à l'ouest la route D 999 reliant Dieuze (d'où partent des routes vers Nancy et Metz) à Maizières-lès-Vic (où passe la route de Metz à Strasbourg)
- à l'est la route D 92, permettant d'atteindre Sarrebourg par Azoudange et Héming.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin (bassin Rhin-Meuse). Elle est arrosée par la Seille, le ruisseau de l'étang de Nolweiher, le ruisseau de l'Étang de la Heurcie, le ruisseau de l'Étang de Parc et le ruisseau de l'Étang St-Jean[Carte 1].
La Seille, d'une longueur de 137,7 km, prend sa source dans la commune de Maizières-lès-Vic et se jette dans la Moselle à Metz en limite avec Saint-Julien-lès-Metz, après avoir traversé 57 communes[1].
Le ruisseau de l'étang de Nolweiher, d'une longueur totale de 12,9 km, prend sa source dans la commune de Belles-Forêts et se jette dans la Seille à Lindre-Basse, après avoir traversé cinq communes[2].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Seille et du ruisseau de l'Étang de Nolweiher, peut être consultée sur un site spécial géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Le bourg se trouve sur une presqu'île de l'étang de Lindre et constitue un observatoire privilégié pour admirer la faune et la flore.
La commune fait partie du Parc naturel régional de Lorraine[3] et de la réserve de biosphère UNESCO de Moselle-sud.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Lorraine, plateau de Langres, Morvan » et « Vosges »[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 737,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,1 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site spécial publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Tarquimpol est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieuze, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (50,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux continentales[Note 3] (33,3 %), prairies (26,5 %), forêts (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), terres arables (10,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]De l'allemand Teich ou Deich « étang » + Phul ou Ful « marais ».
Le village de Teichenphul, comme il est appelé dans plusieurs anciens titres, voudrait dire en allemand « l'étang marécageux ». Ce qui convient parfaitement à la situation de l'étang de Lindre[16].
Tarquimpol est un site-phare de l’antiquité lorraine, un des rares à être attesté dès le IVe siècle sous la forme ad Decempagos. Son origine mérite beaucoup mieux qu’un « étang marécageux ».
Le toponyme dérive du latin decempagi, soit les dix «pays», probablement au sens de ville où se situait le centre de gestion de dix peuples de la région. Une importance qui s’est vue largement confirmée par l’archéologie.
Ce terme, germanisé tardivement (Taiken-pach en 1274), a subi une évolution trompeuse qui fait croire à une origine non-latine alors qu’elle n’est due qu’à la proximité de la zone germanique. (Alain Simmer, Toponymie mosellane, Knutange, 2002, p. 200).
Anciens noms[17] : Taikenpail (1274) ; Taikenpaul (1286) ; Tackembac (1295) ; Tachempach (1295) ; Teckempaul (1339) ; Tacampach (1345) ; Teckempal (1364) ; Treckempaul (1392) ; Tachenpful, Tacquinpol, Tacquinpul, Techanpful (1476) ; Techempul (1506) ; Tachempful (1524) ; Tachempfull, Tachempul (1525) ; Dechempful (1543) ; Tachemphulle (1550) ; Tachemphoul (1553) ; Techempful (1564) ; Thechempfoul (1575) ; Tachemphul (1591) ; Techempfoul (1600) ; Tachempoltz (1612) ; Tarquempol (1615) ; Teckempol (1616) ; Techemfoul (1616) ; Tarquinpol (1793).
En lorrain : Tekinpole ou Tekinpule[16]. En allemand : Taichenphul (1915-1918), Taichen (1940-1945).
Sobriquet
[modifier | modifier le code]Ancien surnom sur les habitants : Les pètroyäds (ceux qui pataugent)[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Nommé Decempagi[17] lors de la période gallo-romaine, le village est situé sur la voie romaine de Metz à Strasbourg. Il possède un temple et un théâtre pouvant accueillir environ 16 000 personnes, ce qui en faisait un des plus grands de tout l’Est de la Gaule.
La localité est détruite[pourquoi ?] vers 250. Les lieux sont à nouveau habités vers 310-350. Lors de la bataille de Tarquimpol (), les Alamans attaquent par surprise Julien, César en Gaule. À la suite de l'action coordonnée de Constance II, ils sont repoussés hors de Gaule en 357, ce qui constitue un des derniers succès des Romains dans cette région avant l'effondrement de l'empire[19]. La cité est démolie au Ve siècle[20].
Lorsque la population gallo-romaine de Decempagi eut succombé à la longue, les Germains viennent s'établir à sa place et profitent des matériaux de la ville antique pour bâtir dans l'enceinte de sa forteresse un village qu'ils appellent Teichenphul[21].
La seigneurie passe à la Lorraine en 1418. Le village fait partie du bailliage d'Allemagne dans la prévôté de Dieuze.
L'ancienne commune du département de la Meurthe est annexée au district de Lorraine par le traité de Francfort, prenant le nom allemand de Taichenphul. Elle est intégrée au département de la Moselle lorsqu’elle redevient française après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2021, la commune comptait 61 habitants[Note 4], en évolution de −3,17 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Restes de constructions romaines : canalisations, poteries, découverte par photo aérienne () d'un théâtre gallo-romain de 125 m de diamètre, l'un des plus vastes de Gaule.
- Enceinte fortifiée du bas Empire, sarcophages ; temples et théâtre fouillés dès 1885.
Château d'Alteville
[modifier | modifier le code]Le château est constitué de deux bâtisses en vis-à-vis (l'une XVIe et l'autre XVIIIe).
La première est édifiée par Étienne Toupet, trilleur des salines de Dieuze, en 1564 quand il obtient le fief d’Alteville du duc Charles IV de Lorraine. C’est une maison forte typique avec une tourelle, des meurtrières et des fenêtres à meneaux.
La seconde, construite en 1698 par Charles Palléot, un officier de cavalerie, est un pavillon carré de deux étages flanquée de deux ailes[26]. Palléot fait aussi construire une chapelle (st Charles).
En 1786, ce château était la propriété de Nicolas Leclerc, l'un des fermiers généraux régisseurs des domaines de Lorraine et Barrois, résident à Dieuze. Le mariage de sa fille Julie Charlotte avec Jean-Baptiste-Nicolas Vivaux, avocat et maître de forges, y fut célébré le . En 1819, le général Charles Louis Dieudonné Grandjean hérite du domaine ; puis, en 1827, son fils Victor Aimé. En 1859, François-Paul de Guaita (1825-1880), conseiller général de la Meurthe et agriculteur érudit en est propriétaire, après son mariage, en 1851, avec la fille de Victor Aimé, Marie Amélie Grandjean (1832-1901). En 1861, y naît Stanislas de Guaita. Ce dernier mourra dans le château familial en 1897. En 1901, il est repris par Pierre Lallemand de Mont, époux d'Alice de Guaita. La famille Barthélémy s’y installe en 1906.
Le domaine d'Alteville est fortement endommagé durant la Seconde Guerre mondiale par des troupes allemandes qui détruisent la chapelle et arrachent boiseries et cheminées[26]. Il a depuis été restauré et une partie aménagée en chambres d’hôtes.
Autres lieux
[modifier | modifier le code]- La Maison du pays des Étangs est un espace culturel et évènementiel. Elle présente les informations scientifiques et pratiques indispensables pour découvrir l’histoire de cette cité gallo-romaine disparue à aujourd'hui (maquettes, montages visuels et sonore, jeux interactifs...) ; les thèmes muséographiques abordés sont l'archéologie, l'histoire et la nature. En 2022-2023, la maison a fait l'objet d'un vaste projet de développement et de requalification dont l'objectif est d'en faire « un pôle touristique, d'animation, d’éducation et de formation au patrimoine »[27]. Elle ouvre en mars 2024 et est inaugurée le 1er juin 2024[28]
- Le projet se décline en plusieurs espaces complémentaires qui prennent place dans la maison actuelle et une extension sous forme de véranda dans le jardin :
- un espace muséographique tous publics, centré sur le patrimoine de Tarquimpol (archéologique et naturel notamment) et montrant les liens entre Tarquimpol et les sites environnants liés au sel et à la présence romaine ;
- "Le bistrot des oiseaux", un espace de restauration/salon de thé tous publics valorisant les productions locales et les circuits courts ;
- Des salles polyvalentes pour l’accueil de groupes, séminaires, d’animations, expositions, conférences...
- Un théâtre en plein air pour l'événementiel et la programmation culturelle.
Ces différents espaces sont agrémentés d'une plateforme d'observation panoramique (au premier étage de l'extension). L'équipement est complété par un sentier de découverte sur la presqu'ile de Tarquimpol qui permet de découvrir in situ les principaux monuments enfouis qui sont reconstitués à leur emplacement d'origine. Un sentier de liaison Tarquimpol-Lindre-Basse-Dieuze permet d’ouvrir le site aux moyens de déplacement doux (marche, vélo…).
Édifice religieux
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Etienne : chœur gothique XIVe siècle, tour romane ronde ; mobilier XVIIIe siècle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Stanislas de Guaita, occultiste et poète.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur au chapiteau romain d'or, sommé d'un chef du même et soutenu d'une champagne marinée d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- site de la Maison du Pays des Étangs
- Tarquimpol sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Tarquimpol » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « la Seille »
- Sandre, « le ruisseau de l'étang de Nolweiher »
- Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, Décret no 2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine, (lire en ligne)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tarquimpol et Rodalbe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Tarquimpol ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieuze », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Augustin Calmet, Notice de la Lorraine : qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg
- Dictionnaire topographique du département de la Meurthe - Henri Lepage (1862)
- Passé-Présent : La Moselle dévoilée no 5 (Janvier-Février 2012)
- Laurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine: des premiers Celtes à nos jours, Place Stanislas, , p. 25
- Marc Heilig, « Nouvelles recherches à Tarquimpol (Moselle) », archeographe, 2010 [1]
- Henri Lepage, Le département de La Meurthe : statistique historique et administrative, Nancy, 1843
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Henry Bourceret, Châteaux de la Moselle, p. 3 Alteville, Nouvelles éditions latines, Paris, 1977, 30 p. (ISBN 2723300218).
- Thomas Riboulet, « Rénovation et extension de la Maison du Pays des Etangs », sur blelorraine, (consulté le ).
- « Tarquimpol. La Maison du Pays des Étangs : un lieu d’histoire et de culture », sur republicain-lorrain.fr (consulté le ).