La Répara-Auriples
La Répara-Auriples | |||||
Les Lombards. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Drôme | ||||
Maire Mandat |
Pierre Boutarin 2020-2026 |
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Code postal | 26400 | ||||
Code commune | 26020 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | La Réparois(e)s | ||||
Population municipale |
250 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 40′ 05″ nord, 5° 00′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 239 m Max. 534 m |
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Superficie | 15,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Crest (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Crest | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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La Répara-Auriples est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située à 10 km au sud de Crest (chef-lieu du canton) et à 28 km au nord-est de Montélimar.
Autichamp | Divajeu | Soyans | ||
La Roche-sur-Grane | N | Soyans | ||
O La Répara-Auriples E | ||||
S | ||||
Roynac | Puy-Saint-Martin | Soyans |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]- Plaine vallonnée[1].
- La Répara : Crêtes séparant la vallée de la Drôme de la plaine de Marsanne[2].
- La Répara : les Ermes (désert) de La Répara[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]- La Répara : Rives du Roubion[2]
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 929 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 4,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Puy-Saint-Martin à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 923,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Répara-Auriples est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Crest, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), forêts (37 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]- Auriples est constitué de hameaux disséminés et de fermes fortes[1].
- La Répara est constitué de fermes éparpillées[2].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Auriples : hameaux et lieux-dits : hameau des Lombards (petite église Saint-Pierre des Lombards, devenue Saint-Loup des Lombards, ancienne commune d'Auriples), la Balme, le Châtelard, le Péage.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Auriples
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14].
- 1159 : Auruplum (cartulaire de Die, 44).
- 1350 : Auripleum (archives de la Drôme, fonds de l'évêché de Die).
- 1391 : Orriple (choix de docum., 213).
- 1421 : Oriple (Duchesne, Comtes de Valentinois, preuves 6).
- 1575 : Horiple (Mém. des frères Gay).
- 1645 : Ouriple (rôle de décimes).
- 1891 : Auriple et Auriples, commune du canton de Crest-Sud.
La Répara
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15].
- 1327 : Reparate (archives de la Drôme, E 455).
- XVe siècle : mention du prieuré : Prioratus de Reparata (Pouillé de Die).
- 1549 : Reparaz (rôle de tailles).
- 1549 : Reparata (rôle de décimes).
- 1575 : Repara soubs Horiple (Mém. des frères Gay).
- 1891 : La Répara, commune du canton de Crest-Sud.
La Repara-Auriples
[modifier | modifier le code][réf. nécessaire] : La Répara-Auriples.
Étymologie
[modifier | modifier le code]La Répara
[modifier | modifier le code]Auriples
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Auriples
[modifier | modifier le code]Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie[14] :
- Au point de vue féodal, la terre faisait partie du patrimoine des comtes de Valentinois.
- 1448 : elle est inféodée à Guillaume (bâtard de Poitiers).
- 1464 : confisquée et donnée aux Eurre.
- Recouvrée par les Poitiers-Saint-Vallier.
- 1542 : passe (par mariage) aux Clermont-Tallart.
- 1548 : vendue à Diane de Poitiers (1500-1566).
- 1566 ? : passe (par héritage) à Claude de Lorraine, duc d'Aumale, gendre de Diane de Poitiers.
- Passe aux Sauvain du Cheylard.
- 1616 : passe aux La Tour-Gouvernet, derniers seigneurs.
Le Prieuré :
- XIVe siècle : mention du prieuré : Prioratus de Aurriplo (Pouillé de Valence) : prieuré de l'ordre de Saint-Augustin, filiation de Saint-Thiers de Saou, sous le vocable de Saint-Pierre, connu dès 1318, et dont le titulaire avait les dîmes de la paroisse d'Auriples[16].
Avant 1790, Auriples était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation et sénéchaussée de Crest, formant une paroisse du diocèse de Valence. Son église, dédiée à saint Pierre, était celle d'un prieuré qui y percevait la dîme (voir le Prieuré) et présentait à la cure[14].
Péage très ancien[1].
De la Révolution à 1992
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune d'Auriples est comprise dans le canton du Puy-Saint-Martin. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans le canton de Crest-Sud[14].
La Répara
[modifier | modifier le code]Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie :
- Fief des comtes de Valentinois[2].
- XVIe siècle : la terre est démembrée de celle d'Auriples[15].
- 1580 : elle appartient aux Dufour[15].
- Vers 1740 : passe aux Dumont, derniers seigneurs[15].
Avant 1790, la Répara était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et de la sénéchaussée de Crest, formant une paroisse du diocèse de Die, dont l'église était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Augustin, filiation de Saint-Thiers de Saou, qui fut uni à la sacristie de cette abbaye dans le cours du XVe siècle, et dont le titulaire était collateur et décimateur dans cette paroisse. Seulement, à la suite de cette union, conséquence de la ruine du prieuré, le service paroissial de la Répara fut fait dans l'église d'Auriple[15].
De la Révolution à 1992
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton du Puy-Saint-Martin. Elle passe dans le canton de Crest-Sud lors de la réorganisation de l'an VIII (1799-1800)[15].
Après les espoirs suscités par la révolution de février 1848, la victoire du camp conservateur aux élections présidentielles de décembre 1848 (Louis-Napoléon Bonaparte) et législatives de 1849 entraîne une reprise en main autoritaire de la société. L'état de siège est imposé après le complot de Lyon, toutes les activités de police relevant de l'armée et tout acte jugé subversif pouvant mener au conseil de guerre. Tous les actes en rapport avec les idées de gauche (socialisme ou républicanisme) sont proscrits. En 1850, le préfet oblige tous les maires du département à imposer la fermeture des cafés, estaminets, auberges, etc. à 22 heures, interdit les jeux de hasard et impose aux aubergistes de faire des rapports. Cette interdiction, prise au nom de la tranquillité publique, est évidemment à caractère politique, ce genre d'endroits étant propice à la propagande en direction des milieux populaires. Le café d'Auriples est signalé à la préfecture, son patron "vociférant des chansons anarchiques"[17].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 est connu par affiches le mercredi 3 décembre dans la journée[18]. Le mot d’ordre de résistance est transmis de Valence le 5 pour le lendemain samedi 6[19]. Une société secrète existait à Auriples, et le village se mobilise au son du tambour pour envoyer un contingent rejoindre sur la route de Crest les milliers d’insurgés qui descendent de Bourdeaux et de Dieulefit. À La Répara, seules quelques isolés se mobilisent[20].
Après l’échec de l’insurrection et le plébiscite destiné à légaliser le coup d’État après coup, les 21 et 22 décembre, la répression et la traque aux insurgés continue, parfois avec l’aide d'un dénonciateur : le maire d’Autichamp dénonce ainsi un de ses administrés, tout en demandant qu’on brûle sa lettre[21]. Un insurgé se cache plus d’un an avant d’abandonner et de se rendre à la mairie le 4 janvier 1853 : il est arrêté le 6. Le maire plaide en sa faveur, ce qui lui permet d’obtenir un sursis à sa déportation en Algérie, puis une libération[22].
Malgré la répression, les républicains continuent de se manifester. Le 27 décembre 1852, un habitant est condamné à deux mois de prison pour outrage envers le maire[23].
1992 : La Répara-Auriples
[modifier | modifier le code]: Nouvelle commune née de la fusion des deux communes auparavant indépendantes : La Répara et Auriples.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]En 2021 , la commune de La Répara-Auriples comptait 250 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune de La Répara-Auriples relève de l'académie de Grenoble.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Avant la fusion des deux communes (en ) :
- Auriples : Fête patronale : à la Trinité / Fête communale : avant-dernier dimanche d'août[1].
- La Répara : Fête : dernier dimanche de juin[2].
Loisirs
[modifier | modifier le code]- Randonnées[1].
Santé
[modifier | modifier le code]Services et équipements
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Il n'y a pas d'église au quartier de La Répara[2].
Économie
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Auriples
- Ruines du château fort[1] médiéval. Il a été à nouveau fortifié au XVIe siècle. Il a été rasé vers 1583[réf. nécessaire].
- Vestiges de l'ancien village fortifié sur une hauteur au sommet de laquelle se situent trois croix[réf. nécessaire].
- Château Le Combet : maison forte de la fin du Moyen Âge restaurée au XXe siècle[réf. nécessaire].
- Portefaix : maison forte du XVIe siècle[réf. nécessaire].
- Les Lombards ; petite église Saint-Loup des Lombards[1].
- La Répara
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Le Fayn est une colline (497 m) sur la limite communale où un hêtre a réussi à pousser sur un terrain qui ne lui était a priori pas favorable. S'étant maintenu, peut-être dans un environnement dénudé, il a servi de point de repère, de bornage, et a donné son nom au site. Actuellement, un bouquet de plusieurs hêtres occupe l'endroit[27].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Joseph Reynaud de Lagardette (1799-1865), ancien maire de Bollène et député de Vaucluse.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]La Répara-Auriples possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- La Répara-Auriples sur le site de l'Institut géographique national / page archivé depuis 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Auriples.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Répara (La).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Répara-Auriples et Puy-Saint-Martin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Crest », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 14.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 300.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 289 (Le Prieuré).
- Robert Serre, 1851. Dix mille Drômois se révoltent. L’insurrection pour la République démocratique et sociale, préface de Maurice Agulhon, co-édition Peuple libre/Notre temps, s.l., 2003. ISBN 2-912779-08-1/ISBN 2-907655-42-6, p. 63-64.
- R. Serre, op. cit., p. 129.
- R. Serre, op. cit., p. 133.
- R. Serre, op. cit., p. 164.
- R. Serre, op. cit., p. 233.
- R. Serre, op. cit., p. 240.
- R. Serre, op. cit., p. 312.
- La Répara-Auriples sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 30 octobre 2014).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- F. Monteiller « Enquêtes sur les arbres remarquables de la Drôme », Études drômoises, (no)69, décembre 1986, p. 53-55.