Chartrettes
Chartrettes | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau | ||||
Maire Mandat |
Pascal Gros 2020-2026 |
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Code postal | 77590 | ||||
Code commune | 77096 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chartrettois | ||||
Population municipale |
2 543 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 252 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 24″ nord, 2° 42′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 94 m |
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Superficie | 10,10 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Bois-le-Roi (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nangis | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Liens | |||||
Site web | mairie-chartrettes.fr | ||||
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Chartrettes est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située rive droite de la Seine, face à Bois-le-Roi.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 37 mètres à 94 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 80 mètres d'altitude (mairie)[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le système hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :
La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 6,29 km[6].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontainebleau à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
Un espace protégé est présent sur la commune : la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[15],[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Chartrettes comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1],[17], le « Buisson de Massoury » (559,54 ha), couvrant 5 communes du département[18] ; et le « Parc de Livry » (165,9 ha), couvrant 2 communes du département[19] et deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[17] :
- le « Buisson de Massoury » (1 261,51 ha), couvrant 5 communes du département[20] ;
- la « vallée de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du département[21].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est traversé par le sentier de grande randonnée GR 1, qui se prolonge vers Livry-sur-Seine au nord et vers Bois-le-Roi au sud.
Transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par :
- la gare de Chartrettes sur la ligne Melun - Héricy - Montereau ;
- les lignes du réseau de bus Fontainebleau - Moret :
- No 41 (Melun – Montereau-Fault-Yonne) ;
- No 44 (Le-Chatelet-en-Brie - Bois-le-Roi) ;
- No 45 (Chartrettes – Fontainebleau).
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Chartrettes est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bois-le-Roi[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[23],[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[24]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte 66 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[27] (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]En 2018[28], le territoire de la commune se répartit[Note 7] en 43,1 % de forêts, 25,5 % de terres arables, 17,2 % de zones urbanisées, 5,9 % d’eaux continentales[Note 8], 3 % de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée[Note 9], 2,7 % de zones agricoles hétérogènes[Note 10] et 2,6 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication[6],[29].
Logement
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 1 174 dont 87,3 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 12,4 % d'appartements[Note 11].
Parmi ces logements, 89,2 % étaient des résidences principales, 4,8 % des résidences secondaires et 6 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 83 % contre 15 % de locataires[30] dont, 1,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 12] et, 2 % logés gratuitement.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes A. de Carnotulis vers 1210[31] ; Apud Chartretas[32] et G. de Cartrotis en 1239[33] ; Apup Carnotulas en 1293[34] ; Chaltray au XVIIe siècle (Carte de Jean Boisseau)[35].
Toponyme qui a pour origine le nom des Carnutes, peuple gaulois installé dans la région de Chartres. Chartrettes signifierait "petite Chartres".
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Fosse hallstattienne de l'Enfer
[modifier | modifier le code]Une fouille de sauvetage en 1973 dans un front de coupe d'une carrière de sable ou graviers au lieu-dit l’Enfer, à moins de 200 m de la Seine en rive droite (côté nord), a livré une fosse contenant de nombreux tessons et ossements, et de l'outillage lithique et en os[36].
Deux fosses de la Tène I au Temps Perdu
[modifier | modifier le code]Ce lieu-dit se trouve à environ 500 m au nord-ouest de l'Enfer[37].
Antiquité
[modifier | modifier le code]Chartrettes, par sa situation exceptionnelle fut très tôt point de rencontre et d'habitation. Le fleuve a été, dès la plus haute antiquité, une voie de communication très fréquentée. D'autre part, le gué de Chartrettes permettait son franchissement avant qu'il y ait des ponts. Une voie antique venant de Maincy y aboutissait. Certainement, ce carrefour fut lieu de transbordement protégé par une forteresse construite sur la hauteur. Versant exposé au sud où les sources abondent, situé entre une forêt giboyeuse et un fleuve poissonneux, il n'y a rien d'étonnant que le site de notre village fut de tout temps recherché comme habitat. Des trouvailles faites lors de l'exploitation des carrières de l'Enfer et du Temps Perdu en témoignent : une tombe collective néolithique contenant une vingtaine de squelettes (époque Seine-Oise-Marne 2400-1700 av. J.-C.). des fosses du premier âge du fer (VIe siècle av. J.-C.)[38].
Durant l'occupation romaine, le village connut, comme le reste de la Gaule, une période de paix et de prospérité, principalement au IIe siècle, de nombreux fragments de poteries variées furent trouvés autour du clocher ; une hipposandale, des instruments agraires, dans les carrières ; des pièces de menue monnaie, aux abords du gué. C'est certainement à cette époque que remonte l'implantation de la vigne sur le coteau[38].
Renaissance et création des propriétés
[modifier | modifier le code]Lorsque, dans la deuxième moitié du XVe siècle, la vallée fut remise en culture, ce fut avec une population entièrement renouvelée, une noblesse de robe (magistrats) prit la place de nos chevaliers bannerets dans les grands châteaux, des magistrats et des notables de Melun rebâtirent les maisons de plaisance sur les ruines des maisons fortes. Après la guerre de Cent Ans, les seigneurs du Pré et des Bergeries rendaient directement hommage au seigneur de Nangis, tous les autres propriétaires au seigneur de Chartrettes qui « tenait » lui aussi du Castel de Nangis. Les guerres de religion ne donnèrent lieu qu'à quelques pillages, il n'y eut pas de grosses destructions. La Réforme eut bien peu de prise sur les Chartrettois, elle intéressait les riches bourgeois plutôt que les paysans. Pendant un temps, les protestants de Melun vinrent se réunir dans la maison encore appelé le Prêche dans la Grand'rue, ce qui souleva l'indignation du seigneur de Chartrettes[38].
Dès le XVIe siècle, les familles Clapisson du Lin, puis Frémont du Mazis, rachetèrent patiemment toutes les parcelles de leur fief, puis les terres et le château du Pré en 1635, ainsi qu'une partie de Bois-le-Roi et de Sermaize pour former une très grosse propriété. Ces très grands seigneurs, présidents du Parlement de Paris, Correcteurs en la chambre des Comptes, conseillers du Roi en ses conseils… occupaient le château du Pré. Les Bergeries dont les propriétés s'étendaient à Brolles et Bois-le-Roi (en partie) appartinrent aussi à des personnages ayant leur place à la cour. Depuis, François I qui y établit deux gardes à demeure, les rois de France possédaient le château du Buisson de Massoury à Chartrettes et ne manquaient jamais, lors de leur séjour au château de Fontainebleau de venir y chasser quelquefois, débarquant soit à Fontaine-le-Port, soit à Rouillon[38].
Aube de la modernité
[modifier | modifier le code]Ce n'est que dans la 2e partie du XIXe siècle, sous le règne de Napoléon III, que débutèrent les grands travaux à Chartrettes : barrage et écluse, 1856-1860 ; pont 1862. Pour la voie ferrée et la gare, il fallut attendre 1898. Dans le même temps, les vignes disparurent à cause des attaques par le phylloxéra mais aussi par l'arrivée massive de vins du midi en chemin de fer. Par contre, la facilité des communications avec Paris amena chez nous de nombreux touristes qui firent vivre les aubergistes, les loueurs de chambres garnies, ainsi que les ouvriers du bâtiment qui construisirent de nombreuses résidences secondaires. Cet afflux amena la nécessité d'agrandir la place et de construire une mairie plus adaptée aux besoins, ce qui fut terminé dès le début de 1913[38].
Chartrettes qui fut de tout temps un « lieu de plaisance » pour les nobles et les riches bourgeois, accueillit au milieu du siècle, en vacances et week-end, des personnes de classe moyenne. Depuis 1975, une évolution se dessine : de nouveaux lotissements abritent des résidents principaux qui n'hésitent pas à se rendre pour leur travail à Paris ou dans sa proche banlieue.
En 1781, on y comptait " 70 feux " ; en 1886, 637 habitants. La commune s'est développée ensuite vers les rives de la Seine : 1 065 habitants au recensement de 1962 ; 1 115 habitants en 1968, 1 135 habitants en 1975, 1 561 habitants en 1982 et 2 114 habitantsen 1990[38].
Catastrophes naturelles
[modifier | modifier le code](Plusieurs catastrophes naturelles ont été recensées depuis 1983 dans la ville de Chartrettes ; les plus importantes étant des inondations et coulées de boue successivement apparues en avril 1893, en juin et août 1997, en décembre 1999 ainsi qu'en mai 2016 et en janvier 2018. Des mouvements de terrains liés à la sécheresse sont en outre plusieurs fois survenus entre 1989 et 1998)[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2011[43].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Ville | Pays | Période | ||
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Doña Mencía[44] | Espagne | depuis | ||
Roscommon[44] | Irlande | depuis |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].
En 2021, la commune comptait 2 543 habitants[Note 13], en évolution de −2,45 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune possède deux écoles, une école maternelle ainsi qu'une école primaire.
Sports
[modifier | modifier le code]Depuis 2017 le village possède un complexe sportif récemment rénové doté d'un dojo et d'un terrain multisports avec gradins.
En 2015, le complexe a été nommé "Complexe Sportif François Combourieu" pour rendre hommage au militaire du même nom mort pour la Nation en 2015.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Feux d'artifice à l'occasion de la fête nationale en collaboration avec la ville de Bois-le-Roi[49].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 033 (dont 78 % imposés), représentant 2 612 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 29 120 euros[50].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 520, occupant 1 140 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,2 % contre un taux de chômage de 6,7 %.
Les 22,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,8 % de retraités ou préretraités et 3,8 % pour les autres inactifs[51].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 255 dont 4 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 13 dans l’industrie, 31 dans la construction, 173 dans le commerce-transports-services divers et 34 étaient relatifs au secteur administratif[52].
Ces établissements ont pourvu 442 postes salariés.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Corneille-et-Saint-Cyprien de Chartrettes, Inscrite MH (1946)[53]
- Hôtel de ville.
- Château de Rouillon
- Château du Pré
- Château des Bergeries
- Château des Vallées, qui appartint à Alexandre Nino-Depret (1871-1946), maire de Chartrettes et petit-fils de Jacques Alexandre Bixio et Mélanie Gaume.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François Joseph d'Estienne de Chaussegros de Léry (1754-1824), général, mort à Chartrettes ;
- Paul Émile Berton (1846-1909), peintre, y est né ;
- Mathilde Leriche (1900-2000), bibliothécaire, née à Chartrettes ;
- Jacques Debronckart (1934-1983), chanteur, né à Chartrettes.
Héraldique, devise et logotype
[modifier | modifier le code]Les armes de la Ville reprennent le blason des seigneurs de Chartrettes. Guichard 1er de Chartrettes, eut pendant plusieurs siècles son tombeau dans le cœur de l’église, sur lequel était sculpté son écu (d'azur à trois fusées d'argent posées en fasce).
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : D'azur à trois fusées d'argent rangées en fasce. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Chartrettes », p. 229–231
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bois-le-Roi comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Statistiques 2018 de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Pelouses, pâturages naturels, landes et broussailles, végétation sclérophylle, forêt et végétation arbustive en mutation.
- Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
Références
[modifier | modifier le code]- « Plan séisme consulté le 9 novembre 2020 ».
- « Chartrettes » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Rosières (F4431100) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Clotée (F4431000) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 12 décembre 2018.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chartrettes et Fontainebleau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontainebleau_sapc » (commune de Fontainebleau) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontainebleau_sapc » (commune de Fontainebleau) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les différents espaces protégés. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Réserve de biosphère de « Fontainebleau et Gâtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
- « la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Chartrettes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Buisson de Massoury » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bois-le-Roi », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Chartrettes ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
- Site Corine Land Cover Mises à jour.
- [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
- Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 29 septembre 2020
- Histor. France, XXIII, p. 670.
- Richemond, Nemours, II, p. xli.
- Depoin, Saint-Martin-des-Champs, IV, p. 137.
- Archives hosp. Melun, Saint-Jacques, A 6.
- Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 107.
- [Degros et al. 1976] Jacqueline Degros, Jean Guffroy et Jacques Tarrête, « La fosse hallstattienne de l'Enfer, à Chartrettes (Seine-et-Marne.) », Gallia, vol. 34, no 1, , p. 57-94 (lire en ligne [sur persee]).
- [Boiché et al. 1980] Jean-Claude Boiché, Jacqueline Degros, Alain Senée et Jacques Tarrête, « Deux fosses du Premier Age du Fer à Chartrettes (Seine-et-Marne) », Gallia, vol. 38, no 1, , p. 27-57 (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
- Madame Renée Wanner-Le Quinio, « le site de Chartrettes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur mairie-chartrettes.fr (consulté le ).
- Les maires de Chartrettes.
- « Margo Petruzzi élue maire », Le Parisien, édition de la Seine-et-Marne, (lire en ligne) « Margo Petruzzi a été élue mercredi soir maire (sans étiquette) de Chartrettes, 2500 habitants. Agée de 62 ans, elle n'est autre que l'épouse de Tino Petruzzi , maire de 1989 à 2001. Elle succède à Marie-Claude Gagliardi, 63 ans. »
- « Seine-et-Marne. Élections municipales : le maire de Chartrettes passe la main », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne) « Le maire de Chartrettes, Michel Bureau, ne sera pas candidat à sa succession en raison de son état de santé. Il soutient la candidature de son premier adjoint, Pascal Gros. »
- « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Chartrettes, consultée le 26 octobre 2017.
- « https://www.mairie-chartrettes.fr/villes-jumelles/ »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Patricia DUGORNAY, « Seine-et-Marne : où profiter de la Fête nationale », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- Statistiques officielles de l'Insee, section Revenus et pauvreté des ménages, consulté le 29 septembre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 9 novembre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 9 novembre 2020
- Notice no PA00086867, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.