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La Trétoire

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La Trétoire
La Trétoire
Roue de meule.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Morin
Maire
Mandat
José Dervin
2020-2026
Code postal 77510
Code commune 77472
Démographie
Gentilé Trétoriens
Population
municipale
479 hab. (2021 en évolution de +1,27 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 25″ nord, 3° 15′ 07″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 189 m
Superficie 9,28 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Trétoire
Liens
Site web latretoire.fr

La Trétoire est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à environ 15,5 kilomètres au nord-est de Coulommiers[Carte 1].

Localisation de la commune de La Trétoire dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes

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Carte des communes limitrophes de La Trétoire.
Communes limitrophes de La Trétoire
Orly-sur-Morin Boitron
Doue La Trétoire Sablonnières
Rebais Saint-Léger

Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie de 68 mètres à 189 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 180 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de La Trétoire.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,06 km[7].

Gestion des cours d'eau

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Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[8].

La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[10].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 765 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Cyr-sur-Morin à 6 km à vol d'oiseau[13], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 814,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[18],[Carte 2] :

  • le « Petit Morin de Verdelot à Saint-Cyr-sur-Morin », d'une superficie de 3 589 ha, un site qui accueille la plus importante population d’Île-de-France de cuivré des marais (Lycaena dispar) et la deuxième plus importante population d’Île-de-France de sonneur à ventre jaune (Bombina variegata)[19],[20].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Trétoire comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[21],[Carte 3], le « Petit Morin » (30,09 ha), couvrant 10 communes du département[22]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[21], la « vallée du Petit Morin de Verdelot à la Ferte Sous-Jouarre » (4 988,89 ha), couvrant 15 communes du département[23].

Au , La Trétoire est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[25]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[25]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 139 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[28] (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6% ), forêts (31,2% ), zones urbanisées (3,8% ), prairies (3,3% ), zones agricoles hétérogènes (3 %)[29].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[30],[31],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].

Planification

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La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes des Deux Morin, prescrit le 28 juin 2018, était en élaboration[32],[33]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 6].

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 226 dont 97,3 % de maisons et 1,3 % d'appartements.

Parmi ces logements, 80,5 % étaient des résidences principales, 11,9 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 89 % contre 8,2 % de locataires et 2,7 % logés gratuitement[34].

La Trétoire s'appelait par le passé Saint Christophe lez Rebets[35]. Son nom actuel, dont l'origine n'est pas élucidée, date au plus tôt du XVIe siècle.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Tretoria en 1513[36] ; La Tretouere en 1569[37] ; La Trestouere les Rebetz en 1574[38] ; La Trestoirre en 1582[39].

Les origines de La Trétoire sont mal connues. L’étymologie de Tretoria en 1513 est délicate à élucider. Ce nom apparaît pourtant dans les sources les plus anciennes où il alterne avec celui de Saint Christophe lès Rebets. Il existe peu d’archives touchant directement au site de La Trétoire.

L’histoire de la paroisse peut être appréhendée à travers celle de l’Abbaye Saint-Pierre de Rebais. Fondée au VIIe siècle, elle rayonne sur l’ensemble des territoires environnants et, dès le XIIe siècle, l’abbé de Rebais a la charge des églises Saint-Jean-Baptiste et Saint-Nicolas, à Rebais, ainsi que les paroisses de Saint Denis lès Rebais, de Saint Léger et de Saint Christophe de La Trétoire.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 ? Gilbert Butet DVD  
         
2001 En cours José Dervin[40] DVD Retraité
Président de la CC de la Brie des Morins (2016 → 2016)
Président de la CC des Deux Morin (2017 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026[41],[42]

Politique environnementale

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Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [43],[44].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la commune de La Trétoire ne dispose pas d'assainissement collectif[45],[46].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[47]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[45],[48].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[45],[49],[50].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

En 2021, la commune comptait 479 habitants[Note 5], en évolution de +1,27 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
502504531482544566570621561
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
552556564554561504477415424
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
405385376310317319274274265
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
265258301353476389384441482
2021 - - - - - - - -
479--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Revenus de la population et fiscalité

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En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 175, représentant 474 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 330 euros[55].

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 42, occupant 221 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,5 % contre un taux de chômage de 7,7 %. Les 21,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,3 % de retraités ou préretraités et 5 % pour les autres inactifs[56].

Secteurs d'activité

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Entreprises et commerces

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En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements par secteur d'activité était de 36 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 7 dans la construction, 7 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 1 dans les activités immobilières, 9 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 3 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 5 étaient relatifs aux autres activités de services[57].

En 2020, 8 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 6 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[58].

Agriculture

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La Trétoire est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 7]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[59].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[60]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 12 en 1988 à 8 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 57 ha en 1988 à 85 ha en 2010[59]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Trétoire, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à la Trétoire entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[59],[Note 7]
Nombre d’exploitations (u) 12 6 8
Travail (UTA) 16 11 11
Surface agricole utilisée (ha) 687 520 677
Cultures[61]
Terres labourables (ha) 581 450 606
Céréales (ha) 403 s 428
dont blé tendre (ha) 262 188 261
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 54 48 82
Tournesol (ha) 0
Colza et navette (ha) 21 s s
Élevage[59]
Cheptel (UGBTA[Note 8]) 233 179 60

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Christophe.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « La Trétoire », p. 1306–1307

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de La Trétoire » sur Géoportail (consulté le 20 janvier 2020)..
  2. « Sites Natura2000 de Trétoire » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  3. « Zones ZNIEFF de Trétoire » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  4. « La Trétoire - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  5. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  6. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  1. « La Trétoire » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  2. « Plan séisme consulté le 21 avril 2021 ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Petit Morin (F62-0400) » (consulté le ).
  4. a et b Nature en attente de mise à jour.
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Petit Morin (F6252501) » (consulté le ).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Petit Morin (F6252001) » (consulté le ).
  7. 77472 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 21 janvier 2019
  8. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  9. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre La Trétoire et Saint-Cyr-sur-Morin », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Réseau européen Natura 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Trétoire », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  35. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 540.
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  37. Archives nationales, S 3775a, doss. 5, n° 23.
  38. Archives de la Seine-et-Maritime, H 362.
  39. Bibliographe moderne, XVIII, 1917, p. 171.
  40. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur amf77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
  41. Jean-Michel Rochet, « Municipales 2020 à La Trétoire : José Dervin sera candidat à sa succession : Non, il ne lâche pas la barre... Même s'il a quitté, au début de l'année, la présidence de la communauté de communes, José Dervin veut rester maire de La Trétoire », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « José Dervin a, en effet, été élu conseiller municipal en 1977 avant de devenir adjoint au maire en 1983 puis en 1989 et 2001. « J’étais adjoint aux finances, à l’administration et aux relations avec les autres communes », précise-t-il. En 2001, il devient maire pour la première fois et il l’est resté depuis ».
  42. « Liste des maires 2020 » [PDF], Élections municipales 2020, Préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
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